La presse italienne a parlé d’une présence très discrète. À cause de la crise politique le président de la République M. Mattarella et les hautes charges de l’état sont restés à Rome, et la loge royale a accueilli quatre survivants du mouvement de terre à Accumuli et Amatrice.
Tout le monde sait que Puccini n’a pas créé cette oeuvre l’an dernier!
Première fait référence à l’ouverture de la saison de la Scala, la plus belle et la plus célèbre salle du monde, le jour de San Ambrogio, patron de la ville.
L’ouverture, une institution, se fait entre défilé des snobs et contestation du « petit peuple » qui les attend à l’entrée, une tradition.
La version de cette année est la version originale, un vrai fiasco lors de sa première représentation le 17 février 1904, mais qui a cette année reçu 14 minutes d’applaudissements.
Qui change?
Le goût ou le public?
Ce qui perdure c’est la passion du Belpaese pour le Belcanto.
J’ai mon billet pour vendredi le 13 ….
Je vais bien me tenir pour commenter cette info. J’ai vu cet opéra quand j’étais en sixième et je ne comprenais pas qu’on puisse être aussi méchant avec une jeune épouse aussi confiante et gentille. Ca m’a fait penser à mon père qui était venu me voir en colonie de vacances des années auparavant et qui m’avait promis de revenir l’après-midi, après la sieste. Comme Pinkerton, il n’est pas revenu. Il ne faut pas mentir aux enfants, et Cio Cio San était comme un enfant. Je n’ai plus jamais eu confiance dans les adultes après la colo.
c’est pour celà que je n’ai pas raconté des histoires de père noel et de petite souris à mes enfants , ce n’est que des mensonges d’adulte et après ils veulent nous faire croire qu’ils disent la vérité …………en fait les adultes mentent beaucoup – sauf les vériatbles chrétiens qui ne veulent pas offenser leur créateur – les autres !!! mais il ne faut pas le dire
Ah bon….. » les véritables chrétiens » …..sont les seuls, bons, non menteurs et loyaux … et tout le reste ladycat s …c’est ainsi que commence l’intolérance……………………
Si votre créateur avait la bonté de venir chercher ma pauvre mère qui souffre tellement psychologiquement …Dites-le lui!!!
« les véritables chrétiens ne mentent pas .. »
mais ne serait-ce que répéter et apprendre aux enfants les fadaises enseignées par la religion catholique, et refuser de reconnaitre des faits historiques, …
sont d’énormes mensonges.
Je me suis fachée avec ma belle-mère pour de tels motifs !
La Scala, une de mes salles préférées où, en 1987, avec un opéra de Mozart dirigé par Riccardo Muti, j’ai vécu une telle impression de beauté et de perfection que je me suis dit que j’aurais pu mourir à ce moment là.
Cette année, j’ai beaucoup aimé, le Madame Butterfly donné à Orange pour les Chorégies. La chanteuse albanaise Ermolena Jaho, était une merveilleuse Cio-Cio San. À Nagasaki, c’est émouvant de visiter la maison Glover qui domine la baie, c’est de ce lieu et de l’histoire de son propriétaire que s’inspira Puccini pour écrire son opéra. Mais à la différence de Pikkerton, l’Écossais Glover, épousât bien une Japonaise rencontrée à Osaka, Awajiya Tsuru, avec qui il vécut toute sa vie. Ils eurent une fille Hana qui épousât un marchand Anglais et, comme semble le faire le consul de Puccini, ils adoptèrent un garçon né des amours d’un Anglais et d’une Japonaise, Kuraba Tomisaburō. C’est intéressant et émouvant de voir les photos de famille dans la maison encore meublée. Glover, arrivé au Japon à la fin du shogunat Tokugawa, importa la première locomotive à vapeur, construisit un empire qui participa à la modernisation du Japon avant de faire faillite.
J’ai vu Madama Butterfly dans la mise en scène de Carsen. Superbe. Évidement j »ai pleuré lorsqu’on lui enlève l’enfant.
Mais en définitive quelle cruche cette Butterfly. Dire qu’il y a des femmes amoureuses, tant pis pour elles !
Assister à un spectacle à la Scala, quelle chance! On dit pourtant que c’est la reine, ainsi que sa soeur, la princesse Irène de Grèce, qui sont de grandes mélomanes et des musiciennes.
Lili
9 décembre 2016 @ 07:17
J’aime beaucoup!
Severina
9 décembre 2016 @ 07:26
La presse italienne a parlé d’une présence très discrète. À cause de la crise politique le président de la République M. Mattarella et les hautes charges de l’état sont restés à Rome, et la loge royale a accueilli quatre survivants du mouvement de terre à Accumuli et Amatrice.
Mogador
9 décembre 2016 @ 09:15
Un roi mélomane, lyrycomane, une chance
FILOSIN
9 décembre 2016 @ 16:29
sauf que la « première » de cette oeuvre a eu lieu en..1904! Mais bon on n’est plus à une approximation près ici..
Esquiline
10 décembre 2016 @ 13:53
Tout le monde sait que Puccini n’a pas créé cette oeuvre l’an dernier!
Première fait référence à l’ouverture de la saison de la Scala, la plus belle et la plus célèbre salle du monde, le jour de San Ambrogio, patron de la ville.
L’ouverture, une institution, se fait entre défilé des snobs et contestation du « petit peuple » qui les attend à l’entrée, une tradition.
La version de cette année est la version originale, un vrai fiasco lors de sa première représentation le 17 février 1904, mais qui a cette année reçu 14 minutes d’applaudissements.
Qui change?
Le goût ou le public?
Ce qui perdure c’est la passion du Belpaese pour le Belcanto.
J’ai mon billet pour vendredi le 13 ….
Robespierre
9 décembre 2016 @ 10:00
Je vais bien me tenir pour commenter cette info. J’ai vu cet opéra quand j’étais en sixième et je ne comprenais pas qu’on puisse être aussi méchant avec une jeune épouse aussi confiante et gentille. Ca m’a fait penser à mon père qui était venu me voir en colonie de vacances des années auparavant et qui m’avait promis de revenir l’après-midi, après la sieste. Comme Pinkerton, il n’est pas revenu. Il ne faut pas mentir aux enfants, et Cio Cio San était comme un enfant. Je n’ai plus jamais eu confiance dans les adultes après la colo.
ladycat's
9 décembre 2016 @ 16:29
c’est pour celà que je n’ai pas raconté des histoires de père noel et de petite souris à mes enfants , ce n’est que des mensonges d’adulte et après ils veulent nous faire croire qu’ils disent la vérité …………en fait les adultes mentent beaucoup – sauf les vériatbles chrétiens qui ne veulent pas offenser leur créateur – les autres !!! mais il ne faut pas le dire
marielouise
11 décembre 2016 @ 14:43
Ah bon….. » les véritables chrétiens » …..sont les seuls, bons, non menteurs et loyaux … et tout le reste ladycat s …c’est ainsi que commence l’intolérance……………………
Si votre créateur avait la bonté de venir chercher ma pauvre mère qui souffre tellement psychologiquement …Dites-le lui!!!
ml
ml
Carole
13 décembre 2016 @ 18:25
« les véritables chrétiens ne mentent pas .. »
mais ne serait-ce que répéter et apprendre aux enfants les fadaises enseignées par la religion catholique, et refuser de reconnaitre des faits historiques, …
sont d’énormes mensonges.
Je me suis fachée avec ma belle-mère pour de tels motifs !
grannydc
10 décembre 2016 @ 09:59
Triste !
chicarde
9 décembre 2016 @ 10:08
Oh quelle magnifique salle ! Grazie tante, Domitilla !
Danielle
9 décembre 2016 @ 11:32
Le roi s’offre de très bons et beaux loisirs ; merci Domitilla.
Pierre-Yves
9 décembre 2016 @ 12:10
Cette représentation de Mme Butterfly est visible sur le replay d’Arte.
marielouise
9 décembre 2016 @ 12:50
Quede merveilleux souvenirs en cette salle!
ml
bianca
9 décembre 2016 @ 14:18
Mon rêve, assister à une représentation à la Scala de Milan…!
Je vais ajouter cela à ma liste au Père Noël !!!
CAROLINE VM
9 décembre 2016 @ 14:34
Tu y étais Domitilla? Quelle belle salle ! et sûrement un beau moment lyrique…
Corsica
9 décembre 2016 @ 16:07
La Scala, une de mes salles préférées où, en 1987, avec un opéra de Mozart dirigé par Riccardo Muti, j’ai vécu une telle impression de beauté et de perfection que je me suis dit que j’aurais pu mourir à ce moment là.
Cette année, j’ai beaucoup aimé, le Madame Butterfly donné à Orange pour les Chorégies. La chanteuse albanaise Ermolena Jaho, était une merveilleuse Cio-Cio San. À Nagasaki, c’est émouvant de visiter la maison Glover qui domine la baie, c’est de ce lieu et de l’histoire de son propriétaire que s’inspira Puccini pour écrire son opéra. Mais à la différence de Pikkerton, l’Écossais Glover, épousât bien une Japonaise rencontrée à Osaka, Awajiya Tsuru, avec qui il vécut toute sa vie. Ils eurent une fille Hana qui épousât un marchand Anglais et, comme semble le faire le consul de Puccini, ils adoptèrent un garçon né des amours d’un Anglais et d’une Japonaise, Kuraba Tomisaburō. C’est intéressant et émouvant de voir les photos de famille dans la maison encore meublée. Glover, arrivé au Japon à la fin du shogunat Tokugawa, importa la première locomotive à vapeur, construisit un empire qui participa à la modernisation du Japon avant de faire faillite.
aubert
10 décembre 2016 @ 13:23
Si Mozart avait su cela il ne s’en serait pas remis mais apprenant que vous êtes médecin il en aurait bien ri !
Corsica
11 décembre 2016 @ 22:12
Les médecins sont de simples mortels qui, pour certains, aimeraient partir avec sa musique enchantée, pas obligatoirement celle de sa flûte.
marielouise
10 décembre 2016 @ 14:08
La Fenice a aussi ma préférence…
ml
Antoine
9 décembre 2016 @ 19:50
Par bonheur pour Elle, la reine Sophie use moins du poignard que Mme B. Comme quoi les mêmes causes ne produisent pas toujours les mêmes effets.
Jean Pierre
9 décembre 2016 @ 21:18
J’ai vu Madama Butterfly dans la mise en scène de Carsen. Superbe. Évidement j »ai pleuré lorsqu’on lui enlève l’enfant.
Mais en définitive quelle cruche cette Butterfly. Dire qu’il y a des femmes amoureuses, tant pis pour elles !
Juliette
9 décembre 2016 @ 22:41
Assister à un spectacle à la Scala, quelle chance! On dit pourtant que c’est la reine, ainsi que sa soeur, la princesse Irène de Grèce, qui sont de grandes mélomanes et des musiciennes.
framboiz 07
10 décembre 2016 @ 02:18
J’ignorais que Juan Carlos était mélomane, il eût pu emmener Sophie, qui ,elle, l’est…