Enième round engagé pour le sempiternel débat sur la corrida.
Ceux que cela révulse vont clamer leur indignation et les autres vont défendre cette tradition avec la même vigueur. Et puis cela se tassera, et au prochain article, cela recommencera dans les mêmes termes. On aime tellement se répéter …
Bien d’accord avec vous Pierre-Yves… ce débat est tellement stérile…. à moins qu’on ne veuille battre le record de commentaires qui, me semble-t-il, a été établi au sujet de l’article sur le Bal de la Rose de cette année… ;-)
J ai vu le taureau mort cela m e glace d effroi je n arrive pas avec la corrida je trouve cette tradition tellement dépassée on n est plus au temps des jeux du cirque des romains
Pas d’accord, Antoine, la chasse à courre ne laisse aucune chance au gibier qui finit par tomber d’épuisement ! Nous n’avons rien à dire sur la corrida !
Et non, Bernadette. Même à courre, les chiens peuvent très bien perdre le change et tomber en défaut. L’animal se forloigne et il ne reste plus qu’à sonner la retraite manquée.
Tout à fait d’accord avec vous Antoine!…. ce qui n’empêche pas une curée froide au cas où?…. mais il n’y aura pas d’honneur du pied. Bonne soirée. Merlines
Eh oui Bernadette il suffit au cerf de donner le change et hop il est sauvé. Au moins une fois sur 2ou 3….le chevreuil a encore statistiquement plus de chance ….le sanglier, je ne sais pas ….
La corrida est le sport national espagnol et le roi et son proche entourage ne manquent pas d’encourager les participants, si cela leur fait plaisir, pourquoi pas ?
Personnellement, ce sport m’indiffère.
Dans votre commentaire, je pense que vous avez employé, involontairement, un terme pour un autre.
En effet, la Corrida n’est pas un « sport national » mais une monstrueuse et cruelle tradition espagnole de spectacle tauromachique.
A mes yeux, les sports sont des activités de fair-play qui respectent certaines valeurs (sauf le dopage…)
La corrida en est très loin. C’est une pratique barbare et cruelle exécutée pour le plaisir de spectateurs avides de sang et de cruauté animale.
Maintenant qu’il ne va plus massacrer les animaux lui- même ( il n’est plus en exercice,il devrait payer les safaris de sa poche), il les savoure,massacrés par les autres ?
Toutes les traditions d’un pays n’ont pas à être sacralisées ! Exemple ? L’excision !
Mgr Inesta, Evêque de Madrid a dit un jour « je ne peux me représenter le Seigneur prenant du bon temps à la corrida, alors que des hommes y mettent leur vie en péril et que l’on y torture les animaux ».
Les animaux ressentent, comme nous, la peur, la douleur, l’affection (parfois même à l’égard d’espèces différentes), ce qui en fait « des êtres sensibles » et cette « sensibilité » est reconnue par diverses réglementations européennes et soutenue par des scientifiques.
Raisons pour lesquelles les tortures qui sont infligées aux animaux sont inadmissibles et criminelles.
Je ne crois pas en effet que le Christ aurait approuvé les corridas au cours de son passage sur terre et c’est bien lui qui s’est offert en sacrifice, l’agneau véritable. On sait aussi qu’il a chassé les marchands du Temple d’un geste de colère alors que ceux-ci vendaient des oiseaux par exemple, pour les sacrifices rituels qui ont duré jusqu’à la destruction du Temple. Néanmoins il fut bien obligé de manger la viande kasher et notamment à Pâques.
Ceci dit Mgr Alberto Iniesta Jiménez n’était pas archevêque de Madrid mais il fut évêque auxiliaire en effet de Madrid de 1972 à 1998. Il était évêque titulaire de Tubernuca (Afrique proconsulaire). Il était né à Albacete (Castille-La Manche) le 4 janvier 1923 et il est mort dans cette ville à la résidence sacerdotale à la veille de ses 93 ans le 3 janvier 2006. Ses obsèques ont été présidées par Mgr Carlos Osoro Sierra, archevêque de Madrid, qui a souligné la force de l’amour chez lui, en la collégiale San Isidro (dont la fête est associée à une très grande corrida…) de Madrid où il a été inhumé en la chapelle Notre-Dame du Bon Conseil.
C’était un homme qui avait son franc-parler et qui fut parfois désigné comme
« évêque rouge » car ce franc-parler il l’utilisa au temps du franquisme.
Je ne sais pas si le torero José Antonio Iniesta était de sa famille, il s’agit d’un nom assez répandu en lien vraisemblablement avec la petite ville du même nom.
Les premières courses de taureaux semblent remonter à l’époque impériale romaine et l’Église en fut parfois embarrassée mais comme elles étaient liées souvent à l’époque chrétienne, et notamment après leur arrivée en Espagne, à de grandes festivités religieuses, elle ne les condamna généralement pas tout en essayant de canaliser la ferveur populaire et d’en réduire les excès. Néanmoins le pape saint Pie V en 1567 promulgua la bulle « De Salute Gregi Dominici » qui condamna les jeux taurins. Après divers errements l’interdiction fut levée pour les laïcs, rétablie en 1583 par Sixte Quint et levée définitivement par Clément VII en 1596.
Merci pour ces précisions, Gérard, j’apprends toujours en vous lisant. Notamment que l’histoire des corridas, en Espagne, connut des hauts et des bas.
Mais je continue à espérer qu’elles disparaîtront un jour. L’homme ne se grandit pas en torturant les animaux.
Merci Mélusine. En y réfléchissant c’est un sport où l’objectif est de tuer le taureau ce qui constitue une mort certes très honorable pour l’animal et en amont une vie qui n’est pas désagréable pour lui. Cet animal souffre moins que la plupart des animaux d’élevage je pense, mais quand les animaux sont tués pour les besoins humains que sont la nourriture et l’habillement et aussi la science, la finalité peut paraître plus facilement légitime que lorsque l’animal est tué pour la seule distraction de l’hommes, par jeu. On pourrait d’ailleurs imaginer que les combats de chiens ou de coqs entrent dans cette catégorie bien souvent. Par ailleurs l’animal est-il toujours nécessaire par exemple aux vêtements de l’homme, n’y a-t-il pas des abus quand l’objectif est superflu ? N’en serait-il pas de même de certaines expériences ?
Il reste que les corridas sont des moments de convivialité humaine et procurent beaucoup d’emplois et permettent l’existence d’un grand nombre de taureaux.
Me suggéreriez-vous d’aller voir ailleurs au cas où ce sujet me lasserait, mais de laisser ceux qui ont des convictions passionnées à énoncer les dire, les redire et les reredire, autant de fois qu’il leur plaira ? Ma foi, c’est une bonne idée.
Si vous avez un taxi , nous pourrions voyager ensemble PY.(et échanger avec vous seul ne me paraitrait pas plus mal , au contraire , pendant le long voyage.)
Je suis d’accord avec vous…
Chaque fois que j’écoute la chanson de « La Corrida » de Cabrel, j’en ressens des frissons tant les mots et le ton sont justes …
Ah! Ogier! MERCI, pour cette réflexion bien danoise ! Ici, on pense plus aux animaux …Je me demande si Franco allait beaucoup à la corrida …Il la faisait avec les Basques , qu’il garrottait …
Lequel roi, après avoir été désigné « successeur de Franco » en 1969 et avoir été désigné « chef de l’Etat par intérim » pendant la maladie du Caudillo, fut couronné deux jours après la mort de celui-ci, en lieu et place de Juan de Borbon son père, que Franco avait mis hors jeu pour des raisons… d’antipathie réciproque, disons.
Oui je crois qu’il ne faut pas tout mélanger. On peut être chasseur, amateur de corrida, éleveur, sans être un monstre et même souvent en étant quelqu’un de très bien. Et on peut être un infâme dictateur et adorer les chiens par exemple comme l’oncle Adolf.
Mais on dit que certains dossiers tortionnaires franquistes pendant la guerre civile pratiquaient des corridas humaines. Il est vrai que la violence aveugle était dans les deux camps.
La question des galgos ces lévriers abandonnés ou torturées quand ils ont perdu me paraît autrement plus préoccupante et surtout le fait que malgré la législation qui en Espagne aussi sur le fondement de l’article 337 du code pénal interdit la violence envers les animaux, ne soit pas respectée puisqu’il n’y a pratiquement jamais de poursuites.
…j’ai vu par hasard un ko lors d’un match de boxe tout a fait légal…les spectateurs (trices) hurlaient de plaisirs….bon je vais retourner au musée taurin de Cordoba..Manolete..trés beaux tableaux…
Et moi je vais retourner à Ronda, on y voit dans le petit musée de l’arène la photographie d’un torero agonisant encorné par un taureau : avec pour légende son dernier sourire : il ne l’a pas volé celui là !
Baya…profitez en donc pour re-voir l’impressionnant équipage du duc de Montpensier, fils de Louis Philippe…ne manquez pas non plus les Goya a Séville…etc…
Pierre-Yves
11 avril 2016 @ 08:19
Enième round engagé pour le sempiternel débat sur la corrida.
Ceux que cela révulse vont clamer leur indignation et les autres vont défendre cette tradition avec la même vigueur. Et puis cela se tassera, et au prochain article, cela recommencera dans les mêmes termes. On aime tellement se répéter …
Laus'Anne
11 avril 2016 @ 12:06
Eh bien moi Pierre-Yves, on connait mes positions alors no comment car cela me fatigue !
Actarus
11 avril 2016 @ 13:08
Cf. commentaires subséquents. Bref, passons…
Marnie
11 avril 2016 @ 13:44
Bien d’accord avec vous Pierre-Yves… ce débat est tellement stérile…. à moins qu’on ne veuille battre le record de commentaires qui, me semble-t-il, a été établi au sujet de l’article sur le Bal de la Rose de cette année… ;-)
marielouise
12 avril 2016 @ 12:19
Tout comme d’autres sur ce site…on aime ou pas, on échange et on respecte!
Je trouve toujours une certaine prestance à ce roi et sa fille!
Quel gâchis, ce mariage comme d’autres à cette époque!
ml
NICOLE55
13 avril 2016 @ 14:05
Non, respecter le massacre des animaux non, non !!!
JACQUES
18 avril 2016 @ 23:04
Tout comme les vaines querelles entre partisans des Orléans et ceux des Bourbons d’Espagne.
aggie
11 avril 2016 @ 08:45
mais quand l’Espagne va-t-elle se décider à interdire cette coutume barbare ? Les Canaries et la Catalogne ont donné le bon exemple pourtant
clement
11 avril 2016 @ 09:09
le fils de l’infante avait fait la grimace l’année dernière ,il n’est plus revenu cette année !
Kiki de france
11 avril 2016 @ 09:22
J ai vu le taureau mort cela m e glace d effroi je n arrive pas avec la corrida je trouve cette tradition tellement dépassée on n est plus au temps des jeux du cirque des romains
Antoine
11 avril 2016 @ 09:52
Beurk, beurk ! Je ne m’habituerai jamais à ces hécatombes de vaillants taureaux. A la chasse, au moins laisse t-on une chance au gibier.
bernadette
11 avril 2016 @ 12:54
Pas d’accord, Antoine, la chasse à courre ne laisse aucune chance au gibier qui finit par tomber d’épuisement ! Nous n’avons rien à dire sur la corrida !
Antoine
12 avril 2016 @ 09:53
Et non, Bernadette. Même à courre, les chiens peuvent très bien perdre le change et tomber en défaut. L’animal se forloigne et il ne reste plus qu’à sonner la retraite manquée.
Merlines
13 avril 2016 @ 17:59
Tout à fait d’accord avec vous Antoine!…. ce qui n’empêche pas une curée froide au cas où?…. mais il n’y aura pas d’honneur du pied. Bonne soirée. Merlines
Aramis
12 avril 2016 @ 11:51
Eh oui Bernadette il suffit au cerf de donner le change et hop il est sauvé. Au moins une fois sur 2ou 3….le chevreuil a encore statistiquement plus de chance ….le sanglier, je ne sais pas ….
Danielle
11 avril 2016 @ 09:52
La corrida est le sport national espagnol et le roi et son proche entourage ne manquent pas d’encourager les participants, si cela leur fait plaisir, pourquoi pas ?
Personnellement, ce sport m’indiffère.
Marie L.
11 avril 2016 @ 16:00
Bonjour Danielle,
Dans votre commentaire, je pense que vous avez employé, involontairement, un terme pour un autre.
En effet, la Corrida n’est pas un « sport national » mais une monstrueuse et cruelle tradition espagnole de spectacle tauromachique.
A mes yeux, les sports sont des activités de fair-play qui respectent certaines valeurs (sauf le dopage…)
La corrida en est très loin. C’est une pratique barbare et cruelle exécutée pour le plaisir de spectateurs avides de sang et de cruauté animale.
Bien à vous.
ciboulette
11 avril 2016 @ 16:57
Ce n’est pas un sport , Danielle , c’est une mise à mort .
C’est peu dire que je déteste , je suis horrifiée et évidemment hostile à la corrida .
Mary
11 avril 2016 @ 13:04
Maintenant qu’il ne va plus massacrer les animaux lui- même ( il n’est plus en exercice,il devrait payer les safaris de sa poche), il les savoure,massacrés par les autres ?
Toutes les traditions d’un pays n’ont pas à être sacralisées ! Exemple ? L’excision !
clement
11 avril 2016 @ 13:39
du sport , allons donc ! une boucherie pour gens sadiques…nager ,courir ,faire du vélo voilà du sport !
Mélusine
11 avril 2016 @ 13:54
Mgr Inesta, Evêque de Madrid a dit un jour « je ne peux me représenter le Seigneur prenant du bon temps à la corrida, alors que des hommes y mettent leur vie en péril et que l’on y torture les animaux ».
Les animaux ressentent, comme nous, la peur, la douleur, l’affection (parfois même à l’égard d’espèces différentes), ce qui en fait « des êtres sensibles » et cette « sensibilité » est reconnue par diverses réglementations européennes et soutenue par des scientifiques.
Raisons pour lesquelles les tortures qui sont infligées aux animaux sont inadmissibles et criminelles.
Laus'Anne
12 avril 2016 @ 12:56
Entièrement d’accord avec vous Mélusine
Gérard
13 avril 2016 @ 10:17
Je ne crois pas en effet que le Christ aurait approuvé les corridas au cours de son passage sur terre et c’est bien lui qui s’est offert en sacrifice, l’agneau véritable. On sait aussi qu’il a chassé les marchands du Temple d’un geste de colère alors que ceux-ci vendaient des oiseaux par exemple, pour les sacrifices rituels qui ont duré jusqu’à la destruction du Temple. Néanmoins il fut bien obligé de manger la viande kasher et notamment à Pâques.
Ceci dit Mgr Alberto Iniesta Jiménez n’était pas archevêque de Madrid mais il fut évêque auxiliaire en effet de Madrid de 1972 à 1998. Il était évêque titulaire de Tubernuca (Afrique proconsulaire). Il était né à Albacete (Castille-La Manche) le 4 janvier 1923 et il est mort dans cette ville à la résidence sacerdotale à la veille de ses 93 ans le 3 janvier 2006. Ses obsèques ont été présidées par Mgr Carlos Osoro Sierra, archevêque de Madrid, qui a souligné la force de l’amour chez lui, en la collégiale San Isidro (dont la fête est associée à une très grande corrida…) de Madrid où il a été inhumé en la chapelle Notre-Dame du Bon Conseil.
C’était un homme qui avait son franc-parler et qui fut parfois désigné comme
« évêque rouge » car ce franc-parler il l’utilisa au temps du franquisme.
Je ne sais pas si le torero José Antonio Iniesta était de sa famille, il s’agit d’un nom assez répandu en lien vraisemblablement avec la petite ville du même nom.
Les premières courses de taureaux semblent remonter à l’époque impériale romaine et l’Église en fut parfois embarrassée mais comme elles étaient liées souvent à l’époque chrétienne, et notamment après leur arrivée en Espagne, à de grandes festivités religieuses, elle ne les condamna généralement pas tout en essayant de canaliser la ferveur populaire et d’en réduire les excès. Néanmoins le pape saint Pie V en 1567 promulgua la bulle « De Salute Gregi Dominici » qui condamna les jeux taurins. Après divers errements l’interdiction fut levée pour les laïcs, rétablie en 1583 par Sixte Quint et levée définitivement par Clément VII en 1596.
Mélusine
13 avril 2016 @ 11:58
Merci pour ces précisions, Gérard, j’apprends toujours en vous lisant. Notamment que l’histoire des corridas, en Espagne, connut des hauts et des bas.
Mais je continue à espérer qu’elles disparaîtront un jour. L’homme ne se grandit pas en torturant les animaux.
Gérard
15 avril 2016 @ 18:05
Merci Mélusine. En y réfléchissant c’est un sport où l’objectif est de tuer le taureau ce qui constitue une mort certes très honorable pour l’animal et en amont une vie qui n’est pas désagréable pour lui. Cet animal souffre moins que la plupart des animaux d’élevage je pense, mais quand les animaux sont tués pour les besoins humains que sont la nourriture et l’habillement et aussi la science, la finalité peut paraître plus facilement légitime que lorsque l’animal est tué pour la seule distraction de l’hommes, par jeu. On pourrait d’ailleurs imaginer que les combats de chiens ou de coqs entrent dans cette catégorie bien souvent. Par ailleurs l’animal est-il toujours nécessaire par exemple aux vêtements de l’homme, n’y a-t-il pas des abus quand l’objectif est superflu ? N’en serait-il pas de même de certaines expériences ?
Il reste que les corridas sont des moments de convivialité humaine et procurent beaucoup d’emplois et permettent l’existence d’un grand nombre de taureaux.
maman monique
11 avril 2016 @ 14:36
La corrida eyt classée au patrimoine mondial de l Unesco
je prefere de loin regarder une course camarguaise en Camargue
kalistéa
11 avril 2016 @ 15:23
Sur une autre planète , les sujets de discorde doivent être différents ,Pierre-Yves!
Pierre-Yves
12 avril 2016 @ 17:02
Me suggéreriez-vous d’aller voir ailleurs au cas où ce sujet me lasserait, mais de laisser ceux qui ont des convictions passionnées à énoncer les dire, les redire et les reredire, autant de fois qu’il leur plaira ? Ma foi, c’est une bonne idée.
kalistéa
13 avril 2016 @ 10:38
Si vous avez un taxi , nous pourrions voyager ensemble PY.(et échanger avec vous seul ne me paraitrait pas plus mal , au contraire , pendant le long voyage.)
framboiz 07
11 avril 2016 @ 16:01
Pour essayer d’éradiquer cela, il faudrait éviter d’y envoyer les moins de 18 ans ! J’attends de voir Juan Carlos à une activité non ludique !
Gérard
13 avril 2016 @ 15:30
Les activités non ludiques ne passionnent pas les agences de presse.
Dominique-Gibbs
11 avril 2016 @ 16:45
Je préfère écouter la merveilleuse chanson de Francis Cabrel « La Corrida ».
Il est du sud-ouest.
Marie L.
12 avril 2016 @ 07:44
Bonjour Dominique-Gibbs,
Je suis d’accord avec vous…
Chaque fois que j’écoute la chanson de « La Corrida » de Cabrel, j’en ressens des frissons tant les mots et le ton sont justes …
Bien à vous.
Laus'Anne
12 avril 2016 @ 12:57
Oui moi aussi, j’ai des frissons à l’écoute de cette chanson.
Mélusine
13 avril 2016 @ 13:49
D’accord avec vous trois. Vive Cabrel et sa chanson. Il se fait d’ailleurs trop rare, cet artiste si talentueux. « Je l’aime à mourir ». :))
Sophie de Castries
11 avril 2016 @ 16:55
La corrida et les lévriers galgos… une pure honte!
Marie L.
12 avril 2016 @ 07:46
Exact Sophie de Castrie.
Vous avez raison de rappeler le calvaire et le massacre des lévriers espagnol (Galgos).
Bien à vous.
Muscate
11 avril 2016 @ 17:56
Tel père, telle fille…et dans ce cas: Pouahh!!
Patricia
12 avril 2016 @ 12:08
Oui, cruels et moches tous les deux ! Ignoble !
Josée
11 avril 2016 @ 19:47
On ne peut à mon avis rester indifférent devant un tel spectacle qui est tout sauf du sport ! C’est une boucherie ni plus ni moins !!!
ladot Fabian
11 avril 2016 @ 21:53
Cruauté envers les animaux… Grrrr..
Ogier le Danois
12 avril 2016 @ 00:39
Les jeunes aujourd’hui ils doivent penser que « el rey viejo » avec sa passion pour les sports sanglants était franquiste !
framboiz 07
12 avril 2016 @ 09:23
Ah! Ogier! MERCI, pour cette réflexion bien danoise ! Ici, on pense plus aux animaux …Je me demande si Franco allait beaucoup à la corrida …Il la faisait avec les Basques , qu’il garrottait …
aubert
12 avril 2016 @ 09:51
c’est qu’ils ne connaissent pas l’histoire récente de leur pays car, justement, c’est grâce au roi qu’ils peuvent penser !
Mélusine
13 avril 2016 @ 14:07
Lequel roi, après avoir été désigné « successeur de Franco » en 1969 et avoir été désigné « chef de l’Etat par intérim » pendant la maladie du Caudillo, fut couronné deux jours après la mort de celui-ci, en lieu et place de Juan de Borbon son père, que Franco avait mis hors jeu pour des raisons… d’antipathie réciproque, disons.
Baya
12 avril 2016 @ 13:56
Il devait l’être pour aimer la torture hommes, animaux je le mets dans le même sac que Franco, pour moi aucune différence !
Limaya
14 avril 2016 @ 05:29
Quelle Paix en effet sur la planète si tous les dictateurs du monde ne se passionnaient que pour la « corrida «
Gérard
15 avril 2016 @ 18:22
Oui je crois qu’il ne faut pas tout mélanger. On peut être chasseur, amateur de corrida, éleveur, sans être un monstre et même souvent en étant quelqu’un de très bien. Et on peut être un infâme dictateur et adorer les chiens par exemple comme l’oncle Adolf.
Mais on dit que certains dossiers tortionnaires franquistes pendant la guerre civile pratiquaient des corridas humaines. Il est vrai que la violence aveugle était dans les deux camps.
La question des galgos ces lévriers abandonnés ou torturées quand ils ont perdu me paraît autrement plus préoccupante et surtout le fait que malgré la législation qui en Espagne aussi sur le fondement de l’article 337 du code pénal interdit la violence envers les animaux, ne soit pas respectée puisqu’il n’y a pratiquement jamais de poursuites.
jo de st vic
12 avril 2016 @ 09:05
…j’ai vu par hasard un ko lors d’un match de boxe tout a fait légal…les spectateurs (trices) hurlaient de plaisirs….bon je vais retourner au musée taurin de Cordoba..Manolete..trés beaux tableaux…
Baya
12 avril 2016 @ 14:03
Et moi je vais retourner à Ronda, on y voit dans le petit musée de l’arène la photographie d’un torero agonisant encorné par un taureau : avec pour légende son dernier sourire : il ne l’a pas volé celui là !
kalistéa
12 avril 2016 @ 10:49
Le plus beau post , c’est celui du Danois ! A vous le pompon Ogier!
jo de st vic
13 avril 2016 @ 11:14
Baya…profitez en donc pour re-voir l’impressionnant équipage du duc de Montpensier, fils de Louis Philippe…ne manquez pas non plus les Goya a Séville…etc…