Très intéressant documentaire/entretien de Laurence Debray lundi 15 février sur France 3, consacré au roi Juan Carlos. L’ancien monarque y parle avec beaucoup de sincérité et aussi une touche d’humour de ses années difficiles lorsqu’il était scolarisé loin des siens en Espagne auprès du général Franco, puis de la période d’incertitude après son mariage toujours dans l’ombre du dictateur jusqu’à son accession au trône en 1975 (il n’a pas fermé l’œil de la nuit la veille de son investiture devant les Cortès).
Des témoignages aussi de personnalités politiques, du prix Nobel de Littérature Mario Vargas Llosas ou encore de sa sœur l’infante Pilar venaient agrémenter ce documentaire.
Le roi ne cache pas son émotion au souvenir de son frère l’infant Alfonso ou des victimes de l’ETA, revient sur ses manœuvres en vue d’instaurer un régime démocratique avec Adolfo Suarez ou encore sur le coup d’Etat manqué de 1981 qui fit alors réellement de lui un souverain à part entière aux yeux des Espagnols. Des confidences sincères qui remettent en perspective un règne de près de 40 ans qui a malheureusement été entaché vers la fin par ses écarts de conduite et les ennuis judiciaires de sa fille Cristina, ce qui ferait presqu’oublier tout ce qui avait été entrepris et réalisé auparavant. (Merci à Marie Françoise)
Laurent F
16 février 2016 @ 09:33
On est passé très rapidement sur les années de fin de règne ….
Laurent F
16 février 2016 @ 15:19
Il n’en reste pas moins que Juan-Carlos restera le roi qui a restauré la démocratie en Espagne et c’était loin d’être gagné.
Babette de Chambrun
16 février 2016 @ 09:43
Merci surtout à moi , je l’ai signalé la veille ! Moi !
Régine
16 février 2016 @ 12:32
Il y avait surtout un article l’annonçant dès le 10 février dernier sur le site
framboiz07
16 février 2016 @ 13:30
Merci, Régine ! Rendre à Césarine , ce qui appartient à César !
Philippe Gain d'Enquin
18 février 2016 @ 12:19
Bravo Régine de remettre les pendule à l’heure !
Anastasia A
16 février 2016 @ 13:44
rien , ni personne oblige Régine à consacrer du temps à ce site . Elle peut tout arrêter demain si elle le désire . Je crois que nous devons respecter son travail et la remercier pour le temps qu’elle y consacre car nous sommes bien contentes de nous y connecter pour nous changer les idées. Dans l’absolu s’il y avait un oubli (ce qui n’est pas le cas ) et bien ce ne serait pas bien grave … nous sommes de grandes personnes capables de lire les programme TV du jour sur internet :-)
patricio
17 février 2016 @ 22:25
Entierement d accord avec vous. Nous devrions tous remercier Regine et son equipe pour toutes ces publications.
Amities
Patricio
framboiz07
18 février 2016 @ 00:59
En Belgique , on peut recevoir les chaines des 3 langues officielles ,ça fait beaucoup de chaines , j’ai pensé que ça pouvait être utile de le signaler , que cela ferait plaisir à nos amis des 2 sexes & qu’on pourrait faire à ce sujet des échanges , car il y avait 2 émissions …C’est tout ! J’ai mis cette formule pour rire & voilà, c’est la curée : les chevilles, l’égo, etc
Je pense –à un de mes vieux amis marquis, décédé ,(qui me disait » un bienfait ne vous sera jamais pardonné ! » Il avait hérité de la belle plume d’une aïeule ,dont la littérature enfantine se souvient ),
–à Brigitte Bardot , très critiquée , qui en a pris son parti , en disant « Mais, que font ceux, qui me critiquent?& répondait : Rien, souvent ! »
C’est préférable que de penser à Talleyrand, lucide, acerbe & définitif : » Il faut être économe de son mépris ,il y a tant de nécessiteux … »
Je remballe mes autres propositions …de citations & d’articles .Je conseille à Anastasie de vérifier le sens, qu’a gardé son prénom, pour les journalistes français ,depuis 1914 , il lui va très bien !
Je regrette , que ce site qui devrait être plus convivial devienne, trop souvent , par le fait de quelques-uns , un lieu d’étripage de bas niveau ou de caniveau
.Alors qu’il devrait être lieu d’harmonie , de rires , d’échanges …
Comme on dit in England : »Never explain , never complain … »
Francine du Canada
18 février 2016 @ 11:51
Je ne retiendrai que « il faut être économe de son mépris, il y a tant de nécessiteux » hahahahaha! Bonne journée framboiz07, FdC
Corsica
18 février 2016 @ 13:48
Anastasia A, je partage totalement votre commentaire. Plus ce site devient populaire, plus le manque de courtoisie et de tolèrance grandit. C’est dommage.
Régine, pour notre plus grand plaisir, fait chaque jour un travail exceptionnel, la moindre des choses est de le respecter. Elle est le seul maître à bord, et je n’ai qu’un conseil à donner aux insatisfaits : créez votre blog, vous ferez ce que vous voulez.
Milena K
18 février 2016 @ 17:32
Bien dit Corsica!
Laurent F
16 février 2016 @ 15:13
Ça va les chevilles ?
Leonor
16 février 2016 @ 17:40
Voilà ce s’appelle un ego tout ce qu’il y a de plus égotiste.
Marie de Cessy
17 février 2016 @ 10:44
Vous voulez qu’on vous décerne une médaille ???
Et puis quoi encore…
framboiz07
17 février 2016 @ 13:31
Merci, c’est déjà fait & Elle est belle , en argent ! & fut fêtée dignement avec les meilleurs crus pétillant ! De l’humour , SVP !
Francine du Canada
18 février 2016 @ 11:54
Euh, je pense bien que ça s’adressait à Babette de Chambrun ça? FdC
framboiz07
18 février 2016 @ 17:08
Oublions , Francine , j’ai déjà passé plus de la moitié de ma vie, alors pourquoi se tracasser ! ?
Amitiés à tous & toutes & peace on earth & here !
ML
18 février 2016 @ 22:24
Moi ,moi , moi ?!
Claudia
16 février 2016 @ 09:50
J’ai beaucoup aimé ce documentaire, j’ai senti beaucoup d’émotion aussi lorsque le roi évoquait don Juan son père…. Quel parcours difficile pour ce roi mis en place par Franco, qui au début avait les pleins pouvoirs et qui a su, en douceur, restaurer la démocratie en Espagne. Ce fut un très grand roi, qui a su renoncer à des pouvoirs exorbitants et promouvoir une nouvelle constitution. Il ne faut certainement pas s’arrêter à sa fin de règne, la chasse à l’éléphant ainsi que son nombre de maitresses apparaissent anecdotiques au vu de ce parcours.
limaya
16 février 2016 @ 17:31
Claudia ,je vous suis totalement ds votre jugement . Vraiment dérisoire de ne retenir que ses chasses à l’éléphants et les bonnes fortunes qui ont traversé sa vie. Tant d’autres monarques ont fait ou font de même, les exemples ne manquent pas…… et,la vie privée est la vie privée
Pour moi , un roi honorable dont l’interview m’a beaucoup émue et je ne suis pas d’origine espagnole
Même conclusion pour la suite………..les invités valables , la présentatrice dépassée par le sujet. J’ai ecourté
Auberi
17 février 2016 @ 02:11
Vous avez tout très bien résumé Claudia ;)
patricio
17 février 2016 @ 22:27
100 % d accord.
Amitiés
Patricio
Claudia
16 février 2016 @ 09:52
Juste aussi un mot sur le « débat » qui a suivi et qui n’était pas du tout à la hauteur du documentaire que nous venions de voir et que j’ai abandonné à mi parcours : la faute surtout à la présentatrice qui ne semblait rien connaitre au sujet, en plus de sa voix criarde et de ses mèches de cheveux qui pendouillaient de chaque côté du visage. Dommage car les invités, eux, étaient des spécialistes des royautés.
isa c
16 février 2016 @ 15:39
pas tout à fait d’accord…je dirais plutôt la faute du « journaliste » de Closer qui n’est ne cherche que les photos à scandale et ne connaissait rien aux principes monarchiques
LAUS'ANNE
17 février 2016 @ 11:27
Vraiment je ne comprends pas la présence du journaliste/people ? on voit bien Stéphane Bern agacé par sa présence. Beaucoup confonde Gotha et people et cette journaliste dont le nom m’échappe si charmante dans d’autres occasions ne connaissant pas son sujet portait un regard à la limite du mépris pour les gens qui s’y intéressent.
amaia
16 février 2016 @ 15:40
J’ai regardé jusqu’au bout, qu’elle était pénible !!!!
Nemausus
16 février 2016 @ 19:25
Si closer est un spécialiste de la monarchie alors Picsou est un spécialiste de la banque….. franchement un journal à scandales n’avait rien à faire pour évoquer le sujet sur le devenir de l’institution monarchique car à part pour parler de Kate topless c’est tout ce dont cette feuille à ragots est capable…..
Non le débat était franchement nul car il n’a parlé que de la monarchie vu côté people et non du point de vue de l’institution monarchique mais étant donné le manque de culture politique de nos « journaleux », il ne fallait vraiment pas s’attendre à une émission de qualité !
Par contre le documentaire sur le roi Juan Carlos était très intéressant et construit par un vrai journaliste et non un scribouillard chargé de vendre du scoop !
LAUS'ANNE
17 février 2016 @ 11:29
Heureusement qu’il y avait Isabelle Rivière, le journaliste anglais et Stéphane Bern que j’apprécie beaucoup.
Même Picsou pourrait être un spécialiste de la banque avec son sens de l’économie…mais Closer un spécialiste de la monarchie…????
marianne
16 février 2016 @ 20:16
Tout à fait d’ accord pour la présentatrice , plusieurs fois elle eût mieux fait de se taire .
Jérôme J.
16 février 2016 @ 09:57
Le documentaire était passionnant. Très souvent émouvant aussi. Le débat qui suivait était intéressant avec les interventions d’Isabelle Rivère, Stéphane Bern, du journaliste britannique de RFI et de l’historien spécialiste de l’Espagne dont les noms m’échappent.
On avait évidemment cru bon d’inviter un ‘journaliste’ de Closer dont la présence n’était vraiment pas indispensable mais bon …
cisca1
16 février 2016 @ 22:16
tout à fait d’accod. Closer était vraiment inutile.
JACQUES
17 février 2016 @ 01:40
Tout à fait d’accord avec vous sur l’invitation d’un journaliste de Closer. Mais chose rare sur une télévision républicaine et grâce au choix des autres intervenants, le débat est resté de bonne tenue.
dagobert 1er
16 février 2016 @ 10:02
excellente émission!!
Jean Sauzeau
16 février 2016 @ 10:33
Remarquable reportage
Un souverain dans toute l’acceptation du terme
Reste à espérer que son successeur parviendra à maintenir l’unite
De l’Espagne malgre les ambitions ridicules des catalans et les difficultés
À former un gouvernement viable
Danielle
16 février 2016 @ 10:37
Quel roi ! l’Espagne lui doit beaucoup, dommage que les dernières années aient été sombres !
Même si Juan Carlos avait été « pomponné » pour cette diffusion, il faut reconnaître que la retraite lui va bien et qu’il a bonne mine.
Le documentaire qui a suivi était également fort intéressant ; Christina n’a toujours pas renoncé à ses droits au trône, qu’attend elle ? ce qui inquiète les espagnols et certainement les souverains actuels.
J’ aimerais que cette série de reportages se poursuivent.
isa c
16 février 2016 @ 15:41
lors de cet interview, il n’était pas encore en retraite ; le documentaire fut tourné en février 2014 puis il y eut des rajouts au montage concernant abdication et intronisation de Felipe
LAUS'ANNE
17 février 2016 @ 11:32
Oui Danielle très beau reportage. Je regrette aussi que Christina n’ait pas l’humilité de renoncer à ses droits dynastiques, pourtant si éloignée du trône…question d’orgueil (mal placé), cela nuirait un peu moins à Felipe
Milena K
16 février 2016 @ 10:39
C’est en visionnant ce documentaire qu’on se rend compte à quel point la monarchie constitutionnelle espagnole repose sur des bases fragiles qui ont encore été abîmées par » l’affaire Noos »,même si JC n’y fait jamais allusion.Ce qui a aussi attiré mon attention en voyant certaines images ,c’est le manque de complicité flagrant entre les ex-souverains .
En l’état politique actuel des choses,Felipe VI doit certainement « marcher sur des oeufs ».
Anastasia A
16 février 2016 @ 10:52
J’ai regardé ce documentaire , très intéressant ou l’on apprend à connaitre Juan Carlos Ier . C’est un homme qui parle simplement , sans orgueil , sans prétention . Il n’a pas eu une enfance facile. Il a même certainement souffert. Il a du attendre des années dans l’ombre de Franco. Sa soeur Maria del Pilar est sympathique aussi. Quand on voit ces monarques , on a l’impression qu’ils ont une chance extraordinaire ! que pour eux , tout a toujours été simple … loin de là. Les ennuis judiciaires de Cristina représentent encore une épreuve supplémentaire pour cette famille.
france75
16 février 2016 @ 10:54
j ai regarde cette emission avec beaucoup de nostalgie un homme qui n a pas eu une jeunesse normale grace a lui l Espagne est devenu une democratie ce fut un roi et un homme magnifique en regardant son fils parler il est peut etre tres intelligent mais il n aura jamais le charisme de son père
JACQUES
16 février 2016 @ 10:56
Excellent documentaire principalement axé sur la difficile jeunesse du Roi, l’incertitude quant au sort qui lui serait finalement réservé par Franco et la périlleuse transition de la dictature vers la démocratie. Justice lui est rendue.
Pierre-Yves
16 février 2016 @ 11:05
Il n’y a que ceux qui sont régis par leurs indignations et leurs humeurs, qui n’arrivent pas à prendre un peu de recul et sont constamment dans le jugement et la condamnation, qui ont sur Juan Carlos cette vision parcellaire et faussée de la fin du régne et ont tendance à oublier tout ce qui a été fait par ailleurs.
Dans un règne de 38 ans, trois années plombées n’effacent pas à elles seules 35 années intéressantes.
Philippe
16 février 2016 @ 14:08
Entièrement d’accord ! Votre avis, comme toujours cher
Pierre-Yves, est frappé au coin du bon sens.
Francine du Canada
17 février 2016 @ 16:19
Exact Pierre-Yves : 35 ans de travail bien fait et des résultats plus que glorieux à bien des niveaux; pas question de balayer ça du revers de la main. Bonne journée, FdC
Jean Pierre
16 février 2016 @ 11:07
Je n’ai pas vu cet entretien, dommage.
L’insomnie la veille de l’investiture me semble tout à fait normale. Outre la prise de fonction c’était aussi le meurtre du père auquel le fils barrait l’accès au trône. Pas facile.
JAusten
16 février 2016 @ 20:55
France 3 en replay.
un entretien plein d’émotions.
J’ai vu un autre Juan Carlos. La vie de prince et de roi n’a pas été pour lui un long fleuve tranquille ; sa place il l’a durement trouvée et gardée. On dit souvent que les espagnols sont pas monarchistes mais Juan Carliste, je peux le comprendre aisément. Peut-être aujourd’hui qu’ils attendent un même engagement de la part de Felipe. La réussite au mérite c’est peut-être ce qui les caractérise le mieux.
Quand je pense qu’un prince consort, pardon pour ce hors sujet, un certain H de D, prend sa retraite après n’avoir rien vécu qu’une vie de frustrations dorées … ça me hérisse un peu le poil.
aux
16 février 2016 @ 11:34
La maison royale est en pleine reprise de Comm.
Il faut que l image du roi soit a nouveau « acceptable donc on va faire pleurer les chaumière en parlant de la famille et de moment héroïque !
Ensuite ils s’attaqueront a l Infante ….
JACQUES
16 février 2016 @ 11:41
Je voulais ajouter que dans ce documentaire est rappelé qu’en 1992, l’Espagne de Juan Carlos était à son zénith: JO de Barcelone et exposition universelle de Séville. Pour la monarchie Britannique c’était « l’annus horribilis ». Vingt ans après la situation était totalement inversée. Il faut donc se garder de toutes appréciations définitives sur le cours des choses.
Francine du Canada
16 février 2016 @ 15:08
Je n’ai pas vu le documentaire mais j’aime bien votre commentaire JACQUES; comme vous le mentionnez, il faut se garder de toutes appréciations définitives car la vie est mouvement, rythmes et marées, tornades, tsunamis… et puis le soleil brille à nouveau. FdC
Gérard
17 février 2016 @ 13:05
En effet Jacques. Le film présenté n’est qu’un extrait d’un film plus grand. Son coauteur est grand connaisseur des questions royales, comme son père Régis Debray d’ailleurs et comme la famille de celui-ci. Le roi aurait pu donner l’interview en français mais le chef de la maison royale qui y assistait a préféré qu’elle soit donnée en espagnol. Le roi parlait essentiellement français avec ses parents au Portugal et aujourd’hui encore il rêve toujours en français dit-il.
marie.françois
17 février 2016 @ 21:34
Gerard, vous m’etonnez!
Pourquoi le roi aurait il parlé essentiellement français avec ses parents ? Le comte et la comtesse de Barcelone étaient l’un et l’autre espagnols et étaient, à Estoril, entoures d’une » cour » d’espagnols.
Par contre,compte tenu de l’entourage aristocratique de son pere et ce apres 20 ans d’exil il est certain que le jeune Juan Carlos qui venait, de plus, de passer une année à Fribourgsous la tutelle de sa grand mere qui était d’origine anglaise, ne pouvait parler espagnol comme l’homme de la rue ni comme ses correligionnaires.Il avait forcément des intonations et un accent différent.
Je pense que c’est la raison pour laquelle le roi a choisi de dire qu’il parlait, à l’époque, avec un accent français – il n’a jamais vécu en France mais un peu en Suisse- . C’était pour lui une maniere élégante de dire qu’il parlait avec un accent étranger
Gérard
18 février 2016 @ 09:53
Je ne sais pas mais c’est lui qui l’a dit à cette occasion et c’est pourquoi il parlait espagnol avec l’accent français en arrivant à Madrid. Le roi a dit qu’encore aujourd’hui il rêve en français. Les royaux au Potugal devaient parler français par commodité.
Gérard
18 février 2016 @ 12:57
Je me souviens d’une interview donnée à la télévision française par la comtesse de Barcelone qui était au Portugal. Elle était entourée d’un certain nombre d’aristocrates espagnols et ceux-ci s’adressaient à elle en français et au moins un l’appelait Majesté.
La comtesse de Barcelone venait par ailleurs souvent à Paris et séjournait à Biarritz fréquemment, on imagine que ses enfants devaient parfois l’accompagner.
marie.françois
19 février 2016 @ 11:30
C’est exact. La comtesse de Barcelone séjournait à Biarritz. Je me souviens l’avoir vu aux arenes de Bayonne et les spectateurs l’appeler la reine mere.
Gérard
19 février 2016 @ 20:54
À Biarritz elle était souvent avec sa cousine et amie la duchesse de Nemours.
Philippe Gain d'Enquin
18 février 2016 @ 12:20
Bravo !
amaia
16 février 2016 @ 11:57
Doc très intéressant, pour moi c’est un très grand roi malgré une fin de règne plus difficile !!!
Philippe Gain d'Enquin
18 février 2016 @ 12:22
Des millions d’espagnols lui doivent de pouvoir contester le chef de l’Etat, et plus simplement de s’exprimer démocratiquement !!!
Caroline
16 février 2016 @ 12:06
Malgré les derniers scandales au sein de la famille royale d’Espagne, nous ne devons pas avoir la mémoire courte pour oublier la forte personnalité de Juan-Carlos d’Espagne durant son règne!
Merci à Marie-Françoise!
maman monique
16 février 2016 @ 16:07
Je suis bien d accord.
C était un grand Roi
Dominique
16 février 2016 @ 13:04
Le film est un excellent documentaire qui permet de comprendre et mieux situer le rôle du Roi Juan Carlos au cours de ses trente années. Dommage que le débat qui a suivi ne fut pas à la hauteur, car pas orchestré et relancé avec pertinence. Il est certain que Stephane Bern, Isabelle Riviere et les deux autres intervenants (dont le nom m’échappe) avaient beaucoup de points intéressants à développer. Je me questionne sur la raison de la présence du
représentant de »closer ». Ce genre d’émission donne matière à mieux appréhender le monde. Espérons que cette initiative sera poursuivie d’autres reportages de cette teneur.
patricio
16 février 2016 @ 13:11
Le plus grand roi que l Espagne ait connu depuis très longtemps et son fils , notre roi Don Felipe marche sur ses traces.
V.E.R.D.E
amities
Patricio
Nania
17 février 2016 @ 21:03
Viva el Rey Juan Carlos!
Viva la Monarquía Española!!!
Rembarre
16 février 2016 @ 13:50
Viva el Rey !!!
Arriba Monarquia !!!
lili
16 février 2016 @ 14:36
Bonjour Régine ,
Pourriez vous me renseigner si il est possible de revoir ce reportage si oui sur quel chaîne , par avance merci.
Régine
17 février 2016 @ 08:06
sur France 3
amaia
17 février 2016 @ 08:43
Vous pouvez le revoir sur votre ordi sur : TV replay pendant 7 jours !!!
lili
17 février 2016 @ 15:07
merci
Anastasie
17 février 2016 @ 19:18
Pour autant que vous habitiez en France ! J’habite dans la région genevoise à 10m km max à vol d’oiseau de la France et je n’ai pas droit au Replay sur Internet des émissions de France Télévisions. Je peux voir les émissions d’Arte et celles des chaînes allemandes.
Francine du Canada
18 février 2016 @ 12:01
Moi non plus. FdC
COLETTE C.
16 février 2016 @ 14:38
J’ai passé un bon moment hier soir. J’ y ai vu un souverain sincère et ému.
Ghislaine
16 février 2016 @ 14:54
Excellent reportage . J’ai moins aimé le débat qui s’en suivait .
Le problème pour certains d’entre nous est que nous avons vécu plusieurs de ces moments en direct et que nous sommes donc des censeurs impitoyables pour la jeune génération qui donne parfois dans là-peu-près .
Le roi subit encore des séances douloureuses de kinésithérapie et reste jovial nonobstant ce fait .
Vous m’avez amusée Claudia : Ah ces voix criardes , ces débits précipités , ces aspirations par la bouche qui doivent faire ahaner plusieurs milliers d’asthmatiques dans ce pays . Ces chevelures effarouchées de folle de Caillot et ces barbes de bandits de grands chemins .
Ce n’est pas juste pour notre génération qui avons subi les : relevez moi ces cheveux , articulez mesdemoiselles , placez vos voix dans le masque !
Toutes ces contraintes diluées dans l’air du temps .
c’ est ainsi !
Anastasie
16 février 2016 @ 15:20
Il faut espérer que ce reportage sera diffusé en Espagne surtout à l’intention de la jeune génération qui n’a pas connu les premières années de règne de Juan Carlos.
Je suis tout à fait d’accord avec le commentaire de Jérôme J. Dommage que le débat qui a suivi n’ait pas vraiment été à la hauteur et la présence du « journaliste » de Closer pas du tout nécessaire.
1315jeann
16 février 2016 @ 15:28
Emission passionnante à plus d’un titre. En particulier, le retour dans un passé tourmenté pas si lointain que ça. L’on peut être optimiste et se dire que tout n’est pas désespéré, même après presque quarante années de dictature.
alain Golliot
16 février 2016 @ 18:00
Impasse sur la mort du petit frère, impasse sur les relations entre le comte Barcelone et son fils et encore plus entre le fils et Dona maria de las mercedes…. une hagiographie assez simpliste….et zéro sur ce qu’a apporté dona Sofia…. je suis resté sur ma faim, restant sur le bien pensant… et refusant d’aborder les points négatifs….
j21
17 février 2016 @ 08:24
Moi aussi j’ai été surprise que la reine Sophie n’ait pas été évoquée. Juan Carlos aurait pu faire allusion à son rôle lors de ces années et lui rendre hommage.
LAUS'ANNE
17 février 2016 @ 11:37
Vous avez mal regardé : il a été question et du petit frère, et de son père
jo de st vic
16 février 2016 @ 20:53
Trés interessant…presque émouvant le témoignage sur sa jeunesse
chantal
16 février 2016 @ 23:17
Ce documentaire m’a permis de comprendre ce paradoxe d’un futur roi nommé par un dictateur qui avait supprimé la monarchie. Ce qui m’a frappé le plus, c’est le courage de cet homme qui en des temps très troublés, a toujours su garder un comportement serein et neutre et son absence de peur. Sa formation militaire l’a beaucoup aidé. J’ai aimé aussi son humilité (il est admiratif de son fils qui a obtenu un master alors que lui-même n’a pas eu l’opportunité de poursuivre des études).
J’ai admiré aussi le courage de la reine qui l’a toujours suivi et secondé sans peur et avec courage également.
On a tellement mis l’accent sur sa fin de règne que l’on avait occulté tout cela. Je me souviens que lors du coup d’état, il avait obligé son fils à rester debout toute la nuit pour qu’il comprenne les obligations de roi.
Même si comme tout être humain, il a commis des erreurs, c’est un grand monsieur et un grand roi.
Gérard
17 février 2016 @ 13:48
Ce n’est pas Franco qui a établi la république en Espagne et c’est bien lui qui a rétabli la monarchie et ce dès 1947 avec la Loi de succession du chef de l’État du 26 juillet dont les effets s’appliqueront donc beaucoup plus tard.
Article premier : L’Espagne, comme unité politique, est un état catholique, social et représentatif et, en accord avec sa tradition, elle se déclare constituée en Royaume.
Article deux : Le chef de l’État est le caudillo de l’Espagne et de la croisade, généralissime des armées, don Francisco Franco Bahamonde.
…
Article six : À n’importe quel moment le chef de l’État pourra proposer aux Cortès la personne qui devra être appelée au jour de la succession, du titre de Roi ou de Régent.
Si le chef de l’État mourrait avant d’avoir réglé ce problème le Conseil de régence qui était prévu devait y pourvoir en choisissant un prince pour devenir roi et à défaut de s’entendre à ce sujet un régent.
framboiz07
17 février 2016 @ 04:00
J’ai une grande admiration pour Juan Carlos , ramener la démocratie , la liberté à une peuple, qui était si franquiste après tant – trop – d’années , ce n’est pas rien ! Il parle français , tutoie les Espagnols ,est simple avec les gens .Il a fait rentrer les communistes -oui ! Vous aurez noté le rôle de Persépolis & l’ intelligence , la « vista » du prince – l’Espagne s’est enrichie , car libre, elle a pu rentrer dans l’Europe ( donc , crédits, échanges, tourisme, devises ) , les Espagnols ont pu voyager, la culture , le sport espagnols ont enchanté les fans …Les liens avec l’Amérique du Sud se sont renforcés …
Parfois, je me demande s’ils n’ont pas oublié , tout ce qu’Il leur a apporté , sans parler du coup d’Etat déjoué …On a oublié de nous dire ,que le jour de l’intronisation VGE & Rainier, accompagné de Grace de Monaco étaient là , confiants en ses capacités …
Oubliés les Bourbon Parme ( Charles- Hugues) opposant-prétendant ,alors , la Duchesse Rouge, si vindicative ,le côté économique &… le surnom de Juan Carlos » le Bref » …
Le Roi a peu parlé de sa famille , pas un mot sur Sophie , pourtant si présente , si parfaite, dans son parcours, une allusion à Elena , pleurant aux JO , en voyant son frère, avec le drapeau, en tête des athlètes …
Le documentaire était plus intéressant que le débat , qui n’a absolument pas répondu à la question « Quel avenir pour les monarchies » ! On a plus parlé du passé ! Pourtant l’avenir , le rôle des monarques dans l’Europe unie, reste une question …
La semaine prochaine, hélas ,fin des monarchies , cette soirée Lundi en Histoires est réservée à une princesse …de l’écran : Annie Girardot …
aggie
17 février 2016 @ 10:42
Effectivement pas mal de chose sont restées dans l’ombre mais ça devait être imposé par Juan-Carlos qui n’avais pas envie de s’appesantir sur ce qui fâche ; la mort de son frère a toujours été tabou probablement car le roi lui même est à l’origine de l’accident ; un poids qu’il porte depuis sans nul doute ; ses relations avec la reine Sofia dont on sait désormais ce qu’elles furent ; plus de relation depuis 1976 depuis que, lors d’un retour anticipé au bercail, elle a trouvé son Don Juan de mari au lit avec sa maîtresse du moment… elle en a eu du mérite la reine Sofia de never explain, nerver complain mais à quel prix ; des relations qui paraissent assez distantes avec son fils qui d’après ce que se dit aussi a plutôt pris le parti de sa mère ; du refus de son mariage avec plusieurs petites amies y compris Letizia pour laquelle il a du poser un ultimatum ; bref de toutes ses choses qui fâchent dans beaucoup de famille. Sur ces sujets intimes je comprend la réserve de Juan-Carlos ; plutôt que de déballer son intimité ou d’utiliser la langue de bois il préfère se taire et comme je le comprend
Gérard
17 février 2016 @ 13:47
On peut peut-être dire beaucoup de choses mais les relations avec son fils sont très bonnes et dans son reportage qui date il est vrai de peu avant l’abdication le roi Juan Carlos disait déjeuner souvent avec celui-ci. Leur affection immense est bien connue et leur admiration réciproque. Il a fini par accepter le mariage avec Letizia et il reconnaît aujourd’hui qu’elle est une bonne mère.
En revanche la mort de son frère est évidemment un problème qu’il est difficile d’aborder avec sérénité car qu’il ait été ou non l’auteur du coup Juan Carlos a été considéré par ses parents et par lui-même sans doute comme responsable et ce fut un drame puis s’ajouta à la perte de ce frère qui était son meilleur ami.
chantal
17 février 2016 @ 08:24
mais hélas la tv espagnole, pour éviter la question; « mais si le roi a été si bon pourquoi est il parti ? » a choisi elle de ne pas diffuser ce documentaire où les dernières années calamiteuses pour l’image de la maison royale n’ont pas éte evoquées
donc dans son propre pays c’est déja presque l’oubli
mal re-installée sur le plan institutionnel ( après de dictateur, le roi ou le roi sans que le peuple ait été consulté) de temps en temps le navire tangue
Francine du Canada
18 février 2016 @ 12:12
Tanguer… c’est pas bien grave ça; parole de marin ;-) Mieux vaut tanguer et rester à flot que de couler à pic! FdC
Marie de Cessy
17 février 2016 @ 10:46
Pour ceux qui n’auraient vas eu le temps de voir le documentaire est encore visible sur la plateforme « Pluzz » de France 3 durant 30 jours.
Si Régine le permet, voici le lien
http://pluzz.francetv.fr/videos/moi_juan_carlos_roi_d_espagne.html
Bonne journée à tous !
lili
17 février 2016 @ 15:11
pour des raisons géographique il est impossible de revoir ce documentaire est il noté ,domage
Albane
17 février 2016 @ 15:55
Merci, Marie !
Dommage que le documentaire soit censuré en Espagne. Les Espagnols ne peuvent en voir que des extraits sur le site internet du journal El Pais.
Francine du Canada
17 février 2016 @ 16:40
Malheureusement Marie, ça ne fonctionne pas pour moi; pas visible de l’étranger. Merci quand même. FdC
CAROLINE VM
17 février 2016 @ 16:59
Oui excellent document . Je suis d’accord aussi néanmoins sur certaines de vos réserves…mais il ne pouvait en être autrement dès lors que cela touche la sphère intime… Un roi tel que je me le représentais : jovial , humble , attachant , charmant …très humain en somme ! La mise en perspectives des évènements montre son courage et sa dévotion à sa patrie et tout ce que lui doit la démocratie enfin établie et ce qu’elle a permis pour l’essor du pays. Un entretien orienté peut-être mais sur les points abordés beaucoup de sincérité et d’émotion : en particulier sur sa position de fils et celle de père …
Yom
18 février 2016 @ 01:39
Ce documentaire était très intéressant,ce Roi,mis à part les errements de fin de règne à beaucoup fait pour son pays, il ne faut pas l’oublier.Evidemment il aurait pu ne pas oublier l’aide que lui a apportée la Reine Sofia.
J’ai plaind la Reine pendant longtemps,il est vrai que partir quand ses enfants etaient jeunes était compliqué,peut être ne lui aurait on pas laisses, surtout le fils ; mais les enfants devenus adultes et maries,pourquoi est elle restée et continuer à être maltraitée?
Je pense qu’elle a toujours vécu depuis sa naissance dans les ors de la monarchie et qu’elle est incapable d’accepter de changer de statut et qu’elle a malgré tout bien des avantages à sa situation,voilà pourquoi il me semble qu’elle n’est pas a plaindre.
Rester est quelque tous. fois pus facile que rester
Vous voudrez bien m’excuser pour ce bavardage.
Bonne nuit à tous.
Yom
18 février 2016 @ 01:41
Rester est quelquefois plus facile que partir.
Gérard
18 février 2016 @ 13:05
Mais peut-être n’avait-elle pas envie de partir. En outre rester c’était son devoir de reine et de mère, elle n’avait pas d’autre choix, les enfants n’auraient pas été séparés de leur père, donc il est inutile à mon sens de se poser toutes ces questions. La reine avait aussi son métier celui de reine et il se trouve que ce métier s’exerçait aux côtés du roi et en parfaite entente.
limaya
19 février 2016 @ 08:09
Entièrement d’accord avec vous Yom ,pourquoi vouloir en faire une martyre ? ? ?