A Madrid, le roi Juan Carlos et la reine Sophie d’Espagne ont visité l’exposition » Démocratie 1978-2018″ à l’occasion des 40 ans de la Constitution espagnole. (Copyright photo : casa real)
A Madrid, le roi Juan Carlos et la reine Sophie d’Espagne ont visité l’exposition » Démocratie 1978-2018″ à l’occasion des 40 ans de la Constitution espagnole. (Copyright photo : casa real)
chanchan
5 décembre 2018 @ 08:38
avis de tempete sur la monarchie
le journal sud ouest ma region a fait ce jour un article intéressant
les espagnols etudiants vont organiser des consultations sur le système politique eux donc l’avenir du pays
ils sont antimonarchistes système décredibilise par les scandales la fortune accumulée par Juan Carlos le peu de charisme de son fils aux ordres de son arriviste d’épouse « le deja me terminar » encore dans les mémoires
bref depuis la mort de Franco on dit on va demander aux espagnols il faudra le faire
en ma qualite de franco espagnole j’irai dire moi je suis républicaine et la monarchie un système surtout en Espagne à bout de souffle
ce fut une erreur magistrale d’instaurer en plein XX siecle un système voué à l »echec car à contre temps de l’histoire Disparues depuis la grèce l’Iran l’ethyopie le nepal l’irak la lybie
et comme je l’ai toujours pense Leonor ne sera jamais reine
le spécialiste de la monarchie J panafiel dice la misma cosa que yo nunca sera reina
en 1977 on a pas choisi mais pas eu d’autre solution pour sortir de la dictature
une porte fermée qui faudra ouvrir
Patricio
5 décembre 2018 @ 13:02
PEÑAFIEL !!!, quelle blague !!!
Laurent
5 décembre 2018 @ 13:09
Bon courage
Vous aurez une république comme en France
Regardez le bordel
Et vous vous réjouissez de la disparition des monarchies en Iran au Népal
Êtes vous satisfait des dictatures en Iran et au Népal ?
Pierre21
5 décembre 2018 @ 13:17
En tant que franco-espagnole, vous n’avez pas, excusez-moi de vous le dire, compris grand chose à l´histoire de ces 40 dernières années en Espagne. Évidemment qu’il n’est pas compliqué de mobiliser des groupes universitaires sur ces sujets, il y a beaucoup de groupes de ce type dans les universités, ceux qu’on appelle en Espagne « los perroflautas » (les chiens-flûtes, en référence à leur accoutrement), qui furent également le berceau de Podemos, et où se concentrent toutes les revendications féministes exacerbées que nous connaissons actuellement en Espagne. Ces initiatives dans les universités ne sont d’ailleurs pas isolées du parti Podemos, dont le leader prône un retour à la désastreuse IIe République (elle fut désastreuse car monopolisée par la gauche, qui décida qu’elle avait légitimement le droit d’expulser littéralement la droite du paysage politique: exécution de catholiques, de prêtes, de bonnes sœurs, et même du chef de l’opposition, ce qui finit par causer le coup d’État de Franco). Podemos est dans une dynamique similaire à celle de 1931: il faut expulser le roi, puis créer une super république socialiste all-inclusive avec tous les nationalismes régionaux. Et le PSOE, dans sa stratégie électorale de neutraliser son rival au sein de la gauche (Podemos), se laisse tenter, ça et là, par quelques propositions « podémites », comme celle de retirer l’inviolabilité du roi. Hier Sánchez, se constituant en véritable porte-parole de la Zarzuela, affirmait que « même Felipe VI serait d’accord ». Un de ses ministres le corrigeait quelques heures plus tard en disant que « ce n’est pas à l’étude du gouvernement » (un ministre corrigeant le président).
Bref, le Front Populaire républicain associé avec les indépendantistes catalans et les pro-terroristes basques (Bildu) continue sur sa jolie dérive front-populiste.
Le problème est que cette majorité précaire et contre-nature n’a pas encore été sanctionnée dans les urnes par le peuple Espagnol (qui est le seul qui compte en réalité). Et, au vu des élections de dimanche en Andalousie… les Espagnols ne sont pas DU TOUT amusés par ces folies.
HRC
7 décembre 2018 @ 15:46
« podémite » et « all-inclusive » m’ont fait rire mais pas le fond de votre post
Pierre21
5 décembre 2018 @ 13:39
Jaime Peñafiel n’est spécialiste de rien du tout, et il se consacre depuis une dizaine d’années à simplement lancer des rumeurs et tenter de jeter le discrédit sur toute la famille royale. La monarchie a été toute sa vie son modus vivendi.
Baboula
7 décembre 2018 @ 14:35
Pierre 21 ,l’antimonarchie .
Baia
5 décembre 2018 @ 14:10
Chanchan, la ponctuation vous connaissez ?
ines
5 décembre 2018 @ 16:44
On connait le senior Peñafiel. Pas très royaliste ce monsieur …
Menthe
5 décembre 2018 @ 17:41
Traduction, por favor!
Laurent
5 décembre 2018 @ 17:58
Tous les pays que vous citez à part la Grèce sont des devenus des dictatures
Alors moi je préfère une monarchie parlementaire à une dictature de droite ou de gauche
Ludovina
5 décembre 2018 @ 18:59
Amen !
Leonor
10 décembre 2018 @ 16:14
Chanchan, votre inculture en matière historique et politique est abyssale, et votre capacité de réflexion proche du degré zéro.
Les internautes qui vous ont déjà répondu ont décrypté et démonté vos semblants d’arguments – on a dit » semblants ». Voilà qui est fait, pas besoin d’y revenir.
Ah , j’oubliais :
A vous suivre, puisque selon vous le roi Juan Carlos était un tel malfaisant , on se demande bien comment cet homme a pu, et su , affronter le putsch fro-franquiste de 1981, et maintenir en vie le régime démocratique en Espagne, à la force du poignet, de l’intelligence politique, de la détermination et pour tout dire, du courage.
Ca ne vous rappelle rien, 1981 ? Vous auriez préféré voir Tejero et sa quadrilla au pouvoir ?
Que Juan Carlos ait plus tard commis des escapades amoureuses ou autres fariboles, qu’est-ce que cela pèse, dans une vie d’homme et dans la vie d’une nation, à côté de la défense de la démocratie et de la liberté ?
Bambou
5 décembre 2018 @ 08:41
Quid du transfert du corps de Franco dans un autre lieu, auquel s’oppose apparemment sa famille. Et Les familles des victimes du franquisme ont elle eu le choix de la sépulture de leurs défunts ? La famille de Fedérico Garcia Lorca elle refuse que se poursuivent les fouilles pour retrouver son corps. Belle leçon de dignité…!
Baboula
5 décembre 2018 @ 09:26
Il y a des rayonnages à remplir,l’histoire n’est pas finie .
Pierre21
5 décembre 2018 @ 14:58
Au fait Régine, un petit commentaire, je ne sais pas si vous vous en êtes rendue compte: les armoiries espagnoles sur la bannière du site sont toujours celles de Juan Carlos Ier, celles de Felipe VI n’ont plus ni la croix de Bourgogne, ni le joug ni les flèches :)
C’est un détail somme toute insignifiant…
HRC
7 décembre 2018 @ 15:54
le joug et les flèches ? :)
Gérard
6 décembre 2018 @ 21:54
L’Espagne devrait donc selon Chanchan sombrer de nouveau dans l’anarchie pour faire moderne comme avec Khomeini ou Khadafi ? Peut-être se contentera-t-elle des psychodrames à la française…
mariethé
25 février 2019 @ 21:49
le peuple espagnole a une monarchie constitutionnelle ç’est le peuple qui decide depuis le deces de franco ..il en est ainsi ..grace a qui ? regardez l’histoire de l’espagne qui a connu guerre civile ..et dictature je suis moi aussi republicaine ..mais pour ce qui concerne l’espagne juan carlos a joue un role primordial dans la democratie espagnole .malgre ses incartades de fin de regne ça restera un grand roi respectueux de democratie ..