La princesse Katherine de Serbie a participé aux Nations Unies à New York à la conférence « Government and United Nations Policies and Programs to Support Female Economic Empowerment”. (Copyright photo : site de la famille royale de Serbie)
J’ai envie de dire qu’ici l’indépendance financière de la femme lui donne la liberté et que, dans d’autres parties du monde, le poids moral d’une société rigoriste englue l’esprit dans la masse pâteuse des interdits.
La possibilité de décider sans en référer à un pouvoir central ou à une hiérarchie serait une avancée mais, quand je vois à quel point l’autonomie des femmes régresse dans le monde, je suis dubitative.
Mais, comme le disait Paul Valéry, » l’espoir est un scepticisme . C’est douter du malheur un instant ».
Donc il est bon de parler, d’attirer l’attention sur les tentatives de démarginilisation économique des femmes… et le reste suivra peut être !
DEB
20 novembre 2016 @ 06:38
J’ai envie de dire qu’ici l’indépendance financière de la femme lui donne la liberté et que, dans d’autres parties du monde, le poids moral d’une société rigoriste englue l’esprit dans la masse pâteuse des interdits.
La possibilité de décider sans en référer à un pouvoir central ou à une hiérarchie serait une avancée mais, quand je vois à quel point l’autonomie des femmes régresse dans le monde, je suis dubitative.
Mais, comme le disait Paul Valéry, » l’espoir est un scepticisme . C’est douter du malheur un instant ».
Donc il est bon de parler, d’attirer l’attention sur les tentatives de démarginilisation économique des femmes… et le reste suivra peut être !