Au Palais Blanc à Belgrade, la princesse Katherine de Serbie a donné un déjeuner à l’occasion de la Journée internationale des Femmes.
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Benoite
9 mars 2024 @ 07:47
Une journée internationale, où les réunions n’ont pas manqué, que ce soit dans les rues, ou en rassemblements sociaux, intellectuels, participatifs, en milieu scolaire.
Ces femmes qui oeuvrent tant et tant en bien des domaines, avec patience, et aussi la conscience que la discrimination sociale et financière (professionnelle) existe bien encore. La princesse sait s’appuyer sur ce solide appui féminin, pour ses parcours sociaux, et médicaux. moi aussi j’ai eu une rose ce matin, de mon petit market du coin. mais de bonne heure. je me disais » c’est une belle journée »
Marie DM
9 mars 2024 @ 10:13
Bravo à ma chère Princesse de Serbie, je l’admire ainsi que son époux pour leur engagement constant. J’aimerai bien les rencontrer pour leur dire combien je fais partie du » fan club ». Que Dieu garde en bonne santé ma Princesse et mon Prince préférés
Vitabel
9 mars 2024 @ 11:19
Journée des droits de la femme et non pas des femmes, c’est pas tout à fait pareil.
Martine R
9 mars 2024 @ 12:26
Effectivement mais beaucoup préfèrent occulter les droits….
Chevalière
9 mars 2024 @ 14:42
Il y en a de tous styles, c’est réjouissant !
Danielle
9 mars 2024 @ 15:03
Très bonnes idées de la princesse et du prince.
Vicomtesse
9 mars 2024 @ 18:35
On ne peut qu’applaudir la princesse Katherine au grand coeur !
Nini Plume
9 mars 2024 @ 20:18
Encore ?!
Trop, c’est trop.
Et pourtant il le faut, d’après tous les témoignages de celles victimes d’abus dont j’étais loin de me douter et que je découvre avec effarement., Bien sûr, il faut réagir avec force. Mais je suis toujours sur mes gardes en voyant ces courants de pensées dominants. Pour qui ne s’est pas trouvé c’est l’imitation assurée. Prenons garde à ne pas aller trop loin avec ces flots là. Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous mais pour moi l’excès (je dis bien l’excès, l’idée fixe) sent la division hommes-femmes à plein nez. Et cela ne sent pas bon.
Philippe
10 mars 2024 @ 11:06
Voilà enfin un discours qui détonne, par son côté raisonnable !
Mais enfin, il est un peu tard … et la division dont vous parlez est actée depuis longtemps.
La guerre des sexes a déjà commencé.
Et, croyez-moi, vous n’avez encore rien vu.
Me Too fut une bataille, et les gagnantes ont eu deux armes pour paraitre l’emporter, la légitimé évidente
à dénoncer des vérités accablantes, mais aussi le privilège de tenir le discours dominant, adoubé par les médias. Ce que j’appelle le privilège de la gauche, puisque les journalistes sont de gauche d’une manière écrasante (92% à la sortie de l’Ecole de journalisme de Lille) …
… mais ça n’arrête en rien la violence, n’est ce pas ?
Une victoire qui n’a de définitif que l’apparence, donc, comme le furent celle des noirs après l’abolition de l’esclavage ou des homosexuels aux différentes étapes de leur récente émancipation, et ne préjuge en rien de ce que sera l’avenir, et certainement pas à plusieurs siècles des distance.
De mon point de vue, et bien que gay, je pense que la limite a été franchie par les homosexuels autour de la mise en avant de la théorie du genre.
Et les homophobes de tous poils (Poutine, Orban, les mollahs) ne s’y trompent pas, qui brandissent d’abord cette théorie pour expliquer que non, décidément, deux hommes ou deux femmes ne pourront pas s’aimer librement dans leurs pays …
Les femmes avancent en terrain plus découvert. Et par des avancées discrètes, dont la société ne prend conscience que lentement. Mais, de fait, elles ont déjà conquis beaucoup.
Sans toujours s’en rendre compte elles-mêmes, semble-t-il.
Quelle est la situation ?
On connait tous l’adage, « l’homme propose, la femme dispose », et chacun d’approuver, évidemment … Y compris moi, je le précise, puisque certains ici, aiment à déformer régulièrement mes propos.
Sauf que l’adage en question s’applique maintenant de façon générale, à chacune des étapes des relations amoureuses ! … Évolution des mentalités, avancées médicales … C’est maintenant Madame qui décide absolument de tout : si on se marie, quand on se marie, si on a des enfants, quand on a des enfants, et surtout … quand il faut divorcer !
Elle peut aussi vous mettre un enfant dans les jambes sans prévenir, mais exiger votre participation pour les vingt ans à venir …… ou vous assurer que vous êtes bien le père de cet autre qui ressemble tellement votre meilleur ami (un enfant sur 20 n’est pas le fils de son père « légitime » !!!) … ou bien encore vous trainer au pénal, pour x raisons … et même vingt ans après …
Vous avouerez que les hommes ont de quoi avoir peur, non ?
D’autant que, dans le même temps, les gestes de courtoisie, et l’élégance de régler la note restent de rigueur …
Les jeunes, notamment, sont nombreux à jeter l’éponge.
Trop compliqué, trop dangereux … trop cher, même !, ai-je entendu déjà …
Et certains s’organisent donc autrement.
Font de la résistance, du Genre MGTOW, aux USA (Men Going Their Own Way)
Ou des expériences auxquelles ils n’auraient même jamais pensé avant ! … on a jamais vu autant d’hétérosexuels s’essayer à autre chose.
Donc, oui, la guerre des sexes a commencé.
Croyez-le ou non, cette guerre m’indiffère.
Je fais partie de ces 5% de gamins qui ne sont pas le fils de leur père légitime et portent le nom d’un autre … en plus d’avoir grandi sans aucun des deux.
Ma mère, féministe avant l’heure, a toujours considéré que c’était des détails sans importance.
J’ai donc toujours su ou était le danger.
Nini Plume
11 mars 2024 @ 19:48
Mon commentaire numéro deux :
J’ajouterai, Philippe, que votre analyse m’a tout de même fait frémir. Merci d’avoir parlé longuement dans ce sens.
Mes petits fils, jeunes adultes, ont été soulagés lorsque, il y a déjà quelques années, nous avons évoqué ce problème. Ils ont réalisé avoir un sentiment diffus de culpabilité vis-à-vis des femmes et être mal à l’aise, tous vierges qu’ils étaient pourtant.
Difficile de contester Me Too, bravo à ces femmes courageuses mais comme vous le soulignez si justement, le mouvement est adoubé !
Au fait, Yann Moix (on aime ou pas), propose aujourd’hui « une journée nationale de déboulonnage des statues » (YouTube).
Philippe
12 mars 2024 @ 23:46
Merci à vous, Nini plume, d’avoir pris la peine de me lire.
J’ajoute que les femmes ne mesureront l’impact réel de leur « libération » sur les rapports hommes-femmes que dans quelques années.
Ces phénomènes sont lents dans leur mise en place, et difficiles à mesurer … mais je crains que certaines ne réalisent, un peu tard, qu’elle n’ont en fait jamais remporté que des victoires d’apparence.
Nini Plume
11 mars 2024 @ 19:02
Merci, Philippe, pour votre long développement.
Je me sens solidaire de tout abus contre toute fragilité en général mais on n’arrivera pas à m’entraîner dans cette division hommes/femmes.
Mais il faut être solide pour résister ! non, je rectifie. Je peux résister sans effort. Là où c’est plus délicat est de dire que si on comprend les bouleversements de la société, on aime bien quand même les mères qui aiment leur métier de mères, les hommes qui aiment leur rôle de chefs de famille, etc, etc.,J’en ai fait des bêtises en tant que mère mais avec ce que je sais maintenant, grand-mère, je me demande si je ne choisirais pas le métier de mère au foyer tant l’éducation des enfants me passionne. Et pourtant je vous assure que j’ai bien d’autres cordes à mon arc, une formation universitaire et eu des responsabilités. Et j’aime les hommes !!!