Voici la chambre à coucher qui a été aménagée pour le Général de Gaulle et son épouse au premier étage de l’aile de Trianon-sous-Bois, au Grand Trianon. Les lits ont été adaptés à la grande taille du Général qui mesurait 1 m 96. (Source : Château de Versailles)
18 novembre 2020 @ 01:56
A Reims, on a ressorti le lit du général (gardé à la préfecture ), quand Margrethe de Danemark est venue à Epernay , visiter les caves de Champagne , mais c’est vieux !
18 novembre 2020 @ 02:48
On se croirait dans un vieux film américain où les chambres à coucher montraient DEUX lits, à cause de la censure : un seul lit aurait choqué cet aréopage puritain !
18 novembre 2020 @ 04:37
Je n’aime pas les lits « twin », même pour une personne seule. Le gėnėral qui était plutôt costaud devait s’y sentir ã l’ėtroit, tout comme son épouse.
18 novembre 2020 @ 12:39
Vu la longueur du lit, madame De Gaulle devait flotter dans le sien !
19 novembre 2020 @ 14:30
Je ne parle pas de la longueur, je parle de la largeur de ces lits. Je ne prends pas beaucoup d’espace moi-même mais j’aime pouvoir me prélasser sur la largeur dans le lit tout comme mon mari. Alors vive le lit king.
18 novembre 2020 @ 07:56
Long mais quelle étroitesse….!
18 novembre 2020 @ 07:57
Je n’aurai pas aimé dans ce lieu. Sinistre.
18 novembre 2020 @ 08:19
Tout a donc été laissé en l’état ?
18 novembre 2020 @ 09:02
SI LES LITS ONT ETE ADAPTES A LA TAILLE DU GENERAL, en revanche la largeur laisse à désirer –
18 novembre 2020 @ 12:43
J’en doute : la largeur doit faire au mieux 1;20m , la photo est prise du bas, mais je ne vois pas le Général et Mme DE Gaulle se contenter d’une largeur de lit pour jeune enfant. J’ai visité le musée du Train à Mulhouse, où on peut visiter le wagon présidentiel du président Charles de Gaulle, qui l’utilisait pour sillonner le pays, accompagné de son épouse. Bureau, Salons, et Chambre à coucher… Oui longueur des lits, ici aussi, et la largeur du couchage était confortable, pour les deux lits, (1.20m)
ce qui me ramène à un voyage en Irlande, où nous avons fait un arret déjeuner dans la ville où le couple De Gaulle était descendu pour son séjour.
Notre guide (Lorraine) nous raconte que le Général aurait dormi en travers de deux lits, réunis dans cette chambre !! stupeur ! je lui ai dit d’aller visiter à l’occasion le fameux musée du train à Mulhouse, le wagon présidentiel et lui affirmer que les services du Protocole de L’Elysée s’assuraient toujours, que la literie du couple assortie, serait conforme à la haute taille du Président. Madame suivait et s’en trouvait bien. Par la suite, Mme De Gaulle un peu fatiguée par ces voyages en train, adopta quand l’occasion s’en présenta, les déplacements en avion (petites lignes en France) et pour l’International évidemment les longs trajets.
18 novembre 2020 @ 09:37
Le général dormait à droite … les français parlent aux français .
18 novembre 2020 @ 17:49
De quoi tomber du lit !
20 novembre 2020 @ 20:42
😉😁
18 novembre 2020 @ 09:46
En mai 1968, au plus fort de l’émeute, craignant la panique des ministères, le couple présidentiel quittait l’Elysée chaque soir pour le Grand Trianon. Un dispositif blindé de sauvegarde était mobilisé à Satory, tout proche. En plus du régiment de Navarre à Frileuse, des unités d’infanterie portée stationnaient à Pontoise et Maisons-Laffitte (camp Gallieni).
Notons aussi que lorsque le général De Gaulle partit pour Baden-Baden rencontrer le chef des Forces françaises en Allemagne Massu, il emmena avec lui toute sa famille.
On a du mal à imaginer aujourd’hui la pression populaire d’alors.
18 novembre 2020 @ 13:33
Populaire par les grèves, car partout.
Pression économique, dirai-je.
19 novembre 2020 @ 01:06
économique, parce que les syndicats de l’époque n’avaient aucune visée insurrectionnelle.
Pompidou les connaissait mieux que le Général : accords de Grenelle, dissolution de la Chambre, élections gagnées, et hop.
18 novembre 2020 @ 10:51
Je ne savais pas que le couple présidentiel avait vécu quelquefois à Trianon
18 novembre 2020 @ 11:39
Est-ce un effet d’optique mais il me semble que le 1er lit est plus long que le second (de Madame).
18 novembre 2020 @ 12:26
Pas sûr,plume, j’ai compté le même nombre de motifs floraux .
18 novembre 2020 @ 12:53
Hum hum, qu’on allonge le lit du Général, soit, mais celui de madame… cela évite les quiproquos !!
18 novembre 2020 @ 13:44
Curieux qu’il y ait un téléphone, De Gaulle détestait cet objet.
La pendule est assez belle
18 novembre 2020 @ 15:25
Les appartements du général de Gaulle au Grand Trianon ont été remeublés après restauration en 2016 dans leur « état 1966 ».
Les appartements privés sont installés dans l’aile de Trianon-sous-Bois qui se situe au bout de la galerie des Cotelle. C’est la seule partie du château comportant un étage. Le Mobilier national a assuré la décoration et le remeublement de ces espaces, en recherchant le confort moderne et le respect du style Empire présent dans le reste du palais depuis 1809-1810. On a voulu aussi montrer le savoir-faire français dans le domaine de la confection des textiles anciens (rideaux, tapis, literies, garnitures de sièges…).
Les appartements comprennent sept pièces situées au rez-de-chaussée : un salon d’attente, un salon des huissiers, deux bureaux d’aides de camp, le bureau du général de Gaulle, un salon de famille et une salle à manger. Il y a aussi une belle chapelle qui fut utilisée sous le général. La partie privée est à l’étage avec téléphone d’époque en bakélite noire et canapé à franges : on y voit notamment la chambre du couple, le bureau personnel du président et le boudoir de Mme de Gaulle où dit-on elle brodait tandis que son époux travaillait aux affaires de la France.
Au sous-sol les vastes cuisines ont été conçues pour servir aux réceptions officielles.
L’idée venait de De Gaulle et de Malraux et un peu de Jackie Kennedy.
On reçut ici en 1969, le président américain Richard Nixon, en 1972, la reine d’Angleterre Elizabeth II, en 1992, le président russe Boris Eltsine, ou Xi Jinping, le président de la République Populaire de Chine à l’occasion de sa visite officielle en France en 2014.
Les travaux avaient commencé en 1963 avec Marc Saltet, architecte en chef et conservateur du domaine de Versailles, Gérald Van Der Kemp, conservateur en chef du domaine de Versailles, Jean Coural, administrateur du Mobilier national et Serge Royaux, décorateur du Mobilier national.
Au premier étage, on peut de nos jours sur réservation visiter la partie « privée », avec téléphone d’époque en bakélite noire et canapé à franges… On y découvre notamment la chambre du couple De Gaulle, le bureau personnel du président et le « boudoir d’Yvonne » où, selon la légende, Madame brodait tandis que Monsieur travaillait.
Dans la chambre à coucher, les lits sont recouverts de toile d’Aix. La salle de bains est luxueuse en loupe de frêne et robinets a poignets d’ivoire. D’autres appartements sont à la disposition de la famille du président. Les salles de bains occupent les pièces aveugles situées entre les salons et les couloirs.
Les chefs d’État invités résident dans l’ancien cabinet du roi Louis-Philippe, dans une chambre où figurent deux aquarelles de fleurs de Redouté. L’ensemble est meublé en style Empire et Restauration et des gravures proviennent de la Chalcographie du Louvre. Les conjoints des chefs d’État logent dans les anciens appartements de Madame Adélaïde. C’est là qu’on a installé notamment le lit en loupe d’orme incrustée de rinceaux, provenant de l’ameublement de la duchesse de Berry au palais des Tuileries.
Des appartements ont été aménagés pour les délégations accompagnant les chefs d’État, dans divers endroits du palais. Ainsi, plusieurs chambres, tendues de différentes toiles de Jouy bleue, rouge, verte, brune ou de tissus rayés, ont été créées à proximité de la cour des Bouches (à l’entrée du bâtiment). Les salles de bains en bois peint en blanc et bordé de faux acajou sont parfois accompagnées d’un salon.
En 1982, à l’occasion du G7, François Mitterrand accueillit les chefs d’État sous le péristyle. Ronald Reagan dormit dans la chambre de Louis-Philippe, Margaret Thatcher dans celle du baron Fain, Helmut Schmidt dans l’appartement de l’Empereur. Le rez-de-chaussée de Trianon-sous-Bois fut aménagé pour la délégation japonaise.
Pour les peintures dans la partie réception le parti-pris choisi fut de raccrocher tous les tableaux de la commande de 1688 passée par Louis XIV qu’il fut possible de rassembler. Quelques objets Louis-Philippe ont été ajoutés dans les pièces réaménagées sous la Monarchie de Juillet (salon de famille, chambre de la reine des Belges).
Le Mobilier National a replacé certains meubles qui avaient quitté Versailles mais n’avaient pas été vendus, comme le lit de Napoléon, qui a été récupéré au château de Maisons-Laffitte, et certaines petites tables vide-poches ou travailleuses du salon des Glaces. Le grand lit doré de la chambre de l’Impératrice a conservé son aspect Louis-Philippe, tout comme la table de toilette et la psyché qui avaient reçu des bras de lumière de la reine Marie-Amélie. Quant aux torchères de malachite du salon de l’Empereur, remaniées en 1838, elles ont été remises en « état Empire ».
18 novembre 2020 @ 19:47
La moquette n’est pas de qualité.
On n’ira pas la fumer😁.
18 novembre 2020 @ 21:14
Sobriedad !! En EEUU y Centroamérica los DORMITORIOS tienen 2 camas de dos plazas cada uno
19 novembre 2020 @ 10:03
Ah cette mode des lits jumeaux. Pas dommage que ça n’ait pas duré ! Peut-être étaient-ils sponsorisés par les vendeurs de chaussettes et de pyjamas en pilou?
19 novembre 2020 @ 18:22
Je dors dans un lit séparé,dans la même chambre que mon mari,mais les deux dodos ne sont pas jumeaux😁🤭.
19 novembre 2020 @ 14:43
Sans aucun intérêt !
21 novembre 2020 @ 14:11
SI LES LITS FONT 120 CM DE LARGEUR ce n’est pas confortable pour un grand monsieur comme le GENERAL –
IL SEMBLE S’EN ETRE ACCOMODE C’EST LE PRINCIPAL.
22 novembre 2020 @ 10:38
saviez vous que le Général ne dormait jamais à l’hôtel , et pour cause , lorsqu’il se déplaçait en France il dormait dans les préfectures ou généralement il y avait un lit à sa taille de prêt .