Ces souvenirs du comte de Chambord, en soie, coton et dentelle étaient conservés au château d’Outrelaize par la Maison de Polignac.
La chemise princière est brodée en rouge de la date de 1828, couronne et deux C apposés.
Un bas est brodé en rouge d’un H pour Henri et un H repercée. Les reliques sont présentés à la vente par Camille Pascal, l’écrivain auteur de « l’été des 4 rois ».
Dans ses mémoires, le duc de Bordeaux se souvient s’être plaint de ses bas attaqués par les puces ! Ces souvenirs historiques estimés entre 800 € et 1.200 € devraient atteindre un prix bien supérieur. (Merci à Charles – Photo : Hôtel des ventes de Bayeux)
Juliette d
22 octobre 2022 @ 02:46
Je passe mon tour. Qui veut de ces vieilles choses?
Bambou
22 octobre 2022 @ 05:47
Non merci. Reliques un peu glauques…
ABER
22 octobre 2022 @ 06:34
Personnellement, je suis totalement contre ce commerce macabre et sans intérêt.
😀Pistounette
22 octobre 2022 @ 10:48
Je partage votre avis, Aber… je suis contre ce type de reliques, ou alors dans un Musée
Elsi
22 octobre 2022 @ 07:30
Tout sauf sexy…surtout en ce qui concerne les bas….
Cosmo
22 octobre 2022 @ 08:41
Reliques bonnes pour le Musée de l’Inconséquence !
Aviso
22 octobre 2022 @ 10:18
Les seules reliques associées au comte de Chambord, ce et sont le drapeau blanc et le comte de Chambord lui meme…
Robespierre
22 octobre 2022 @ 14:27
Faut vraiment être cinglé pour payer cher le linge d’un homme aussi peu intéressant.
Beque
22 octobre 2022 @ 09:35
Hors sujet, mais à propos de chemises « historiques », j’ai vu récemment dans un restaurant du Mont-Dore deux chemises sous vitrine ayant appartenu à Roland Bonaparte. Je me demandais ce qu’elle faisaient là. Le restaurateur m’a répondu que le prince faisait des cures au Mont-Dore et des excursions pour son herbier (exceptionnel), accompagné d’un ami. Ce sont les petits-fils de ce dernier qui les ont données au restaurateur, pas peu fier. Pourquoi pas ?
Framboiz07
22 octobre 2022 @ 13:15
Quel restaurant du Mt-Dore ?
Beque
23 octobre 2022 @ 08:57
Le « Laurent 1er », rue Meynadier.
Antoine1
22 octobre 2022 @ 10:27
Le trousseau est incomplet. Il manque les caleçons.
JAusten
22 octobre 2022 @ 10:28
il y a des articles vendus sur vinted qui ressemblent aussi à ça donc méfiance !
Danielle
22 octobre 2022 @ 11:14
Avis aux musées pour une acquisition.
aubert
22 octobre 2022 @ 12:26
Moi, je n’ai que des bas de contention. Lorsqu’il deviendront disponibles pour les enchères ce sera lors d’un exil définitif.
Gérard
22 octobre 2022 @ 20:38
La broderie semble un travail d’amateur.
Cosmo
23 octobre 2022 @ 09:38
On peut imaginer que les duchesses d’Angoulême et de Berry les ont faites en papotant au coin du feu. Leurs réputations étaient pourtant de ne pas faire dans la dentelle…
JALINE
23 octobre 2022 @ 10:01
CES RELIQUES si elles doivent être conservées sont juste à exposer mais pas à vendre – il faudrait être à moitié fou pour acheter ce genre de chose –
MartineR
23 octobre 2022 @ 19:28
Dans un.musee; c est bien mais dans une salle des ventes c est macabre et sordide
Charles
27 octobre 2022 @ 14:10
Pour atterrir dans un musée, les objets passent souvent par les salles de vente.
Beque
23 octobre 2022 @ 20:23
Il est génial, Camille Pascal : aussi cultivé que spirituel avec un souci du détail. Que de fous-rires à la lecture de ses livres, pourtant sérieux.