C’est l’architecte Jean Novel qui a dessiné la galerie qui accueille au sein du musée du quai Branly-Jacques Chirac à Paris la collection de Marc Ladreit de Lacharrière sur l’Océanie et l’Afrique. Cliquez ici pour en savoir plus.
C’est l’architecte Jean Novel qui a dessiné la galerie qui accueille au sein du musée du quai Branly-Jacques Chirac à Paris la collection de Marc Ladreit de Lacharrière sur l’Océanie et l’Afrique. Cliquez ici pour en savoir plus.
Anne-Cécile
26 janvier 2022 @ 01:20
Le Musée exposera-t’il les fiches de lecture si éclairantes, si fulgurantes d’intelligence de Mme Pénélope Fillon?
De telles oeuvres de la littérature française dont la valeur fut reconnue d’emblée par M. Ladreit, mérite d’entrer dans ses collections et d’être confiées au Musée.
Bambou
26 janvier 2022 @ 06:29
L’employeur « sympa » de Pénélope Fillon…….
Claudia
26 janvier 2022 @ 08:04
J’aime beaucoup ce musée, intéressant et on ne peut qu’être reconnaissants à Jacques Chirac de l’avoir créé.
Pierre-Yves
26 janvier 2022 @ 11:24
Je confesse humblement que j’ai dû rester trop occidental, n’ayant aucune curiosité pour les arts africains et océaniens. Mais étant sensible aux arts de l’Islam (le département du Louvre qui leur est consacré est magnifique) et asiatiques, je me dis que rien, peut-être, n’est définitivement perdu pour ce qui concerne les autres.
Beque
26 janvier 2022 @ 13:53
Marc Ladreit de Lacharrière, né à Nice en 1940, déclarait : « Je suis d’une très vieille famille ardéchoise, implantée depuis sept cent cinquante ans sur la même terre. Issus d’une lignée à particule, propriétaires d’un château qui ressemble plutôt à une vieille bâtisse, mes ancêtres pouvaient faire illusion, mais nous n’avions pas un sou. Pourtant, dans cette famille, il importait de servir l’État ». Alors il intègre l’ENA. Il devient, plus tard, un mécène très actif, notamment avec les musées du Louvre à Paris et à Abu Dhabi et le musée du quai Branly, « le musée Jacques Chirac » dont il était proche. La Victoire de Samothrace fait partie des œuvres d’art restaurées grâce à lui. En 2007, Jacques Chirac le sollicite pour prendre la direction de l’Agence France-Muséums, en charge de la création du Louvre Abu Dhabi. « Sans Jacques Chirac, je n’aurais peut-être pas pensé à constituer une collection : il m’a transmis sa passion.» En avril 2011, Chirac écrivait à Marc de Lacharrière : « Je trouve que tu devrais permettre à tous les visiteurs du quai Branly d’admirer les œuvres que tu as rassemblées. » Le collectionneur fait partie du comité artistique des musées nationaux avec Michel David-Weill et Monique Pinault. Il est membre de l’Institut de France.
Philippe H.
26 janvier 2022 @ 22:23
Effectivement, les Ladreit de Lacharrière sont originaires de Coux, petit village à 2 kms de Privas , en Ardèche. Le château ressemble plus à un manoir qui surplombe la départementale. La famille s’y rend chaque été…
Marc L de L est un collectionneur passionné et c’est une très bonne initiative que sa collection soit prèsentée au public … et quel lieu plus adèquat pour l’héberger ???
framboiz07
27 janvier 2022 @ 13:31
La Victoire de Samothrace est au Louvre , avant la naissance même , de l’ami de Mme Fillon !
Pierre Yves, idem !
Beque
27 janvier 2022 @ 14:33
La Victoire de Samothrace est revenue au Louvre, en effet, après sa restauration en 2014 grâce au mécénat de Marc de Lacharrière.
framboiz07
27 janvier 2022 @ 15:00
Ok, la restauration, j’avais mal lu !
Ciboulette
26 janvier 2022 @ 15:26
Ce collectionneur va-t-il devoir rendre les oeuvres en question ?
Caroline
27 janvier 2022 @ 00:12
Beque,
Merci pour vos explications !
Cette exposition ‘ exotique ‘ doit être fort intéressante, spécialement sur l’ Océanie !
Beque
27 janvier 2022 @ 15:13
Merci, Caroline. La question que l’on peut se poser, en effet, c’est : va-t-on lui demander de restituer sa collection ?
En revanche (je n’aime pas ce mot), si vous vous intéressez aux objets d’Océanie, je vous recommande le Musée de l’Hospice Saint-Roch à Issoudun (Indre). Plus de 1.000 objets collectés (cadeaux des autochtones) par les missionnaires de Papouasie-Nouvelle Guinée, entre la fin du XIXe et 1939, ont été donnés au musée en 2000. Cette congrégation avait été fondée à Issoudun par le père Jules Chevalier en 1854. Collection exceptionnelle et infiniment plus discrète (si l’on peut dire) que celle du Musée du Quai Branly.
Caroline
27 janvier 2022 @ 23:49
Beque,
Merci pour votre réponse intéressante !