La comtesse de Wessex était en déplacement en Cumbrie. Elle a visité une exploitation de café qui fête ses 200 ans, rencontré des fermiers locaux et fait halte dans un centre d’activités en pleine air pour personnes handicapées et défavorisées. (Copyright photos : The Royal Family)
7 février 2019 @ 09:53
A l’aise en toutes circonstances …..
7 février 2019 @ 10:08
Tout compte fait, elle est de loin ma préférée.
7 février 2019 @ 10:25
Toujours beaucoup d’empathie, très belles photos.
Les animaux sont une aide précieuse dans les parcours de soin de personnes handicapées
7 février 2019 @ 15:31
Les animaux sont d’un secours précieux à tout le monde, car ils sont authentiques dans leur amitié,contrairement à notre espèce.
8 février 2019 @ 15:33
Tellement vrai. 😉
7 février 2019 @ 14:22
Vraiment Comtesse, je vous aime bien !
7 février 2019 @ 15:09
Du café en Cumbria, un des endroits les plus froids du Royaume-Uni ? Serait un effet du réchauffement climatique ?
7 février 2019 @ 17:25
Job à la Cour d’Angleterre : un rôle de composition. Mais la comtesse est vraiment exquise en toutes circonstances sous les ors ou sur la paille elle est naturelle.
Il se dit que la Reine l’apprécie énormément et on comprends pourquoi.
7 février 2019 @ 20:46
Toujours élegante, et souriante, j’aime beaucoup la personnalité de Sophie de Wessex.
7 février 2019 @ 21:55
Jolie et charmante comtesse !
7 février 2019 @ 23:01
« C’est qu’on est un peu timides nous les petits veaux, M’dame. D’ailleurs voyez : mes frères et mes cousins vous tournent le dos pour cette raison ». Quels beaux yeux a ce petit animal.
8 février 2019 @ 18:35
Oui et son regard dubitatif semble nous dire « c’est bien joli, les caresses, mais tout ceci ne nous empêchera pas de finir à l’abattoir, puis dans les assiettes ».
Monstrueuse ingratitude des humains…
10 février 2019 @ 13:23
Moi je vois surtout des veaux normaux qui, heureusement pour eux, ne connaissent pas l’anthromorphisme. Et Sophie n’est manifestement pas dans ce trip là non plus.
11 février 2019 @ 19:53
Ces petits veaux, comme d’autres espèces, ne risquent pas de connaître l’anthropomorphisme, celui-ci étant hélas si rarement pratiqué par les êtres humains.
Dommage, car leur sort serait sûrement tout autre