Helen Gordon-Lennox est née en 1886. Elle est la fille du 7ème duc de Richmond. En 1911, elle épouse Alan Percy qui deviendra 7 ans plus tard le 8ème duc de Northumberland. Le couple a eu 7 enfants.
MoreLa couronne aux feuilles de fraises de la duchesse de Northumberland
41 Comments
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16 mars 2020 @ 08:58
Quel « poids » de bijoux porte t’elle sur cette photo ? Et pendant ce temps le petit peuple trimait dur….
16 mars 2020 @ 13:00
Éternel blabla
Avez-vous pensé aux personnes qui ont fabriqué ces bijoux
Aux personnes employés
Si vous aimez tant l’inégalité allez vivre en Corée du Nord
16 mars 2020 @ 16:34
Je vous informe que ça continue,que rien n’a changé,et que les couronnes ont juste changé de têtes,Bambou.
20 mars 2020 @ 19:15
Pire que tout, cette manière de tenir de la main gauche un collier de perles à sept rangs.
Une robe en lamé avec deux boucles d’oreilles lourdes comme des poires tapées avec un bracelet digne de Théodora, il manquait des bagues, on en distingue une, c’est lourd, convenu et empesé, comme le diadème.
16 mars 2020 @ 09:25
On dirait une illustration d’un roman de Walter Scott.
17 mars 2020 @ 12:41
je trouve, plus prosaîquement qu’elle fait tarte.
16 mars 2020 @ 09:36
La posture de la duchesse a un je ne sais quoi de lascif, le déhanchement sans doute, et cette manière désinvolte et nonchalante de jouer avec ses perles …
16 mars 2020 @ 16:35
J’aime bien ce portrait.
Elle n’est pas belle de visage mais elle affiche une allure certaine.
20 mars 2020 @ 19:58
Elle pouvait-être naturellement belle et ça suffisait sans faire guirlande, sans drapé derrière, ni ce truc à gauche voilé avec sa chute de robe et une amaryllis négligemment posée aussi bêtement que la lune.
16 mars 2020 @ 09:47
La belle époque aimait le clinquant mais toutes ces perles étaient sans doute fines .
16 mars 2020 @ 21:41
Justement je souhaitais vous poser une question : qu’est-ce qui a l’observation permet de différencier une perle fine d’une perle de culture ?
17 mars 2020 @ 14:08
Pascal, je n’ai jamais eu en main de perles fines de collier ,seulement de très petites perles sur des bijoux XIX éme. Rien de notable, meme pas brillantes J’ai connu une enfileuse de colliers qui m’a dit que cela se voyait et malgré mon insistance m’a simplement dit « ça se voit » oui ça se voit au lustre ,les perles de culture reflètent mieux la lumière. Les pros se servent des rayons X qui permettent de voir l’intru qui a provoqué la formation de la perle ,ce n’est pas souvent un grain de sable et l’on voit bien ainsi la différence avec le nucléus déposé par l’homme. La différence de prix fait espérer un marchand honnête.
18 mars 2020 @ 01:03
Le prix ?
18 mars 2020 @ 13:27
Il n’y a pratiquement plus de nouvelles perles fines ou si peu que leur prix ne cessera de grimper . Alors ,lorsqu’elles ont une origine historique c’est du délire . Maintenant le défi est de faire des perles de culture les plus grosses possible et les japonais champions de la beauté perlière se sont fait doubler sur ce marché par les producteurs en ‘eau chaude ‘ .
16 mars 2020 @ 10:47
Je n’aime pas la posture de cette dame sur la photo, on dirait une vitrine, trop de tout peut-être..
16 mars 2020 @ 11:02
C’est celui que je porte pour jardiner, cher Philippe Gd’E !
Je vous enverrai quelques fraises d’ici le mois de juin, parfumées aux feuilles de menthe, elles seront délicieuses 😘
16 mars 2020 @ 11:17
Quelle tristesse que la disparition d’un tel chef-d’oeuvre.
Il n’a pas été refait à l’identique, contrairement à un des diadèmes de la famille royale de Norvège. C’est peut-être une question d’assurances.
Ce motif de feuille de fraisier me rappelle un bijou (une broche je crois) dans la collection de la famille royale des Pays-Bas.
16 mars 2020 @ 21:42
Oui feuilles de fraisier semble plus juste !
16 mars 2020 @ 11:18
Décidément, une tout autre époque.
16 mars 2020 @ 12:09
Le bracelet me paraît très beau.
La photo ne me plaît pas : la pause, l’attitude je ne sais pas mais quelque chose me gêne
16 mars 2020 @ 13:08
et oui on dirait Cecil Beaton dans son roman pastiche « My royal past », c’est à dire un travesti!
16 mars 2020 @ 16:35
Disons que Madame se pose là.
17 mars 2020 @ 01:04
Oups La pose bien sûr 😳
16 mars 2020 @ 14:58
Quelle drôle d’époque qui transformait les femmes en châsses – reliquaires ! Les bijoux , trop nombreux , sont portés avec ostentation . . Dommage pour la perte du diadème . Mais je dirais plutôt » feuilles de fraisiers » .
18 mars 2020 @ 00:28
tous ces bijoux, ça fait bling bling! Elle ¨pose¨ pour cette photo. Plutôt lascive comme attitude… ;-)
16 mars 2020 @ 15:43
A-t’on retrouvé ce superbe diadème ?
17 mars 2020 @ 14:45
Non.
16 mars 2020 @ 16:30
C’est justement le luxe qui fait vivre le petit peuple, sinon il serait sans travail … pour répondre à Bambou
J’ai remarqué que dans ces commentaires, il y avait beaucoup de sarcasmes et de critiques vis à vis de cette royauté.
Kate est trop comment ci, pas assez comme ça. …. Ne serait-ce pas de la jalousie de la part de ceux qui les écrivent. Ne pouvez-vous pas voir le bon côté des choses ou sinon ne consultez plus ce style d’articles tout simplement.
16 mars 2020 @ 17:41
Mais s’il n’y avait ni riches ni nobles, combien de personnes auraient été sans travail ? A plus forte raison dans les regions rurales, les riches de tout poil étaient une bénédiction. Des générations de personnel de cuisine, femmes de chambre, palfreniers, jardiniers, de couturières, modistes … ont pu travailler.
Les écoles, les ouvroirs, les dispensaires, les orphelinats… existaient grâce aux riches
17 mars 2020 @ 20:52
Absolument !
16 mars 2020 @ 18:39
Un sapin de Noël .
16 mars 2020 @ 19:13
En juillet 1963, la duchesse douairière se rendit chez le joaillier Garrard pour récupérer le diadème et d’autres bijoux dont elle avait besoin pour un dîner donné le soir-même par le roi Paul et la reine Frederika de Grèce, qui étaient en visite d’État au Royaume-Uni. Sur le chemin du retour, sa voiture fut prise en embuscade par cinq hommes devant sa maison de Londres. Elle fut laissée à crier dans sa voiture alors que les voleurs s’enfuyaient avec ses bijoux, dont le fameux diadème aux feuilles de fraisiers.
Le dessin du diadème s’apparente au diadème espagnol du mariage de la reine Fabiola mais il s’en distinguait par la grosseur des diamants qui ne nuisait cependant pas à l’ensemble.
La duchesse avait d’autres diadèmes, comme la Northumberland Tiara, mais la perte de ces diamants historiques là et le choc de ce vol furent sans doute une dure épreuve.
http://www.thecourtjeweller.com/2017/08/the-daily-diadem-northumberland.html
Mais Lady Helen Magdalan Gordon-Lennox en avait vu d’autres, elle fut capitaine d’état-major de 1939 à 1943 et commandant de la Yeomanry Nursing First Aid (de 1943 à 1946) et aide de camp de la princesse Alice, comtesse d’Athlone, épouse du gouverneur général du Canada, et son fils aîné Henry George Alan Percy, 9e duc de Northumberland, brillant secrétaire parlementaire privé du lord du sceau privé, fut tué à Peck (Hainaut) au 3e Battalion Grenadier Guards durant la retraite vers Dunkerque le 21 mai 1940. Il avait 27 ans, son corps repose au cimetière de guerre d’Esquelmes (Belqique) sous l’inscription Espérance en Dieu.
16 mars 2020 @ 19:25
Le port de la couronne aux feuilles de fraises signifiait-il qu’on commençait à les sucrer..?
19 mars 2020 @ 15:32
Non je crois que!la signification est qu’à cette époque on pouvait encore aller aux fraises, aujourd’hui dans la situation où nous sommes nous pourrions nous y rendre mais nous sommes confinés…
17 mars 2020 @ 08:25
La fausse nonchalance est peut être une demande du photographe pour détendre un peu son modèle. Las, rien n’y fait : la dame n’est toujours ni très jolie ni très sympathique malgré les bijoux, la belle robe et son air aristocratique….
17 mars 2020 @ 10:32
C´est remarquable a quel point des femmes d´apparence disons plutot moyenne, ont souvent tendance a se parer de bijoux comme un sapin de Noel…..
17 mars 2020 @ 12:57
Peut-être Qu’y avait-il de plus laid que la reine Emma des Pays-Bas mère de Wilhelmine. Elle était embijoutée comme un sapin de Noël .
18 mars 2020 @ 17:43
La princesse Béatrix revient de loin,Emma,Wilhelmine ,Juliana ,difficile hérédité physique. Il leur sera pardonné, elles ont laissé de très beaux bijoux.
.
17 mars 2020 @ 11:16
Lady Helen Gordon-Lennox était la benjamine des enfants du 7ème duc de Richmond, elle était également la cadette des 2 filles issues du second mariage de son père avec Isabel Sophie Craven.
Le duc avait eu 5 enfants (2 filles et 3 garçons) de sa 1ère union avec Amy Mary Richard, décédée 16 mois après la naissance de son dernier enfant : elle avait 30 ans.
L’actuel duc de Richmond, 11ème du nom, descend de l’aîné de la 1ère fratrie.
La mère de l’époux d’Helen, Alan Percy 8ème duc de Northumberland, lady Edith Campbell était la 1ère fille des 12 enfants du 8ème duc d’Argyll.
L’aîné des enfants du couple formé par Helen et Alan, 9ème duc de Northumberland, est décédé en 1940 à l’âge de 27 ans.
Le cadet Hugh, 10ème duc de Northumberland, avait épousé lady Elizabeth Montagu-Douglas-Scott (fille aînée du 8ème duc de Buccleuch), la tante paternelle d’Elizabeth, Alice Montagu-Douglas-Scott, était l’épouse d’Henry, duc de Gloucester, cousin germain de la reine Elisabeth II.
17 mars 2020 @ 20:56
Portrait qui effectivement interroge. S’agit-il d’une pose lascive à la manière des orientalistes, ou cette aristocrate entre deux âges joue-t-elle à l’ingénue en tortillant son collier, s’offrant et hésitant à la fois, jouant de toute cette marchandise luxueuse (luxurieuse?) dont elle est enlacée comme d’une métonymie. J’aime les perles mais cet amas, comme celui de gâteaux commerciaux, ne me séduit guère. Mais évidemment ce n’est pas moi la cible de cette mise en scène.
17 mars 2020 @ 22:11
Je suis étonné que la duchesse porte une robe en lamé. Même pour une invitation royale, c’est surprenant. Aujourd’hui ce serait excessif.