Voici la descendance de l’Infante Beatriz, fille du roi Alphonse XIII et de la reine Victoria Eugénie d’Espagne, tante du roi Juan Carlos. (Copyright photo : El Pais – Merci à Corentine)
Infante Beatriz (1909-2002) ép Prince Alessandro Torlonia (1911-1986) : 4 enfants, 11 petits-enfants et 18 arrières-petits-enfants
Sandra Vittoria (1936) ép Comte Clemente Lequio d’Assaba : 2 enfants, 4 petits-enfants
- Alessandro (1960) ép Antonia Dell’Atte (div)/ relation avec Ana Garcia Obregon (sép)/ép Maria Palacios : Clemente (1988), Alejandro (1992)
- Desideria (1962) ép Comte Oddone Tournon : Giovanni (1991), Giorgio (1994)
Marco-Alfonso (1937) ép Orsetta Caracciolo (div)/ép Philippa Mc Donald (div)/ép Blazena Svitakova : 3 enfants, 6 petits-enfants
- Giovanni (1962) ép Carla Destefanie : Stanislao (2005)
- Victoria Eugenia (1971) ép Kenneth Lindsay (div)/relation avec Stefano Colonna : Josefine (1998), Benedict (2001), Francesca (2008)
- Catarina-Agnese (1974) ép Stefano d’Albora : Gian Paolo (2002), Gian Marco (2003)
Marino (1939-1995)
Olimpia (1943) ép Paul Annick Weiller : 6 enfants, 8 petits-enfants
- Aliki (1967) ép Andrea Aranha Correa do Lago : Paul Annick (1996), Helena (1997), Antonio (1999), Victoria (2000)
- Sibilla (1968) ép Prince Guillaume de Luxembourg : Paul-Louis (1998), Léopold (2000), Charlotte (2000), Jean (2004)
- Paul-Alexandre (1970-1975)
- Laura (1974-1980)
- Cosima (1984)
- Domitilla (1985)
Jean Pierre
19 mars 2011 @ 07:41
Par son mari, elle était aussi apparentée aux actrices Brooke Shields et Glen Close!
Un petit Belge
19 mars 2011 @ 10:09
Merci Corentine pour cet article intéressant sur une princesse peu connue du Gotha.
Frédéric Gense
19 mars 2011 @ 10:30
Qu’est-il donc arrivé à Laura (1974-1980) et Paul-Alexandre (1970-1975), fille et fils de Olimpia, pour mourir si jeunes ?
Louise.k.De France
19 mars 2011 @ 11:18
Beaucoup de divorces et de concubinages dans cette famille!
marcelline
19 mars 2011 @ 12:07
je découvre que la princesse Sibilla de Luxembourg descend d’Alphonse XIII … ce que j’ignorais !
Colette C.
19 mars 2011 @ 13:05
Merci, Corentine, toujours très instructives, ces descendances.
jul
19 mars 2011 @ 17:57
Merci Corentine de rappeler la descendance de SAR l’Infante Béatrice de Bourbon et Battenberg
Caroline
19 mars 2011 @ 19:30
Donc,on peut comprendre les liens familiaux entre le Luxembourg et l’Espagne chez Sybilla de Luxembourg!Cette derniere a perdu un petit frere et une petite soeur,savez-vous les raisons de ces deces en pleine enfance?
corentine
19 mars 2011 @ 22:18
on a évoqué l’hémophilie….pour ces descendants de la reine Victoria…mais…
l’infante Beatriz avait deux frères souffrant de cette maladie, les infants Alfonso et Gonzalo
Charles
19 mars 2011 @ 22:24
Merci a vous Corentine.
Caroline
20 mars 2011 @ 09:19
A Corentine,toujours merci! L’hemophilie continue-t-elle de nos jours dans le Gotha?Y-a-t-il des progres medicaux pour enrayer cette maladie hereditaire?
cecil
28 mars 2011 @ 16:17
Caroline,
A présent, si l’on peut encore en mourir, l’hémophilie n’est plus aussi dramatique, du moins, dans les pays occidentaux où les personnes atteintes peuvent bénéficier de soins performants.
Dans les années 80, l’épidémie de sida a été fatale à de nombreux hémophiles auxquels on a administré du sang contaminé.
D’autre part, je précise qu’il existe plusieurs formes de cette maladie, et l’une d’elle, l’hémophilie C peut, exceptionnellement, atteindre les femmes, puisqu’elle n’est pas liée au sexe.
Si vous êtes la Caroline appartenant à une famille de médecins, je suppose ne rien vous apprendre.
Il est probable que l’hémophilie est toujours présente dans la descendance actuelle de membres du Gotha qui en étaient porteurs depuis le XIXe siècle, mais les traitements sont efficaces et réduisent considérablement les risques mortels pour les patients. Un hémophile, dans le Gotha, peut ne pas divulguer qu’il en est atteint, puisque cela ne se voit pas, ainsi que beaucoup d’autres affections.
A l’époque du tsarevitch Alexis ou du duc de Connaught, les précautions à prendre, au quotidien, étaient telles qu’il était quasiment impossible de dissimuler la chose.
Un élément qui doit avoir réduit la propagation du gène de la maladie, est la diminution, et même la raréfaction, des mariages consanguins au sein des familles du Gotha.
Pour le coup, on peut parler de « sang neuf », au sens propre du terme!