A Séville, la princesse Marguerite de Bourbon a participé à un concours hippique encouragée par son époux le duc d’Anjou et leurs enfants. (Copyright photos : Hola)
Philippe gain d’Enquin, vs devez regarder la photo avec un microscope, car même avec mes lunettes, je ne vois pas de varice. un peu mesquin peut être…..
Mais qu’allez-vous chercher Monica. Qu’imaginez-vous que j’imagine ? que leurs fessiers respectifs sont trop importants pour une simple chaise ? c’est me prêter là une idée qui ne saurait m’effleurer. Non, je pense tout simplement qu’il faut un trône a d’aussi augustes fessiers.
Ceci étant écrit vous pouvez enfin penser a du cynisme mais pas envers les princiers postérieurs mais envers vous !
Il faut reconnaître au beau Louis un savoir faire époustouflant pour mettre en valeur tous les atouts de la légitimité. Les fondements du légitimisme paraissent soudain puissants, séduisants et convaincants. Là où le comte de Paris ne montre sur son blog qu’un chemin aléatoire qui ne mène nulle part, les perspectives offertes par le duc d’Anjou bis paraissent fermes et prometteuses.
C’est souvent à côté du (es) fondement (s) que se trouve le (s) bijou (x)… Quant à la fermeté prometteuse que nous vante Aramis, même juché sur le Mont Athos, tout en éclusant un bon vieux Porthos avec d’Artagnan, je ne vois pas de quoi i peut en l’espèce s’agir..
Bienvenue au club mais vous allez vous faire de grincheux ennemis qui ne manqueront pas de vous rappeler, même dans 2 ou 3 ans, toute la perfidie qu’ils croiront devoir relever dans ce propos pourtant frappé du bon sens qui était la vertu de nos rois.
Ce n’est pourtant pas compliqué : le prince Louis est le plus proche parent agnatique du dernier duc d’Anjou : Louis Stanislas Xavier de France plus connu comme Louis XVIII.
Le prince Louis de Bourbon, comme ainé de la famille a repris un titre de famille en titre de courtoisie, il aurait pû en prendre un autre, il a choisit celui-là en souvenir de son père et de son gand-père qui avaient fait la même chose en leur temps et en souvenir de son ancêtre direct Philippe de France, titré duc d’Anjou par son grand père le roi de Louis XIV.
Cordialement
Le roi Ferdinand VII voulut faire duc de Cadix le duc Angoulême victorieux ce que sagement Louis XVIII refusa. Chacun chez soi et Angoulême suffisait amplement.
Quand celui de certains (beaucoup) d’autres serait, avisant ces augustes postérieurs, d’y imprimer toutes les stries de leurs semelles et de les bouter de l’autre côté des Pyrénées! Les méchants…
Son frère, Aubert, sans doute…
Moi je trouve qu’ils sont mieux de face mais on a plaisir à les voir en invités puisque les invités le soir venu rentrent chez eux et il faut reconnaître que malgré la crise la vie madrilène est beaucoup plus dense et joyeuse que celle de nos villes de province.
Bon voyage monsieur dumollet, partez bien vite et revenez jamais.
Arielle
8 octobre 2014 @
08:42
Le bel esprit règne en maître sur cette rubrique. Et quel excellent usage de la langue française ! à une époque où la chose se perd, elle mérite d’être signalée… Bravo à tous, beaucoup d’humour, de créativité et aucune méchanceté. J’adore.
Arielle ma mie vous êtes indulgente et vous n’étiez pas là quand nous nous étripâmes comme cochers de grandes maisons au passage d’un pont en excipant des titres de nos princes.
« Chacun prétend passer ; l’un mugit, l’autre jure.
Des mulets en sonnant augmentent le murmure ».
alexandra
5 octobre 2014 @ 21:24
Quel plaisir de voir le Duc d’Anjou et sa belle petite famille unie!
Anne-Charlotte
5 octobre 2014 @ 21:52
La 2nde photo n’est guère avantageuse …
Lorenz
6 octobre 2014 @ 09:45
Très vrai pour elle! Quant à lui, au contraire ..
Philippe gain d'enquin
6 octobre 2014 @ 14:12
Il semblerait que « SM » ait un début de varice…
monica
6 octobre 2014 @ 18:29
Philippe gain d’Enquin, vs devez regarder la photo avec un microscope, car même avec mes lunettes, je ne vois pas de varice. un peu mesquin peut être…..
Gérard
7 octobre 2014 @ 21:08
Peut-être seulement un coup au mollet ?
Philippe gain d'enquin
8 octobre 2014 @ 10:22
Quoi qu’il en soit, »au diable lavarice » : « SM » est toujours riche de l’indéfectible amour de 66.000.000 de français. et c’est rassurant…
marielouise
6 octobre 2014 @ 07:18
Une bien belle famille!
Toujours un plaisir de les voir!
Pierre-Yves
6 octobre 2014 @ 11:45
C’est curieux, vous semblez, marielouise, les trouver bien plus charmants quand ils vont à des concours hippiques que quand ils vont à la messe …
Philippe gain d'enquin
6 octobre 2014 @ 17:12
Peut être sont ils à cheval sur deux paroisses ?
flabemont8
8 octobre 2014 @ 17:28
Ou sur les principes ( ! )
Gérard
7 octobre 2014 @ 21:10
Sympas certes mais je les trouve plus charmants à l’église.
Zeugma
6 octobre 2014 @ 07:57
La reine mère Carmen monte-t-elle à cheval ?
Ah, j’oubliais : quel beau couple !
Alexandra
6 octobre 2014 @ 17:01
Rengaine….
Francine du Canada
6 octobre 2014 @ 21:52
J’ai plutôt pensé à « dégaine ». FdC
limaya
6 octobre 2014 @ 09:10
Précisez donc Anne-Charlotte votre remarque parait intéressante ,même très intéressante , cela ns change des photos prises de face pourquoi pas…
Arielle
6 octobre 2014 @ 10:44
Très sympathique famille.
aubert
6 octobre 2014 @ 11:49
Une simple chaise ne conviendrait pas. Je comprends qu’ils cherchent un trône.
monica
6 octobre 2014 @ 18:30
Aubert, comment pouvez vs être aussi cynique ?????
HRC
6 octobre 2014 @ 20:48
une petite moquerie drôle qui a son public
Pierre-Yves
6 octobre 2014 @ 21:39
Cynisme ???
Où ça ???
Moi, je ne vois que de l’humour, et du bon …
aubert
7 octobre 2014 @ 10:37
Mais qu’allez-vous chercher Monica. Qu’imaginez-vous que j’imagine ? que leurs fessiers respectifs sont trop importants pour une simple chaise ? c’est me prêter là une idée qui ne saurait m’effleurer. Non, je pense tout simplement qu’il faut un trône a d’aussi augustes fessiers.
Ceci étant écrit vous pouvez enfin penser a du cynisme mais pas envers les princiers postérieurs mais envers vous !
monica
7 octobre 2014 @ 19:15
Malgré vos défenseurs, je réitère : vous avez un »humour » méchant ou primaire.
aubert
8 octobre 2014 @ 10:12
Que vous le vouliez ou non, cette photo est un crime de pèse-majesté.
Cosmo
6 octobre 2014 @ 21:09
Quel beau cheval !
Aramis
7 octobre 2014 @ 09:06
Il faut reconnaître au beau Louis un savoir faire époustouflant pour mettre en valeur tous les atouts de la légitimité. Les fondements du légitimisme paraissent soudain puissants, séduisants et convaincants. Là où le comte de Paris ne montre sur son blog qu’un chemin aléatoire qui ne mène nulle part, les perspectives offertes par le duc d’Anjou bis paraissent fermes et prometteuses.
aubert
7 octobre 2014 @ 17:20
Bravo Aramis, votre texte est un petit bijou.
Philippe gain d'enquin
9 octobre 2014 @ 18:22
C’est souvent à côté du (es) fondement (s) que se trouve le (s) bijou (x)… Quant à la fermeté prometteuse que nous vante Aramis, même juché sur le Mont Athos, tout en éclusant un bon vieux Porthos avec d’Artagnan, je ne vois pas de quoi i peut en l’espèce s’agir..
aubert
10 octobre 2014 @ 12:53
Nos amis « légitimistes » répondront que Bourbon place ses bijoux en lieu sûr alors qu’Orléans les fourgue.
Gérard
9 octobre 2014 @ 20:41
Il était plus beau avec quelques kilos en moins, plus élancé mais nous en sommes presque tous là. Il a j’imagine arrêté le sport.
Bruno von Amherst
7 octobre 2014 @ 10:19
Toujours pas compris ce que le duché d’Anjou vient faire dans cette famille !!!
Aramis
7 octobre 2014 @ 14:11
Bienvenue au club mais vous allez vous faire de grincheux ennemis qui ne manqueront pas de vous rappeler, même dans 2 ou 3 ans, toute la perfidie qu’ils croiront devoir relever dans ce propos pourtant frappé du bon sens qui était la vertu de nos rois.
Sauternes
7 octobre 2014 @ 18:14
Ce n’est pourtant pas compliqué : le prince Louis est le plus proche parent agnatique du dernier duc d’Anjou : Louis Stanislas Xavier de France plus connu comme Louis XVIII.
Le prince Louis de Bourbon, comme ainé de la famille a repris un titre de famille en titre de courtoisie, il aurait pû en prendre un autre, il a choisit celui-là en souvenir de son père et de son gand-père qui avaient fait la même chose en leur temps et en souvenir de son ancêtre direct Philippe de France, titré duc d’Anjou par son grand père le roi de Louis XIV.
Cordialement
Gérard
7 octobre 2014 @ 20:35
Le roi Ferdinand VII voulut faire duc de Cadix le duc Angoulême victorieux ce que sagement Louis XVIII refusa. Chacun chez soi et Angoulême suffisait amplement.
aubert
7 octobre 2014 @ 17:22
J’aimerais savoir pourquoi la seconde photo a été retenue par le site ?
Régine
8 octobre 2014 @ 06:27
parce qu’on y voyait (de dos) les enfants princiers
aubert
8 octobre 2014 @ 10:10
Certains penseront : notre souhait est de ne les voir que de dos.
Lequel des jumeaux princiers est absent ?
Philippe gain d'enquin
9 octobre 2014 @ 08:07
Quand celui de certains (beaucoup) d’autres serait, avisant ces augustes postérieurs, d’y imprimer toutes les stries de leurs semelles et de les bouter de l’autre côté des Pyrénées! Les méchants…
Gérard
9 octobre 2014 @ 20:48
Son frère, Aubert, sans doute…
Moi je trouve qu’ils sont mieux de face mais on a plaisir à les voir en invités puisque les invités le soir venu rentrent chez eux et il faut reconnaître que malgré la crise la vie madrilène est beaucoup plus dense et joyeuse que celle de nos villes de province.
aubert
10 octobre 2014 @ 12:51
Bon voyage monsieur dumollet, partez bien vite et revenez jamais.
Arielle
8 octobre 2014 @ 08:42
Le bel esprit règne en maître sur cette rubrique. Et quel excellent usage de la langue française ! à une époque où la chose se perd, elle mérite d’être signalée… Bravo à tous, beaucoup d’humour, de créativité et aucune méchanceté. J’adore.
Philippe gain d'enquin
9 octobre 2014 @ 18:23
Cruauté oui, méchanceté non !!!
aubert
10 octobre 2014 @ 12:56
La cruauté n’est pas très grande quand le peuple glose sur les postérieurs mais ne coupe pas les têtes.
Philippe gain d'enquin
10 octobre 2014 @ 18:01
Ah, encore toutes ces « vieilles lunes »… A vous, PGE
Gérard
10 octobre 2014 @ 20:20
Arielle ma mie vous êtes indulgente et vous n’étiez pas là quand nous nous étripâmes comme cochers de grandes maisons au passage d’un pont en excipant des titres de nos princes.
« Chacun prétend passer ; l’un mugit, l’autre jure.
Des mulets en sonnant augmentent le murmure ».