A Plaisance (Piacenza), le duc de Parme, le prince Jaime et la princesse Viktoria de Bourbon-Parme, la princesse Margarita et son époux Tjalling ten Cate, la princesse Maria Carolina et son époux Albert Brenninkmeijer et la princesse Maria Teresa de Bourbon-Parme ont assisté à une messe de l’ordre de Saint Ludovic. (Copyright photos : www.ppe-agency.com)
dee
27 septembre 2014 @ 08:22
En toutes circonstances un homme en civil doit offrir son bras gauche à la dame qui l’accompagne, contrairement à un homme en uniforme portant le sabre qui, lui, offrira son bras droit (pour que son arme ne gêne pas la dame).
Nonobstant ceci, trois des hommes ont l’air très empruntés et semblent avoir pris le bras de leur cavalière juste pour la photo.
Danielle
27 septembre 2014 @ 09:58
Une famille au complet pour cet office et certainement heureuse de se retrouver.
marielouise
27 septembre 2014 @ 13:42
On les comprend …..ces hommes,ils se prêtent au jeu mais qu’en ont-ils à faire de cette messe……..les femmes ont de jolies tenues!
COLETTE C.
27 septembre 2014 @ 14:07
Je ne vois pas la duchesse de Parme : restée avec les deux jeunes enfants , sans doute.
Palatine
27 septembre 2014 @ 14:41
Après l’aventure carliste finie en eau de boudin, leur éviction d’Espagne, cette famille essaie de se forger un destin italien. Très drôle quand on s’appelle Jaime et Carlos et pas Giacomo et Carlo.
On ne peut tout prévoir…
L’Italienne que je suis, se permet de me moquer de cette famille que personne ne connait à Parme, à part une poignée de familles nobles; Et à Piacenza, n’en parlons même pas.
Luise
28 septembre 2014 @ 08:48
Voilà un point sur lequel nous sommes en accord
Bien à vous
Jean Pierre
28 septembre 2014 @ 11:19
Ma chère Palatine, la première moitié du XX eme siècle a montré qu’on pouvait faire carrière en Italie avec un prénom espagnol…..Benito au lieu de Benedetto….balle au centre. Dans mes souvenirs ce prénom lui avait été donné en référence à Juarez.
Laurent F
28 septembre 2014 @ 14:06
C’est triste de s’accrocher à ses prétentions quand plus personne ne s’y intéresse sauf peut-être un groupe de fanatiques restreint qui vous affirme le contraire !
Palatine
27 septembre 2014 @ 14:42
pardon « se permet de SE moquer » et « SON éviction »
monica
27 septembre 2014 @ 18:18
Où est l’épouse du duc de Parme ?
Nemausus
29 septembre 2014 @ 17:43
Les Bourbons-Parme n’essaient pas de se forger un destin italien ! aucun d’entre eux n’imaginent sérieusement à une restauration d’un duché souverain de Parme. Soyons sérieux au lieu de venir répandre son fiel contre une ancienne dynastie italienne qui s’intéresse un peu à ses anciens états. Si cela permet à cette famille de s’investir pour essayer de promouvoir l’histoire de l’ancien duché et amener du tourisme où y a t-il du mal ? Si cette famille veut renouer avec son passé où voyez vous du mal et à qui cela peut-il nuire à part vos envie systématiques de dénigrer les princes qui vous déplaisent ?
Luise
30 septembre 2014 @ 19:50
Philippe I de Parme né à Madrid est le fils de Philippe V roi d’Espagne et petit fils du « Grand Dauphin (Louis de France)
Palatine
30 septembre 2014 @ 09:13
Je ne me mêle pas de vos querelles dynastiques, n’étant pas française. Mais ici en Italie, nous n’avons pas besoin d’un prétendant hypothétique de la onzième heure, plein de morgue et de dédain pour les petites gens. Je l’ai vu ce Carlos affable avec les officiels et les journalistes et hautain avec les petites gens. Et j’ai été choquée. Est-ce en Hollande qu’il a pris ces facons ? Son père était bien plus sympathique.
Donc dites ce que vous voulez dans votre pays, et laissez-moi parler comme je veux de ces détrônés sans perspectives qui veulent agiter quelques hochets de la gloire avec une poignée de nostalgiques. Qu’ils écrivent des livres au lieu de parader devant des photgraphes. Ici personne ne les connait et on s’en fiche. Le tourisme à Parme est très bien assuré par le souvenir de la duchesse Marie-Louise que les Parmesans vénèrent. C’est d’ailleurs pour voir son musée que je suis allée la premiere fois à Parme.
Il y a aussi le jambon et les violettes…
On n’a pas besoin des Bourbon-Parme pour promouvoir le tourisme à Parme.
Nemausus
30 septembre 2014 @ 17:49
vous imaginez des prétentions là où il n’y en a pas, les ducs de Parme n’ayant jamais émis la moindre idée d’une restauration de leur duché souverain. Alors arrêter de leur prêter de fausses intentions qui n’existent que dans votre imagination car c’est vous qui serez moins crédible à répandre de pareilles sornettes qui feront rire même les princes qui seraient les premiers surpris devant une telle fable !
Vous n’aimez pas les Bourbon-Parme, c’est votre problème mais répandre de fausses rumeurs en leur prêtant de fausses intentions, ce n’est pas un problème que pour les italiens !
Palatine
30 septembre 2014 @ 21:23
vous êtes trop mignon Nemausus, parfois je me dis que je vous aime. J’espère que Kalistea ne me volera pas dans les plumes.
Palatine
1 octobre 2014 @ 09:45
je me suis sûrement mal exprimée avec « destin italien », je ne pensais pas à « régner » car en effet, c ‘est impossible. L’Italie restera une république.
Non, je pensais à « exister en Italie » « faire l’important en Italie »
Recevoir le traitement tapis rouge, voir les officiels des villes de Parme et de Plaisance faire des courbettes pour les descendants de régnants d’autrefois.
Il y a des gens assoiffés d’honneur, de reconnaissance.
Quand les prétendants français des deux bords arrivent quelque part, ils sont contents de voir les photographes, et être bien reçus, et c est sans doute humain.
Cosmo et les partisans des Orléans disent que c’est la continuité de la position Orléans qui plaide en faveur de cette famille. C’est un point de vue qui se défend. Ils se sont toujours considérés (à tort ou à raison) comme les prétendants français parce qu’ils étaient toujours là et n’ont pas changé de prétentions. Avant de faire les prétendants français, ils n’ont pas joué les prétendants espagnols ou belges ou luxembourgeois.
Avec les Bourbon-Parme, je ne vois pas de continuité. Ils se sont focalisés sur le trône d’Espagne et puis quand ça n’a pas marché ils ont reflué vers l’Italie, qui ne les avait plus vus depuis le départ du dernier duc de Parme après la réunification de l’Italie. Donc avant 1870. Ils ont réapparu comme un lapin sort d’un chapeau de prestidigitateur en voulant annoncer aux Italiens des anciens duchés : « Coucou, nous revoilà, nous sommes votre famille princière dans le duché de Parme ».
Et que demandent-ils ? D’exister en tant que famille princière du cru. Et qu’on les salue bas, avec tapis rouge et tout le tralala.
Les Bourbon-Parme pour moi sont les princes de la onzième heure en Italie.
Francine du Canada
1 octobre 2014 @ 17:17
Merci Palatine, je trouve que vous expliquez très bien la réaction des Parmesans à l’arrivée (tardive) des Bourbon-Parme. Bonne journée, FdC
aubert
2 octobre 2014 @ 12:32
les Bourbon de Parme vont et viennent dans les territoires comme dans les idées.