Impressionnante galerie des bijoux au sein du Victoria & Albert Museum à Londres. On compte des pièces provenant depuis la période égyptienne à la période contemporaine avec des créations de Cartier, Schlumberger ou encore Lalique. Pour le plaisir des yeux !
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Juliette d
28 septembre 2022 @ 03:10
Une exposition que je verrais avec plaisir. Mais c’est presque trop…
On sait qui a porté le 1er et le dernier diadème?
Adélaïde de B.
28 septembre 2022 @ 10:32
Juliette d,
Bonjour,
Galerie des bijoux.
Ce n’est pas une exposition à court terme mais une installation en permanence dans le musée.
Cela laisse le temps de programmer l’escapade…
Juliette d
29 septembre 2022 @ 02:25
Merci à vous Adelaïde de B.
Framboiz07
28 septembre 2022 @ 04:54
Le 1er, style Sophie d’Espagne ? Le dernier,anglais ?Français ?
Le diadème à camées, étrange , comment le porter ?
Parure saphirs =20/20 !
Merci 1000 fois, Régine !
Roselilas
29 septembre 2022 @ 07:50
Si vous regardez la coiffure de mariage de Chantal de Sambucy de Sorgue, vous pourrez vous imaginer la même coiffure avec le diadème aux camées. D’ailleurs sur des tableaux d’ancêtres vers 1830/1850, il n’est pas rare de voir de tels chignons assez hauts et devant un diadème ou même parfois un genre de broche volumineuse.
Annmaule
28 septembre 2022 @ 05:10
Impressionnant et interessant…c est dans cette profusion que je prend conscience combien des bijoux peuvent se demoder..
Pierre-Yves
28 septembre 2022 @ 11:22
Je me suis dit cela à propos des joyaux d’Elizabeth II qu’on peut voir dans l’article de lundi 26 sur l’expo de Buckingham. Certains me semblent vraiment massifs et lourds et ne correspondant pllus guère aux gouts des jeunes femmes d’aujourd’hui. La broche noeud, par exemple, si précieuse soit-elle, me parait être d’une facture très démodée.
Bon j’avoue: je n’aime pas les broches en général. Ce sont pour moi des bijoux d’une époque dépassée, des bijoux de grand-mère, la mienne en portait, d’ailleurs. Mais jaucune amie de de ma génération ou plus jeune n’en porte.
Benoite
28 septembre 2022 @ 05:44
Ce musée est une référence de choix pour ses collections. Je ne l’ai pas visité, mais on en a ici assez souvent des échantillons de ses vitrines.
Son histoire est ancienne, et on remonte très loin. Après il y a des prises de pièces appartenant à des pays vaincus, qui revendiquent leur retour sur leurs sols d’origine…. c’est normal, la France fit ce geste pour des têtes des tribus Africaines. Les Anglais pillent et exposent à Londres, et gardent.
Les collections sont toutes superbes, je mets un lien sur le musée Lalique en France, plus précisement en Alsace.
Là aussi un moment hors du temps, et magique. https://www.lalique.com/fr/la-maison-lalique/musee-lalique
Merci encore de ces ouvertures culturelles et poétiques sur la ville de Londres.
Cosmo
28 septembre 2022 @ 06:50
Cela ressemble aux fouilles d’une tombe égyptienne. C’est superbe mais qui les a portés. Des Nefertiti, Hatchepsout ou Cléopâtre des temps modernes ?
Axelle
28 septembre 2022 @ 07:41
Quel éblouissement, je reste bouche bée.
Laurent F
28 septembre 2022 @ 07:42
Le collier et les BO avec les émeraudes ont été offerts par Napoléon à Stéphanie de Beauharnais, sa fille adoptive, lors de son mariage avec le prince héritier de Bade.
JALINE
28 septembre 2022 @ 08:56
IMPRESSIONNANT mais laid –
Hervé J. VOLTO
28 septembre 2022 @ 08:57
Cher Laurent, n’était-ce pas Hortense de Beauharnais (1806-1810) ?
Laurent F
28 septembre 2022 @ 14:13
Non Stéphanie la fille de Claude de Beauharnais que Napoléon adopta en 1806. Elle devint altesse impériale et princesse française et somptueusement dotée par son père adoptif à l’occasion de son mariage avec le prince héritier de Bade
Hervé J. VOLTO
28 septembre 2022 @ 08:58
Cher Laurent, n’était-ce pas Hortense de Beauharnais (1783- 1837) ? Mais il se peut que je confonde…
Montferrat
28 septembre 2022 @ 11:47
No. It was Stephanie who married the Baden.
Leonor
28 septembre 2022 @ 09:57
Plein les mirettes.
Mal exposé, tout ça, parce que entassé, mais on peut comprendre : un lieu aussi restreint que possible permet de renforcer la protection. Parce que j’imagine, en plus, que le tarif des assurances doit être coton. S’il est même possible qu’une assurance en prenne le risque !
Danielle
28 septembre 2022 @ 10:42
Splendides bijoux, sauf le diadème à camées qui est trop tarabiscoté.
La 2ème photo est époustouflante.
Merci Régine.
Roselilas
29 septembre 2022 @ 07:59
Chère Danielle, certes tarabiscoté mais porté sur un beau et haut chignon avec une chevelure auburn, le résultat doit être magnifique. Si en plus une belle robe de la couleur des camées alors le résultat sera merveilleux.
Pour moi, il est presque mon bijou préféré après le collier en or jaune de la 11ème photo en haut à droite. Tout à fait portable de nos jours.
Baboula
28 septembre 2022 @ 10:47
Pas facile à suivre sans légende
Beque
28 septembre 2022 @ 13:02
Merveilleuses photos et merveilleux bijoux !
Patricio
28 septembre 2022 @ 16:50
Je pense que le dernier diadème appartient ou appartenait à la marquise de Londonderry
Nemausus
28 septembre 2022 @ 18:03
c’est vrai c’est beau mais quel dommage que des merveilles créées pour être portées finissent définitivement leur vie dans des vitrines !
Je serai Charles III, je ferai une OPA sur l’ensemble des bijoux des musées tout en leur laissant les exposer mais en les mettant à disposition en tant que de besoin aux membres de la famille royale !
Ainsi la cassette royale serait très fortement augmentée, le contribuable ne serait pas mis à contribution pour en acheter d’autres et pourrait en profiter comme n’importe quel visiteur !
Baboula
1 octobre 2022 @ 09:19
Il y a belle lurette que l’on achète plus de joyaux à la cour Saint James ,entre les cadeaux d’Etat et les dons dispensatoires d’impôts c’est une affaire qui roule toute seule .