Voici un nouveau défi relevé par Christian Lacroix : l’illustration de « La Princesse de Clèves » de Madame de Lafayette. Le couturier arlésien qui a habillé par le passé l’infante Elena et qui dessina la robe de mariée de la princesse Philomena, duchesse de Vendôme, s’est déjà lancé avec succès dans la peinture, la décoration, les costumes de théâtre,…
A présent, animé par sa passion pour la littérature, il a illustré « La princesse de Clèves » aux éditions Gallimard.
Juliette d
14 novembre 2018 @ 05:05
Homme de grand talent. J’adore sa façon de jouer avec les couleurs. Il faut lui souhaiter la meilleure de chances.
Baboula
14 novembre 2018 @ 06:58
Euh… Dans mon imaginaire ce n’est pas tout à fait ainsi que je me représente la princesse de Clèves . Sans doute ai-je été influencée par Marina Vlady dans le film de Jean Delannoy ,romantique avant l’heure et un peu moins danseuse de cabaret .
Mais si cela remet le roman de madame de Lafayette dans l’actualité,pourquoi pas ?
Nivolet
14 novembre 2018 @ 12:47
Dans le sien Giuseppe Arcimboldo est fortement présent, Baboula🤥
Baboula
14 novembre 2018 @ 15:05
Nivolet ,bravo pour Arcimboldo ! Mais ouf ! Nous restons loin du tout végétal .
Nivolet
15 novembre 2018 @ 16:28
Je vais m’attirer les foudres de MDR!!! alias Ratou, Alias Nivolette qui vient encore de m’aligner pour avoir pris la défense du roi du Maroc lors de commémorations du 11 novembre. Je lui ai proposé de critiquer mon com sur la princesse de Clève, j’attends avec délectation😉😂.
Très bonne fin d’après midi à vous.
Quel joli chat, il est à vous Baboula?
Baboula
16 novembre 2018 @ 13:40
Nutella mais Tella pour les amis .
Corsica
14 novembre 2018 @ 17:40
Tout à fait !
Nivolet
15 novembre 2018 @ 16:36
A quelques jours près et en ajoutant quelques cucurbitacées, il aurait été pile poil dans l’actu….🥒🎃
Clémence
14 novembre 2018 @ 08:11
Un « beau livre » qui trouvera aisément sa place sous le sapin dans 6 semaines…
Claudia
14 novembre 2018 @ 08:33
C’est une initiative originale et cette illustration est plutôt jolie. Je me souviens à peine de ce que raconte le roman La Princesse de Clèves, que j’ai étudié à l’école, mais ça fait tellement d’années…..Je n’avais pas vraiment aimé la robe de mariée de la Duchesse de Vendôme, surtout le gros noeud qu’elle avait dans le dos.
Stéphane G.
14 novembre 2018 @ 17:18
et le ventre qui pointait devant vous aviez aimé? heureusement le nœud était bien au dessus de l’estomac…
Mary
16 novembre 2018 @ 00:00
La princesse de Cleves est une charmante bourrique encombrée d’une vertu qui me donnait déjà envie de la secouer quand j’avais 18 ans .: elle est jeune ,elle est belle, on la marie avec le prince de Cleves, qu’elle respecte et aime bien et qui est amoureux d’elle. Rencontre avec le duc de Nemours , jeune et beau : love at first sight , autrement dit, coup de foudre ! Madame de Cleves est fidèle à son mari, très bien,sauf qu’elle lui avoue son amour pour Monsieur de Nemours. Voilà – t-y pas ,que le prince ,le moral dans les hauts de chausse,s’en laisse mourir de langueur !
Madame de Cleves ( désolée,l’accent grave fait de la résistance sur ce clavier ), s’isole et pleurniche : elle a des remords. Monsieur de Nemours vient aux nouvelles : » écoute,cocotte, tu es veuve, on s’aime, et si qu’on s ‘épousait ? » ( non, bien sûr, Mme de la Fayette n’ écrit pas ainsi,mais bon…)
C’est là qu’est apparue mon envie de la secouer : elle n’a pas voulu l’épouser ,la bourrique, parce qu’elle aurait peut- être été un jour jalouse, trompée et malheureuse !
La- dessus, elle tombe malade , s’éloigne de la cour et finit sa vie entre prières et bonnes œuvres ! Monsieur de Nemours souffre des années et sa douleur s’apaise.
Bref, on commence dans la passion et on finit dans le potage au tapioca ( un truc dont je ne peux même pas supporter la vue ) !
Suzanne
14 novembre 2018 @ 08:37
Décidément, j’ai tellement adoré le livre et le film que je ne parviens à voir Madame de Clèves que sous les traits de Marina Vlady.
IANKAL21
14 novembre 2018 @ 10:27
L’ immense talent que « l’ industrie du luxe » a laissé de côté, pour promouvoir les horreurs des favoris du moment.
Emma du Midwest
15 novembre 2018 @ 17:30
Commentaire partager IANKAL21, il reste les voyages en TGV et les uniformes des navigants d’Air France
Leonor
14 novembre 2018 @ 10:50
Lacroix lui a quand même fait une drôle de gueule, à la princesse de Clèves !
Stéphane G.
14 novembre 2018 @ 17:19
je l’ai feuilleté…et vite reposé!
Gatienne
15 novembre 2018 @ 17:53
Oui, Leonor et une bouche en cul de poule, ce que la vertueuse dame n’était vraiment pas !
kalistéa
14 novembre 2018 @ 11:24
La composition est jolie … mais j’espère que la princesse de Clèves était plus belle que cette horreur!
val
14 novembre 2018 @ 13:34
Qu’elle horreur ! la pauvre princesse on dirait une de ces grandes allongées du 19 ème siècle
Denis
14 novembre 2018 @ 14:56
Totalement anachronique et particulièrement malvenue, cette grossière illustration …on se demande ce que cherche, pour gagner sa vie ,cet ex-couturier dont la maison a fait faillite …en tout cas l’illustration d’un fabuleux roman n’y gagne rien …
Muscate-Valeska de Lisabé
14 novembre 2018 @ 16:30
C’est une certaine vision des choses. Ça peut le faire.
Caroline
15 novembre 2018 @ 00:28
Cette illustration me plaît beaucoup par ses vives couleurs et son originalité !
Baboula
15 novembre 2018 @ 16:34
Je vous défie de sortir dans la rue grimée de la sorte . 😄
kalistéa
15 novembre 2018 @ 10:02
Décidément je préfère le souvenir de Marina Vlady .Archimboldo aurait fait le profil avec des fleurs et des boutons de roses …
val
15 novembre 2018 @ 18:58
kalistéa
Moi aussi mais vous savez l’hotel qu’il a décoré à Arles n’a pas toutes les faveurs loin de là , ( surement pas des miennes ) je pense qu’il devrait cesser ses décorations et se remettre à la couture ………………….
kalistéa
17 novembre 2018 @ 12:07
Val , j’avais été invitée deux fois de suite à assister à son défilé « haute couture » alors qu’il était styliste à la maison PATOU . Ces deux années consécutives il a eu le « Dé » d’or . Il faut dire que c’était absolument magnifique . Malheureusement son succès lui est monté à la tête… et on a vu la suite …Il ne retournera pas à la couture car il est « coulé » En rompant son contrat avec la maison Patou , il a contraint celle-ci à fermer . Ce n’était pas une bonne action: Tout se paie !
Baboula
19 novembre 2018 @ 16:37
Je l’ai aussi beaucoup admiré à ses débuts,il était très raffiné ,de belles soieries chatoyantes. Puis il a déliré et son exubérance n’était plus portable au quotidien.