Au Palais des Affaires étrangères et européennes à Paris, la princesse Napoléon et le prince d’Esslingont remis les prix d’Histoire et des Bourses d’études de la Fondation Napoléon. Cette année, trois prix ont été décernés : Prix Premier Empire à Michel Dancoisne-Martineau pour « Chroniques de Sainte-Hélène Atlantique sud » aux Editions Perrin. Michel Martineau est aussi le Consul honoraire de France, conservateur des Domaines français de Sainte-Hélène. Le Prix Second Empire à Nicolas Chaudun pour « L’été en enfer, Napoléon III dans la débâcle » aux Editions Actes Sud et un prix pour un livre non-francophone à Alison Mc Queen pour « Empress Eugenie and the Arts » aux éditions Ashgate. (Merci à LPJ – Copyright photo et source : site de la Fondation Napoléon)
Kalistéa
11 décembre 2011 @ 10:05
Notre incomparable » impératrice » toujours à l’oeuvre et efficace lorsqu’il s’agit de servir le souvenir des deux prestigieux empereurs dont la France est si redevable et que les programes scolaires se proposent de négliger au profit de l’ignorance croissante de nos enfants.
programmes.
LPJ
11 décembre 2011 @ 16:25
Tout à fait de votre opinion. Dans son interview dans Point de Vue, le Prince Napoléon a d’ailleurs largement évoqué ce problème et regretté que l’enseignement laisse une part aussi faible à l’Histoire.
Quant à la Princesse, elle est une incomparable ambassadrice de la famille impériale (et ce depuis plus de 60 ans) et assume encore, malgré son age, de nombreuses obligations.
Espérons que son petit-fils trouve rapidement une compagne (une rumeur que j’ai déjà cité parle d’une idylle avec la Comtesse Olympia von Arco-Zinneberg, descendante du dernier empereur d’Autriche) afin que celle-ci puisse bénéficier des conseils de La Princesse Alix.
Cosmo
12 décembre 2011 @ 21:27
« Réveille-toi, Ville Sacrée, son ombre descend parmi nous! »
Amicalement
Cosmo
jul
11 décembre 2011 @ 10:35
Merci LPJ ! et d’accord avec vous Kalistéa :)
Mayg
11 décembre 2011 @ 13:48
Bien dommage qu’on n’ai pas plus de nouvelles concernant la famille Napoléon…
Mélusine
11 décembre 2011 @ 16:34
Merci LPJ. Un plasir de voir la discrète mais toujours active princesse Napoléon à cette remise des prix annuelle de la fondation.
Caroline
11 décembre 2011 @ 18:31
LPJ,bien merci! D’accord avec Jul et Kalistea!
Maxime
11 décembre 2011 @ 22:37
A 85 ans, l’impératrice douairière demeure extraordinaire ! Mais tout de même, il faudrait voir davantage son petit-fils à ses côtés.
LPJ
12 décembre 2011 @ 09:45
Le Prince Napoléon s’implique auprès de sa grand-mère et des manifestations napoléoniennes.
Mais débutant sa vie professionnelle, tout d’abord à Londres et maintenant à New-York (après des études à HEC et un tour du monde d’un an), il n’est pas aussi disponible qu’il le souhaiterait.
On ne peut donc qu’espérer un prochain retour en Europe et en France, ainsi qu’un mariage.
LPJ
12 décembre 2011 @ 13:29
Précision : le voyage autour du monde a été fait dans le cadre des études du Prince. Avec quatre étudiants issus des grandes écoles françaises, ils ont parcourus le monde Inde, Russie, Japon, Etats-Unis, etc…) pour promouvoir l’enseignement supérieur de France auprès de lycéens étrangers.
Le prince Napoléon était bien là dans sa volonté de servir la France et de promouvoir sa culture et son patrimoine. Dans ce registre, il patronne le Comité mis en place par la Fondation Napoléon et qui récolte des fonds pour co-financer avec l’Etat français la restauration du domaine de Longwood à Saint-Hélène.
Jean Pierre
13 décembre 2011 @ 14:17
« Impératrice douairière »….soyons simple et repectueux, princesse suffit à Mlle de Foresta.
LPJ
13 décembre 2011 @ 19:44
Ce serait son titre si la France était encore un Empire.
Il est certes de tradition en parlant d’un chef de maison non régnante d’écrire « roi ou empereur de jure ». Ce n’est qu’une formule qu’aucun n’utilise dans la vie courante ; et la Princesse Napoléon encore moins, étant une personne simple.
Née Alix de Foresta (d’une famille noble provençale dont le chef porte le titre de Marquis), elle est devenue en 1949 Princesse et altesse impériale par son mariage avec le Prince Napoléon.
Les règles familiales des Bonaparte en effet n’impose pas d’égalité de naissance pour les épouses des Princes dynastes. En résumé si on prend les deux princes dynastes de la famille impériale encore célibataires (Jean-Christophe et son oncle Jérôme), ils conserveront leurs droits en épousant civilement une femme non divorcée. Et les enfants issus d’une telle union seront eux-même dynastes.
erwan
13 décembre 2011 @ 01:54
Quel bonheur de revoir la discrète princesse Napoléon. Les lys ont tant fané que cette présence si rare me rassure.