A Buenos Aires, la reine Margrethe de Danemark a visité le théâtre Colon qui est l’opéra. La reine a pu assister à des essais de la représentation de Rigoletto. (Copyright photos : Cour royale de Danemark)
A Buenos Aires, la reine Margrethe de Danemark a visité le théâtre Colon qui est l’opéra. La reine a pu assister à des essais de la représentation de Rigoletto. (Copyright photos : Cour royale de Danemark)
framboiz 07
21 mars 2019 @ 11:23
Reine et artiste !
Le Colon : l’opéra le plus célèbre d’Amérique du Sud !
Laure-Marie Sabre
21 mars 2019 @ 14:40
Le premier à avoir été construit sur le continent.
Pierre-Yves
21 mars 2019 @ 18:54
C’est aussi une des salles d’opéra les plus prestigieuses du monde et une des plus vastes dans cette disposition à l’Italienne. Le Teatro Colon a subi une très belle restauration il y a une petite dizaine d’années qui lui a rendu tout son lustre. Les Portenos y sont passionnément attachés, presque autant qu’au foot, ce qui n’est pas peu dire.
milou
21 mars 2019 @ 12:10
Qui est cette ravissante et élégante dame à ses côtés ?
Ridicule, tellement, le chapeau… mais il cache sa non-coiffure !😉
Madame_Met
21 mars 2019 @ 15:18
La dame est Mme Bárbara Diez, épouse de M. Horacio Rodriguez Larreta, maire de la ville de Buenos Aires.
milou
22 mars 2019 @ 17:59
Merci Madame _Met… étant une admiratrice de Juliana Awada… je l’aurrais reconnue, Gérard !
Gérard
21 mars 2019 @ 15:42
C’est la belle Juliana Awada Mme Mauricio Macri la first lady.
Gérard
22 mars 2019 @ 13:38
Met a raison et c’est bien l’épouse du maire à ses côtés. Il y a beaucoup de jolies Argentines.
Danielle
21 mars 2019 @ 12:21
Ce théâtre semble fort joli.
milou
21 mars 2019 @ 12:31
Oui Danielle… et fresque de plafond magnifique !
Cosmo
21 mars 2019 @ 18:21
C’est un des plus célèbres au monde. Y chanter est une consécration pour un artiste lyrique.
Bon weekend
Cosmo
Juliette d
21 mars 2019 @ 14:53
A Buenos Aires, ã cette date, puisque c’est l’automne là-bas, il n’y a que la reine du Danemark pour s’habiller en rose.
Zeugma
21 mars 2019 @ 18:25
Plus personne ne porte de chapeau dans une salle de spectacle à plus forte raison une capeline. Cela dit, c’était une répétition et ne risquait donc pas de gêner. Le diadème est toujours possible.
Marie
21 mars 2019 @ 19:15
Superbe théâtre et reine magnifique
Clara
21 mars 2019 @ 19:18
La décoration de la coupole (que la reine examine) est l’oeuvre de Raoul Soldi, peintre argentin qui étudia en Europe et fut (entre autres activités picturales) décorateur pour des films hollywoodiens… elle représente une ronde de personnages de théâtre, de ballet et d’opéra qui fut représentée sur scène avec des musiques de Respighi le soir de l’ultime inauguration du Colon après sa remise en état dans les années 60 du siècle passé.
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:La_cúpula.jpg
Caroline
21 mars 2019 @ 22:53
Par sa taille, son acoustique et son histoire, cet opéra est considéré comme un des meilleurs du monde. A lire l’article fort intéressant sur le Colon chez Tonton Google!
C’est une belle visite plaisante au Colon pour la reine de Danemark passionnée par les arts!
Val
22 mars 2019 @ 07:49
Miss Marple à l’opéra ! Cet édifice est magnifique , mes 4 préférés sont : Paris Garnier, Bastille aucun intérêt pour moi, la Scala, Vienne et Moscou !
Baboula
22 mars 2019 @ 13:47
Et la Fenice ! Même si ce n’est qu’une belle copie !
Gérard
22 mars 2019 @ 17:54
La coupole principale fut peinte initialement par le français Marcel Jambon (1848-1908) qui comptait sur la collaboration d’Édouard Detaille. Les peintures furent réalisées à Paris dans l’atelier du peintre et représentaient Apollon sur son char tiré par quatre coursiers blancs et précédant le cortège des muses. Dans les années 1930 il y eut des fuites d’eau qui endommagèrent la peinture originale notamment à l’occasion du carnaval de 1936. On aurait stocké des barres de glace pour rafraîchir la salle. Selon d’autres sources c’est le revêtement extérieur à la feuille de plomb qui a été fissuré. Dans les années 60 on envisagea une nouvelle fresque pour remplacer l’ancienne.
Le dôme était en effet resté nu et l’exemple de l’opéra de Paris fut à l’origine d’une commande à Raul Soldi (1905-1994) qui offrit son temps et son travail pour peindre 16 tissus représentant 320 mètres carrés où il voulut évoquer la magie du théâtre.
La nouvelle peinture a été inaugurée le 25 mai 1966 avec la représentation des Danses anciennes et aériennes d’Ottorino Respighi. Les costumes, également conçus par Soldi, étaient les mêmes que ceux portés par les personnages qui décorent la peinture, c’est-à-dire 51 danseurs et chanteurs avec leurs instruments de musique et pendant qu’ils attendent, ils jouent aux échecs. Cette image vient de l’enfance de Soldi, qui a accompagné son père, talentueux violoncelliste au Colón et à ses loges.
« Le projet est né car après tant d’années le dôme avait été peint en gris, désagréable et sombre, et chaque fois que je le regardais, je pensais qu’il ne correspondait pas à notre théâtre », a expliqué Soldi.
Le lustre lui pèse plus d’une tonne, il a été installé en 1908 et restauré en 2010.