La reine de Danemark a assisté à l’inauguration de l’église de Wittenberg en Allemagne, après des travaux de restauration de celle-ci. Le président allemand Joachim Gauck était aussi présent. (Copyright photos : Getty images)
D’après ce que j’ai compris c’est la Reine qui a conçu (et exécuté ? Je ne suis pas sûre d’avoir correctement compris le commentaire allemand) la tenture qui se trouve sur le devant de l’autel (et non hôtel comme j’ai récemment lu dans des sous-titres !).
Dans son petit discours, la Reine a rappelé que l’église danoise est une des premières à avoir adopté la Réforme luthérienne. En 2017 les protestants fêteront les 600 de la Réforme (https://www.luther2017.de/fr/)-.
Le texte en danois cité ( en lien) par Ogier précise bien que la reine a brodé cet antependium elle-même.
On savait que Margrethe brodait.
« Antependium » : le textile étendu au devant de l’autel, côté fidèles, = » qui pend devant ».
Triste de voir une souveraine seule parce que Monsieur préfère la belle vie de retraité…
Cela dit, elle pourrait abdiquer et profiter de ce qui lui reste de vie avec son prince. Elle n’a pas été sacrée et contrairement à la Reine Elizabeth, n’a pas cette excuse pour s’accrocher au trône
Ogier, je serais curieuse de savoir si l’antependium a été brodé dans son intégralité – soit aussi la partie fleurie rouge- ou seulement la rosace et les parties latérales. Merci d’avance.
En tout cas Margrethe est une « sacrée Reine » !
Clementine, à bien regarder la photo fournie par le lien d’Ogier, je pense que les broderies sont en effet la rose, et les motifs floraux des parties latérales.
La partie médiane est composée d’un tissu rouge à tissage de fleurs .
Cela n’enlève rien à la valeur du travail de broderie de Margrethe.
Merci, Ogier, pour vos commentaires intéressants. J’ignorais tout des ancêtres luthériens du prince Henrik. Et vous savez ce qu’est un antependium ! Dans les églises catholiques, on n’en voit quasi plus (quelques-uns en Savoie). Depuis la grande frénésie minimaliste post-conciliaire, ils sont relégués au mieux dans les musées diocésains, souvent dans les greniers des sacristies.
Contraire à son cousin et homologue suédois, qui ira à Wittenberg quelque jours plus tard, la reine Margrethe ne descend pas d’un pasteur luthérien allemand comme Joachim Gauck, le président allemand. Carl XVI Gustaf est l’arrière-arrière-arrière-petit-fils de la princesse Louise Auguste de Danemark (surnommée « la petite Struensee »), la fille biologique du dr. Struensee, le dictateur éclairé danois, qui était fils du pasteur et théologien Adam Struensee, professeur à l’université de Halle et surintendant général (= archevêque luthérien) des duchés de Schleswig et de Holstein.
Adam Struensee lui-même descendait aussi des pasteurs: Lorenz Schäffer, pasteur à Bantikow en Brandembourg au XVII siècle et Samuel Geisdorf, pasteur à Wansdorf dans la même période.
Mais le prochain roi de Danemark, Frederik, va aussi descendre des pasteurs luthériens – par son père français: L’arrière-arrière-grand-père du prince Henrik était Christian Friedrich Emmanuel Hallberger, dr. phil., pasteur, professeur de lycée et Allemand emigré en France. Son père et grand-père étaient tous les pasteurs luthériens en Wurttemberg et il y avait un sacre tas de pasteurs remontant au XVII siècle dans l’ascendance allemande du prince Henrik. Voir http://www.wargs.com/royal/laborde.html
L’oncle de la reine Silvia de Suède, Ernst Sommerlath, était lui aussi pasteur et célèbre théologien allemand. Aussi dans leur ascendance il y avait un bon nombre des pasteurs et théologiens en Hesse et Basse-Saxe.
Correction:
Son père et grand-père étaient tous les DEUX pasteurs luthériens en Wurttemberg.
On peut voir que étudier la théologie et devenir pasteur était un moyen d’avancement social pour les fils de paysans riches ou des négociants. En général les eglises luthériennes d’état étaient moins riches que l’Église catholique (le monarque / l’état ayant approprié la plupart de leurs richesses), mais les pasteurs étaient mieux payés que les simples prètres curés (et les dominees calvinistes?), constituant une haute classe moyenne entre la noblesse et la bourgeoisie. En Norvège, sans une véritable noblesse terrienne, le clergé, sur leurs grandes fermes presbytères dans la campagne, constituait la noblesse provinciale.
donc dominants, le contraire de dominés. ouf ! comme cela ne s’utilise pas, on peut proposer « révérends », comme pour une abbesse est « révérende mère »
nous disons, « monsieur le pasteur », comme les bretons « monsieur le recteur » à leur curé.
Et, après tous ce parler de pasteurs allemands – une drôle chanson en bas-allemand:
Herrn Pastor sien kau = La vache de monsieur le pasteur: https://www.youtube.com/watch?v=5BZcW3QLAJo
Merci pour toytes ces innfos, Ogier.
Ainsi, Carl Gustav descend aussi de Struensee. Intéressant. Et de Bernadotte, donc. Deux gaillards intéressants, intelligents, et à la tête politique, ainsi qu’opportuniste d’ailleurs.
Et Henri (de) Monpezat ex Henrik descend de pasteurs allemands ? Comment ça, où ça ? Le savez-vous Ogier ? Où avez-vous trouvé cela ?
A propos de l’ascenseur social qu’était la prêtrise ou le » pastorat » (? comment dit-on cela, correctement ?) :
Partout, toujours, la fonction de chaman, druide, prêtre, sorcier, pasteur ( tous termes non péjoratifs ici) , rabbin, marabout, a toujours été une promotion sociale.
Rôle de » sachant », de guérisseur souvent, de mémoire, de conseil, de lettré , et , accessoirement ou principalement, d’intermédiaire avec les puissances divines quelles qu’elles soient.
= l’une des trois fonctions dans la lecture de Dumézil : le prêtre, le guerrier, le producteur.
Cette répartition des trois fonctions reste fondamentale dans la mémoire collective.
Vouloir l »ignorer , quand on est au pouvoir – politique- est une lourde erreur. Une erreur très française.
J’ai la descendance du prince Henrik de l’éminente généalogiste américain William Reitwiesner, qui a publié les généalogies d’un grand nombre de personnes célèbres ici: http://www.wargs.com/
Votre pensées sur le sacerdoce sont très à propos, mais spécifique pour les pasteurs luthériens était peut-être la possibilité d’un direct avancement social par le sacerdoce, alors que la même était seulement indirectement possible pour la famille étendue dans le catholicisme (en raison du célibat). Dans d’autres réligions (brahmines dans l’hindouïsme) le sacerdoce était limité à une caste close.
Quant aux rabbins juifs c’était peut-être comme dans le catholicisme: Plus de capital culturel et social qu’économique.
Dans l’orthodoxie on peut observer quelque-chose de même que dans le luthérisme: Les enfants des prêtres (les Popov) savaient peut-être lire, mais le bas clergé orthodoxe était plus pauvre que leurs homologues luthériens, parce que les vraies richesses se trouvaient chez les abbayes, controlés par le haut clergé célibataire.
Le travail sur l’ascendance allemande du prince Henrik a été publié la 1ère fois dans l’excellente revue « Archiv für Sippenforschung » par Gerd Wunder : « Die deutschen bürgerlichen Vorfahren des dänischen Thronfolgers « , dans les n°s 33 de février 1969 aux pages 10 à 23, 34 de mai 1969 aux pages 88 à 101, 35 d’août 1969 aux pages 281 à 292, 36 de novembre 1969 aux pages 281 à 292 & 37 de février 1970 aux pages 363 à 373.
Gerd Wunder a établi des parentés du prince avec de Gaulle, Goethe, Wieland, les Brentano, Hegel, Grace de Monaco, Schiller, Margrethe II, Richard de Sayn Wittgenstein Berleburg, les Liebknecht…
Ces renseignements se trouvent repris dans l’excellent travail de Joseph Valynseele (son meilleur livre à mon avis) : « Les Laborde de Monpezat et leurs alliances » , paru en 1975 qui a dû se vendre comme les cercueils à deux places !
La Reine est fort joliment habillée ici.
J’aime bien Margrethe comme elle est, y compris voire surtout loufoquement sapée la plupart du temps.
Mais ici, tout est bien. Comme si elle avait emprunté une tenue à sa soeur Benedikte.
J’ai pensé , comme Vous , pour Bénédikte !
Angela Merkel est fille de pasteur, aussi , les Debré , des descendants de rabbins alsaciens , revenus vers la France (Sedan ) après 1870 …
L’année prochaine seront commémorés les 500 ans des 95 thèses de Martin Luther.
Une lecture et une étude nécessaire et d’actualité avec la persistance de la croyance dans le « rachat » individuel et des oeuvres méritoires.
Une très très sympathique femme…Une reine aimée et proche de son peuple…!
Elle devrait toutefois, laisser sa place à la belle Mary…qui nous charmerait un peu plus, question élégance…car Margrethe est de loin la femme-la reine la moins élégante que je connaisse !!!!!!!!
cricri
3 octobre 2016 @ 09:17
Elle affectionne ces couleurs vert-bleu et cela lui va très bien
Danielle
3 octobre 2016 @ 10:30
La reine était bien élégante pour cette inauguration.
Anastasie
3 octobre 2016 @ 10:58
D’après ce que j’ai compris c’est la Reine qui a conçu (et exécuté ? Je ne suis pas sûre d’avoir correctement compris le commentaire allemand) la tenture qui se trouve sur le devant de l’autel (et non hôtel comme j’ai récemment lu dans des sous-titres !).
Dans son petit discours, la Reine a rappelé que l’église danoise est une des premières à avoir adopté la Réforme luthérienne. En 2017 les protestants fêteront les 600 de la Réforme (https://www.luther2017.de/fr/)-.
Leonor
4 octobre 2016 @ 09:15
Le texte en danois cité ( en lien) par Ogier précise bien que la reine a brodé cet antependium elle-même.
On savait que Margrethe brodait.
« Antependium » : le textile étendu au devant de l’autel, côté fidèles, = » qui pend devant ».
Isa C
3 octobre 2016 @ 16:03
Triste de voir une souveraine seule parce que Monsieur préfère la belle vie de retraité…
Cela dit, elle pourrait abdiquer et profiter de ce qui lui reste de vie avec son prince. Elle n’a pas été sacrée et contrairement à la Reine Elizabeth, n’a pas cette excuse pour s’accrocher au trône
Ogier le Danois
3 octobre 2016 @ 20:13
La reine a brodé un antependium neuf pour l’autel de l’église.
Ogier le Danois
3 octobre 2016 @ 20:14
Que l’on peut voir ici: http://www.b.dk/nationalt/dronning-margrethe-besoegte-luthers-kirke-med-en-gave-hun-har-brugt-over-500-time
Elle a mis 500 heures pour cet ouvrage.
Ogier le Danois
3 octobre 2016 @ 21:48
Le motif central étant la rose de Luther.
clementine1
4 octobre 2016 @ 09:16
Ogier, je serais curieuse de savoir si l’antependium a été brodé dans son intégralité – soit aussi la partie fleurie rouge- ou seulement la rosace et les parties latérales. Merci d’avance.
En tout cas Margrethe est une « sacrée Reine » !
Ogier le Danois
4 octobre 2016 @ 14:54
J’en ne suis pas sûr.
Leonor
5 octobre 2016 @ 09:29
Clementine, à bien regarder la photo fournie par le lien d’Ogier, je pense que les broderies sont en effet la rose, et les motifs floraux des parties latérales.
La partie médiane est composée d’un tissu rouge à tissage de fleurs .
Cela n’enlève rien à la valeur du travail de broderie de Margrethe.
Marie1
4 octobre 2016 @ 12:59
Merci Ogier pour ces précisions.
Antoine
4 octobre 2016 @ 09:50
Merci, Ogier, pour vos commentaires intéressants. J’ignorais tout des ancêtres luthériens du prince Henrik. Et vous savez ce qu’est un antependium ! Dans les églises catholiques, on n’en voit quasi plus (quelques-uns en Savoie). Depuis la grande frénésie minimaliste post-conciliaire, ils sont relégués au mieux dans les musées diocésains, souvent dans les greniers des sacristies.
Ogier le Danois
3 octobre 2016 @ 20:41
Contraire à son cousin et homologue suédois, qui ira à Wittenberg quelque jours plus tard, la reine Margrethe ne descend pas d’un pasteur luthérien allemand comme Joachim Gauck, le président allemand. Carl XVI Gustaf est l’arrière-arrière-arrière-petit-fils de la princesse Louise Auguste de Danemark (surnommée « la petite Struensee »), la fille biologique du dr. Struensee, le dictateur éclairé danois, qui était fils du pasteur et théologien Adam Struensee, professeur à l’université de Halle et surintendant général (= archevêque luthérien) des duchés de Schleswig et de Holstein.
Ogier le Danois
3 octobre 2016 @ 21:11
Adam Struensee lui-même descendait aussi des pasteurs: Lorenz Schäffer, pasteur à Bantikow en Brandembourg au XVII siècle et Samuel Geisdorf, pasteur à Wansdorf dans la même période.
Mais le prochain roi de Danemark, Frederik, va aussi descendre des pasteurs luthériens – par son père français: L’arrière-arrière-grand-père du prince Henrik était Christian Friedrich Emmanuel Hallberger, dr. phil., pasteur, professeur de lycée et Allemand emigré en France. Son père et grand-père étaient tous les pasteurs luthériens en Wurttemberg et il y avait un sacre tas de pasteurs remontant au XVII siècle dans l’ascendance allemande du prince Henrik. Voir http://www.wargs.com/royal/laborde.html
L’oncle de la reine Silvia de Suède, Ernst Sommerlath, était lui aussi pasteur et célèbre théologien allemand. Aussi dans leur ascendance il y avait un bon nombre des pasteurs et théologiens en Hesse et Basse-Saxe.
Anastasie
4 octobre 2016 @ 07:18
Le président Joachim Gauck est lui-même aussi pasteur.
Ogier le Danois
4 octobre 2016 @ 14:52
Oui, c’est que je voulais dire.
Ogier le Danois
3 octobre 2016 @ 21:25
Correction:
Son père et grand-père étaient tous les DEUX pasteurs luthériens en Wurttemberg.
On peut voir que étudier la théologie et devenir pasteur était un moyen d’avancement social pour les fils de paysans riches ou des négociants. En général les eglises luthériennes d’état étaient moins riches que l’Église catholique (le monarque / l’état ayant approprié la plupart de leurs richesses), mais les pasteurs étaient mieux payés que les simples prètres curés (et les dominees calvinistes?), constituant une haute classe moyenne entre la noblesse et la bourgeoisie. En Norvège, sans une véritable noblesse terrienne, le clergé, sur leurs grandes fermes presbytères dans la campagne, constituait la noblesse provinciale.
HRC
5 octobre 2016 @ 08:29
les dominés calvinistes ? que voulez-vous dire, ? les pasteurs calvinistes dominés par les conseils de paroisses ?
Ogier le Danois
5 octobre 2016 @ 13:13
Non, « dominee » est le prédicat (vieillot?) néerlandais pour les pasteurs calvinistes.
Du latin « dominus », seigneur.
HRC
6 octobre 2016 @ 10:17
donc dominants, le contraire de dominés. ouf ! comme cela ne s’utilise pas, on peut proposer « révérends », comme pour une abbesse est « révérende mère »
nous disons, « monsieur le pasteur », comme les bretons « monsieur le recteur » à leur curé.
Ogier le Danois
3 octobre 2016 @ 21:29
Et, après tous ce parler de pasteurs allemands – une drôle chanson en bas-allemand:
Herrn Pastor sien kau = La vache de monsieur le pasteur:
https://www.youtube.com/watch?v=5BZcW3QLAJo
clementine1
4 octobre 2016 @ 09:22
MERCI Ogier pour la leçon d’histoire et les liens.
Leonor
4 octobre 2016 @ 09:29
Merci pour toytes ces innfos, Ogier.
Ainsi, Carl Gustav descend aussi de Struensee. Intéressant. Et de Bernadotte, donc. Deux gaillards intéressants, intelligents, et à la tête politique, ainsi qu’opportuniste d’ailleurs.
Et Henri (de) Monpezat ex Henrik descend de pasteurs allemands ? Comment ça, où ça ? Le savez-vous Ogier ? Où avez-vous trouvé cela ?
A propos de l’ascenseur social qu’était la prêtrise ou le » pastorat » (? comment dit-on cela, correctement ?) :
Partout, toujours, la fonction de chaman, druide, prêtre, sorcier, pasteur ( tous termes non péjoratifs ici) , rabbin, marabout, a toujours été une promotion sociale.
Rôle de » sachant », de guérisseur souvent, de mémoire, de conseil, de lettré , et , accessoirement ou principalement, d’intermédiaire avec les puissances divines quelles qu’elles soient.
= l’une des trois fonctions dans la lecture de Dumézil : le prêtre, le guerrier, le producteur.
Cette répartition des trois fonctions reste fondamentale dans la mémoire collective.
Vouloir l »ignorer , quand on est au pouvoir – politique- est une lourde erreur. Une erreur très française.
Ogier le Danois
4 octobre 2016 @ 14:50
J’ai la descendance du prince Henrik de l’éminente généalogiste américain William Reitwiesner, qui a publié les généalogies d’un grand nombre de personnes célèbres ici: http://www.wargs.com/
Votre pensées sur le sacerdoce sont très à propos, mais spécifique pour les pasteurs luthériens était peut-être la possibilité d’un direct avancement social par le sacerdoce, alors que la même était seulement indirectement possible pour la famille étendue dans le catholicisme (en raison du célibat). Dans d’autres réligions (brahmines dans l’hindouïsme) le sacerdoce était limité à une caste close.
Quant aux rabbins juifs c’était peut-être comme dans le catholicisme: Plus de capital culturel et social qu’économique.
Dans l’orthodoxie on peut observer quelque-chose de même que dans le luthérisme: Les enfants des prêtres (les Popov) savaient peut-être lire, mais le bas clergé orthodoxe était plus pauvre que leurs homologues luthériens, parce que les vraies richesses se trouvaient chez les abbayes, controlés par le haut clergé célibataire.
Leonor
5 octobre 2016 @ 09:31
Merci pour votre réponse, Ogier, et pour la chanson de la vache ! ;-)
Dominique Charenton
5 octobre 2016 @ 20:58
Bonjour Ogier,
Bonjour Leonor
Le travail sur l’ascendance allemande du prince Henrik a été publié la 1ère fois dans l’excellente revue « Archiv für Sippenforschung » par Gerd Wunder : « Die deutschen bürgerlichen Vorfahren des dänischen Thronfolgers « , dans les n°s 33 de février 1969 aux pages 10 à 23, 34 de mai 1969 aux pages 88 à 101, 35 d’août 1969 aux pages 281 à 292, 36 de novembre 1969 aux pages 281 à 292 & 37 de février 1970 aux pages 363 à 373.
Gerd Wunder a établi des parentés du prince avec de Gaulle, Goethe, Wieland, les Brentano, Hegel, Grace de Monaco, Schiller, Margrethe II, Richard de Sayn Wittgenstein Berleburg, les Liebknecht…
Ces renseignements se trouvent repris dans l’excellent travail de Joseph Valynseele (son meilleur livre à mon avis) : « Les Laborde de Monpezat et leurs alliances » , paru en 1975 qui a dû se vendre comme les cercueils à deux places !
Leonor
6 octobre 2016 @ 14:03
Merci pour l’info, Dominique.
Et… pour le rire à propos des cercueils à deux places !
Anna Claudia
3 octobre 2016 @ 23:03
Cet ensemble, quel effet fluo ! Sa majesté la reine Elizabeth est enfoncée !
antonia
4 octobre 2016 @ 04:49
Charmante comme de coutume la reine a tennu un tres beau discour en allemand.
Leonor
4 octobre 2016 @ 09:31
La Reine est fort joliment habillée ici.
J’aime bien Margrethe comme elle est, y compris voire surtout loufoquement sapée la plupart du temps.
Mais ici, tout est bien. Comme si elle avait emprunté une tenue à sa soeur Benedikte.
framboiz 07
4 octobre 2016 @ 12:52
J’ai pensé , comme Vous , pour Bénédikte !
Angela Merkel est fille de pasteur, aussi , les Debré , des descendants de rabbins alsaciens , revenus vers la France (Sedan ) après 1870 …
jul
4 octobre 2016 @ 11:31
L’année prochaine seront commémorés les 500 ans des 95 thèses de Martin Luther.
Une lecture et une étude nécessaire et d’actualité avec la persistance de la croyance dans le « rachat » individuel et des oeuvres méritoires.
marielouise
4 octobre 2016 @ 12:41
Une très très sympathique femme…Une reine aimée et proche de son peuple…!
Elle devrait toutefois, laisser sa place à la belle Mary…qui nous charmerait un peu plus, question élégance…car Margrethe est de loin la femme-la reine la moins élégante que je connaisse !!!!!!!!
ml
Danielle
4 octobre 2016 @ 17:49
Une reine artiste, cela fait plaisir à voir et lire que son travail soit bien reconnu.
J’ai vu des photos de l’église, elle possède de beaux vitraux.