Passionnée de culture, la reine Elisabeth (arrière-grand-mère du roi Philippe) est surtout associée à la musique. Dans la revue « Museum Dynasticum » de l’Association Dynastie et Patrimoine Culturel, Barbara de Muyser Lantwyck a écrit « La reine Elisabeth et le mécénat artistique : l’entre-deux-guerres, une période phare », un intéressant article de 27 pages qui dévoile des aspects plus méconnus. Cliquez ici pour lire un article à ce sujet.
Elena1
6 octobre 2019 @ 09:17
Elle était une grande Dame, n’ayant pas peur de s’opposer aux dictats du palais. Une Dame libre, intelligente, cultivée et ouverte au monde.
Le palais n’a jamais, malgré mes demandes du temps de Baudouin, voulu organiser quoi que ce soit, pour honorer sa mémoire.
septentrion
6 octobre 2019 @ 10:56
Régine,
Pouvez-vous nous informer de la date et du lieu de la photo?
Georges
7 octobre 2019 @ 08:11
A Moscou, en visite chez l’Armerie du Kremlin. On on voit la couronne du tsar.
Dommage, la reine etait sympathisante de sovietiques.
septentrion
7 octobre 2019 @ 11:33
Merci Georges
La Reine Elisabeth s’était également rendue en Chine communiste.
PIerre-Yves
6 octobre 2019 @ 13:43
L’épouse du roi Albert 1er, Allemande de naissance, n’était pas seulement l’amie des arts, elle était aussi un esprit étonnamment libre et affranchi des usages de son milieu de son époque.
Les personnalités anticonformistes ne sont pas forcément plus admirables et vertueuses que les autres, mais il faut bien avouer qu’elles sont souvent plus riches et intéressantes. En tout cas, à moi, la reine Elisabeth de Belgique a toujours semblé une des plus singulières et attachantes de la galaxie royale.
Silvia
6 octobre 2019 @ 20:59
Je rejoins votre commentaire, Pierre-Yves.
Alice
6 octobre 2019 @ 14:41
Fille du duc en Bavière, Charles-Théodore, nièce et filleule de l’impératrice d’Autriche, Elisabeth, la célèbre “Sissi”, la Reine des Belges Elisabeth, femme du Roi Albert, ne manquait pas de fortes personnalités autour d’elle! Son père, lui-même, n’avait pas hésité à tourner le dos aux coutumes de son époque et de son rang pour apprendre la médecine. Devenu un ophtalmologiste renommé, le duc-médecin et sa femme soignaient gratuitement les pauvres dans la clinique qu’ils avaient fondée.
Cosmo
6 octobre 2019 @ 17:55
Nièce de l’impératrice Elisabeth, cousine germaine de l’impératrice Zita, de la grande-duchesse Charlotte de Luxembourg, mère du roi Léopold et de la reine Marie-Jose d’Italie etc…la reine Elisabeth avait aussi en elle l’humanisme de son père, le duc Karl-Theodor en Bavière, le seul prince de son époque à avoir fait des études de médecine, devenu une sommité en ophtalmologie. Bien entendu, ses services n’étaient pas rémunérés.
Avec une foi pas très profonde, de sérieuses convictions sociales, voire socialistes, un sens artistique certain, la reine détonait dans son milieu mais elle fut la plus grande reine des Belges. On lui doit l’expression du « rideau de fer » pour signifier une séparation territoriale et politique absolue, attitude qu’elle adopta en 1914, coupant tout lien avec l’Allemagne, malgré son grand attachement à sa famille bavaroise. Elle fut et reste un grand exemple du courage qu’il faut parfois avoir en dépit de tout.
Pascal
7 octobre 2019 @ 05:33
Est-ce que ce ne sont pas les regalia de l’empire autrichien ?
Anne-Cécile
7 octobre 2019 @ 06:12
Photo certainement prise au Palais des Armures au Kremlin de Moscou. On reconnaît les couronnes des Romanov.
Mon aïeule était très amie avec une de ses dames d’honneur, et certaines anecdotes ont été recueillies.
Une grande Dame en effet, son mari également était un être exceptionnel, mais pas les plus malins et affectueux des parents.
beji
7 octobre 2019 @ 12:06
Elle devait tenir son anticonformisme de son côté Wittelsbach.