A Combermere Barracks à Windsor, la reine Elizabeth a visité les installations de la cavalerie, ne manquant pas au passage de saluer les chevaux du régiment. (Copyright photos : Getty images)
Elle entre en contact physique avec les chevaux plus facilement qu’avec ses sujets !
Avec eux, il est vrai, pas de risque d’agression verbale ou physique (enfin… pas volontaire disons, car ces braves bêtes réservent parfois quelques surprises).
La Reine est visiblement heureuse et à son aise dans ce milieu, et naturellement, encore plus avec les chevaux.
Je n’y connais trop rien en chevaux, mais, si c’est comme avec les chiens, ces bêtes doivent sentir immédiatement qui les apprécie et qui non, qui les craint et qui non.
Leur attitude est en conséquence.
La Reine, donc, n’a pas grand’chose à craindre d’eux.
Surtout qu’on peut supposer qu’on ne lui amène pas le plus hargneux des canassons pour le câlin gratte-gratte d’usage !
Je confirme, Leonor.
Les chevaux ont une parfaite perception de ceux qui les aiment et de ceux qui les craignent.
Si on les craint, il vaut mieux les ignorer, car ils en profitent pour malmener leur cavalier. Mais souvent cheval « méchant » est cheval qui souffre ou a souffert.
Je me souviens d’un certain « Imrose ». Il mordillait tout le monde et nombreuses étaient les apprenties cavalières qui en avaient peur.
Mélusine (se prenant pour St François d’Assise) pas toujours courageuse mais parfois téméraire s’est évidemment empressée d’approcher cette « terreur », sans aucun état d’âme, et de lui caresser les naseaux en lui racontant des fadaises (de toutes façons, qu’est-ce que ça comprend, un cheval ?)
Sont-ce les caresses ou les fadaises ou la conjonction des deux ? Notre Imrose est devenu doux comme un agneau, obéissant comme un bon toutou et s’est laissé mener sans tenter la moindre perfidie.
Il a eu droit au même traitement chaque semaine pendant pas mal de temps et nous sommes devenus très bons amis, jusqu’à ce qu’il soit transféré, l’âge venant, dans un haras de Normandie où il a fini ses jours paisiblement, se contentant de balader les gens.
Mais il y a une grande différence entre amadouer un grognon et dompter un cheval rétif.
La reine est réputée aimer, savoir évaluer et faire entraîner les chevaux. C’est un don que, paraît-il, elle possédait déjà étant très jeune. Une chance !
Caroline
27 novembre 2012 @ 14:16
Loool,la Reine n’a pas besoin de faire des efforts protocolaires envers les chevaux,vu sa passion connue de l’équitation!
Elsi
28 novembre 2012 @ 21:00
Pas besoin d’effort protocolaire pour la reine, donc pas besoin non plus pour les chevaux de faire la révérence … EQUItable quoi.
Mélusine
27 novembre 2012 @ 15:05
« A horse ! A horse ! My kingdom for a horse !
Mais l’histoire continue et la reine s’en retourne, toute guillerette.
ARAMIS
27 novembre 2012 @ 20:43
Elle entre en contact physique avec les chevaux plus facilement qu’avec ses sujets !
Avec eux, il est vrai, pas de risque d’agression verbale ou physique (enfin… pas volontaire disons, car ces braves bêtes réservent parfois quelques surprises).
aubert
27 novembre 2012 @ 20:54
les activités de la souveraine témoignent de sa bonne santé mais, malgré tout, les années passent et pèsent.
Leonor
27 novembre 2012 @ 23:35
La Reine est visiblement heureuse et à son aise dans ce milieu, et naturellement, encore plus avec les chevaux.
Je n’y connais trop rien en chevaux, mais, si c’est comme avec les chiens, ces bêtes doivent sentir immédiatement qui les apprécie et qui non, qui les craint et qui non.
Leur attitude est en conséquence.
La Reine, donc, n’a pas grand’chose à craindre d’eux.
Surtout qu’on peut supposer qu’on ne lui amène pas le plus hargneux des canassons pour le câlin gratte-gratte d’usage !
Mélusine
28 novembre 2012 @ 20:01
Je confirme, Leonor.
Les chevaux ont une parfaite perception de ceux qui les aiment et de ceux qui les craignent.
Si on les craint, il vaut mieux les ignorer, car ils en profitent pour malmener leur cavalier. Mais souvent cheval « méchant » est cheval qui souffre ou a souffert.
Je me souviens d’un certain « Imrose ». Il mordillait tout le monde et nombreuses étaient les apprenties cavalières qui en avaient peur.
Mélusine (se prenant pour St François d’Assise) pas toujours courageuse mais parfois téméraire s’est évidemment empressée d’approcher cette « terreur », sans aucun état d’âme, et de lui caresser les naseaux en lui racontant des fadaises (de toutes façons, qu’est-ce que ça comprend, un cheval ?)
Sont-ce les caresses ou les fadaises ou la conjonction des deux ? Notre Imrose est devenu doux comme un agneau, obéissant comme un bon toutou et s’est laissé mener sans tenter la moindre perfidie.
Il a eu droit au même traitement chaque semaine pendant pas mal de temps et nous sommes devenus très bons amis, jusqu’à ce qu’il soit transféré, l’âge venant, dans un haras de Normandie où il a fini ses jours paisiblement, se contentant de balader les gens.
Mais il y a une grande différence entre amadouer un grognon et dompter un cheval rétif.
La reine est réputée aimer, savoir évaluer et faire entraîner les chevaux. C’est un don que, paraît-il, elle possédait déjà étant très jeune. Une chance !
Leonor
27 novembre 2012 @ 23:35
Parfaite image du major Thompson, cet officier !
Nicole C34
27 novembre 2012 @ 23:48
Il me semble que la reine est fatiguée,cette année est éprouvante avec tous les déplacements pour son jubilé.
veronique
28 novembre 2012 @ 09:20
je trouve la reine épatante et en plus toujours exquise avec son style bien a elle !
Marc
28 novembre 2012 @ 13:24
La Souveraine est connue pour être une des plus grandes spécialistes du Royaume . J’aime particulierement cette tenue violette et noire.