La reine Mathilde s’est déplacée à Bruges pour soutenir le secteur culturel par une visite de l’exposition « Memling Now : Hans Memling dans l’art actuel ».
La reine Mathilde s’est déplacée à Bruges pour soutenir le secteur culturel par une visite de l’exposition « Memling Now : Hans Memling dans l’art actuel ».
framboiz07
24 octobre 2020 @ 04:38
Jusque quand cette exposition ?
Bambou
24 octobre 2020 @ 05:26
Veste un peu « étroite » et trop courte………….
Baboula
24 octobre 2020 @ 15:36
Avec un buste court on porte une ceinture fine. Le buste court n’est pas un défaut il est le corolaire aux hanches hautes ; pourquoi se saucissonner de la sorte ?
Pascal🍄
24 octobre 2020 @ 05:30
Tableaux somptueux en arrière plan.
La reine Mathilde (cela vous a un petit côté moyenâgeux tout à fait charmant) était plus jolie avec sa cape .
Si la mode des capes , des étoles voire des châles revient , tant mieux.
Nini Plume 🌻
25 octobre 2020 @ 06:51
La mode, cher Pascal, oui, bien sûr. Mais bien des choses sont permises au-delà. Et une cape bien coupée, une étole, un châle dans un de ces tissus, -rares il est vrai- qui déjà nous enchantent rien qu’à les regarder sauront délicatement nous surprendre. Surtout si la personne qui les porte a, ne serait-ce qu’un soupçon, de cette douceur des portraits de Memling.
Leonor
26 octobre 2020 @ 20:10
Memling, doux ? Doux ? Non, vraiment, non.
Ouvrez vos yeux !
La peinture de Memling est fine, délicate, mais acérée, ô combien.
Nous ne devons pas parler du même .
Nini Plume 🌻
24 octobre 2020 @ 06:34
Pauvre Mathilde un peu affaissée. Mais rassurons-nous, c’est passager. Il nous est permis de penser que se retournant et contemplant, avec une profonde attention, ne serait-ce que la dame de gauche sur le panneau central, sa tendresse mais surtout sa retenue, son intériorité, elle songera à Memling. Et laissera son âme caresser subtilement celle du peintre en train de corriger les aspérités de la sienne.
Teresa2424
24 octobre 2020 @ 16:14
HERMOSISIMOS cuadros,excelente exposición, Matilde también trabaja sábados y domingos
Leonor
24 octobre 2020 @ 18:33
Euh … ?
Baia
24 octobre 2020 @ 06:49
Encore une bien vilaine tenue !
Lemaire Evelyne
24 octobre 2020 @ 15:15
Les vestes ceinturées soulignent hélas les hanches et le ventre rond, raccourcissent le buste.
DEB
24 octobre 2020 @ 07:29
La reine pose devant le mariage mystique de sainte Catherine, une huile sur bois de 173,6 sur 173,7 cms.
Memling c’est l’art de la finesse dans ses moindres détails.
Leonor
24 octobre 2020 @ 18:49
Le mariage mystique de Sainte Catherine d’Alexandrie est le thème du panneau central, dont les dimensions sont effectivement celles que vous indiquez , Deb.
L’ensemble de l’oeuvre est un retable, plus précisément un triptyque , càd qu’il est composé de 3 panneaux, articulés, à savoir un panneau central et deux panneaux latéraux qui en temps ordinaire sont refermés sur le panneau central .
La reine des Belges pose devant le panneau latéral gauche , consacré à St Jean Baptiste .
Le panneau latéral droit est consacré à la vision de St Jean l’Evangéliste, à savoir l’Apocalypse .
On va ainsi de celui qui a annoncé la venue du Christ et l’a reconnu ( St Jean Baptiste ) , amorçant ainsi une ère nouvelle, à celui qui a écrit sur la vie du Christ, et a eu la vision de la Fin des Temps ( St Jean l’Evangéliste).
Sur le panneau central, la Vierge en majesté, portant l’enfant , le Christ avenu. A leurs genoux, Sainte Catherine et la roue de l’un de ses innombrables supplices, dont, pour elle aussi, une » décollation » ( décapitation).
A l’avers des panneaux latéraux sont représentés les donateurs. Eh oui, faut bien faire savoir qui a payé. C’était tout à fait usuel à l’époque. C’étaient les mécènes du moment . On finançait le » mobilier » d’église, comme aujourd’hui on finance des catamarans .
Non, je ne fais aucun prosélytisme. Je regarde juste l’iconographie du retable. En gros. Entrer dans le détail serait ici bien trop long.
L’église est consacrée à St Jean. D’où le thème de l’ensemble iconographique.
Fin du cours. Merci de votre attention. Pouvez retourner à vos occupations ordinaires. ;-)
DEB
26 octobre 2020 @ 12:59
Oui, tout cela est exact.
Katellen
24 octobre 2020 @ 07:34
Encore une tenue qui n’est pas adaptée à la silhouette de la reine.
limaya
25 octobre 2020 @ 06:38
D’accord avec vous Baia et Katellen ,on ne peut s’arrêter ni sur le modèle ,ni sur le vêtement
miloumilou
24 octobre 2020 @ 07:40
La culture anéantie, démolie…
Nini Plume 🌻
24 octobre 2020 @ 11:09
Que voulez-vous dire Milou-Milou ?
miloumilou
26 octobre 2020 @ 18:47
Les théâtres, les concerts, les expositions, les cinémas, les musées …Nini Plume!!!!!
Leonor
24 octobre 2020 @ 18:53
La culture, ce n’est pas ce qui se montre. C’est ce qu’on a en soi. Personne n’a aboli Mozart et Miro .
On est juste un peu empêchés de s’agiter.
Ca permet de mieux intérioriser .
Allez, cadeau, ouvrez vos ouïes, vos events, vos écoutilles et vos esgourdes.
Leonor
25 octobre 2020 @ 09:45
Zuuut..
J’avais oublié de mettre le cadeau :
https://www.youtube.com/watch?v=pEAlAAH7Tnw&ab_channel=54000stanislas
Bon dimanche.
PS : C’est le moment de plonger dans votre discothèque, photothèque, bibliothèque.
Eva
27 octobre 2020 @ 15:58
“La culture ce n’est pas ce qui se montre”, ceci dit sans rire de la part de l’intervenante qui ne manque jamais une occasion d’extérioriser sa culture (universelle).
« On est juste un peu empêchés de s’agiter ». Tout le monde n’est pas Pascal (pas notre Pascal, celui qui souhaitait que nous restassions dans une chambre). La culture, c’est aussi l’agitation, c’est la respiration, le souffle, l’anticipation, l’enthousiasme partagé. Réduire le monde au virtuel, à l’intériorisation nous atrophie. Un grand effort a été fait pour permettre aux personnes immobilisées (paralysées, très âgées ou seules) d’accéder aux musées, aux salles de concert. Quel est votre plus beau souvenir culturel, pourrait-on demander aux lecteurs de N&R ? Je suis persuadée que pour la majorité c’était dans un de ces moments où on s’agite, pour reprendre ce terme péjoratif, que je préfère changer en « ou on communie dans l’adoration de la beauté, du génie ». Et on en sort tous grandis, revivifiés, plein d’optimisme pour l’avenir. Je n’aime pas les visites de châteaux ou de parcs en troupeau, mais j’aime l’idée que c’est un lieu public qui inspire des générations de visiteurs.
Pascal
28 octobre 2020 @ 17:33
Permettez moi d’ajouter que sans prétendre en aucune façon m’en revendiquer j’ approuve le « tout le mal vient de ce que l’homme ne peut rester seul au repos dans une chambre » (cité de mémoire) autant que « le coeur a ses raisons que la raison ignore » .
En cherchant dans les archives j’avais trouvé le commentaire enthousiaste de quelqu’un qui disait aimer ce site parce qu’il lui permettait de se cultiver et compenser les lacunes d’une instruction sommaire.
Nous devrions tous y penser , au moins de temps en temps , et certains font plus qu’y penser qui nous donnent des articles et des commentaires très construits , lesquels formeraient un joli « spicilège » ainsi que je l’ai découvert récemment grâce à Hélène R .
Pour ma part il y a quelques contributeurs que j’aimerais pouvoir reconvoquer mais je me contente de ceux qui restent .
Je suis un peu de l’avis de Léonor et un peu contre .
La peinture n’a pas nécessairement besoin d’être savamment expliquée pour donner un choc , surtout quand c’est un chef d’oeuvre , mais souvent , faute sans doute de connaissances , les salles de musées ressemblent à des tombeaux .
Je me souviens ainsi avoir vu , il y a des années , la salle du Louvre où sont rassemblés les Rembrandt et en être sorti pas très emballé , alors que cette simple et partielle photo d’un tableau de Memling est pour moi une vraie révélation d’un peintre génial.
Réfléchissant à quels peintres pouvaient exprimer une telle attraction , une telle force j’ai curieusement pensé à Gauguin et peut être Nicolas de Staël , peut être aussi Goya , mais pas tant que cela .
Des peintres qui nous donnent une forte émotion esthétique il y en a pléthore et chacun selon nos goûts , vous me direz que les miens sont bizarres et baroques…
Leonor
28 octobre 2020 @ 23:43
Je suis tout à fait désolée que, pour vous complaire, je ne parvienne pas à me rendre plus bête que je ne suis.
Mais j’attends avec grand plaisir et grand intérêt qu’à votre tour, comme vous le prônez, vous nous fassiez partager tous vos plaisirs, vos enthousiasmes, et vos agitations , et nous permettiez de communier ainsi avec vous dans l’adoration du génie.
Pour l’instant, il me semble qu’on ne vous a pas encore beaucoup lue ? Donc, nous attendons avec enthousiasme .
Eva
26 octobre 2020 @ 15:22
Milou, je comprends votre réaction. Dans ma ville, la direction de l’orchestre symphonique (l’un des plus prestigieux des Etats-Unis, mais c’est vrai pour tous) est aux prises avec la difficulté sans nom de la révision du calendrier des performances. Vous pouvez imaginer les conséquences sur les abonnements, sur l’aliénation du public, et malheureusement la menace du chômage qui pèse sur les musiciens et de tout le personnel. Si vous saviez combien de salles de concert ont dû fermer leurs portes, préférant prendre résidence dans des villes comme Aspen because les millionnaires et leur prestige, c’est lamentable, mais c’est un autre sujet.
YouTube, les CD c’est formidable mais comme vous le savez bien, rien ne vaut la présence, le contact non-virtuel, l’émotion et le souffle, toutes choses qui marquent pour la vie. Ajoutez à cela la ‘cancel culture’ qui veut éliminer Beethoven en particulier, et les compositeurs « dead white men » des programmes du répertoire, et tout est remis en question. Notre orchestre s’en sortira peut-être mais beaucoup ne survivront pas. C’est tellement dommage en vue des efforts très positifs qui avaient été faits pour attirer un public jeune et divers. J’en ai le cœur serré rien que de l’évoquer (l’enthousiasme et l’émotion palpable de ce jeune public). Pour ceux qui peuvent se le permettre, je suggère vivement de reprendre des abonnements à toute la culture qui offre la possibilité d’une présence physique, en particulier les artistes des planches. Je sais que c’est différent en France avec le statut des intermittents du spectacle, mais même ainsi, un abonnement est une marque de confiance en l’avenir. Pardon pour ce long post et ce plaidoyer, c’est un sujet qui me tient à cœur. Eva
Charlotte (de Brie)
24 octobre 2020 @ 07:58
La reine est ici devant l’un des panneaux latéraux du triptyque du « mariage mystique de Sainte Catherine d’Alexandrie » : la décollation de Jean-Baptiste »
Disons que actuellement j’aurais préféré voir l’autre : « l’Apocalypse de Saint Jean » , enfin, finalement, plutôt seulement le panneau central, non que le travail de Memling ne soit admirable, mais un peu trop évocateur d’une actualité récente.
Baboula
24 octobre 2020 @ 10:06
J’avais aussi vu cette maladresse .
ciboulette
24 octobre 2020 @ 15:06
Merci , Charlotte , pour ces précisions .
Oui, cette scène éveille en nous des souvenirs récents et douloureux .
Je suis très heureuse de votre retour parmi nous , et de pouvoir vous lire à nouveau .
Pascal🍄
24 octobre 2020 @ 20:38
Croyez-vous qu’une autre prise de vue aurait changé quoique ce soit aux évènements que vous évoquez?
Nous nous sommes jadis titillés à propos des ”oublis de bovidé ” , il faut appeler un chat un chat et une bouse une bouse.
Je ne peux que respecter la pudeur mais je n’aime pas la pudibonderie.
Devant le meurtre que nous évoquons, tout comme devant celui des sept coptes décapités sur une plage de Lybie ou à propos de celle de Saint Jean le précurseur ni la pudibonderie ni même la pudeur n’ont leur place , elles sont totalement contre productives.
Et je le dis sans intention de vous critiquer ou de vous démentir.
Charlotte (de Brie)
27 octobre 2020 @ 06:45
¨Pascal, j’ai lu et relu votre commentaire et ai commencé par ne pas vraiment comprendre sa pertinence, mais je dois avoir le cerveau en sommeil depuis quelques jours.
A la relecture, globalement je suis en accord mais chacun vous en conviendrez réagit avec sa sensibilité.
Pour ce qui est de « l’oubli de bovidé », j’aurais pu il est vrai employer un des nombreux termes permettant d’identifier la matière en question, mais peut-être est ce une sorte de déformation professionnelle qui m’incite souvent à « imager » plutôt que nommer, et n’étant pas Rostand, je vous épargnerai « la tirade de la m…e »
Par ailleurs, j’ai souvent tendance à parler assez franchement à appeler un chat un chat ce qui ne me vaut pas que des amis, loin de moi la pudibonderie, vous avez je crois pu le constater, je suis d’ailleurs un peu peinée que vous me voyiez comme une sorte de « cul pincé »
Pour en revenir au sujet présent, oui, j’ai eu la pudeur de ne pas exprimer l’horreur que je ressens depuis vendredi 17 octobre et le constat que j’en fais est que de Jean Baptiste à Samuel, la barbarie n’a pas pris une ride et est malheureusement totalement productive…
Bien cordialement.
Pascal
27 octobre 2020 @ 12:18
C’est probablement moi qui vous ai mal comprise dans cette affaire de triptyque et pour l’oubli de bovidé ce n’était pas bien grave , un peu surprenant surtout mais au fond assez joli pour une image.
Je pense que votre pudeur vous empêche parfois de nous gratifier de la plénitude de votre sagesse et je vous aime bien , parce que vous êtes franche .
Juliette
24 octobre 2020 @ 22:37
J’aime beaucoup ce peintre. L’exposition à l’air remarquable.
Je me joins à vous, Charlotte, ne pouvant m’empêcher d’associer cette représentation de Jean-Baptiste à une actualité récente.
J’en profite pour manifester ma sympathie à tous les enseignants du site.
Auberi
24 octobre 2020 @ 08:48
La nouvelle belle-soeur de la reine, Delphine, est tout à fait légitime pour l’accompagner lors de tels événements culturels, toujours pas de photo officielle de Mathilde avec elle… Qu’attend-elle, la fin planétaire du virus ?
Phil de Sarthe
24 octobre 2020 @ 10:03
Vous pensez que ses « œuvres » sont comparables?
Pascal
24 octobre 2020 @ 11:00
Etant donné ce que j’ai pu apercevoir de la « production artistique » de la dite belle-soeur je me demande comment on doit comprendre votre commentaire , vacherie ou innocence , ignorance ou panneau ?
J’aime les tableaux mais je ne suis pas spécialiste , je ne connaissais rien de cet Hans Memling et en général je ne raffole pas de ce qu’on appelle en occident la peinture religieuse mais dans son cas je suis époustouflé .
On dirait qu’il a abandonné totalement tous les canons de l’iconographie byzantine tout en en sauvegardant l’émotion esthétique.
AG
24 octobre 2020 @ 13:26
Votre commentaire est ridicule. Il a bien été stipulé par le roi Philippe et Delphine que leurs relations tiendraient du privé
MaryT
24 octobre 2020 @ 13:59
Eh bien moi je ne suis pas pressée de voir cela, je ne détaillerai pas pourquoi.
Lionel
24 octobre 2020 @ 14:28
Le roi a rencontré sa demi-sœur, a été pris en photo avec elle. L’affaire est maintenant close pour nous, le public, laissons-les tranquilles sur ce plan là, d’autant plus que cette génération n’y est pour rien.
😷 MIKA 🌈
24 octobre 2020 @ 16:32
Je ne pense pas que Delphine ait envie d’etre sur le devant de la scène… Je me trompe peut être…
Valentine
24 octobre 2020 @ 17:10
Faut-il vraiment que vous la rameniez avec Delphine ? Ici le sujet c’est Memling, commentez là-dessus si vous voulez vous exprimer.
Auberi
26 octobre 2020 @ 14:54
Je commente comme je veux, et le censeur sur le site est Régine. Si elle laisse passer mon post c’est qu’elle respecte mon point de vue et même si elle n’est pas d’accord avec moi. C’est la liberté d’expression. Mais si vous en voulez une nouvelle couche sur Delphine et sa royale belle-sœur, à votre disposition 🤧
Jean Pierre
24 octobre 2020 @ 09:00
N’y avait-il pas un autre angle pour la photo ?
Mettre en avant Salomé aujourd’hui est mal venu.
Menthe
24 octobre 2020 @ 13:17
Je vous comprends Jean-Pierre, mais cet inqualifiable crime n’a peut-être pas eu en Belgique la même portée médiatique qu’en France.
Debora12345
25 octobre 2020 @ 04:29
@Jean Pierre, en effet.
Roselilas
25 octobre 2020 @ 23:25
Cher Jean-Pierre,
Je pensais la même chose. La SNCB nous a offert 10 voyages gratuits en train pour voyager dans toute la Belgique mais avec le covid-19 qui revient en force, je reste chez moi et je ne change pas de province.
Dommage pour cette exposition comme pour les autres.
Portez-vous bien et protégez-vous bien 😷
Gatienne
26 octobre 2020 @ 11:23
Effectivement: un peu plus à droite, Mathilde et un peu plus droite aussi !
Andréa
24 octobre 2020 @ 10:00
Mathilde non seulement est affaissee mais elle lance une mode carnavalesque toujours mal fagotee. Un simple tailleur pantalon et un t-shirt aurait plus adaquat.
Andrea
aubepine
24 octobre 2020 @ 10:12
Cette tenue la grossit ,ou la photo est mal prise , je la préfère en robe !
Esquiline
24 octobre 2020 @ 12:57
Pourquoi ne pas attendre les vacances scolaires et y emmener ses enfants?
Personnellement j’aime beaucoup ce peintre qui a eu une grande influence sur Antonello di Messina son contemporain. C’est surtout très frappant dans les portraits d’homme.
Mais l’Annunciata d’Antonello, elle, est unique ne serait-ce que par la beauté du modèle aux traits, disons, moins nordiques.
marianne
24 octobre 2020 @ 15:43
« Memling dans l’ art actuel » , c’ est une plaisanterie ?
La peinture était une technique aboutie , acquise avec l’ enseignement de maitres qui connaissaient parfaitement leur métier , amoureux du travail bien fait , pendant de longues années . Ce qui nous vaut de pouvoir encore admirer les oeuvres .
Teresa2424
24 octobre 2020 @ 16:17
La princesa Delfina no vive en Londres???
La crítica inglesa hasta ahora no ha sido muy favorable respecto de su creatividad y pintura estuve viendo sus exposiciones
Eva
24 octobre 2020 @ 16:45
La reine Mathilde ressemble à Angela Merkel ici. Quant à Memling dans l’art actuel, Memling a un côté associé à l’hyper-réalité (à ne pas confondre avec l’hyper-réalisme), effectivement bien contemporain. Un exemple est Kehinde Wiley dans son portrait officiel de Barack Obama. Pour les amateurs de l’art de la Renaissance du Nord, tel qu’il est encore nommé si je ne me trompe, il est trop austère pour être populaire de sorte qu’on peut se promener en paix dans les salles qui lui sont réservées au Louvre. Il n’y a pratiquement que des Chinois qui affrontent ces salles, la plupart des visiteurs se regroupent autour de la Renaissance italienne.
Menthe
26 octobre 2020 @ 18:00
Un peu sévère quand même Eva, envers Mathilde!
Leonor
26 octobre 2020 @ 20:23
« Renaissance du Nord » est un terme désuet.
On parle plus précisément de » Peinture flamande » .
Mais ce ne sont jamais que des catégories utilisées en Histoire de l’Art, pour s’y retrouver.
Hans Memling est un très grand. Les connaisseurs ne sauraient faire l’impasse sur lui.
Mais, en effet, aborder la peinture des XVe et XVIe siècle réclame de plonger dans un ensemble de données théologiques et iconographiques, qui ne s’acquièrent pas en un jour.
On peut avoir l’impression d’aborder plus facilement un Manet ou un Gauguin par exemple . Même si c’est entièrement faux : ce n’est pas plus facile .
Eva
27 octobre 2020 @ 16:01
Ne vous en déplaise, le terme ‘Renaissance du Nord’ n’est pas désuet, et est le terme en vigueur dans les départements d’histoire de l’art des grandes universités américaines et en Angleterre à Oxford. Un des ‘textbooks’ en vigueur est ‘The Mirror of the Artist, Northern Renaissance Art and its Historical Context”, de Craig Harbison, un autre ‘Van Eck to Memling, et (aussi) Durer to Bruegel, Northern Renaissance Art,’ de Jeffrey Chipps Smith. Après, bien sûr, les classifications sont faites pour organiser et ‘Peinture Flamande’ est un autre type d’organisation.
Leonor
28 octobre 2020 @ 23:59
Vous m’en direz tant. C’est curieux, dans mes » universités » américaines, je n’avais pas entendu cela … ;-) E même, si je me souviens bien, une mise en cause de l’expression. Il est vrai que mes maîtres étaient des disciples de Panofsky.
Mais si vous nous parliez plus avant de Memling, qu’on voie un peu … ? Allons, courage.
Je suis sûre que tout le monde aimera lire votre approche de ce rétable-là, et de l’ensemble de l’oeuvre de Memling, technique et iconographie comprises.
Quant à Craig Harbison, paix à son âme. Tout le monde n’était pas d’accord avec lui.
Eva
29 octobre 2020 @ 20:11
Je trouve votre défi puéril et un peu triste pour vous. Cette obsession d’étaler sa culture à tout bout de champ auprès de gens que vous ne connaissez que virtuellement, en attendre l’approbation, l’admiration, il faut en fin de compte manquer beaucoup d’assurance. Souvent commencer vos ‘cours’ (courtesy of Google ?) en dénigrant préventivement l’intelligence ou les connaissances des intervenants ou de quiconque aurait l’outrecuidance de penser à vous contredire, c’est pathétique. Déclarer de ce ton péremptoire et définitif à une intervenante qui exprimait son ressenti « La culture, ce n’est pas ce qui se montre. C’est ce qu’on a en soi», venant de vous en plus, il ne faut pas avoir le sens de l’ironie.
« Il est vrai que mes maîtres étaient les disciples de Panofsky » c’est censé m’impressionner ? « So seventies », me dirait un collègue, avec tout ce que ça sous-entend… Excusez-moi mais le
‘name-dropping’, surtout ‘désuet’ pour reprendre votre terme, ça sonne provincial…La différence entre vous et moi, Léonor, c’est que je n’ai rien à prouver et vous aurez toujours à vous prouver, y compris sur les réseaux sociaux où personne ne vous connaît. Et vous prouver passera toujours par l’abaissement d’autrui. Votre vénération de tout ce qui est grand, tout ce qui est fort, ce n’est pas pour rien.
De plus, vous vous méprenez. Je viens sur ce site pour me détendre et essentiellement pour les nombreux articles culturels que nous propose Régine, que les réponses des intervenants complètent agréablement. Je contribue peu, ce qui est mon choix et mon droit, et surtout mon manque de temps. Lorsque j’interviens, jamais je n’ai de parole agressive ou méprisante envers qui que ce soit, et au contraire j’encourage, remercie ou félicite certains intervenants.
Pour moi ce débat est clos, je passe à autre chose et j’ai autre chose à faire, je vous laisse le dernier mot. Allez-y, vous vivez pour ça.
Pascal
27 octobre 2020 @ 12:24
« Renaissance du Nord » est le terme que j’ai trouvé en recherchant des informations sur Hans Memling .
Austère? J’ai écrit « somptueux » , parce qu’aussi je ne trouve pas chez lui la mièvrerie voir la discrète obscénité des peintres italiens que vous évoquez.
(Bon obscénité est peut être un peu fort mais je ne trouve pas de terme plus approprié , trivialité? )
Anne-Charlotte
24 octobre 2020 @ 17:06
Mon Dieu ! C’est quoi cette tenue ?
Opaline
24 octobre 2020 @ 17:08
Un peu de sport ne lui ferait pas de mal…. Regardez Mary 4 enfants dont des jumeaux et pas de ventre….Un exemple à suivre….
Baboula
26 octobre 2020 @ 13:33
Opaline ,nous ne sommes pas toutes coulées dans le même moule c’est ce qui fait notre charme .
AG
26 octobre 2020 @ 15:37
Lu sur 1 site que Mary a 1 prof de sport tous les jours, sur ce site on nous la montre gagnant des concours de dressage équestre, est à la pointe de la mode, s’investit elle autant qu’on veut bien nous le montrer, car dans1 journée il n’y a que 24 h dont xh pour dormir … alors exemple à suivre ? Marre de lire des commentaires de ce style, oui elle a 4 enfants et qui s’en occupe ? Mathilde n’est pas bien conseillée pour ses vêtements, oui c’est vrai mais à 1 moment votre corps change et bien souvent régime et gym ne peuvent rien y faire car jusqu’il y a peu elle était mince. Ce nest pas parce que vous avez eu des jumeaux que vous etes moins svelte mais c’est surtout le nombre de grossesses qui importe et surtout l’âge de la ménopause. J’ai lu sur ce site des choses loufoques sur l’âge de début. Perso pre ménopausée à l’âge de 44 ans et vous pouvez faire de tout Votre corps change …. alors svp changez votre couplet surtout pour celles qui malencontreusement vous lisent
Valentine
27 octobre 2020 @ 18:48
Bien d’accord Baboula, AG, Emy. La reine Mathilde n’est pas au mieux de sa beauté ces derniers temps mais elle reste une très belle femme. J’espère et je pense que quand cette période un peu difficile sera passée elle retrouvera tout son éclat. Mon avis est qu’elle devrait sérieusement revoir sa façon de s’habiller et je soupçonne la personne qui la conseille de ne pas du tout l’aimer.
emy
26 octobre 2020 @ 16:30
Tout le monde n’aime pas le sport, et je ne vois pas pourquoi elle s’y forcerait… Elle n’est quand même pas obèse. On n’a plus le droit d’avoir un gramme de trop, de nos jours, ce diktat de la minceur est pénible.
Avel
26 octobre 2020 @ 18:56
Elles n’ont pas la même silhouette. Mathilde n’est pas Mary.
Menthe
27 octobre 2020 @ 18:21
Mais oui, qu’on lui fiche la paix à la reine Mathilde quant à sa silhouette ! Elle a une morphologie différente que la parfaite danoise. Je préfère retenir sa « conscience professionnelle » et sa réussite, jusqu’à présent, de maman.
Elle n’est pas obsédée par son apparence et ceci n’est-il pas une forme de bon équilibre psychique ?
Le Tarnec
25 octobre 2020 @ 16:06
La reine est une très belle « Reine », mais vraiment la personne qui prend soin de son habillement, n’est pas à la hauteur, pas digne de le faire…
Il suffirait pourtant juste de trouver le style qui la rendrait encore bien plus belle !
Pour l’instant ce n’est vraiment pas le cas, et c’est « très triste »
Madame la styliste! soyez gentille faite un effort.
Merci d’avance.
gisèlel Le Tarnec
particule
26 octobre 2020 @ 17:30
Ni la pose, le ventre en avant, ni l’habillement sont réussis. On chante les Flamandes quand on la voit maintenant …
Gaura Lind.
26 octobre 2020 @ 18:52
Merci beaucoup, Leonor, pour votre explication détaillée du tableau de Hans Memling.
Ce triptyque est une merveille de finesse et d’élégance et incite à la méditation
quand on le contemple. Tout comme les tableaux de ce grand peintre flamand.
Des joyaux comparés à certains tableaux contemporains (Picasso, Soulages, Miro…)
Leonor
29 octobre 2020 @ 00:01
Je vous en prie, Gaura Lind. Si cela a pu vous intéresser, le plaisir est pour moi.