C’est la reine Mathilde qui représentera le roi Philippe lors de la cérémonie de crémation du roi Bhumibol de Thaïlande le 26 octobre prochain à Bangkok. Les liens entre les deux familles royales ont été particulièrement proches surtout entre les rois Baudouin et Bhumibol qui avaient fait connaissance lorsqu’ils vivaient en Suisse. La princesse Sirindhorn, fille du roi Bhumibol et de la reien Sirikit, avait fait le déplacement à Bruxelles lors des funérailles de la reine Fabiola.
Alinéas
6 octobre 2017 @ 09:52
Gracieuse révérence de la reine Mathilde.!
Cosmo
6 octobre 2017 @ 17:40
A l’époque probablement princesse de Liège.
Cosmo
Cosmo
6 octobre 2017 @ 17:41
Pardon, je voulais dire duchesse de Brabant.
Trianon
7 octobre 2017 @ 15:04
en effet, cela répond à ma question( ci dessous)!
merci..:)
Trianon
6 octobre 2017 @ 11:24
pourquoi Mathilde fait elle la révérence, alors qu’elle est elle-même reine?
Gérard
7 octobre 2017 @ 20:25
Pas encore.
adriana
6 octobre 2017 @ 12:53
la reine est parfaite commetoujours………….
Numérobis.
6 octobre 2017 @ 15:44
Oh lalala !! redoutable honneur…
Madeleine
6 octobre 2017 @ 17:25
La révérence me paraît une coutume d’un autre âge!
Robespierre
6 octobre 2017 @ 19:59
Révérence à damner un saint. Oui, c’est un euphémisme.
Leonor
8 octobre 2017 @ 09:48
:-DD ! Bhumibol prend soin de la regarder à hauteur des yeux …
Robespierre
8 octobre 2017 @ 12:10
Apparemment ce roi a un grand empire sur lui, selon l’expression consacrée…
Ghighi
6 octobre 2017 @ 20:15
Un peu courte la robe de Mathilde.
grossmann
7 octobre 2017 @ 08:20
je croyai qu’une reine ne faisait la révérence a un autre souverain
Margaux ?
7 octobre 2017 @ 20:52
Quant on réfléchit un peu, on se rend compte qu’au moment du cliché, elle était encore duchesse de Brabant. C’est miraculeux, n’est-ce pas ?
Leonor
7 octobre 2017 @ 09:05
On peut admirer la performance sportive de Mathilde. Une révérence en hauts talons et jupe courte, c’est casse-gueule !
La révérence, ça a été inventé ( ?) en des temps où on portait des jupons largissimes et longuissimes.
MMDehove
8 octobre 2017 @ 05:16
Effectivement, maîtrise parfaite de l’exercice pour la Reine Mathilde ! Mais gare aux dames habillées trop court ou trop étroit … Et comme déjà dit sur le sujet avec la Comtesse Sophie de Wessex, ces révérences sont désuètes à notre époque.
Michèle Lobre
7 octobre 2017 @ 09:10
Je reprends mon commentaire précédent a savoir ces révérences au XXIe siècles sont désuètes . Traditions et politesse ne sont pas incompatibles avec évolution à voir Vatican II pour l’eglise catholique . Ces protocoles royaux sont depasses, on peut être polis et respectueux sans vouloir s’agenouiller . Il me semble que Cherry Blair n’a jamais voulu faire la révérence .
gone
7 octobre 2017 @ 16:59
Cela faisait une moyenne avec celles de madame Thatcher dont, d’après ceux qui lui prêtent de l’humour, la reine disait » elle descend jusqu’en Australie « .
Guy Coquille
7 octobre 2017 @ 17:48
Il est faux que Cherry Blair se soit refusée à faire la révérence, elle se contentait de la faire mal, en se contorsionnant de manière narquoise. Sur le fond, je ne partage nullement l’avis de Michèle Lobre: D’abord, une femme ne s’agenouille nullement, mais ploie le genou. Ce sont les premiers ministres de grande Bretagne qui s’agenouillent lorsque la Reine leur accorde l’investiture. Ensuite, ces manières ont un sens, et si ce sens déplaît à certains, ceux qui ne partagent pas leur avis n’ont pas à en tenir compte.
Cosmo
7 octobre 2017 @ 23:26
Cherry Blair est loin d’être un exemple. Sans scrupule et imbue de sa personne, voilà comment elle peut être définie. Qu’elle fasse la révérence ou pas, cela ne change rien. Elle reste ce qu’elle est, une pas grand chose.
Cosmo
Margaux ?
8 octobre 2017 @ 15:41
L’exemple de Cherry Blair est très mal choisie. Femme imbue et hautaine. Ce n’est une référence pour personne.
Gérard
7 octobre 2017 @ 20:26
Cherry Blair ne savait pas vivre.
Philippe Gain d'Enquin
7 octobre 2017 @ 21:39
Ca va chauffer, oyé !
Marguerite
8 octobre 2017 @ 00:18
Disgracieuse révérence de la reine. Sa robe est trop courte, ses talons trop hauts. Le résultats frôle la catastrophe vu par la personne assise en face d’elle.