La reine Mathilde était en visite à l’Athénée Royal d’Esneux avec au programme une table ronde avec l’encadrement professionnel sur les nouvelles méthodes pédagogiques pour combattre le harcèlement en milieu scolaire.
Ensuite, un jeu de rôle entre élèves mettant en pratique la méthodologie spécifique développée par l’école, et plus particulièrement la prévention du harcèlement et la gestion des situations de conflit. (Copyright photos : Palais royal)
cotala
1 février 2019 @ 09:49
Mais Mathilde n’a pas jamais froid avec le manteau sur les épaules…..
Robespierre
1 février 2019 @ 11:22
peut-être cette initiative portera-t-elle ses fruits. Je pense que le harcèlement scolaire n’aurait pas lieu si les instit’ prenaient les choses en main et en amont faisaient un cours pour fustiger la chose. Ces instit’ ne pourront jamais empêcher qu’un enfant soit mal aimé ou rejeté, mais il y a des limites qu’ils peuvent faire respecter et ils peuvent sanctionner. C ‘est peut-être le manque de sanctions qui a permis que le harcèlement scolaire se developpe.
Gatienne
1 février 2019 @ 14:52
Ne jetons pas la pierre aux enseignants qui, par le passé, ont souvent été les derniers informés de ce type de conduites frappées d’omerta tant chez les enfants victimes que chez leurs camarades.
L’explosion des réseaux sociaux, souvent considérée comme négative, a au moins conduit à la mise en évidence de ces pratiques.
Les choses évoluent, fort heureusement, car la parole se libère et l’encadrement scolaire est mieux formé à détecter ces dérives. La preuve en est cette initiative appuyée par la reine.
Anna1
1 février 2019 @ 15:29
De tout temps le harcèlement a été présent, sauf qu’avant vous rentriez de l’école et c’était « fini » et cela recommandait le lendemain. . Maintenant avec tous les réseaux sociaux c’est jour et nuit, alors les instits, on leur en demande déjà tant,….
Menthe
1 février 2019 @ 17:27
Cher Robespierre, moi je pense que le premier responsable dans le harcèlement est le manque d’éducation, notamment au niveau du respect. Trop de parents délèguent leur rôle d’éducateurs aux enseignants, l’école doit être un complément à l’éducation parentale et non l’inverse.
Katellen
2 février 2019 @ 12:46
Je suis d’accord avec Menthe. Les premiers responsables sont les parents. Les chiens ne font pas des chats. Si un enfant ne voit pas où est le problème de mal se comporter avec un camarade, c’est qu’il y a déjà un souci dans l’éducation voire même dans la manière dont les parents se comportent en société. Ce qui est certain, c’est que la majorité trouve révoltant les cas de harcèlement mais quand certains se retrouvent sur le devant de la scène parce que leur propre enfant harcèle un autre, et bien il n’y a plus personne et c’est forcément la petite victime qui exagère ou qui affabule. J’ai vécu cette situation dans mon entourage et je conseille d’être très a l’écoute des enfants victimes car les conséquences peuvent parfois être terribles même des années plus tard. Et pour les autres, il faut aussi savoir reconnaître que oui, son propre enfant peut être capable de mener des actions de harcèlement. Au moins pour lui permettre de ne pas devenir un adulte peu recommandable.
Gatienne
2 février 2019 @ 13:12
L’autorité parentale se dilue, de nos jours, dans la décomposition de la cellule familiale traditionnelle.
Entre les parents séparés puis recasés, les mères isolées et débordées, les pères démissionnaires où tout simplement absents, les fratries démantelées, beaucoup d’enfants n’ont plus de repères et ne peuvent compter que sur l’école pour leur apporter un peu de stabilité…
Et même si les enseignants, conscients de ces situations, font leur possible pour les encadrer, il manque bien souvent à ces enfants une ou des figures de référence pour les écouter, les guider et les protéger.
Teresa2424
1 février 2019 @ 15:26
Me gusta el conjunto de Matilde,es elegante,y su misión muy importante
STIERNON
1 février 2019 @ 18:47
Et puis, il y a de choses différentes qui peuvent être à l’origine du harcèlement. Ca peut aller de la couleur, coupe ou type de cheveux aux vêtements et chaussures de marques ou pas en passant par les « anomalies » physiques dont la plus courante est les oreilles décollées .
Et ne pas oublier les timides ou gringalets face au caïd et sa bande.
Le port de l’uniforme apporte une bonne solution par rapport aux vêtements et chaussures.
aubert
2 février 2019 @ 12:35
en primaire on m’appelait aubergine. Est-ce du harcèlement ?