A Liège, la reine Mathilde a eu une rencontre avec des victimes de proxénètes d’adolescents et avec des collaborateurs de l’asbl NE(S)T, une organisation qui soutient et guide les victimes de telles maltraitances.
Au cours de cet échange, les victimes ont eu l’occasion de témoigner de leur histoire et d’exprimer leurs préoccupations. Lors d’une table ronde sur la problématique des proxénètes d’adolescents en Belgique, des experts ont confronté leurs idées sur la manière de lutter contre cette forme de traite des êtres humains et ont fait le point sur les défis, les lacunes et les solutions possibles à l’égard de cette problématique.
La réunion a eu lieu dans les locaux de Sürya à Liège, un centre est spécialisé dans l’assistance et le conseil aux victimes de la traite des êtres humains. Sürya bénéficie notamment du soutien de Childfocus. (Copyright photo : Palais royal)
Menthe
3 mai 2019 @ 09:56
Une des solutions repose sur la résolution du problème des parents démissionnaires.
Pierre-Yves
3 mai 2019 @ 11:05
Je ne sais pas si faire face à une rangée d’officiels, si bienviellants qu’ils soient, aide vraiment les victimes à raconter ce qu’elles ont subi. D’un autre coté, c’est bien que la reine les entende.
Caroline
3 mai 2019 @ 11:11
Que cette réunion porte ses fruits au nom de ces victimes !
Baboula
3 mai 2019 @ 12:57
Hors sujet . Child Focus est une fondation belge d’utilité publique. C’est pratique de donner un nom anglais dans un pays où l’on est pointilleux en matière de langue mais cela contribue au recul du français.
Gibbs 😉
4 mai 2019 @ 07:52
Baboula,
Cette fondation a été créée en 1997 après l’horrible affaire Dutroux en 1996.
Si je défends ardemment la langue française, je peux vous dire que l’anglais est parfois bien utile en Belgique pour se comprendre entre francophones et néerlandophones.
Petit rappel Wiki
En juin 1996, un an après la disparition de sa fille Julie (victime de Dutroux), Jean-Denis Lejeune apprend l’existence à Washington du National Center for Missing and Exploited Children. Il s’y rend pour en étudier le fonctionnement et, de retour en Belgique, avec le soutien d’un comité de parents d’enfants disparus, obtient le jour de la Marche Blanche du 20 octobre 1996, les appuis politiques pour créer une organisation semblable. En 1997, le projet est mis sur les rails et la présidence du conseil d’administration est confiée au baron Daniël Cardon de Lichtbuer. Le 31 mars 1998, le roi Albert II, Sa Majesté la Reine Paola et le premier ministre belge Jean-Luc Dehaene inaugurent Child Focus. En 2007, Jean-Louis Duplat succède au baron Daniël Cardon de Lichtbuer. En 2016, François Cornélis reprend le flambeau.
Anna1
3 mai 2019 @ 23:11
Je pense surtout qu’avec 3 langues nationales, le choix de l’une ou l’autre aurait encore posé un gros problème linguistique et il y avait suffisamment matière à querelle sans en rajouter.