Après la Norvège, la sheikha Mozah était en visite en Finlande où elle a été reçue à Helsinki par le président Sauli Ninisto et son épouse. Le sheikha fut ensuite l’hôte du maire de la capitale puis visita l’école Taivallahti. (Copyright photos : The peninsula & gulf times – Merci Guizmo)
jul
4 octobre 2012 @ 06:46
Ah Madame du Qatar (en blanc hier lol) a bien raison de visiter les écoles de ce beau pays.
J’avais vu un très intéressant reportage où l’on voyait les enfants en classe, parfois avec un second enseignant.
J’ai beaucoup aimé l’idée des cours de cuisine (avec la propreté indispensable), de couture ou de bricolage pour tous les élèves, même les meilleurs, car ce sont des capacités utiles pour forger un peuple économe.
Quand j’étais au collège (années 90), nous avons eu une seule fois un cours de cuisine. C’est un bon souvenir car l’enseignante (une dame de l’ancienne génération que l’administration avait convertie en « professeur de technologie » lol nom assez pompeux) était à la fois pédagogue, rigoureuse et patiente.
En France, je suis sûr que ce genre d’enseignements aurait du succès auprès des élèves.
Mais évidemment les gouvernements successifs préfèrent utiliser notre argent pour d’autres choses et ensuite demander (ou plutôt accepter) de l’argent des puissances étrangères. Quelle logique…
guizmo
4 octobre 2012 @ 07:54
Quand j’étais enfant (il y a un certain temps de cela) dans l’école où j’allais, tenue par les Ursulines, jusqu’en 3me il y avait cours de couture, de peinture et de cuisine obligatoire. On râlait un peu car on trouvait celà ringard, mais par la suite cela m’a bien servie. Et puis cela peut engendrer des vocations.
Bianca
4 octobre 2012 @ 17:51
A l’adolescence, durant les études du second degré, nous avions des cours de couture, cuisine-enseignement ménager, de dessin et peinture, de gymnastique et danse rythmique,
c’était hier bien sûr et obligatoire !
L’école publique avait un planning bien rempli avec aussi l’enseignement de l’histoire et la géographie, les sciences, et tutti quanti !
En début d’année nous étions bien souvent inscrits 45 élèves à la rentrée par classe, maintenant, cherchons l’erreur…
Je me dis que j’ai eu bien de la chance de bénéficier de tout cela. Bonne fin de journée à vous Guizmo.
Justine
4 octobre 2012 @ 18:11
Chers Jul et Guizmo, j’étais au collège début des années 2000, dans une école catholique sous contrat, et nous avions chaque semaine, en plus des cours normaux, une heure de cuisine, une de musique ou dessin, au choix, une heure de cathéchisme, une heure d’informatique et une heure de « travaux manuels », ce qui englobait couture (nous nous étions même fait un sac) et des petits travaux de cartonnage (ces deux dernières heures n’étaient pas obligatoires). Cela nous amusait beaucoup, justement parce que c’était un peu hors du temps et nous nous amusions autant en informatique qu’en cuisine ou couture. Personne ne s’est jamais plaint de ces heures « supplémentaires », bien au contraire, nous en redemandions. On s’y amusait beaucoup plus qu’en maths. Bonne soirée. Amicalement.
Valeska
4 octobre 2012 @ 08:39
Bien dit,Jul:)Nous étions au collège en même temps!
…L’argent public français est dispersé sans même que l’on sache comment ni où,alors il ne faut pas pleurnicher ensuite de devoir accepter l’aumône d’un riche étranger en mal de reconnaissance,et qui,lui,a de bonnes idées pour placer et employer ses sous!
jul
4 octobre 2012 @ 12:56
Vous n’avez pas tort Valeska mais cette situation est rageante !
misa
4 octobre 2012 @ 11:36
Je suis bien d’accord avec vous Jul: la cheika a parfaitement raison de visiter les écoles publiques finlandaises puisqu’elles sont classées n°1 mondial pour la qualité de leur enseignement et ceci par un audit qui fait référence au niveau international. A titre de comparaison les école suisses, pays depuis lequel j’écris ces lignes, se situent juste dans la moyenne. Espèrons pour les petits écoliers quataris qu’elle en rapportera de la graine…Ceci dit, il ne nous reste plus qu’à nous poser une question aussi évidente que fatidique: pourquoi l’exemple de la Finlande est-il si difficile à copier?
jul
4 octobre 2012 @ 12:59
Je ne savais pas pour les écoles suisses…j’en suis désolé
pourquoi cet exemple est difficile à copier?
et bien on nous répond en général « parce que c’est la crise, parce qu’on manque d’argent »
Encore faudrait-il que ceux qui nous gouvernent fasse un tri dans leur dépenses !
Notamment dans les dépenses qui ne servent pas leurs citoyens.
marianne
4 octobre 2012 @ 14:30
» pourquoi l’exemple de la Finlande est-il si difficile à copier? »
Vous posez là une question essentielle !
Je pense que c’ est parce que les Français sont trop orgueilleux , ils veulent toujours avoir raison !
Caroline
5 octobre 2012 @ 11:03
Marianne,hi!hi!hi!Bien que je sois française depuis au moins un millénaire,je reconnais avec regret les défauts de mes compatriotes souvent réputes par leur caractère rouspéteur et leur critique acerbe parce que j’ai appris à apprécier le caractère des étrangers au cours de mes voyages précédents!
Pierre-Yves
5 octobre 2012 @ 13:31
Je crois qu’il y a deux sortes de raisons:
D’abord le manque de moyens. Il y a certes beaucoup de gâchis dans la façon dont l’argent public est dépensé mais aussi beaucoup de secteurs malades: l’école, l’hopital, la justice entre autres, et qui n’ont plus les moyens de leurs amibitions.
Ensuite le caractère français. En France les choses n’avancent que dans la douleur et les conflits. C’est presque dans nos gènes. Il faut se d’abord déchirer avant d’accepter le bien fondé d’une réforme ou d’un changement d’habitudes. C’est sûrement regrettable, mais c’est ainsi.
Milerose
4 octobre 2012 @ 11:39
Bravo,vous vous êtes levée tôt pour écrire ce commentaire mais cela en valait le coup.
jul
4 octobre 2012 @ 13:00
Bonjour Milerose, merci
mais levé ;)
erwan
6 octobre 2012 @ 00:15
Quand j’étais enfant, les enseignants enseignaient même au bout de la terre. L’homme avait pourtant marché sur la lune.
Vous n’imaginez pas ce que la Bretagne est redevable à cet enseignement public ou privé. Nous avons le choix, ici.
Quant à la cuisine, ma mère m’a passé les secrets de famille comme les siens avant que mon imagination se laisse aller. Mon couteau est économe parfois comme mon panier. L’essentiel est que la recette soit réalisée avec le souhait de se faire plaisir ou de faire plaisir.
Je n’accroche pas à cette idée des cours de cuisine. Il y a tant d’amour et de sensations agréables autour des casseroles. Elles ne méritent pas un exercice imposé.
Mélusine
4 octobre 2012 @ 10:37
Jul,
L’enseignement de la cuisine dans les écoles, comme vous le préconisez, serait certainement très bénéfique. De même que la couture et le bricolage, d’ailleurs.
Les émissions télévisées telles que « un dîner presque parfait » ainsi que « master chef » et bien d’autres, dont les participants sont parfois très jeunes, ont un public de plus en plus nombreux.
Quant aux livres de cuisine, depuis plusieurs années ils poussent comme des champignons et se vendent comme des petits pains.
Preuve que le sujet passionne. De là à penser, comme le célèbre Chef cuisinier Auguste Escoffier, que « la bonne cuisine est la base du véritable bonheur » il n’y a qu’un pas vite franchi.
jul
4 octobre 2012 @ 13:05
Oh oui tout à fait d’accord avec vous Mélusine.
Mais ne rêvons pas, vous devez savoir que tout « côute trop cher » quand il s’agit de ses concitoyens « que cela risque de rabaisser les enfants », « que cela ne va pas dans le sens de l’histoire, du progrès » etc… etc…
CHRISTINE
4 octobre 2012 @ 11:18
La sheikha Mozah en Finlande, la sheikha Mozah par ci, la sheikha Mozah par là ; franchement cela commence à faire beaucoup ; on se croirait dans la série des « Martine » : martine à la mer, martine à la campage, martine à la montagne… A quand la sheikha Mozah à Rella ! Je sais, je sais, elle était facile !
Nana
4 octobre 2012 @ 17:30
Et j’ajoute que c’est Quata(r)strophique : jusqu’à quand va-t-on nous infliger cette « Néfertiti » botoxée ?
hubert
5 octobre 2012 @ 19:15
:) :) :)
Bianca
4 octobre 2012 @ 17:57
Bien dit Christine, il y a quelques temps j’admirais cette femme mais maintenant elle me paraît beaucoup moins séduisante et surtout inquiétante ; elle suscite des sentiments de méfiance et non de l’admiration. Bien à vous
Caroline
4 octobre 2012 @ 12:03
Jul,bien merci pour votre commentaire fort intéressant comme bon exemple ‘éducatif’!
A quand le retour de la sheikha Mozah à son pays???
Leonor
4 octobre 2012 @ 12:19
D’abord : ça ne fait pas longtemps qu’on connaît sous nos cieux le mot de » sheika ». Jamais entendu pour ma part avant les premières apparitions de cette splendeur au féminin.
Sheik, d’accord, mais « sheika » ?
Forcément : avant, les sheikas, on ne les voyait pas; s’il y en avait, elles restaient enfouies dans les sables.
J’aime étendre mon vocabulaire.
Mélusine
4 octobre 2012 @ 15:07
Dans le même ordre d’idée, Léonor, et à supposer que vous ne connaissiez pas les termes du passionnant jeu d’échecs, amusons-nous à imaginer que « les sheiks », éminents personnages de « l’échiquier » politique, gardaient leurs « dames » sous le sable ou dans des « tours », afin que le commun ne puisse les « mater ».
Mais si, en dépit de tous leurs efforts pour les soustraire aux regards concupiscents, d’effrontés « cavaliers » étaient assez « fous » pour enlever ces « dames », les « rois » étaient hélas bel et bien « échec et mat », d’où leur grande prudence.
Il en va tout autrement aujourd’hui. Sachant déplacer leurs « pions » et passés maîtres en « ouvertures », ils ne craignent plus désormais d’utiliser leurs « dames » et tisser des « réseaux ».
hubert
5 octobre 2012 @ 19:18
mélusine devant vos mots d’esprit: chapeau bas…
Juliette
4 octobre 2012 @ 15:21
Il eut été difficile d’étendre votre vocabulaire avant, Leonor, parce le mot sheikha
nous est apparu avec la sheikha Mozah, ou presque. Connaissez-vous d’autres sheikhas? habituellement elles sont voilées, retirées, voire séquestrées, dans leur pays. Elles viennent faire les boutiques de Paris et Londres en ne voyant que leurs yeux. Alors la sheikha Mozah étant une beauté spectaculaire, on s’en sert pour mousser la cause du Qatar.
Au fait, pourquoi la Finlande? je serais bien surprise qu’elle cherche à implanter leur système d’éducation au Qatar. Dans ce système presque parfait, il n’y a pas place pour la ségrégation des sexes.
erwan
6 octobre 2012 @ 00:20
Oh, la ségrégation des sexes…vous devriez assister à des obsèques en Moselle ou au Luxembourg. Les hommes d’un coté, les femmes de l’autre. Personne ne parle de discrimination.
hubert
4 octobre 2012 @ 12:31
leonor toujours aussi drôle :)
nous étendon s notre voca bulaire et la sheika son em pire aux multiple s fa cettes( de diamant )
Nicole Elisabeth
4 octobre 2012 @ 14:30
Et les deux autres sheikas ? car la sheika Mozah partage le sheik avec deux autres dames. Que font-ces deux autres dames ? Toutes les trois doivent se partager les tâches du foyer, il faut dire que la famille est nombreuse… Plus de 15 enfants…
Sélène
6 octobre 2012 @ 00:10
Précisément 24 enfants, dont 7 de Mozah.
Et les deux autres épouses ne sont pas aussi…. photogéniques, pas fou le sheik.
PS: Mais quelles tâches du foyer ?
monica
5 octobre 2012 @ 11:07
c’est vrai qu’on la voit de partout, ça fait un peu trop.je vois qu’au Quatar il n’y a pas que des voiles voilées….elle, on dirait une femme de cire (botox) outrageusement maquillée, elle me fait une drôle d’impression.
Valeska
6 octobre 2012 @ 09:34
En ce moment,le couple Qatari est d’actualité,personne ne se plaint quand il s’agit du voyage de Kate et William,on nous tient informés,et j’en remercie Régine.
finlande 4
5 octobre 2012 @ 11:46
ayant de la famille proche en finlande je peux confirmer que le mode d’éducation des enfants est au top ;
ma soeur ayant épousé un finnois ;mon neveu a eu une tres belle éducation ,lorsque je vais à helsinki en été la plupart des écoles restent ouvertes et les enfants ont à leurs dispositions des ateliers et jeux ;
les enfants handicapés sont intégrés dans les classes avec les autres enfants ,
dans les jardins publics les enfants laissent leurs vélos et casques à la porte sans les attacher ;ET LES RECUPERENT à la sortie ;;;;;;;;;ça ici ???
les enseignants ont plus d’enfants à s’occuper mais en FINLANDE il n’y a pas cette débandade et les pancartes qui se dressent ici ;
la france est un pays d’assistés et nos dirigeants trop inbus de leurs pouvoirs pour s’abaisser à prendre exemples sur le mode de vie d’autres pays ;; c’est lamentables
mes petits neveux 10 et 8 ans les parents et autres sont tres proches des enfants ce qui contribue beaucoup à leurs équilibres le gouvernement est sévère mais les résultats sont la ;; les FINLANDAIS lorsqu il me parle de la FRANCE ;;;; ha!!! la france !!
Louise
12 octobre 2012 @ 06:43
Quel commentaire constructif. On ne sait plus si vous parlez français ou finnois. Syndrome Jean-Claude Vandamme? :-)