Dame Kiri Te Kanawa, la célèbre soprano néo-zélandaise d’origine maori, sera particulièrement à l’honneur pendant la messe de funérailles. Chacun se souvient de sa participation musicale au cours du mariage de Charles et Diana. Elle est surtout devenu une amie proche de Charles et Camilla, et souvent conviée à Highgrove en week-end. La reine Elizabeth l’appréciait beaucoup et la couvrit d’honneurs. Elle fait partie de la délégation officielle de la Nouvelle-Zélande à la messe. (Merci à Bertrand Meyer)
Leonor
19 septembre 2022 @ 07:55
Kiri Te Kanawa :
https://www.youtube.com/watch?v=uN3uk4dq2x0&ab_channel=KiriOnLine-DameKiriTeKanawa
Elisabeth-Louise
19 septembre 2022 @ 08:04
Est-ce qu’elle chantera ? Kiri te Kanawa a-t-elle encore cette voix de rossignol ? Je l’ai entendue presque à ses débuts aux Chorégies d’Orange, dans l’Otello de Verdi, avec Loriin Mazel comme chef d’orchestre; inoubliable = à l’époque, les chanteurs n’étaient absolument pas aidés du moindre micro, l’aria du saule, à la mort de Desdémone, a retenti jusqu’aux derniers gradins avec une netteté et une musicalité admirables; envoûtant…..
Raphaël P.
19 septembre 2022 @ 09:14
Kiri Te Kanawa n’a jamais chanté aux Chorégies d’Orange. Vous parlez sans doute de l’Otello de 1975, dans lequel la soprano polonaise Teresa Zylis-Garas interprétait Desdemona face à Jon Vickers.
Elisabeth-Louise
19 septembre 2022 @ 11:07
Merci de votre précision, Raphaël, ma mémoire me joue des tours;
Je maintiens néanmoins mon souvenir, sauf, alors, en ce qui concerne l’identité de la cantatrice, j’avais bien retenu Jon Vickers; 🙄
Baboula
19 septembre 2022 @ 09:21
A 78 ans ,je doute un peu .
Elisabeth-Louise
19 septembre 2022 @ 11:08
Hélas, oui…..
Pierre-Yves
19 septembre 2022 @ 08:09
Pourraient aussi être conviées les actrices Claire Foy, Olivia Colman et Helen Mirren interprètes d’Elizabeth II à l’écran ces dernières années.
Catherine
19 septembre 2022 @ 08:24
J’ai l’ai découverte dans le Don Giovanni de Joseph Losey, un film que j’ai adoré et j’adore, quoi qu’ils en disent les critiques des USA regorgeant leur maccartisme.
Elle a gardé son charme sur cette photo.
Philibert
19 septembre 2022 @ 09:45
Son charme, peut-être, mais je doute fortement qu’une Maorie puisse avoir une teinte de cheveux autre que noire !
Guy Coquille
19 septembre 2022 @ 11:06
Les Maoris se sont considérablement métissés avec des Blancs (britanniques, néerlandais) ce qui donne à cette dame des traits européens la rendant indiscernable des Néo-zélandais d’origine européenne.
Nivolet 🇺🇦 🦝🐈🐕
20 septembre 2022 @ 17:16
Effectivement, elle ressemble plus à Jane Fonda qu’à Dame Te Atairangikaahu.
Bambou
19 septembre 2022 @ 11:28
Qu’est ce que c’est que ce commentaire étrange. Qu’elle soit maori ou non, quelle importance !!!!
On se doute qu’à son âge ce n’est pas sa vraie couleur de cheveux !
Comme tant d’autres…
Henri de Luxembourg par exemple….
Cette cantatrice formidable avait chanté lors du mariage de Diana et Charles.
Catherine
19 septembre 2022 @ 19:22
Si cette question vous intéresse tellement, vous n’avez qu’à suivre le lien du premier commentaire pour découvrir qu’elle arborait la même couleur déjà en 1991. Était-elle naturelle ou pas je ne saurais pas vous dire.
Dans le film Te Kanawa portait une perruque.
Caroline
19 septembre 2022 @ 21:51
Je me rappelle d’ elle avec ses cheveux foncés. Elle a donc teint ses cheveux devenus blancs en blond !
Marie France
20 septembre 2022 @ 07:31
Etat civil© DR NATIONALITÉ Nouvelle – Zélande ÂGE 78 ans MÉTIER(S)
Artiste lyrique
TESSITURESoprano lyriqueBiographieLa soprano néo-zélandaise Kiri Te Kanawa est née à Gisborne le 6 mars 1944. Ses parents biologiques sont trop pauvres pour la garder : elle est adoptée à peine âgée d’un mois par la famille Te Kanawa, qui lui donne le nom de « Kiri », qui signifie « cloche » en maori. Thomas Te Kanawa est Maori, tandis sa femme Nell est d’origine anglo-saxonne, ce qui, par un fait du hasard, correspond à l’ascendance biologique de Kiri. Les Te Kanawa sont très mélomanes. Ainsi, sa mère joue du piano, et toute la famille a l’habitude de l’accompagner en chantant. Déjà toute petite, Kiri Te Kanawa est passionnée par le chant, ce qui n’échappe pas à sa mère, qui déclare à Kiri qu’elle chantera un jour à Covent Garden. Les Te Kanawa ne disposent que d’un revenu modeste : ils sacrifient tout pour permettre à leur fille d’avoir une grande carrière de chanteuse.
Source Olyrix