Le danseur et chorégraphe d’origine russe Rudolf Noureev (1938-1993) qui forma un duo mythique avec Dame Margot Fonteyn et qui était un proche de la princesse Margaret, dirigea aussi l’Opéra de Paris.
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ABER
26 mai 2020 @ 07:19
Très original, j’aime beaucoup.
Muscate-Valeska de Lisabé
26 mai 2020 @ 13:40
Oui c’est beau.
milou
26 mai 2020 @ 07:21
Un Dieu , un roi de la danse!
Incroyable, cette tombe!
Merci pour cet intéressant post, Danielle et Régine!
framboiz07
26 mai 2020 @ 07:23
Outre- mort, il a retrouvé la Russie de son enfance …
Je rêve de voir cette tombe , si originale et si belle …Noureev était autrichien …
Clémentine/Lola 1
26 mai 2020 @ 11:39
Noureev est enterré dans l’Essonne ! il n’a pas souhaité retrouvé la Russie de son enfance, pour des raisons politiques je crois…
Tartempion
26 mai 2020 @ 11:54
N’importe quoi !
Noureev était RUSSE, né dans le Transsibérien, étoile du Bolchoï puis du Mariinsky (ancien Kirov) avant de faire le choix de l’Occident
Karabakh
27 mai 2020 @ 18:38
N’importe quoi, bis…
Noureev a obtenu la nationalité autrichienne en 1982.
Il n’a jamais intégré le Bolchoï.
Jackie
28 mai 2020 @ 18:05
Donc, il était bien Autrichien né Russe. Pourquoi reprendre framboiz07.
Karabakh
29 mai 2020 @ 20:08
Je ne reprends pas Framboiz.
Leonor
27 mai 2020 @ 22:49
Noureev ETAIT russe, en effet bien sûr, mais il A PRIS en 1982 la nationalité autrichienne. Framboiz a bien dit juste.
framboiz07
28 mai 2020 @ 02:27
Il avait perdu sa nationalité russe , il a travaillé pendant 25 ans avec l’Opéra de Vienne ( ce qui est peu souligné ) et il a demandé la nationalité autrichienne !
Donc, ce n’est pas n’importe quoi !
J’ai eu la chance de connaître la personne en France, qui, après être pas mal sorti avec lui, lors de ce séjour parisien , a été son 1er hôte et ami, ce que je ne voulais pas dire …Mais puisque vous m’y forcez !
Karabakh
26 mai 2020 @ 16:06
Noureev est retourné pour la dernière fois en Russie en fin d’année 1989, afin de revoir sa mère. Cela fut possible après plusieurs demandes, sur une entremise de Gorbatchev.
Le danseur était considéré comme un traître par les autorités russes, suite à sa « fuite » de juin 1961. Alors qu’ils se trouvait en tournée en France avec le ballet du Mariinsky, suite à ses frasques, les autorités russes l’ont sommé de revenir au pays mais il s’est soustrait à ses deux gardes, puis il est venu vers deux policiers français et a demandé l’asile en France.
Marie de Bourgogne
27 mai 2020 @ 08:24
« Noureev est retourné pour la dernière fois en Russie en fin d’année 1989, afin de revoir sa mère. »
Et sa maman ne l’a pas reconnu 😥
Karabakh
28 mai 2020 @ 12:57
C’est vrai, j’avais écarté l’anecdote. Noureev était très malade, déjà à ce moment.
luigi
27 mai 2020 @ 10:32
Si, si, il était citoyen Autrichien depuis 1982, mais Russe de naissance.
Karabakh
28 mai 2020 @ 12:57
Oui, en effet. (je pense que vous répondiez à Tartempion) 😉
Baboula
26 mai 2020 @ 07:39
Le rideau de scène est tombé. La plus belle pierre tombale qui soit .
Fragile,elle a été plusieurs fois restaurée
Ezio Frigero est un décorateur qui a souvent travaillé avec Rudolf Noureev. Il a choisi de recouvrir avec un kilim la tombe, rappelant ainsi les origines asiatiques du danseur, grand voyageur et grand amateur de tissages orientaux.
Ghislaine-Perry
26 mai 2020 @ 08:08
Quel danseur ! Je trouve qu’il n’y a pas eu de remplaçant .
L’oeuvre de frigerio est époustouflante de réalisme .
C’est impressionnant .
aubert
26 mai 2020 @ 13:08
Ma grand-mère prétendait que Caruso, Adelina Patti et bien sût Georges Thill dont elle nous rebattait les oreilles n’avaient pas de remplaçant. Qui s’en souvient aujourd’hui ?
ciboulette
27 mai 2020 @ 10:15
Moi , pour Caruso et Georges Thill , nous avions leurs disques à la maison .l
bianca
27 mai 2020 @ 17:13
Je me souviens surtout de Caruso… J’étais sortie en larmes du cinéma où jeune enfant j’avais accompagné mes parents pour voir le film relatant sa vie… Et aussi
Georges Thill … admiré par ma famille « française » !
ciboulette
26 mai 2020 @ 19:16
Merci , Ghislaine -Perry , pour le poème de Banville . . .bien de circonstance , dans cette période bizarre que nous vivons . Je suis très touchée !
Ghislaine-Perry
27 mai 2020 @ 07:51
plaisir Ciboulette
Bonne journée à vous
Celia72
26 mai 2020 @ 08:30
Merci Dame Regine pour cet article sur cet immense danseur . Je voudrais aller me recueillir sur sa tombe a Ste Genevieve. Je n avais pas vu d images de cette belle mosaique. Elle lui ressemble tant. Belle journee a tous
HRC
26 mai 2020 @ 08:47
Magnifique tombe d’un tartare russifié. Émouvante. Un honneur pour la France et l’opéra de Paris.
Ceci dit, je préfère les chorégraphies de Balanchine, et c’était Baryshnikov danseur qui m’eblouissait le plus.
Mais il nous a fait quelques cadeaux magnifiques.
Si la princesse Margaret à été son amie, elle avait quelques intuitions royales.
HRC
26 mai 2020 @ 09:29
écrit de mon portable dans la précipitation et sans lunettes…..
Ghislaine-Perry
26 mai 2020 @ 12:06
Sa mère était de Kasan , il appartenait à une famille de tatars
Leonor
26 mai 2020 @ 21:06
Si vous permettez, HRC, Noureev était un Tatar et non un Tartare.
Ce sont deux groupes ethniques différents .
J’avoue cependant bien volontiers que je n’ai pas encore réussi pour ma part à les différencier : les deux ethnies sont d’origine turco-mongole.
Je continuerai à chercher .
HRC
27 mai 2020 @ 09:48
Tatar, certes !
Je me demande si le « tartare » de Jules Verne et de Dino Buzzati n’est pas une déformation du mot tatar.
On dit les Tatars de Crimée , c’est sûr;
Avec les peuples nomades d’Asie Centrale, c’est compliqué, les Turcs étant des Mongols, pour les Seldjoukiques (ou l’autre grand groupe ???)
Ce tombeau m’émeut beaucoup : un tapis, la richesse du nomade, pour cet homme qui en fut un. il me touchait au coeur, Nouréev, son visage ! il a su pousser Manuel Legris et d’autres comme Mathias Heymann, différents de lui.
ciboulette
30 mai 2020 @ 17:54
Avez -vous vu , HRC , le film » Soleil de Nuit » ( White Nights ) , qui met en scène deux grands danseurs : BARYSHNIKOV et GREGORY HINES , c’est – à -dire,l’école du Kirov et celle de Broadway ? Remarquable , je vous le conseille !
AnneD75
26 mai 2020 @ 08:53
Belle oeuvre en effet, saisissant !
il doit voisiner avec d’autres russes célèbres.
C’était un grand danseur, au musée du costume de Moulins, il y a son appartement et ses costumes de scène.
Antoine
26 mai 2020 @ 09:33
Très beau et vraiment bluffant. Réaliser en mosaïque un tel drapé, quel talent ! L’art funéraire actuel est indigent. J’ai eu la surprise de voir mon caveau de famille inscrit à l’inventaire des monuments historiques à cause des sept grandes torchères en fonte reliées entre elles par de lourdes chaines qui l’entourent. Elles ont été classées au titre du patrimoine métallurgique du XIXe et pas vraiment à celui de l’art funéraire !
Menthe
26 mai 2020 @ 09:57
Merci beaucoup Danielle ! Ce tapis minéral est impressionnant.
Cette année nous enverrons des cartes postales de nos régions.
Kauryn
26 mai 2020 @ 09:57
Beau reportage que l’on pourrait compléter par une visite au Musée du Costume à Moulins dans l’allier où une exposition permanente, consacrée à Rudolf Noureev, présente les aspects de sa vie personnelle et artistique dans une scénographie où mobilier-tableaux-costumes de ville et de séné-photos et films rappellent la vie d’exception d’un danseur exceptionnel. A voir, en complément de l’exposition temporaire du moment.
Vitabel
26 mai 2020 @ 10:01
Surprenant, chaque fois que je vois cette tombe, je suis admirative du travail de l’artiste, après… quelque chose me dérange…c’est trop lourd, ce tapis « étouffe » alors que Noureev était que légèreté…
Claudia
26 mai 2020 @ 15:48
Voilà Vitabel vous avez parfaitement résumé ma pensée, j’ai posté un peu plus loin mais je n’arrivais pas à trouver les termes exacts.
Leonor
27 mai 2020 @ 23:13
Oui, peut-être, Vitabel. Mais par ailleurs, le réalisateur ce dessus de tombe a ainsi rendu hommage à un aspect fondamental de la personnalité de Noureev .
Comme dit plus haut, c’était un Tatar, donc issu une ethnie originaire des nomades des steppes d’Asie Centrale . Qui dit nomade, dit » confort transportable » dont, évidemment les tapis .
Noureev était un fou de tapis, et un fou de textiles . Il s’était par exemple fait confectionner une sorte de robe de chambre, longue,ample, immense, un vêtement d’intérieur, composé de multiples tissus chinés ici et là, tous plus lourds et somptueux les uns que les autres.
A travers les pérégrinations du fait de sa carrière, il trimballait aussi avec lui des rouleaux de cuirs de Cordoue travaillés, en attendant de leur trouver une place plus permanente dans l’un de ses lieux d’habitation.
A mon sens, cette tombe est donc bien au plus près de ce qu’était ce danseur , tartare, nomade dans tous ses gènes, léger peut-être, mais surtout puissant , comme savent l’être les danseurs hommes des danses ethniques originelles.
Charlotte (de Brie)
26 mai 2020 @ 10:09
Très émouvant ce cimetière !
En 1927 la princesse Véra Mestchensky, exilée, fonda à Sainte Geneviève des Bois une maison de retraite pour les exilés russes, bientôt avec les premiers décès s’imposa la création d’un cimetière,la première tombe date justement de 1927. Un emplacement près de la maison de retraite fut donc donné à la fondation, mais cet emplacement reste communal bien que le paysage de ce cimetière rappelle par endroits la Russie éternelle : bouleaux, bancs, sapins etc
La fondatrice de la Maison Russe y est enterrée. Vers 1930 une église y fut construite : Notre Dame de la Dormition de la Mère de Dieu.
Dans ce cimetière reposent nombre d’aristocrates, de généraux, d’hommes politiques, d’écrivains, d’artistes.
Noureev bien évidemment, mais aussi Serge Lifar, Hélène Vallier et Odile Versois, nées Poliakof, le prince et la princesse Youssoupov, Gabriel Romanov arrière petit fils du Tsar Nicolas 1er, Tatiana Botkina fille du médecin de la famille impériale exécuté lui aussi à Ekaterinbourg,le fils ou petit fils de Fabergé le joaillier des Tsars.
On y voit également un monument des anciens combattants russes de Gallipoli, le carré des Cosaques du Don, le carré des Cadets russes et… un carré des chauffeurs de taxis !
C’est à travers les souvenirs de l’un d’eux, prince russe originaire de Bakou en Crimée, Cadet du Tsar, exilé en France après un périple à travers l’Europe du Sud et ayant atterri dans le XVème arrondissement de Paris, que je parle de ce cimetière. C’était un ami de nos grands parents, sa femme et lui sont enterrés à Sainte Geneviève des Bois.
En arrivant en France, il était devenu chauffeur de taxis sa base était à Levallois Perret, ensuite il a monté une entreprise de menuiserie ébénisterie et a contribué à la construction de l’église russe Saint Séraphin de Sarov rue Lecourbe dans le XVème. Son épouse cantatrice chantait dans le cabaret « Raspoutine » à Paris rue de Bassano.
Leur fille a été une célèbre productrice d’émissions pour enfants à la télévision. c’était une amie de notre mère.
C’est fou comme un simple sujet peut faire remonter une foule de visages, de souvenirs.
Merci Régine
Charlotte (de Brie)
26 mai 2020 @ 10:33
J’ai oublié pardon la tombe de la princesse Vera Obolensky, Résistante française exécutée à Berlin en 1944, pourtant ce n’est pas faute d’y être allée…
Poutine aussi s’y est rendu lors de sa visite à Paris pour l’inauguration de la Cathédrale Orthodoxe je crois.
Robespierre
26 mai 2020 @ 12:00
intéressant votre post.
J’ai vu récemment un film qui raconte en détail la défection de Nouréev à Paris, aidé par des amis français. On y voit aussi son parcours avant de devenir le grand Nouréev.
framboiz07
26 mai 2020 @ 12:47
Merci, Charlotte pour ce retour , dans un passé , qui ne passe pas !
Noureev aimait ce tapis .Il est né,selon la légende , dans un train …Voyage , déja …
framboiz07
26 mai 2020 @ 12:56
Odile Versois était mariée avec le comte Pozzo di Borgo , elle possédait dans le Lot (ou Lot et Garonne?) un château , un peu médiéval , que j’ai visité en 1981 et dont le nom ne me revient pas …
Clémentine/Lola 1
27 mai 2020 @ 12:21
Je pense que vous parlez du château de Bonaguil à Fumel (Lot et Garonne) château du XIVème siècle. Ce château appartient à la commune et Odile Versois possèdait une maison… près du château du temps où effectivement elle était mariée au Comte Pozzo di Borgo.
Ma mère a eu l’occasion de d’échanger avec elle dans les années 1980 lorsqu’elles attendaient très régulièrement… dans une salle d’attente de l’Institut Gustave Roussy…elles sont décédées à 2 mois d’intervalle !
li
27 mai 2020 @ 19:06
Le seul bâtiment médiéval que je connaisse et qui soit attaché à Étiennette de Poliakoff alias Odile Versois, c’est la Tour de Monticci qui est le seul vestige entier de l’ancien village de Pozzo di Borgo – mais elle est située sur les hauteurs d’Alata en Corse du Sud, et elle appartient fort justement à la famille Pozzo di Borgo.
Après, il peut y avoir eu une autre propriété dont j’ignore l’existence, peut-être plus attachée aux Poliakoff.
Karabakh
27 mai 2020 @ 19:07
li = Karabakh
Petite manipulation hasardeuse…
Celia72
26 mai 2020 @ 15:40
Merci Charlotte pour tous ces détails. Merci aussi a Danielle que j ai oubliee dans mon 1er post
Claudia
26 mai 2020 @ 10:18
Je savais que Noureev était enterré à Sainte Geneviève des Bois mais n’ayant jamais vu sa tombe, je suis assez étonnée par ce tapis de mosaïque. En fait c’est à la fois très beau car j’aime beaucoup les couleurs, mais beaucoup trop chargé. En tout cas c’est un vrai travail d’artiste.
Elsi
26 mai 2020 @ 10:32
Cette oeuvre est tout simplement incroyable et unique…quel savoir-faire…
Framboise
26 mai 2020 @ 10:38
Le plus beau monument funéraire du monde…
Jean Pierre
26 mai 2020 @ 10:50
L’amitié de Margaret n’allât pas jusqu’à ce qu’elle l’accompagne à sa dernière demeure.
HRC
26 mai 2020 @ 11:49
Tant pis pour elle.
Il était accompagné par les danseurs qui savaient ce qu’il leur avait apporté, c’est mieux.
COLETTE C.
26 mai 2020 @ 10:52
Une œuvre magnifique.
luigi
26 mai 2020 @ 11:15
Impressionnant ce tapis mosaïque !
Myriam Schopfer
26 mai 2020 @ 12:27
Noureev, mon danseur préféré mais le plus bel homme de tous les ateurs de cinéma, comédiens etc. aucun ne lui arrivait à la cheville. C’est mon opinion.
Martine
26 mai 2020 @ 13:04
Site Geneviève des bous a longtemps vécu à l heure russe, il y a une maison de retraite ou dans les années 90 beaucoup de personnes parlaient russe entre elles
De même sa voisine Leuville a vécu à l heure géorgienne
Sylvie
26 mai 2020 @ 13:07
Merci Danielle pour ces photos ensoleillées. Je devais faire une visite guidée de ce cimetière, qui avait été annulée. Cela fait longtemps que je désire y aller, encore plus depuis que j’ai des petites-filles d’ascendance russes blancs.
Universelle
26 mai 2020 @ 14:51
Impressionnant et on dirait un vrai tapis.
Danielle
26 mai 2020 @ 15:33
Sur le côté droit de la tombe, un banc en marbre entouré de petits arbustes a été installé et l’on peut s’y asseoir.
Celle-ci se trouve au bout de l’allée du cimetière russe, à gauche et au bord, on ne peut pas la manquer.
Juste avant, une tombe de la famille Tolstoï où 5 membres sont inhumés.
A l’entrée du cimetière, une chapelle surmontée d’un bulbe bleu où se déroulent les offices.
En tant que danseur, R. Noureev est irremplaçable et voir sa tombe est émouvant.
ciboulette
26 mai 2020 @ 16:49
Beaucoup d’émotion et d’admiration devant ce travail de mosaïque représentant un kilim , qui est une merveille en soi , et à l’évocation du grand artiste qu’était Noureev .
Elodie.B
26 mai 2020 @ 17:34
En tant qu’habitante de Sainte-Geneviève des Bois, je ne peux que vous recommander la visite de ce cimetière très émouvant.
La tombe de Rudolf Noureev est souvent fleurie par les visiteurs. Certains déposent des chaussons de danse ou des bougies à son pied. La lumière du soleil sur le tapis mosaïque peut être extraordinaire.
Lors des Journées du Patrimoine, vous pouvez vous inscrire sur le site de la mairie pour programmer une visite guidée. La Maison Russe se visite aussi lors de ces journées. Les élèves du conservatoire de musique et de danse (le Centre Rudolf Noureev) s’y produisent régulièrement pour les résidents.
La ville est très fière de ce patrimoine russe et le précédent maire a souvent évoqué avec émotion la visite du Président Poutine en novembre 2000.
Caroline
26 mai 2020 @ 21:45
Très beau et sûrement unique en son genre ! Comment ce tapis de mosaïque peut-il résister à tous les temps y compris la neige et le gel ?
Baboula
27 mai 2020 @ 07:39
Justement,il ne résiste pas,les joints n’aiment ni la pluie ni le gel ,ni le soleil. Il faudrait le mettre sous une cloche protectrice.
septentrion
26 mai 2020 @ 22:33
Merci Danielle, j’avoue ma totale ignorance de cette tombe. Quel réalisme je croyais voir un vrai tapis
Manon M.
27 mai 2020 @ 01:59
Beaucoup de russes blancs se sont retrouvés en France après la révolution d’Octobre de 1917. Plusieurs sont tombés dans une extrême pauvreté. On pouvait retrouver des princes russes chauffeurs de taxi… Leur monde s’était écroulé et les rouges avec Lénine, Staline et cie, ont fait des millions de morts. Triste révolution qui n’a apporté que misère, famines et morts.
bianca
27 mai 2020 @ 17:07
Dans le quartier de mes parents, nombre de russes exilés… En région parisienne ! Une Chapelle au bout de notre rue où des messes étaient dites tardivement… En entendant les cloches sonner un un samedi soir, nous sommes allées voir les fidèles entrer dans la chapelle… Ils apportaient tous des offrandes ! Je garde au regard de toutes ces personnes « nobles » une certaine élégance physique et morale…envers nous les Français. En revanche ils semblaient assez distants des russes exilés comme eux…. mais d’origine plus modeste qu’ils appelaient « Les moujiks » (je en sais pas si l’orthographe est exacte)… Deux mondes qui se côtoyaient et semblaient semble-t-il s’ignorer. Une ancienne institutrice donnait bénévolement des cours de langue Russe… et aussi pour les petits français. Elle avait dit à ma Mère que sa meilleure élève était ma jeune soeur, puis, démotivée après tous ses efforts pour les intéresser a cessé de les instruire… Dommage que la majorité des enfants n’aient pas pris conscience de la chance qui leur était offerte !
Francois
27 mai 2020 @ 06:43
Magnifique tombeau
Dommage qu’il soit fragile .
Certainement le gel avec l’neau qui peut stagner .
Mais l’effet est saisissant .
Ghislaine-Perry
27 mai 2020 @ 08:00
Régine , je voudrais vous féliciter pour cet article vraiment inoui .
Un ancien maire de Ste Geneviève des Bois est l’un de nos amis intimes , je vais lui parler de cet article .
J’en profite aussi pour remercier l’équipe technique . C’est un plus appréciable de voir les commentaires des le matin et non d’attendre le début de l’après-midi pour le faire *
Merci à tous .
bianca
27 mai 2020 @ 17:25
Dans le quartier de mes parents, nombre de russes exilés… En région parisienne ! Une Chapelle au bout de notre rue où des messes étaient dites tardivement… En entendant les cloches sonner un un samedi soir, nous sommes allées voir les fidèles entrer dans la chapelle… Ils apportaient tous des offrandes ! Je garde au regard de toutes ces personnes « nobles » une certaine élégance physique et morale…envers nous les Français. En revanche ils semblaient assez distants des russes exilés comme eux…. mais d’origine plus modeste qu’ils appelaient « Les moujiks » (je en sais pas si l’orthographe est exacte)… Deux mondes qui se côtoyaient et semblaient semble-t-il s’ignorer. Une ancienne institutrice donnait bénévolement des cours de langue Russe… et aussi pour les petits français. Elle avait dit à ma Mère que sa meilleure élève était ma jeune soeur, puis, démotivée après tous ses efforts pour les intéresser a cessé de les instruire… Dommage que la majorité des enfants n’aient pas pris conscience de la chance qui leur était offerte !
Nivolet
28 mai 2020 @ 15:48
Le Flamboyant, pour moi c’est le plus grand! Il était le fils de Farida et Hamet des Tatares de confession musulmane. Il repose dans cimetière russe de Sainte-Geneviève-des-Bois.