Pendant 1.000 ans, Venise la Sérénissime a connu à sa tête pas moins de 125 doges. cet ouvrage revient plus particulièrement sur le destin de 16 d’entre eux qui ont le plus marqué la ville. Des doges morts au combat, assassinés, objet de complots mais aussi fins stratèges et diplomates.
« La Venise des Doges : Mille ans d’Histoire », Amable de Fournoux, Editions Pygmalion, 2009, 466 p.
DOMI
2 septembre 2011 @ 08:19
Désolée Régine mais il s’agit de Venise la Sérénissime !
Ceci dit, Venise est une véritable splendeur dont on ne lasse pas. Le palais des Doges méritant bien une visite.
De même dans le texte de la rentrée des classes, il y a un « de » en trop « de Mathilde de Belgique » !
Bonne journée
DOMI
2 septembre 2011 @ 08:22
De même, il manque une majuscule à « Cet ouvrage ».
Merci !
DOMI
2 septembre 2011 @ 16:08
Dont on ne SE lasse pas !!
Sorry !
Zeugma
2 septembre 2011 @ 10:20
Je suis justement en train de lire le passage consacré à Venise de « Yoyage en Italie » (« Italiaenishe Reise ») de Goethe.
Goethe a fait un séjour dans la sérénissime en octobre 1786.
Sa vision de la ville, à une époque où le tourisme était quasi inexistant, est très intéressante.
La ville n’était pas encore relié à la terre. C’était encore une île.
Il ne fait pas de commentaires sur le système de gouvernement sauf sur le fait que Venise est une république, chose rare et peut-être unique à l’époque. La Suisse était déjà sans doute dans le même cas : à vérifier.
Les doges présidaient une république aristocratique à laquelle Bonaparte (toujours ce sinistre personnage !) mettra fin en donnant Venise à l’Autriche.
Les descendants des doges (j’en connais un, qui vit à Paris) ont droit de faire figurer le bonnet doganal (ou ducal, comme on veut), insigne de la fonction, sur leur carte de visite.
Palatine
2 septembre 2011 @ 12:30
Vous ne trouvez pas qu’un livre qui serait intéressant à lire, mais qui n’existe probablement pas, serait l’histoire des rois de France à travers les rapports que firent à l’ epoque les ambassadeurs de la Serenissima à leur gouvernement ?. Rapports objectifs et sans la moindre flagornerie, disons des 2 ou 3 derniers siecles d’Ancien Regime.
Zeugma
3 septembre 2011 @ 10:47
Palatine, vous avez raison.
Une histoire des relations entre la France et Venise serait très intéressante. Ca ne passionnerait sans doute pas le « 9.3 », mais sait-on jamais ?
Peut-être que cet ouvrage a déjà été écrit. Je vais chercher.
Palatine
3 septembre 2011 @ 18:25
je sais que les ambassadeurs donnaient leurs descriptions et opinions personnelles sur la Cour de France et ses personnages, les decrivaient, et ça ferait un pendant venitien à Saint-Simon ou la Palatine.
Yannick
2 septembre 2011 @ 15:07
+ Saint-Marin pour les républiques de cette époque !
DOMI
2 septembre 2011 @ 10:59
Merci pour la correction de la Sérénissime.
chaton
3 septembre 2011 @ 10:03
est – il illustré ?
cosacienne
3 septembre 2011 @ 11:57
le prix de ce livre est de 22.90 euros, mais 21.75 chez Amazone (publicité gratuite)