A partir de lundi, Noblesse et Royautés vous présentera sous la plume de Patrick Germain la vie de l’archiduchesse Marie Louise d’Autriche devenue impératrice des Français après son union avec l’empereur Napoléon, mère du roi de Rome, puis duchesse de Parme.Une série déclinée en 8 parties avec une très riche iconographie.
Lili.M
3 novembre 2024 @ 07:04
Vivement lundi.
Baboula
3 novembre 2024 @ 07:04
Excellente nouvelle !
Menthe
3 novembre 2024 @ 11:08
Je me réjouis !
Calou
3 novembre 2024 @ 08:30
Il me tarde lundi aussi…
Merci à Patrick Germain!
Robespierre
3 novembre 2024 @ 08:38
Il fallait le faire. Marie-Louise d’Autriche est un de ces personnages qui ont été maltraités par l’Histoire, du moins par les Français du 19e Siècle. Quand on lit des biographies écrites par des auteurs allemands ou autrichiens, on a un tout autre regard. Patrick Germain a voulu remettre les pendules à l’heure.
Mr Bernard Dupont
3 novembre 2024 @ 08:39
Je ne doute pas que cette série sera du plus grand intérêt
Robespierre
3 novembre 2024 @ 08:48
Dans les Archives royales suédoises, il y a toute une correspondance entre Napoléon et Marie Louise après la Débâcle et avant l’ile d’Elbe, qui montre que Marie-Louise sous une lumière très positive. L’Empereur ne put jamais recevoir ces lettres qui furent confiées à Julie Clary la femme de Joseph, qui elle non plus ne put les faire parvenir à son destinataire. Ensuite Julie Bonaparte les donna à Désirée Clary, princesse de Suède qui résidait en France. Désirée ne quitta Paris que des années plus tard,quand son fils se maria avec la princesse Auguste de Bavière, et elle emmena ces lettres qui dorment encore dans les Archives.
Passiflore
3 novembre 2024 @ 09:02
Parfait ! Merci, Régine
Trianon
3 novembre 2024 @ 10:01
Je m’en réjouis d’avance .Merci Cosmo !
Severina
3 novembre 2024 @ 10:11
Merci Patrick Germain, vous lire est un véritable cadeau et puis notre duchesse de Parme jamais oubliée! Je vous avoue aussi une certaine jalousie pour votre magnifique français, tellement loin de mes capacités.
Kalistéa
3 novembre 2024 @ 10:32
Enfin quelque chose de sérieux!
Perlaine de Bretagne
3 novembre 2024 @ 10:34
Merci Patrick Germain !
Erato deux
3 novembre 2024 @ 11:04
Merveilleuse nouvelle.
Carolibri
3 novembre 2024 @ 11:39
Très bonne idée car il y a beaucoup trop d’idées reçues sur cette femme, elle mérite qu’on s’y intéresse.
Alienor33
3 novembre 2024 @ 11:48
Excellente nouvelle
Bambou
3 novembre 2024 @ 12:12
Marie-Louise ressemblait beaucoup à sa tante Marie-Antoinette.
Jean Pierre
3 novembre 2024 @ 13:10
La mère de Sarah Bernhardt.
mousseline
3 novembre 2024 @ 13:42
Merci à Patrick Germain. Marie Louise, qui n’ était « qu’ un ventre » pour accueillir le futur enfant de Napoléon, après s’ être bien entendue avec lui, est repartie en Autriche avec l’ aiglon lors de la chute de l’ empereur. Mère pas très présente pour lui, puisqu’ elle se remaria avec le comte avec Neipperg, dont elle eut 2 enfants.
Anna1
3 novembre 2024 @ 13:50
Chouette , d’avance merci
Baboula
3 novembre 2024 @ 13:59
Voici, ce qui manque à ce site des articles de fond et moins de nouvelles people , si princières soient elles . Comme les photos sont présentées sans argumentaires, les commentaires se reportent sur le plus superficiel. A moins que je me trompe ,que l’anniversaire de mariage d’un prince sans avenir princier soit d’une importance capitale et que ce site soit Gala couronné. Beaucoup avons été bernés .
Mayg
3 novembre 2024 @ 14:31
J’attends la série avec impatience.
Danielle
3 novembre 2024 @ 14:55
De bonnes lectures en perspective.
luigi
3 novembre 2024 @ 16:39
Hâte à lundi, les articles de Patrick Germain sont tjours captivants.
Lapiequichante
3 novembre 2024 @ 17:10
Super idée, ça ! Merci
Pierre-Yves
3 novembre 2024 @ 17:13
On va lire ça avec beaucoup d’intérêt !
Anne-Charlotte de T
3 novembre 2024 @ 17:21
De l’émotion, des sentiments, des rebondissements. Et de l’amour ! Je me réjouis …
Robespierre
4 novembre 2024 @ 10:31
Je ne retrouve pas mon post où je félicitais Cosmo de mettre à l’honneur, et réhabiliter un personnage historique très malmené par les historiens au 19e S.