Elle veut une mode éthique où le plastique n’a plus sa place. En adhérant à la campagnie « Fashion our future », lady Amelia Windsor se range du côté de celles qui font bouger les lignes. (merci à Bertrand Meyer)
Elle veut une mode éthique où le plastique n’a plus sa place. En adhérant à la campagnie « Fashion our future », lady Amelia Windsor se range du côté de celles qui font bouger les lignes. (merci à Bertrand Meyer)
Caroline
21 février 2020 @ 07:20
Oui, construisons notre futur écologique, même pour s’ habiller de la tête aux pieds! 👍
Baia
21 février 2020 @ 14:23
Non, non et non ! Je fais ce que je veux, je m’habille et je mange comme je veux, et le futur écologique dont on nous rabâche les oreilles sans arrêt n’entre pas en ligne de compte dans mes choix.
Ras le bol de cette toutes ces leçons de morale à tous bouts de champs.
Leonor
22 février 2020 @ 16:21
Ce ne sont pas des leçons de morale, voyons. Juste des conseils de survie …
emy
23 février 2020 @ 20:55
Vous pourriez ajouter « Après moi la fin du monde… peu me chaut » !
La terre ne nous appartient pas, nos descendants auront à y vivre… si nous la leur laissons vivable. Nous n’avons pas le choix de nous dispenser des mesures écologiques, à moins d’être des monstres d’égoïsme.
milou
24 février 2020 @ 06:04
Votre personnalité égocentrique et quelque peu rigide ressort bien dans votre commentaire Baia!
Heureusement que je vous déride de temps en temps !😆
milou
21 février 2020 @ 07:38
Je la confonds toujours avec lady Kitty et pourtant je la préfère tant!
Elle est plus sobrement classe et me paraît plus intelligente de part ses combats !
Gatienne
21 février 2020 @ 13:55
La classe n’a pas toujours été de son côté question tenues: un petit retour en arrière sur tous les posts la concernant nous en donne des exemples édifiants !
Mais ici, l’heure est grave: il s’agit de défendre une cause sérieuse, donc la sobriété de mise est une forme d’opportunisme bienvenu.
Par ailleurs, Lady Kitty Spencer, que je trouve pour ma part plus agréable à regarder, s’implique aussi dans de belles causes ayant trait à la protection des enfants en situation de vulnérabilité ou de précarité .
Elle n’a pas non plus à rougir de son parcours universitaire en littérature et psychologie puis sciences politiques à l’université de Cape Town, suivi d’un cursus en histoire de l’Art à Florence.
milou
24 février 2020 @ 05:50
Merci chère Gatienne de m’avoir avec votre gentillesse et délicatesse habituelles renseignée un peu plus sûr Lady Kitty!
Voilà deux ravissantes jeunes femmes à la tête bien et joliment faite !
Bien à vous !
Baia
21 février 2020 @ 14:25
Waouh ! Merci pour le fou rire que me procure votre commentaire …
Clémentine/Lola 1
22 février 2020 @ 13:37
Confondre les deux femmes à mourir de rire…! milou est quelquefois « comique » !
Clémentine/Lola 1
22 février 2020 @ 13:37
Quand je pense que l’on critique le regard de Leonor de Suède…
milou
21 février 2020 @ 07:38
…et surtout très ravissante !💫
Baboula
21 février 2020 @ 17:12
Milou, les critères suisses de beauté me paraissent étranges , peut-être qu’un sourire l’embellirait un peu ,pas plus .
Mary
21 février 2020 @ 09:13
Le gros plan ne lui réussit pas du tout. Ses traits lui donnent l’air antipathique alors qu’elle est peut-être charmante?
Chinono
21 février 2020 @ 15:38
C’est pour se donner des airs mystérieux et donc paraître plus intelligente…
Robespierre
21 février 2020 @ 09:41
Elle prend le train en marche, le textile éthique est dans l’air du temps. A part ça, je l’admire comme femme d’affaires. Elle me fait penser à Claude François. Il etait petit, pas très beau et avait une voix de canard. Mais il a su organiser un vrai spectacle, faire arriver les choses, s’est démené et a réussi là où ceux qui avaient une plus belle voix sont restés sur le carreau.
aubert
21 février 2020 @ 13:36
je suis d’accord il émane d’elle un charme…électrisant !
Kamila
21 février 2020 @ 15:15
Claude François était très beau.
Leonor
21 février 2020 @ 17:30
C’est vrai, c’est vrai, Rob.Mais il avait juste oublié d’apprendre ses leçons de physique mention électricité appliquée.
Clémentine/Lola 1
22 février 2020 @ 13:39
Comme c’est classe cette réflexion sur l’électricité…!
Leonor
23 février 2020 @ 11:23
S’il les avait apprises, ses leçons sur ‘électricité, il ne serait pas mort aussi stupidement. Ca aurait été plus classe pour lui.
A part ça, bon dimanche à vous, Lola 1/ Clémentine, l’une de mes haters adorées. :-)
Clémentine/Lola 1
24 février 2020 @ 14:09
On peut tout à fait avoir étudié la physique et d’un geste impulsif commettre une grave erreur…
Ah oui, j’oubliais madame parfaite et donneuse de leçons…rien ne vous arrive…à Vous !
Claudia
21 février 2020 @ 19:05
La comparaison avec Claude François est un peu bizarre, et j’ai des doutes sur ses capacités de femme d’affaires. Elle me fait plutôt l’effet d’une jeune personne qui ne sait pas vraiment quoi faire de sa vie…
Leonor
21 février 2020 @ 09:56
Ouais, ça s’appelle surfer sur la vague . *
La seule mode qui serait vraiment du futur , c’est qu’il n’y ait plus de mode du tout. Enfin, ce qu’on appelle actuellement la mode . Seconde industrie la plus polluante de la planète.
Il y a encore 150 ans – une paille à l’échelle géologique – , la mode n’existait tout simplement pas. Sauf pour le minuscule pourcentage de gens riches, nobles ou grands bourgeois. Et encore. Le gens portaient les quelques vêtements qu’ils avaient jusqu’à épuisement. Les tissus et vêtements étaient considérés comme un bien important, cf. les testaments ,inventaires et partages notariaux du temps.
Qu’on le veuille ou non,on va être obligés d’y revenir, et le plus tôt sera le mieux.
aubert
21 février 2020 @ 13:40
Allez plus loin Leonor. Tout le monde à poil.
Vu mon âge et ce qu’il me reste même une feuille de vigne serait inutile.
Surtout si on préfère ne pas me regarder.
Leonor
22 février 2020 @ 16:26
Vous m’avez mal lue, Aubert. .Donc, bis repetita : » Les tissus et les vêtements étaient considérés comme un bien important (…) . Donc, les gens les soignaient et les entretenaient . Parce que, entre autres,ils savaient ce qu’il leur en avait coûté de peine et de travail à les fabriquer ou les acquérir .
Quand on sait ce que c’était que le travail du chanvre , du lin, de la ramie, de la laine, on sait qu’ils ne jetaient pas leurs fringues au moindre accroc . Du coup,ils n’asséchaient pas la mer d’Aral à force de plantations de coton, et ne polluaient pas autant les rivières avec détergents, sels de teinture, etc.
Mais rassurez-vous, Aubert, je ne vous empêcherai pas d’aller tout nu si le coeur vous en dit ! ;-)
Ghislaine-Perrynn
21 février 2020 @ 16:18
Comment ça la mode n’existait pas il y a 150 ans ?
Vous oubliez que dans nos provinces françaises le costume régional était porté partout sauf bourgeois ou nobles. Même pauvres les personnes disposaient de costumes plus ou moins travaillés mais élégants et propres une simple collerette de dentelle sur un caraco de velours vous donnait une allure de grande dame .
Velours, soie , dentelle, jais , etc… ornaient les habits du Dimanche
Vous nous faites , comme beaucoup actuellement , un tableau apocalyptique de la situation mondiale en oubliant qu’il y a d’autres scientifiques qui n’ont pas votre vision des choses , dieu merci .
Il est de bon ton de donner dans le pot au noir , je ne vous suis pas dans cette dérive .
Clémentine/Lola 1
22 février 2020 @ 13:40
Mais bien évidemment GP, c’est l’excès qui est à revoir.;
Vitabel
21 février 2020 @ 17:56
Oui mais les grouillots auraient certainement aimé de temps en temps changer de guenilles..tout n’est pas rejeter dans notre société, ce qui me semble grave, c’est l’excès de tout, de fringues, de nourriture, de vacances …de loisirs…
Leonor
22 février 2020 @ 16:27
Oui, on est bien d’accord, Vitabel.
Menthe
22 février 2020 @ 17:46
Vous avez raison Vitabel, et les ayatollahs de certaines pratiques pseudo-ecolo sont souvent justement ceux qui abusent de vacances, voyages et déplacements à tout berzingue, ou autres loisirs.
val
21 février 2020 @ 10:26
Parfait si en plus du plastique il n’y a plus de fourrure !
Valerielabelle🌺
21 février 2020 @ 12:01
Pffiou, elle suit juste une tendance!
Mayg
21 février 2020 @ 13:57
Elle n’a pas encore trouvé un riche futur mari comme la cousine Kitty ?
kalistéa
21 février 2020 @ 17:15
Elle a raison de travailler dans le domaine qu’elle s’est choisi , mais cela ne m’empèche pas de la trouver particulièrement moche .s’il y a des gens qui la trouvent bien , eh bien c’est la preuve que tout le monde a sa chance dans la vie .ceux qui échouent doivent persévérer.
Robespierre
22 février 2020 @ 13:55
C’est facile de devenir l’égérie d’une marque quand on est belle comme Kitty, mais quand on est petite, pas très bien proportionnée et qu’on n’a que sa jeunesse à offrir, c’est bien plus difficile. Elle a fait comme Claude François et a créé l’éveènement, tout un battage médiatique, et elle a décroché la timbale. Chapeau. Mais il faut la comprendre, avec son diplôme en langues modernes, elle n’aurait pas gagné un pactole et aurait dû bosser 40 heures par semaine. C’est parce que je ne la trouve pas très jolie que je l’admire. Une vraie femme d’affaires !
Valerielabelle🌺
22 février 2020 @ 15:28
😂😂😂😂😂😂
Menthe
22 février 2020 @ 17:48
Mais chère Kali, je ne vous apprendrai rien en disant que même les plus laid(e)s trouvent chaussure à leur pied 😉
kalistéa
24 février 2020 @ 21:46
Mais oui , chère Menthe , et c’est très bien comme ça !Je dirais même plus : Les plus laids et les plus malfaisants sont ceux qui ont souvent le plus d’admirateurs et de « chrétiens » pour leur pardonner : Il suffit d’une bonne pub pendant suffisamment longtemps !