La princesse Diana aurait été fière d’elle. Lady Kitty Spencer s’engage contre l’esclavage qui toucherait aujourd’hui 40 millions de personnes à travers le monde. Avec l’ONG Justice and Care, elle promeut ainsi ce t-shirt « pour la liberté » dont la vente est intégralement reversée pour cette juste cause. (Merci à Betrand Meyer)
milou
23 octobre 2019 @ 07:24
Élégance du geste pour une bien ravissante jeune femme !
Leclercq
23 octobre 2019 @ 07:41
Encore plus belle au naturel, en t-shirt.
Michèle 2
23 octobre 2019 @ 08:02
Et dire qu’à notre époque, nous devons continuer à nous battre, lever des fonds, faire des campagnes pour attirer l’attention sur un problème qui, humainement, aurait eu être éradiqué depuis bien longtemps. Misère de misère, quel désespoir.
Nivolet
23 octobre 2019 @ 13:53
Vous avez raison, mais quelle hypocrisie! Tous ces dirigeants mondiaux dont les nôtres parlant, gesticulant à l’ONU, puis se prosternant minablement devant les pays du Golfes, les républiques bananière et autres sultanats…
Esquiline
24 octobre 2019 @ 13:19
Inutile d’aller si loin pour trouver des esclaves, il suffit par exemple de voir dans quelles conditions travaillent et vivent ceux qui cueillent nos tomates en Italie ou en Espagne et peut-être aussi ailleurs en Europe.
Alinéas
23 octobre 2019 @ 08:02
Oh, il faudrait qu’elle arrête de mincir mais quand même bien belle !!!
j21
23 octobre 2019 @ 11:47
De votre avis, Alinéas !
marianne
23 octobre 2019 @ 08:09
40 millions de personnes « à travers le monde » … vraiment ? Ah, la langue de bois !
Dom
23 octobre 2019 @ 08:53
Cette jeune fille est resplendissante de fraicheur et Diana serait fière d elle.
Elle s engage toujours pour de nobles causes.
Caroline
23 octobre 2019 @ 10:22
Merci pour sa belle mission contre l’ esclavage, pas toujours enrayé de nos jours dans le monde entier !
C’ est vraiment honteux que l’ esclavage existe encore chez les enfants !!!
milou
23 octobre 2019 @ 13:20
Charlotte Casiraghi est ravissante aussi aux rencontres philosophiques….
Muscate-Valeska de Lisabé
23 octobre 2019 @ 14:24
Au Liban,une employée de maison étrangère,originaire des pays sous développés, touche 300$ mensuels en moyenne,nourrie,logée,blanchie.
Dans son pays de naissance,pour le même travail,25$,avec tout à ses frais.
Alors quel argument avancer?
Qu’elle reste libre et chez elle pour un salaire de misère ?
J’en suis à ma 4ème employée de maison sur 9ans,elles viennent au Liban pour un contrat reconductible de deux ou trois ans.C’est parfaitement légal et plébiscité par les pays pauvres concernés qui font le maximum,et sans scrupule,pour envoyer leurs ressortissantes travailler à l’Étranger,ceci dopant l’économie du dit-pays.
J’ai déjà hébergé et employé une philippine,une malgache,une éthiopienne et une camerounaise.
Toutes témoignent qu’elles se sont battues pour venir travailler ici plus dignement que dans leur propre pays.
Qu’elles font vivre toute leur famille grâce à ces salaires estimés chez elle très élevés.
Alors même si je comprend le point de vue occidental qui fut longtemps le mien,je ne considère néanmoins pas comme de l’esclavage le fait d’employer des personnes qui veulent travailler et qui viennent pour ça.
À savoir pour exemple qu’une vendeuse en prêt à porter ou une salariée en esthétique,d’origine libanaise,peut espérer 600$.Tous frais à sa charge.
LOLA 1
24 octobre 2019 @ 12:53
J’ai employé à temps partiel une personne d’origine philippine, qui est décédée
depuis 5 ans d’un cancer, elle avait 36 ans. Jeune femme que nous avons accompagnée, ma soeur et moi jusqu’au bout.
Nous lui donnions 13 euros net de l’heure, elle arrivait avec l’aide d’une voisine à gagner net 1400 euros/mois (3 maisons dans le même quartier) Elle vivait dans un studio de 40 m² prêté par ma soeur dans mon immeuble elle était si heureuse, elle avait rencontré un français et nourrissait quantités de projets et puis ce fût le drame…je voulais lui rendre hommage ici car dans son pays, elle était esclave…
Baboula
24 octobre 2019 @ 17:05
Muscate ,ce dont vous parlez n’est pas de l’esclavage . J’ai connu dans un beau quartier parisien des jeunes femmes qui couchaient sur une alèse dépliée dans la buanderie ou la cuisine,ne mangeaient que des patates à l’eau et qu’un accident de travail invalidant en s’occupant des enfants de la famille ont conduites dans mon cabinet . Pas déclarées pas de Sécu et les patronnes refusant de payer . Même une femme de rabbin et une comédienne honorée parmi ces tortionnaires .On les avaient tellement dévalorisées à leurs yeux qu’elles se croyaient indéfendables. Je ne suis pas une révolutionnaire mais il a fallu faire passer un message égalitaire pour que ces femmes osent parler . J’avais oublié cet épisode de ma vie professionnelle et voyez vous,je suis un peu contente de moi .
Menthe
25 octobre 2019 @ 17:22
Joli témoignage, Baboula.
Muscate-Valeska de Lisabé
25 octobre 2019 @ 17:36
Bien légitimement,Baboula-mia 😘
ciboulette
23 octobre 2019 @ 18:52
Une belle jeune fille pour une noble cause , hélas toujours d’actualité !
Beat
23 octobre 2019 @ 19:02
Je l’aimais avec ses rondeurs 🤪
Danielle
23 octobre 2019 @ 19:58
Une belle cause à défendre, félicitations à cette jeune femme.
Heloise
23 octobre 2019 @ 20:33
Quelle beaute
Auberi
23 octobre 2019 @ 21:04
Qu’est-ce qu’elle est jolie !!😆😆
Jade
26 octobre 2019 @ 01:00
Donc, elle a aussi la beauté du cœur.