Claudine, duchesse douairière de Cadaval, a célébré le 4 août dernier son 81ème anniversaire au Portugal en compagnie de ses deux filles, la princesse Diane d’Orléans, duchesse de Cadaval, et dona Alexandra Pereira de Melo. (Photo Instagram Diane d’Orléans, duchesse de Cadaval – Merci à Charles)
Roselilas
13 août 2024 @ 06:29
Très belle photo. À gauche sur la table un 2ème gâteau.
Camille
13 août 2024 @ 15:50
Oui, c’est une très belle photo joyeuse qui change des photos d’anniversaire où tous sont attablés. Le bouquet d’hortensias est magnifique.
J’imagine qu’il s’agit du portrait d’un ancêtre en arrière-plan.
Chris
14 août 2024 @ 13:01
Des hortensias ?
Menthe
14 août 2024 @ 15:57
Oui, hortensias verts au premier plan.
Camille
14 août 2024 @ 22:41
Si ce n’est cela, ça y ressemble. C’est très beau en tout cas.
milou
13 août 2024 @ 07:13
Voilà une dame qui ne fait pas son âge… superbe tout comme ses filles!
plume
13 août 2024 @ 07:34
J’aperçois sur la gauche un autre gâteau tout aussi sympathique que celui présenté !!!
Kardaillac
13 août 2024 @ 07:55
C’est devenu le palais des femmes.
La photo est très réussie.
Lunaforever
13 août 2024 @ 08:53
Le gynécée…
Il manque la petite-fille.
Robespierre
13 août 2024 @ 09:36
Ma grand mère à cet âge là n’était pas aussi avenante.
Bambou
13 août 2024 @ 11:34
Elle n’avait peut-être pas les mêmes moyens pour se « rajeunir »…..😂
Bambou
13 août 2024 @ 09:38
Toujours entre femmes…quel place pour des gendres…?
Ontheroadagain
13 août 2024 @ 09:56
On dirait davantage 3 soeurs qu’une mère et ses 2 filles. Elle a dû les avoir à moins de 25 ans
Jackie
13 août 2024 @ 11:50
Non, à 35 ans. La duchesse de Cadaval a 46 ans.
Solenn
13 août 2024 @ 16:56
Donc elle a eu sa fille à 11 ans !!!!!! Jackie
Jackie
14 août 2024 @ 13:57
Non, à 35 ans Solenn : 35+46=81 ans. Je suis nulle en maths mais là…
PATRICIA
13 août 2024 @ 10:07
Depuis son divorce, la duchesse Diane resplendit, c’est très bien pour elle.
Agnese
13 août 2024 @ 10:19
Joli trio de femmes élégantes et souriantes.
Merci Charles.
La duchesse douairière de Cadaval ne fait pas du tout son âge et la jeune sœur est ravissante.
Marie
13 août 2024 @ 10:45
Trois très belles femmes.
Ludovina
13 août 2024 @ 11:40
Ces titulatures m’interrogent et me font sourire concernant D.Diana Álvares Pereira de Melo, 11ª duquesa de Cadaval.
Elle n’est plus princesse d’Orléans, seule sa fille est et restera eu égard à sa naissance une princesse d’Orléans.
Katellen
13 août 2024 @ 12:14
Je suis d’accord avec Ludovina. Diane ayant divorcé, pourquoi continuer à l’appeler princesse d’Orléans ? Elle semble avoir tiré (et avec bonheur) un trait sur son ancienne vie d’épouse donc il n’y a pas de raison à vouloir continuer à faire comme si la situation n’avait pas évoluée.
Faustin
14 août 2024 @ 09:26
La duchesse de Cadaval continue toujours à revendiquer le titre de princesse d’Orléans et le prédicat d’Altesse Royale. Il figure, par exemple, sur sa page Facebook personnelle. Elle est donc loin d’avoir tiré un trait sur son ancienne vie.
Il y a simplement des règles concernant les titres au sein de la Maison de France, et un Chef, aujourd’hui Mgr le comte de Paris, qui a la charge de les faire respecter.
Monica
14 août 2024 @ 11:45
Faustin pour la fin de votre com, il faudra le dire à Charles 😉😁
Jackie
14 août 2024 @ 13:59
Faustin a raison, elle le revendique elle-même :
https://www.instagram.com/dianadecadaval/
Charles
14 août 2024 @ 18:01
Le Comte de Paris a confirmé que Diane était toujours altesse royale,et qu’elle conservait le titre de princesse d’Orléans et de duchesse d’Anjou malgré le divorce civil de son union avec le prince Charles-Philippe.
Ludovina
15 août 2024 @ 12:42
Alors, je vais encore sourire : si le comte de Paris, marié avec Philomena de Tornos y Steinhart, petit-fils d’un comte de paris (1908-1999) dont l’épouse Isabel de Orléans et Bragança (1911-2003) était elle-même issue d’une union morganatique, l’a décrété, c’est parfait !
Faustin
16 août 2024 @ 10:26
@Ludovina
La notion de mariage morganatique n’existe pas en droit dynastique français. La diplomatie européenne considérait la maison royale de France comme la première dynastie d’Occident, cela s’est vu notamment lors des prétentions impériales de François Ier. Toutes les autres maisons royales lui étant inférieure, toute union d’un Prince de France avec une dame serait forcément morganatique… d’où le fait que cette notion n’existe pas.
Deux règles seulement : que l’union soit catholique et célébré avec le consentement préalable et explicite du Chef de Maison. Deux conditions respectées par Mgr le comte de Paris… mais pas par le prince Charles-Philippe.
Ludovina
17 août 2024 @ 12:46
Faustin, il serait judicieux que vous lisiez attentivement mon commentaire : feu la comtesse de Paris (1911-2003) était une Orléans-Bragance et je parle du mariage morganatique de ses parents : la Maison de France n’a rien à voir dans ce cas précis.
Vous faites certainement partie de ces personnes qui détournent des propos dans les sens qui les agrée, je n’ai pas de leçon à recevoir de votre part.
Faustin
18 août 2024 @ 11:34
@Ludovina
J’avais bien lu que vous parliez aussi de Madame (1911-2033), mais votre mention « marié à Philomena de Tornos y Steinhart » pouvait laisser croire que vous disiez aussi quelle mariage était « morganatique ».
Quand au mariage des parents et Madame, s’il est morganatique en droit dynastique brésilien, il n’empêche que selon l’acte de Bruxelles de 1909, il transmet quand même le prédicat d’Altesse Royale car célebré religieusement.
Ludovina
19 août 2024 @ 15:20
Les virgules de mon commentaire, que vous avez lu en diagonale, attestent que je parlais bien de l’union morganatique des parents de feue la comtesse de Paris.
Quant à vos démonstrations omniscientes et ampoulées, je n’en ai nul besoin.
Monica
25 août 2024 @ 10:21
Charles non. Je parlais de
l emploi excessif du « de france » pour les femmes mariées
Faustin
13 août 2024 @ 12:17
Elle est et elle restera princesse d’Orléans aussi longtemps que le mariage religieux n’aura pas fait l’objet d’une déclaration de nullité. C’est le droit dynastique de la maison de France qui ne reconnaît que le droit canon. C’est admis ainsi depuis 987, et cela n’a jamais changé. Pour une fois, Orléans et Bourbon d’Espagne sont d’accord sur ce point : le mariage civil ne produit aucun effet sur les titres et qualités successorales, malgré les tentatives désastreuses du prince Henri (1933-2019) de changer la règle pour donner des titres à sa seconde épouse Micaëla.
Charles-Philippe s’en accommodait bien de cette application du droit canon. Lui qui dit a déclaré récemment à Point de Vue être « né » Altesse Royale (encore une erreur), alors je suppose qu’il aura fait rectifier l’acte de mariage (1998) de son cousin le prince Charles-Louis, duc de Chartres, dont il était témoin, et qui parle de lui comme « Charles-Philippe d’Orléans, Comte d’Evreux », c’est-à-dire en lui donnant le titre non-dynaste reçu en 1976 de son grand-père.
Mayg
14 août 2024 @ 22:14
A force de persister à continuer à porter le titre de princesse d’Orléans , alors que visiblement son ex-mari ne le souhaite pas, vu qu’il s’est remarié, elle va finir par le pousser à demander l’annulation de leur mariage religieux . Et là, elle aura tout gagné…
Faustin
15 août 2024 @ 11:55
Encore faut-il que l’annulation soit accordée. Sur quel motif le serait-elle ? Le droit canon est assez restrictif : immaturité des époux (je doute que Charles-Philippe aille crier sur tous les toits qu’il est immature comme son oncle Henri), défaut de consentement libre et éclairé, impossibilité définitive de pouvoir avoir un enfant (raté ils ont une fille), défaut de capacité (rate ils étaient majeurs), vice de forme (douterait-on que le prêtre de Evora soit bien un prêtre ?)
L’annulation n’est pas pour demain…
Mayg
16 août 2024 @ 16:51
Son oncle l’a bien obtenu, alors pourquoi pas lui ? Caroline de Monaco l’a bien obtenu aussi. Et compte tenu de la fortune de la nouvelle épouse, pas impossible que le Vatican, soit sensible à la demande d’annulation, après une petite donation peut-être…?
Et quelles sont les autres règles que Charles-Philippe d’Orléans aurait-il transgressé ? Je ne suis pas spécialement fan du personnage, mais l’attitude de son cousin Jean d’Orléans ressemble plus à de l’acharnement sur fond de jalousie, qu’autre chose…
Faustin
17 août 2024 @ 12:44
Le prince Henri a obtenu l’annulation en criant sur tous les toits qu’il était immature. Ce qui n’était pas très compliqué à croire, jusqu’aux plus hauts sommets de l’Etat on disait ça de lui (voir les témoignages du général de Boissieu à ce sujet). L’immaturité est un motif d’annulation.
Pour les règles que Charles-Philippe transgresse, son site internet en est rempli :
– Le blason qui sert de logo arbore une couronne de prince du sang et non de petit-fils de France. Or, en disant qu’il est prince du sang, c’est reconnaître le droit de l’aîné des Bourbons d’Espagne au trône de France.
– Le blason qui sert de logo arbore les colliers des ordres dynastiques. Non supprimés par le roi Louis-Philippe (contrairement à la croyance populaire), ils sont la propriété exclusive du Chef de Maison. Or, depuis Philippe VIII, aucun Chef de Maison n’a procédé à des nominations dans les ordres. Il s’agit donc d’une usurpation, et les Princes qui usurpent les décorations de leur propre famille se comptent sur les doigts d’une main (Sandor de Habsbourg-Toscane et Philipp Kirill Prinz von Preußen).
– L’attribution abusive de qualifications royales à sa seconde épouse, non-fondée en droit.
– L’attribution du titre de « arrière-petite-fille de France » à sa fille Isabelle. Cette qualification n’a jamais existé… Même la fille légitimée de Louis XIV, Françoise-Marie de Bourbon, duchesse d’Orléans, n’avait pu obtenir ce titre pour son fils Louis, duc d’Orléans, qui a du se contenter d’être « premier prince du sang ».
– La liste des décorations (disparue du site depuis) : il se disait grand-croix de l’ordre de l’Immaculée Conception de Vila Viçosa. Un mail à la chancellerie du duc de Bragance vous apprendra que c’est faux. Il se disait aussi commandeur de l’ordre de Saint-Stanislas de la maison impériale de Russie, là aussi, la liste est publique, et la grande-duchesse Maria ne lui a jamais concédé. On sait maintenant qu’il s’agit d’un ordre ukrainien dont il avait promis à son oncle, le prince Henri, en juin 2003, de démissionner, tout comme du pseudo ordre ukrainien de Saint-Michel, suite aux alertes de la Grande Chancellerie de la Légion d’Honneur. En usurpant deux décorations de véritables Familles royales, c’est mettre le Chef de la Maison de France en situation délicate vis-à-vis de ses homologues.
Faustin
17 août 2024 @ 13:17
J’ajouterai enfin, que le prince Charles-Philippe, en se remariant civilement, s’est aussi placé en situation délicate vis-à-vis de son propre ordre de Saint-Lazare.
Dans la Charte constitutionnelle qu’il a lui-même promulgué le 21 septembre 2006, les articles 3, 14.2, 16.1 et 20.2 disposent qu’un membre de l’Ordre, y compris son Grand-Maître, doit vivre en parfaite harmonie avec les règles de l’Eglise, sous peine d’exclusion ipso facto.
Après sa démission de la grande maîtrise en mars 2000, Charles-Philippe était resté « grand-maître émérite » (ce qu’il est toujours), mais aussi « président du conseil gouvernemental » et « grand-prieur de France ». Or, un petit tour sur le site renouvelé de l’ordre de Saint-Lazare vous apprendra qu’il a été relevé de ces deux dernières fonctions.
Mais si je commence à parler de Saint-Lazare, il faudra que je mette en cause également le comte de Dreux, car son site internet est une compilation d’erreurs historiques (rien que son blason de grand-maître est une hérésie héraldique…).
Faustin
15 août 2024 @ 20:51
J’ajoute : admettons que le Tribunal ecclésiastique (ou la Rote romaine) trouve une excuse pour prononcer la nullité de ce mariage, Mgr le comte de Paris en tirera, je n’en doute pas, les conclusions conformes au droit dynastique. Dans ce cas, il ne s’agirait pas d’un reniement de la part du Prince. Il aura défendu les droits de la duchesse d’Anjou et de Cadaval face à un ex-mari bien peu galant.
Mais n’oublions pas que la question du mariage n’est que l’un des problèmes. Il y a plusieurs règles familiales que Charles-Philippe transgresse. Tant qu’il ne les respectera pas, je ne vois pas comment, moralement, Mgr le comte de Paris peut lui rendre son prédicat d’Altesse Royale.
Cow
13 août 2024 @ 12:28
Elle conserve le titre de Diane, princesse d’Orléans et le traitement d’Altesse Royale par décision du chef de la Maison, comme cela a déjà été fait précédemment dans plusieurs cas : duchesse de Montpensier, princesse Béatrice d’Orléans, etc.
JO Saint vic
13 août 2024 @ 12:30
Elle n’est plus princesse d Orléans . mais elle a domaine et château.
Contrairement à son ex époux..
.
Elisabeth
15 août 2024 @ 11:46
Diane conserve bien le titre de princesse d’orléans en vertu des décisions du Comte de Paris qui ne fait que respecter les usages en vigueur dans la maison de France.
Thierry S
17 août 2024 @ 13:07
Diane est toujours princesse d’Orléans, ce qui enrage aujourd’hui le prince Charles-Philippe qui a envoyé des lettres d’avocat à des journaux pour leur faire savoir que la duchesse de Cadaval n’était plus princesse d’Orléans.
Le comte de Paris a alors de son coté fait savoir que Diane était toujours altesse royale et princesse.
Jay
13 août 2024 @ 11:45
Jolie photo, mais je n’ai jamais vraiment compris les titres que portent les deux filles. Selon le prince d’Orléans, son ancien mari, les titres ne seraient que de courtoisie. ??
Robespierre
13 août 2024 @ 13:06
Tiens il crache dans la soupe à présent. Il ne faisait pas ça avant son divorce.
Faustin
13 août 2024 @ 13:59
Charles-Philippe n’est plus à une erreur près.
Le titre de duc de Cadaval se transmet par primogéniture, avec priorité masculine au même degré de parenté, et uniquement à des enfants nés de mariages canoniquement valables.
C’est pour cette raison que Diana (et non sa sœur aînée issue d’un mariage uniquement civil), à sa naissance, a reçu le titre de marquise de Ferreira, traditionnel pour l’héritier du titre, puis qu’elle a succédé à son père comme duchesse de Cadaval. Ce titre et cette succession sont pleinement reconnus par S.A.R. Mgr le duc de Bragance, chef de la maison royale de Portugal.
La règle de la reconnaissance des seuls mariages religieux est admise dans toute la noblesse portugaise.
Baboula
13 août 2024 @ 19:27
Et il s’y connaît en courtoisie.
Terry
13 août 2024 @ 12:10
Pas mariée la princesse Alexandra ?
Doriane
13 août 2024 @ 12:23
3 sourires identiques !!!!
Mayg
13 août 2024 @ 14:26
La mère ne fait pas son âge.
Diane d’Orléans alors qu’elle est divorcée et que son ancien mari est s’est remarié ?
Faustin
14 août 2024 @ 09:21
L’Instruction générale relative à l’état civil du 11 mai 1999, vous connaissez ?
Les articles 127 et 127-1 de cette Instruction rappellent que les titres nobiliaires sont des « attributs du nom patronymique », et non le « patronyme » en lui-même. Il s’agit donc bien de deux notions différentes.
Si Diana ne peut plus avoir le patronyme « d’Orléans » du fait de son divorce, elle conserve le titre nobiliaire de « princesse d’Orléans » selon les règles internes à la Maison de France, règles reconnues par la République.
Cela fait vingt fois qu’on le répète, mais visiblement le droit est quelque chose que vous ignorez…
Kardaillac
14 août 2024 @ 11:50
Calmez-vous, Faustin, ce site n’est pas un cénacle de juristes versés dans le matrimonial. Le titre de princesse ne lui rapporte rien, duchesse est plus raccord avec ses responsabilités.
JO Saint vic
14 août 2024 @ 16:21
Absolument…. d’autant que monsieur d’Orléans finalement n’a jamais été duc de Cadaval et on peut dire qu,il logeait chez son épouse….. après qu elle conserve le nom d Orléans vis a vis de sa fille.
Mayg
14 août 2024 @ 22:20
Nous sommes en République Faustin, donc les titres de noblesse ne sont que de courtoisie…
Si elle veut un jour refaire sa vie, pas sur que son futur prétendant apprécie qu’elle se pavane encore avec le titre de noblesse de son ex mari…
Ludovina
15 août 2024 @ 11:32
En effet Mayg, la titulature de princesse d’Orléans est beaucoup plus plus « carillonnante ».
Bonne fin de semaine.
Faustin
15 août 2024 @ 11:46
Je vais finir par me demander si vous lisez les réponses que l’on vous adresse.
Que vous qualifiez ce titre de « nobiliaire », « de courtoisie », « dattente », de « dynastique », la loi de la République les reconnaît, et je vous cite les deux articles précis de l’IGREC qui vont dans mon sens. Vous trouverez l’IGREC dans toutes les mairies de France et de Navarre car chaque secrétaire de mairie, chaque officier de l’état civil doit la connaitre par cœur pour la tenue des registre.
Enfin, parce que la République veut éviter les problèmes, elle pose des règles pour la transmission des titres de noblesse. Pour les familles nobles « normales », c’est l’arrêté d’investiture délivré au titulaire du titre par le Garde des Sceaux, sous le contrôle du Conseil d’État, et une fois la taxe (le Droit du Sceau) payée ; car la République n’oublie pas qu’elle peut se « goinfrer » au passage. Pour les familles ayant régné sur la France, c’est la décision du Chef de Maison qui prévaut, selon la jurisprudence de 1997 dans la succession du titre de Prince Napoléon.
Conclusion : la décision de Mgr le comte de Paris est fondée en droit, tant du point de vue du droit traditionnel de la Monarchie, que du point de vue de la loi de la République.
Toute autre considération du genre « les leçons de morales de Jean », « et si Diana refait sa vie », et j’en passe, n’est basée que sur l’opinion subjective de quelques-uns, c’est-à-dire sur du vent… en tout cas pas sur le droit.
Mayg
16 août 2024 @ 17:11
Il y a une différence entre lire les commentaires et les approuver. Oui, je lis les réponses, mais ce n’est pas pour autant que je suis d’accord avec ce qui est dit.
» la décision de Mgr le comte de Paris est fondée en droit, tant du point de vue du droit traditionnel de la Monarchie, que du point de vue de la loi de la République. » Ça c’est vous qui le dites. Encore une fois, la République française n’a que faire de ces querelles dynastiques ou de titulatures…
Marie-Caroline de Bretagne
16 août 2024 @ 18:41
Ne vous fâchez pas @Faustin, vos explications sont toujours très intéressantes et appréciées, qu’on partage ou pas vos convictions. Je ne les partage pas toutes mais c’est bien volontiers que je vous remercie de m’apprendre certains points que j’ignorais. Continuez ! 🙂
Faustin
17 août 2024 @ 12:52
@Mayg
« La République française n’a que faire de ces querelles dynastiques ou de titulatures. »
C’est faux, et je vous cite 2 articles de loi qui prouve que la République, justement, réglemente leur port, leur transmission et leur inscription à l’état civil.
La République, à travers le Conseil d’Etat (plus haute autorité administrative) n’a-t-elle pas été sollicitée dernièrement pour trancher un litige dans la succession du titre de duc de Broglie ? Fils adopté et oncle sollicitant tous les deux le précieux sésame du Garde des Sceaux. Le fils adopté a été débouté au profit de son oncle.
La République, à travers son Garde des Sceaux, n’a-t-elle pas été saisie en 1997 par que le prince Charles Bonaparte (ex-Napoléon) n’était pas très content d’avoir été déshérité ?
Bien au contraire Mayg : chaque fois que la République a été saisie, elle a dit le droit.
Alors oui, je vous rejoins sur un point : ce n’est pas la priorité d’un gouvernement. Quand on a des prisons pleines à craquer, un « ensauvagement » de la société (comme dirait notre ministre démissionnaire de l’Intérieur), des agents de l’administration pénitentiaire tués dans l’exercice de leurs fonctions, et j’en passe… Le Garde des Sceaux a d’autre chose à faire que de signer des arrêtés d’investiture ou de dire si une Altesse Impériale républicaine peut succéder comme Chef de la Famille Impériale. Mais quand le Ministre est questionné sur ces sujets, il donne les instructions nécessaires.
Thierry S
17 août 2024 @ 13:08
Grand merci à Faustin pour tous ces éclaircissements
Katellen
15 août 2024 @ 12:17
Oui alors, excusez les incultes que nous sommes, mais nous ne sommes pas tous au fait des notions relatives au droit. Si vous l’êtes, et bien tant mieux. Profitez en pour répondre aux questions de manière agréable, cela ne fait de mal à personne.
Faustin
16 août 2024 @ 10:36
Encore faudrait-il qu’il s’agisse de questions et non d’affirmations définitives sur tous les articles consacrés à l’ex-altesse royale ou à la duchesse d’Anjou et de Cadaval.
Ce n’est pas comme si cela faisait une année que Charles et moi avons démontré que la décision de Mgr le comte de Paris est la seule qui pouvait être prise, tant du point de vue du droit traditionnel de la Monarchie que de la loi de la République. Chaque fois que Charles et moi avons répondu, nous avons cité nos sources (livres, articles de loi, précédents historiques…). La seule réponse que nous avons eu : « oui mais Jean fait des leçons de morales », « oui mais Jean a fêté Pâques avant les Rameaux ». Et alors ? Le prince de Venise aussi (mariage en IX.2003 et naissance de sa fille aînée en XII.2003). Lit-on ce commentaire sur tous les articles le concernant ? Non.
Seul le comte de Paris fait l’objet de ce déferlement de haine systématique par des personnes qui ont du mal à comprendre le droit, et qui en appellent « à la République », alors que la loi de la République, précisément, va dans le sens du comte de Paris.
Par contre, quand il s’agit de Charles-Philippe, ces mêmes personnes sont bizarrement silencieuses face à son site internet : la duchesse d’Anjou et de Cadaval n’est pas mentionnée une seule fois, un blason qui figure en logo qui signe sa reconnaissance du prétendu-Louis XX, une liste de décorations qui a bizarrement disparu après qu’il y ait eu des vérifications concernant une décoration portugaise (qu’il n’a pas). Ces mêmes personnes sont aussi tout à fait silencieuses face aux révélations de Wikipédia concernant ses liens (toujours d’actualité) avec de faux ordres ukrainiens.
particule
13 août 2024 @ 14:28
Deux filles à l’image de leur Mère, pleine de charme.
c
13 août 2024 @ 15:08
Les deux soeurs se ressemblent énormément
Bambou
14 août 2024 @ 13:40
Oui, jolies mais célibataires les deux frangines….l’omniprésence de la mère doit faire fuir de potentiels prétendants…
Antonio
13 août 2024 @ 15:54
Si Diana est divorcee pourquoi devrait elle s’appeler d’Orleans?
Faustin
14 août 2024 @ 09:24
Patronyme et titre nobiliaire sont deux notions différentes (voir les articles 127 et 127-1 de l’Instruction générale relative à l’état civil).
Elle ne porte plus le patronyme « d’Orléans » depuis son divorce, Charles-Philippe ayant refusé au moment de son divorce que sa première épouse puisse continuer de porter son patronyme ; au passage, contrairement à son oncle Henri ou à son père Michel qui ont accordé cette faveur à leurs premières épouses.
En revanche, elle continue de porter le titre nobiliaire de « princesse d’Orléans », qui a été créé en 1830 et 1848.
Le fait qu’il y ait conjointement le patronyme « d’Orléans » et le titre nobiliaire de « prince(sse) d’Orléans » peut prêter à confusion, mais il faut faire clairement la distinction entre les deux.
Augustin
14 août 2024 @ 18:13
Pour avoir interdit que son épouse conserve le nom d’Orléans montre le degré de goujaterie du personnage.
Grégoire
17 août 2024 @ 13:11
Le duc d’Anjou m’a énormément déçu et j’approuve les décisions du Comte de Paris concernant les nouvelles dispositions du prince Jean qui agit comme toujours en prince responsable.
Natouchka
13 août 2024 @ 21:52
Elles se ressemblent toutes les trois ! Quelle belle photo d’une mère et ses filles.
Alice
13 août 2024 @ 23:18
Belle photo de trois belles femmes. Il manque la petite princesse Isabelle.
Danielle
14 août 2024 @ 14:50
Bon anniversaire Madame, accompagnez ce bon gâteau de champagne.
Hervé J. VOLTO
16 août 2024 @ 09:54
Selon les Lois Foindamentaes du Royaume de France,
Diane de Cadaval, duchesse de Cadaval, épouse Orléans, est la seule Princesse en titre selon les canons de l’Eglise Catholique car mariée à l’Eglise, le divorce n’étant pa reconnu par l’Eglise : c’est leur fille qui est Princesse.
La nouvelle épouse du Prince Charles-Philipe d’Orlans, aussi charmante puisse-t-elle être, aura l’argent mais pas de titre, ni leurs enfants, car épousée civilement.
Qu’on se rapelle que même le grand Louis XIV n’ a pu légitimer ses enfants naturels eut de la Montespan.
Soutient et affection, respect et sympathie à Clotilde de Cadaval.
Mes hommages, Madame, ainsi qu’à votre fille.
Marie-Caroline de Bretagne
16 août 2024 @ 18:34
Clotilde de Cadaval @Hervé J. Volto ?! 😎
Fran
17 août 2024 @ 13:12
Auriez vous des problèmes de mémoire ?
Hervé J. VOLTO
16 août 2024 @ 09:58
J’ai encore oublié le lien avec les Lois Fondamentales du Royaume de France :
https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2013/09/23/les-lois-fondamentales-du-royaume-de-france-constitution-de-lancienne-france/
C’est très important, car la Noblesse Française calque ses modes de transmision sur sa Maison Royale.
Un grand spécialiste de droit nobiliaire et de droit patrimonial en France est Alain Texier
https://www.fnac.com/a15941110/Alain-Texier-Noblesse
Faustin
16 août 2024 @ 16:45
Oui enfin… le lien donne l’interprétation des légitimistes concernant les lois fondamentales. Sur un article consacré à une princesse d’Orléans ?
Concernant l’interprétation des orléanistes (la moins contestable), lire le livre de Guy Coutant de Saisseval : « La Légitimité monarchique »
Hervé J. VOLTO
19 août 2024 @ 20:18
Pourquoi ai-je dit Coltilde ?
Elle s’appelle Diane. exactement Diana Álvares Pereira de Melo, Duchesse de Cadaval et elle est née en 1978.
Merci, Marie-Caroline de Bretagne, de votre aide.
Pour le reste, Selon les Lois Foindamentales du Royaume de France,
https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2013/09/23/les-lois-fondamentales-du-royaume-de-france-constitution-de-lancienne-france/
Diane de Cadaval, duchesse de Cadaval, épouse Orléans, est la seule Princesse en titre selon les canons de l’Eglise Catholique car mariée à l’Eglise, le divorce n’étant pa reconnu par l’Eglise : c’est leur fille qui est Princesse.
La nouvelle épouse du Prince Charles-Philipe d’Orlans, aussi charmante puisse-t-elle être, aura l’argent mais pas de titre, ni leurs enfants, car épousée civilement.
Qu’on se rapelle que même le grand Louis XIV n’ a pu légitimer ses enfants naturels eut de la Montespan.
Soutient et affection, respect et sympathie à DIANE de Cadaval.
Mes hommages, DE NOUVEAU, Madame, ainsi qu’à votre fille.
Hervé J. VOLTO
19 août 2024 @ 21:17
Cher Faustin, Guy Augé a répondu aux erreurs de Guy Coutant de Saysselval par u ouvrage magistral : SUCCESION DE FRANCE ET REGLES DE NATIONALITE (Via Roamana)
Son auteur, juriste et historien du droit, a su avec minutie et sans esprit de polémique exposer les règles traditionnelles de la succession à la couronne de France et montrer que celles-ci ont été occultées à la fin du XIXe siècle par une opération politique qui prétendait rendre la Restauration monarchique facile.
En réalité, l’auteur montre que, dès le Moyen Âge, la Couronne est devenue indisponible, c’est-à-dire que sa transmission s’effectuait automatiquement à l’aîné Salique des Capétiens de Naissance Légale (parents mariés à l’Eglise) dans la foi Catholiquegénéalogique des Capétiens, sans que quelque volonté humaine que ce fût pût la modifier. En conséquence, toute abdication, renonciation ou exclusion d’un héritier de la couronne était nulle, que ce soit le traité de Troyes de 1420 qui prétendait écarter Charles VII au profit du Roi d’Angleterre ou le traité d’Utrecht de 1713 qui prétendait exclure le petit-fils de Louis XIV, Philippe V d’Espagne, et tous ses descendants, au profit de la branche cadette d’Orléans.
L’auteur démontre aussi que l’on n’a jamais tenu compte sous l’Ancien Régime de la « nationalité » des héritiers de la couronne —sinon il aurait été aisé pour les Ligueurs d’exclure le navarrais Henri de Bourbon, devenu Henri IV— et les angalis n’uaraient OBLIGE Philippe V d’Espagne à renoncer au Trône de France… mais que l’on se fondait sur la « sanguinité » c’est-à-dire le rattachement à la dynastie Capétienne : le Sang Capétien EST LE SANG DE FRANCE, les Capétiens même nés en Espagne ou en Italie, sont Français, comme les Wallons et les Québéquois.
Le livre ne néglige pas non plus les aspects sentimentaux qui ont souvent permis à la branche cadette de nourrir ses prétentions : mais s’il suffisait d’être Français, alors les Bourbons-Busset seraient les vrais Roi de France ! or c’est bien une présomption de baradise qui éloigne les Busset du Trône de France. Par ailleurs une étude complémentaire (« Comte de Paris ou duc d’Anjou ? ») envisage l’avenir du Royalisme français, qui passe désormais probablement par le légitimisme, et s’attarde sur l’impasse des prétentions orléanistes, le Prince Jean étant sucessible au Trône de France mais venant APRES les Bourbons d’Espagne, de Naples et du Luxembourg.
La confusion vient que les Orléans sont les héritiers de la Monarchie de Juillet (1830-1848), qui est cependant une usurpation, la véritable Monarchie Française étant la Monarchie Capétienne (987-1792, restaurée de 1814-1830).
Les Lois Fondamentales du Royaume de France :
https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2013/09/23/les-lois-fondamentales-du-royaume-de-france-constitution-de-lancienne-france/
C’est très important, car la Noblesse Française calque ses modes de transmision sur sa Maison Royale.
Maintenant, si vous préférez la Monarchie de Juillet, pourquoi pas ? il y en bien qui préfère le Bonapartisme, pour qui le mariage des parents à l’Eglise n’est pas une obligation…
Ce que vous applez « l’interprétation des légitimistes » est l’interprétation de l’Eglise : nous, Catholiques de tradition, nous sommes pas des Catholiques de restaurant : nous ne choissons pas le menu.
Il en est de même pour la Royauté.
Ce qui n’empèche pas de porter au Prince Jean de Bourbon-Orléans, Comte de Paris, RESPECT, SYMPATHIE ET AFFECTION.
Cordiales salutations !