Une statue de cire représentant une amazone, exposée au château de Compiègne depuis 1942, va être rendue par l’état aux descendants d’Armand Dorville, un collectionneur juif spolié lors de la seconde guerre mondiale.
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🇨🇦 Mer Limpide 🌊
25 février 2022 @ 01:27
Belle histoire, beau geste .🌊
Bambou
25 février 2022 @ 06:34
Très bien et normal. Mais cela n’arrive hélas pas souvent.
Le film « la femme au tableau » relate bien ces situations.
Claude patricia
25 février 2022 @ 21:14
Avec Helen Mirren qui joue toujours bien , je l ai vu également.
plume
25 février 2022 @ 08:50
C’est l’État fantoche de l’époque qui a acheté cette œuvre avec de l’argent volé donc il est normal de la restituer aux héritiers.
Aldona
25 février 2022 @ 09:21
Une sculpture d’une grande finesse
JAusten
25 février 2022 @ 09:26
Humm … très lucratif tout ces trafics d’œuvre d’art ! les prêts, les locations virtuelles … il n’y a pas besoin de comptes off shore. Le pays regorge de niches fiscales.
Beque
25 février 2022 @ 09:41
Armand Isaac Dorville, avocat et amateur d’art, avait quitté son appartement du 16, rue Séguier à Paris dès 1940 et s’était réfugié dans son château de Cubjac en Périgord. Sa collection était ce que l’on appelait à l’époque un « cabinet d’amateur » : des toiles de Renoir, Bonnard, Vallotton, Vuillard, Signac, Degas, Caillebotte, Daumier, des œuvres sur papier de Delacroix, Manet, Guys – 95 pièces – et Forain – trente-cinq peintures, aquarelles et gouaches et des sculptures de Rodin et Carpeaux.
Jean Pierre
25 février 2022 @ 10:51
La restitution Dorville a fait grand bruit. J’ignorais qu’il avait des descendants et croyais que les pinailleries tenaient au fait que seuls avaient survécu aux assassinats par les nazis quelques héritiers éloignés.
Caroline
25 février 2022 @ 10:52
Mieux vaut tard que jamais !
Pourquoi pas beaucoup plus tôt après la seconde guerre mondiale ?
Martine
25 février 2022 @ 19:05
Pour de multiples raisons, d abord il fallait une loi et après les recherches généalogiques peuvent mettre plusieurs années
Léa 33
25 février 2022 @ 12:04
Bonjour
Voilà une bonne chose de faite. C’est aussi une question d’ honneur, rendre aux vrais propriétaires les biens volés, sous couvert de ventes actées pendant une période bien sombre de notre Histoire.
pit
25 février 2022 @ 13:11
« En juin 1942, le commissariat général aux questions juives, récupère le produit de la vente de tableaux et d’une statue en cire. La famille se retrouve alors sans œuvres et sans l’argent des biens cédés. Parmi les acheteurs, il y a les collections nationales.
La spoliation est stoppée quelques mois plus tard, mais la famille ne touche pas pour autant l’argent. Seuls les survivants le pourront, parce qu’entre temps, cinq des héritières, dont deux enfants, ont été arrêtées et déportées dans un camp de concentration et d’extermination nazi dont elles ne sont pas revenues ». (source : histoire en rafale de l’Union)
« Bronze : Mme. L Riding Monte Cristo, Pure-Bred English Horse – 1865 – Pierre Jules Mêne 1810-1879 – Origine : France, Date: 1865, Dimensions: 44.5 × 40.6 × 11.4 cm »
« Pierre-Jules Mène est considéré comme l’expert de la fonte à la cire perdue de son temps et le pionnier des sculptures animalières. Les pièces originales coulées de son vivant continuent d’apporter de bons prix aux enchères. On se souvient de lui comme l’un des meilleurs et certainement des plus prolifiques sculpteurs animaliers de tous les temps. » (source Alchetron – the free social encyclopedia)
Clarisse
25 février 2022 @ 15:57
Magnifique statue. En cire ? extraordinaire conservation .
berton
25 février 2022 @ 18:28
Il serait temps ….
Claude patricia
25 février 2022 @ 21:15
C est bien de restituer ceci.