Le château de Savarsin se situe en Transylvanie. Il s’agit d’une propriété qui a été rendue au début des années 2000 par l’Etat roumain au roi Michel de Roumanie. La famille royale y passe de longues périodes. Sur son blog, le prince Radu de Roumanie explique les différents travaux d’artisanat et de restauration qui y sont actuellement menés. (Copyright photo : site du prince Radu)
marguerite
20 août 2010 @ 08:25
Il semble y avoir de très beaux châteaux dans ces anciens royaumes surtout en Roumanie, cette belle photo donne fort envie d’en savoir plus et d’en découvrir d’autres, a t’on de la documentation sur ces merveilles et leur intérieur. Cela complèterait notre collection.
Charlanges
20 août 2010 @ 08:54
Agréable demeure à la taille humaine. Au soir de sa vie, le roi Michel doit être heureux de pouvoir se retrouver dans cette propriété dont il avait sans doute longtemps cru devoir faire son deuil comme de bien d’autres choses.
sterkendries
20 août 2010 @ 09:11
bonjour Régine,
il serait séant d’enlever dans la page carnet qui annonce les mariages ou les naissances à venir, la date du 28 août 2010 puisque ce mariage est reporté en raison du décès du Duc de Parme qui est le père du Prince Carlos.
Caroline
20 août 2010 @ 11:44
Ce beau chateau roumain sera-t-il ouvert aux visiteurs? Esperons que ces visites financent la restauration onereuse de ce chateau!
Colette C.
20 août 2010 @ 13:05
Très beau château, et dont les alentours semblent bien reposants. C’est vrai, on aimerait le visiter…
Sophie2
20 août 2010 @ 14:10
C’est une bonne chose de la part des ex-pays communistes d’avoir rendu à leurs anciennes f
Sophie2
20 août 2010 @ 14:10
amilles royles leurs biens et leur fortune! l’autriche et la Grèce devrait s’en inspirer!
Anastasie
20 août 2010 @ 17:31
Le château de Săvârșin se trouve dans le comté d’Arad, à mi-chemin entre Deva et Arad qui se est non loin de la frontière hongroise. On peut apercevoir la propriété depuis la route, mais selon le site de Wikipedia (en anglais), pour l’instant il ne peut pas être visité. ( http://en.wikipedia.org/wiki/S%C4%83v%C3%A2r%C5%9Fin,_Arad)
Pour des renseignements sur un autre château royal, allez au 20 septembre 2008 (Châteaux / Roumanie) quand Régine a consacré un article concernant le château de Peleş qui a été restitué à la famille royale. (Notez svp que les commentaires de Danielle sont les miens; à lorigine j’utilisais mon prénom comme pseudonyme, mais quand il a été employé par l' »autre » Danielle », je suis devenue Anastasie !!!)
Denis
20 août 2010 @ 19:03
Ce pauvre roi Michel a enfin la chance, sur ses vieux jours de bénéficier d’une rétrocession de certaines de ses propriétés injustement « nationalisées » autrefois.On ne peut que s’en réjouir pour lui qui n’a guère connu au cours de son existence de moments fastes!
Un petit Belge
20 août 2010 @ 19:19
Est-ce que la famille se partage entre la Suisse et la Roumanie, ou s’est-elle définitivement installée en Roumanie? Et où habite le nouveau jeune prince de Roumanie?
shandila
20 août 2010 @ 19:43
Je partage l’avis de Charlange : Le château a taille humaine, qui donne envie d’y vivre. Les alentours me paraissent à la fois reposants et invitent aux promenades, randonnées.
L’histoire de la Roumanie est riche, il y a certainement de beaux chateaux à découvrir. Si un internaute a de la documentation, c’est avec plaisir que nous découvrirons les chateaux roumains…
Bon week-end à tous.
Laurent D
20 août 2010 @ 21:08
Entre chateau et manoir, cette belle demeure campagnarde a l’air superbe.
Sophie
21 août 2010 @ 10:02
A Petit belge
J’ai lu dans un « Royals » que la princesse Margarita et son époux vivaient en Roumanie de même que le roi et la reine. pour les autrs membres, je pense qu’ils ne viennent que pour des vacances.
La princesse expliquait qu’actuellement ils vivent au Palais Elisabeta de Bucarest mis à disposition du roi. A sa mort, il n’est pas prévu que Margarita puisse le conserver. Elle s’installera alors à Peles.
Un petit Belge
21 août 2010 @ 10:18
Merci Sophie pour votre réponse.
LE REGENT
21 août 2010 @ 14:45
HORS SUJET / DANIELLE, QUI EST DANIELLE ? Je parle de celle qui connait Laurent D et dont il m’a parlé avec beaucoup d’amitié, ce qui ne retire rien bien entendu a l’autre ! Merci de votre réponse.
Je pose cette question car j’ ai lu concernant ce matin, un article ancien ou les internautes s’invectivaient au sujet d’une mantille sous un diademe qui n’a fait que me rendre la « Danielle » en question extremement sympathique / A bientôt le^plaisir de vous lire. MARC
Laurent D.
21 août 2010 @ 21:06
Sophie,
C’est bizarre mais il me semble avoir lu que la Princesse Margarita pourrait continuer à l’habiter même après le décès du Roi.
marie louise
21 août 2010 @ 21:37
Très plaisant ce chateau-manoir comme le dit si bien Laurent D!On s y verrait bien…!
Anastasie
22 août 2010 @ 10:23
Le Régent… Je nai pas le souvenir d’écrire quoi que ce soit sur le sujet d’une mantille sous un diadème en signant « Danielle » et donc cela doit être l’autre Danielle à qui vous faites référence.
Personnellement j’habite la régiion genevoise.
Laurent D
23 août 2010 @ 22:11
Marie-Louise,
Pas de soucis, si vous le souhaitez.
Je pense qu’il y a largement la place pour que nous puissions y cohabiter tranquillement.
Je vous laisse le choix de la partie qu’il vous conviendra le mieux :)
Ouinou
24 août 2010 @ 03:44
La Transylvanie !
Ca évoque immédiatement Tintin et la Sylvanie.
Cette région était hongroise jusqu’à la fin de la première guerre mondiale.
Dans son désir ardent de démanteler l’empire des Habsbourg, la France de l’époque, c’est à dire Clemenceau, a amputé le royaume de Hongrie, donné la Transylvanie à la Roumanie et d’autres territoires hongrois à d’autres pays nouvellement créés (traité de Trianon du 4 juin 1920.).
Les Hongrois n’ont jamais digéré le traité de Trianon qui a réduit considérablement le territoire de leur nation historique.
Il y a des minorités hongroises en république Slovaque et en Serbie à qui le gouvernement de Budapest vient récemment de conférer la nationalité hongroise sans droit de vote aux élections en Hongrie et dans plusieurs départements de Transylvanie, la population est majoritairement hongroise.
Je connais très peu la Roumanie et je ne suis jamais allé en Transylvanie. J’irai sans doute un jour pour la visiter.
Je suppose que les séjours de la famille royale de Roumanie (qui sont des Hollenzollern-Sigmaringen si je ne m’abuse) en Transylvanie avaient la même signification symbolique, mutatis mutandis, que les séjours estivaux de la reine à Balmoral destinés à démontrer l’attachement indéfectible de la souveraine à l’Ecosse.
Michel de Roumanie n’a pas réussi à rétablir la monarchie en Roumanie pas plus que Siméon de Saxe Cobourg Gotha en Bulgarie.
Peut-être n’ont-ils eu ni génie politique ni la personnalité charismatique, ni les circonstances qui ont réussi à Juan Carlos en Espagne.
En tout cas les choses semblent bien se passer entre ces deux anciennes familles régnantes et les gouvernement de Bucarest et de Sofia. Cela réjouit les internautes de « Noblesse et royautés ».
Anastasie
24 août 2010 @ 08:13
Ouinou, Oui, la Roumanie est un magnifique pays et, tout comme la Moldavie, la Bucovine, le Maramures ou la région du delta, la Transylvanie vaut le déplacement.
Quant à la restauration de la monarchie, il faudrait lire le livre d’Alex Décotte « La Roumanie insolite » (Editions du Rocher). Le journaliste franco-suisse a accompagné le roi Michel quand en 1992 il a pu finalement rentrer dans son pays.
Si cela vous intéresse, je recopierai volontiers la conclusion du chapitre « Michel Ier, deux couronnes et un exil » qui résume bien la situation.
Charlanges
24 août 2010 @ 12:24
Quinou,
Le chateau de Savarsin a été acheté tardivement par le roi Michel sur sa fortune personnelle. C’est pourquoi il a pu le récupérer beaucoup plus rapidement que les palais sis à Sinaia qui lui venaient par héritage.
Je crois, par ailleurs, qu’il n’est pas juste de comparer les ros Michel I et Siméon II au roi d’Espagne. Ce dernier est monté sur le trône par la volonté formelle du général Franco (qui avait déjà rétabli de fait la monarchie après la seconde guerre mondiale) et avec l’assentiment de la classe politique au pouvoir. les deux souverains n’nt pas eu cette chance.
Laurent D
24 août 2010 @ 13:17
Anastasie,
Si cela ne vous prend pas trop de temps, j’aimerai bien lire en résumé les conclusions du livre dont vous parlez.
Bonne journée.
Laurent.
Anastasie
25 août 2010 @ 08:03
Laurent D – Je dois partir pour la journée, mais transcrirai les conclusions du chapitre consacré au retour du Roi Michel dès que je serai de retour.
Anastasie
25 août 2010 @ 19:29
Conclusions du chapitre « Michel Ier, deux couronnes et un exil » consacré à une brève biographie du souverain et en se souvenant que le roi Michel a fait auparavant plusieurs tentatives infructueuses de retourner dans son pays après la chute de N. Ceauşescu :
… « Pour obtenir enfin de poser à nouveau le pied dans « leur » pays, le roi et la reine avaient dû s’engager après des deux maîtres du moment, le président Ion Iliescu et le Premier ministre Petre Roman, à repartir pour la Suisse après soixante-douze heures passées en terre roumaine. Mais que vaut une promesse faite sous la contrainte ? Paradoxalement, au fur et à mesure que montait la ferveur populaire, je vis la gravité marquer un peu plus les traites de l’ancien monarque tandis que la reine, se tournant vers lui avec confiance lui faisait silencieusement savoir qu’elle se rendrait à son avis, que qu’il soit. Est-ce l’obligation morale de tenir son engagement ? La peur de l’aventure et de l’inconnu ? Le refus de faire courir à son peuple de nouveaux dangers ? La certitude que tôt ou tard, même sans lui, la Roumanie ne pourrait désormais que s’engager de manière irréversible sur les chemins de la démocratie et de la liberté ? La crainte de n’ouvrir qu’une nouvelle période éphémère, aucune de ses filles ne pouvant lui succéder en droit ? Alors le roi Michel choisit finalement de repartir, au risque de décevoir à jamais ce peuple roumaine qui en se rassemblant en si grand nombre était venu lui dire qu’il comptait sur lui pour remettre à l’heure la pendule manipulée de l’Histoire.
A cet instant précis, j’ai observé ses traits et son regard. Ils étaient plus graves que tristes, plus volontaires que résignés, plus sereins qu’inquiets. Une page de l’Histoire, ouverte cent vingt-six ans plus tôt, venait de se refermer : celle de la monarchie roumaine.
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Les événements ci-dessus ont eu lieu à Pâques 1992 et le roi Michel, né en 1921, avait alors un peu plus de 70 ans.
Pour une critique du livre d’Alex Décotte, cliquez sur http://www.sitartmag.com/adecotte.htm
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Pour le complément d’information concernant Curtea de Argeş, notez que je l’ai maintenant ajouté dans la rubrique que lui consacrée Régine en date du 5 juillet 2010 !
Laurent D
29 août 2010 @ 15:57
Merci beaucoup Anastasie d’avoir pris le temps de me répondre.
Amicalement.
Laurent.