Le 16 octobre prochain, la princesse Isabel d’Orléans-Bragance épousera le comte Alexandre de Stolberg-Stolberg. Voici le château de la famille situé à Stolberg en Saxe-Anhalt en Allemagne ainsi que les armoiries de cette famille médiatisée.
Le 16 octobre prochain, la princesse Isabel d’Orléans-Bragance épousera le comte Alexandre de Stolberg-Stolberg. Voici le château de la famille situé à Stolberg en Saxe-Anhalt en Allemagne ainsi que les armoiries de cette famille médiatisée.
Caroline
6 octobre 2009 @ 09:27
Si ce futur couple se mariera au Bresil,s’installera-t-il en Allemagne apres les festivites de ce mariage?
DANIELLE
6 octobre 2009 @ 09:46
Ce château me fait penser au monastère de la Pierre qui Vire en Bourgogne, je trouve qu’il est austère.
pierre-jean
6 octobre 2009 @ 11:35
Que signifie « famille médiatisée », ce n’est pas au sens où on l’entend habituellement, si?
Laurent F
6 octobre 2009 @ 12:49
Les familles médiatisées sont les anciennes familles souveraines du St-Empire qui ont perdu leur trône lors de la dissolution de celui-ci en 1806. Elles font partie de la deuxième partie du fameux almanach de Gotha et avaient un rang égal aux familles régnantes. Les mariages avec des membres de ses familles étaient considérés comme égaux.
Jean Claude
6 octobre 2009 @ 15:37
Pierre-Jean (Commentaire N°), voici la définition du Dictionnaire de Littré à propos de médiatiser : « Faire qu’un prince cesse de dépendre immédiatement du chef suprême de l’empire d’Allemagne pour n’en dépendre que médiatement. » http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/definition/médiatiser/47128
Ce système de la médiatisation s’est vécu dans le Saint-Empire Romain Germanique. Beaucoup de Familles nobles d’Allemagne qui portent des titres de princes sont des Familles médiatisées.
Selon le Quid ce sont les « maisons seigneuriales médiatisées d’Allemagne (princières ou comtales ayant la qualité d’État du St Empire et qui ont les droits d’égalité de naissance avec les maisons souveraines) ». http://www.quid.fr/2007/Noblesse/Titres_Portes/5
pierre-jean
6 octobre 2009 @ 17:36
Laurent F et Jean-Claude, merci, des lacunes ont été comblées pour moi encore aujourd’hui sur ce site.
Luise
6 octobre 2009 @ 18:00
L’Allemagne est superbe.
LW
JAusten
6 octobre 2009 @ 20:51
A qui appartient ce château aujourd’hui ?
Marianne
12 octobre 2009 @ 09:56
Ce beau et grand château est-il retourné à la famille ?
Dominique Charenton (Royauté2)
7 février 2010 @ 16:47
Bonjour
Sur les familles médiatisées, l’édition de l’ Almanach de Gotha année 1913 – édition du cent cinquantenaire,
qui à cette occasion, contient également en XXV pages l’histoire de
cet annuaire – on trouve de la page 110 à la page 112 les
réglements aux titres des membres de la deuxième partie.:
» En raison des difficultés qui s’opposaient à la réglementation de
par sa propre autorité des titres des familles médiatisées, la Diète
germanique prit le 18 08 1825 la décision suivante : « » Les
Souverains et les Villes libres d’Allemagne sont tombés d’accord
pour qu’il fût accordé aux familles médiatisées, ci devant co-états
de l’Empire germanique un rang et un titre conforme à leurs droit
d’égalité de naissance avec les maisons souveraines et pour qu’il
fût conféré aux princes (1) la qualification de Durchlaucht (
Altesse Sérénissisme ) (2) « »
Dans la séance du 13 02 1829 la Diéte décida : » Qu’aux chefs des
familles comtales ci devant co-états du St Empire, serait désormais
accordé la distinction sollicitée, par la collation de la
qualification d’Erlaucht ( Altesse Illustrissisme ) « »
(1) le terme de » princes » ne s’appliquait qu’aux chefs des familles
princières; ce qui ressort formellement de la déclaration faite le
13 02 1829 par la Diéte disant expressément : « que la qualification
de Durchlaucht appartient aux chefs des famille princières »
(2) en apppréciant ces décisions , il ne faut pas oublier que ce
n’était pas la Diéte qui conférait ces qualifications de
Durchlaucht et d’Erlaucht , la collation en revenait aux
souverains respectifs à qui ces familles avaient été subordonnées.
En effet, les Etats souverains ont exécutés dans la suite ces
décisions de la Diéte lorqu’elles n’avaient pas été anticipées par
des décisons antérieures comme le décret de la Hesse grand ducale
du 29 03 1820 ou les déclarations de la couronne de Wurtemberg.
La PRUSSE autorisa par ordonnance royale du 21 02 ( publiée le 28
04 ) 1832 la publication de ces décisions de la Diéte et arrêta
en même temps que la qualification de Durchlaucht ne serait
accordées qu’aux chefs des 14 familles subordonnées à la couronne de
Prusse ( Arenberg, Bentheim Steinfurt, Bentheim Tecklenbourg Rheda,
Croy, Kaunitz Rietberg, Looz Corswarem, Salm Salm, Salm Kybourg,
Salm Horstmar, Sayn Wittgenstein Berlebourg, Sayn Wittgenstein
Hohenstein, Solms Braunfels, Solms Lich et Hohensolms, Wied )
Ensuite une ordonnance royale de 1833 décréta ce qui suit : « »
sur le rapport du ministère d’Etat du 25 du mois dernier, je lui
fais savoir qu’en autorisant la publication dans mes Etats et sans
préjudice des autres Etats souverains , des décisions de la Diéte
germanique du 18 08 1825 et du 13 02 1829 relatives aux titres à
accorder aux maisons ci devants co-états du Saint empire, par mon
ordonnance du 21 02 1832, je n’ai pas enetendu restreindre les
droits et titres que les membres des familles ci devant immédiates,
établies dans ma monarchie, avaient déjà acquis , soit en vertu de
diplômes spéciaux accordés par moi, soit en vertu des dispositions
du § 7 de l’ « » instruction du 30 05 1820 « » Pour cette raison je
déclare et ordonne qu’à tous les membres portant le titre de prince
des familles énoncées dans le § 7 de l' » »instruction » » du 20 (sic)
05 1820 et dans la liste ( voir ci dessus ) ajoutée à la
publication du ministère d’Etat du 28 04 1832, il soit donné, dans
toute l’étendue de ma monarchie, par toutes les autorités publiques
et tous les sujets la qualification de Durchlaucht « »
Concernant les cadets des maisons comtales ( trois maisons de
Stolberg ) il n’y a pas que nous sachions de réglements
spéciaux .
Dans les principautés de HOHENZOLLERN pour lesquelles les
maisons princières de Fürstenberg et de Thurn et Taxis entrent en
considération et qui par suite de l’incorporation des principautés
de Hohenzollern au royaume de Prusse le 07 12 1849 ont été
subordonnées à cette couronne , fut conclu un recès le 15 07
1864, reconnaissant à la maison princière de Thurn et
Taxis le droit de porter ses anciens titres et armes en abandonnant
ses attributions relatives à l’ancien Empire Germanique
L’Autriche ( la liste du 07 octobre 1825 comprend les maisons princières
domiciliées dans la monarchie autrichienne, d’Auersperg, Colloredo-
Mannsfeld, Dietrichstein, Esterhazy, Kaunitz-Rietberg, Khevenhüler-Metsch,
Lobkowitz, Metternich, Rosenberg, Schönbourg, Schwarzenberg, Starhemberg,
Trauttmansdorff, Windisch-Graetz, auxquelles s’ajoutent, en vertu d’un
écrit ministèriel du 08 novembre 1825, les maisons de Schönbourg-
Waldenbourg et de Schönbourg Hartenstein,et, en vertu d’un décret de la
Chancellerie de la cour du 04 février 1845, Salm-Salm, Salm-Kyrbourg,
Salm-Hortsmar, Salm-Reifferscheidt-Krautheim, et Salm-Reifferscheidt-
Krautheim-Raitz; les maisons comtales domiciliées dans la monarchie
autrichienne sont les suivantes : Harrach, Kuefstein, Schönborn-Buchheim,
Stadion, Sternberg-Manderscheid, Wurmbrand ), L’Autriche, disons nous,
a exécuté les décisions de la Diète par les décrets de la chancellerie
de la cour du 07 octobre 1825 pour les maisons princières et du 09 octobre
1829 pour les maisons comtales, en accordant aux chefs des maisons
princières les qualifications de Durchlaucht et Durchlauchtig
hochgeborener Fürst et aux chefs des familles comtales celle de
Erlaucht et de Erlauchtig hochgeborener Graf. Enfin l’empereur
François-Joseph a ordonné à Gödöllö le 27 avril 1869 ( arrêté ministériel
du 09 mai 1869 ) que désormais, dans toute l’étendue de la monarchie
d’Autriche-Hongrie, tous les membres des familles ci-devant co-états du
Saint Empire, dans lesquels la dignité princière est héréditaire pour tous
les descendants, porteront la qualification de Durchlaucht.
La Bavière a décrété par édit du 26 mai 1818 ce qui suit : « » L’aîné d’une
maison ci-devant immédiate, qui se trouve en possession des biens et
seigneuries de famille, par distinction des cadets se qualifiera dans les
écrits et actes publics qui ne sont pas adressés au souverain ou aux
autorités royales de prince et seigneur ( Fürst und Herr ) et
employera le pronom « »Nous » », tandis que les cadets ne se serviront que
du titre de prince (Fürst) ou comte. Sur cet édit et une
ordonnance du roi Louis Ier du 11 janvier et 2 décembre 1837 se basait le
refus du titre de « »Prinz » » et « »Prinzessin » » pour les cadets de ces
maisons princières( titre réservé aux membres de la maison royale ). La
Décision de la Diète du 18 août 1825 a été sanctionnée par la Bavière et
conformément à cette décision il a été accordé aux chefs des maisons
princières ( Fugger de Babenhausen, Hohenlohe-Schillingsfürst, Leiningen,
Lowenstein-Wertheim-Freudenberg, Lowenstein-Wertheim-Rosenberg, Oettingen-
Spielberg, Thurn-et-Taxis, Esterhazy, Schwarzenberg, Waldbourg-Wurzach,
Waldbourg-Zeil-Trauchbourg) la qualification de « » Durchlaucht « », aux
chefs des familles comtales (Castell, Fugger de Glött, Fugger de Kirchheim,
Fugger de Nordendorf, Giech, Ortembourg, Pappenheim, Rechteren-Limpourg,
Schönborn, Waldbott-Bassenheim, Erbach-Wartenberg-Roth, Stadion ) 22 avril
1829 et 25 aoüt 1831 la qualification d' » »Erlaucht » ». Actuellement le
titre de « »Prinz » » et « »Prinzessin » » n’est plus refusé aux cadets de
ces maisons princières et d’après un arrêté confirmé par le prince-régent
en date du 07 mars 1911, les cadets des maisons princières doivent être
qualifiés, dans les écrits officiels, de « »Durchlaucht » » et les cadets
des maisons comtales de « »Erlaucht » ».
Dans l’ancien royaume de Hanovre ( à qui étaient subordonnés les princes
d’Arenberg, Bentheim, Looz-Corswarem et les comtes de Stolberg-Stolberg,
Stolberg-Wernigerode, Platen-Hallermund ) l’article 4 du décret royal du
09 mai 1826 avait accordé au chef de la maison d’Arenberg le titre de
« » Durchlauchtigster Herr Herzog « » et l’article 3 du décret royal du
18 avril 1823 au chef de la maison de Bentheim le titre de « » Durchlauchtig
Hochgeborener Herr Fürst « » et aux autres membres de ces deux maisons le
titre de « » Durchlauchtig Hochgeborener Fürst « » et au contexte toujours de
« » Euere Durchlaucht « ».
Pour le royaume de Saxe, la seule maison de Schönbourg entre en
considération . En vertu d’un recès conclu entre la couronne de Saxe
et la maison de Schönbourg le 29 octobre 1878 tous les membres de la
ligne princière de cette maison ont droit à la qualification de
« » Durchlaucht « » et tous les membres de la ligne comtale à la
qualification d' » » Erlaucht « »
En Wurtemberg, « » les déclarations royales « » ont accordé dans les écrits
officiels aux chefs des maisons princières ( Colloredo-Mansfeld,
Dietrichstein, Fürstenberg, Hohenlohe-Kirchberg, Hohenlohe-Langenbourg,
Hohenlohe-Waldenbourg-Waldenbourg, Löwenstein-Wertheim-Freudenbegr,
Löwenstein-Wertheim-Rosenberg, Ottingen-Spielberg, Oettingen-Wallerstein,
Schwarzenberg, Solms-Braunfels, Thurn-et-Taxis, Waldbourg-Wolfegg-Waldsee,
Waldbourg-Zeil-Trauchbourg, Waldbourg-Zeil-Wurzach, Windisch-Graetz,
Sayn-Wittgenstein-Hohenstein) le titre de « » Euer Durchlaucht » » et de « »
Hochdieselben « »; aux cadets le titre de « » Euer Fürstliche Gnaden « ».
Les aînés des maisons comtales ( Erbach-Wartenberg-Roth, Fugger-Kirchberg-
Weissenhorn, Fugger-Nordendorf, Königsegg-Aulendorf, Neipperg, Plettenberg-
Mietingen, Pückler-Limpourg, Quadt-Isny, Rechberg, Schaesberg-Tannheim,
Stadion-Stadion-Tannhausen, Sternberg-Manderscheid, Törring-Guttenzell,
Waldbott-Bassenheim, Waldeck-et-Pyrmont, Isenbourg-Büdingen-Meerholz )
ont droit à la qualification d' » »Erlaucht » », les cadets à celle de
« » Hochgeboren « »
Pour le grand duché de Bade, un arrêté ministériel du 17 septembre 1829
ordonna que les cadets des maisons princières des maisons princières
ci-devant immédiates eussent droit à la même « » courtoisie « » que les
chefs de ces maisons ( Fürstenberg, Leiningen, Salm-Reifferscheidt-
Krautheim, von der Leyen, Löwenstein-Wertheim ) et qu’aux cadets des
maisons comtales ( Leiningen-Neudenau, Leiningen-Billigheim ) fût
donnée la qualification de « » Hochgeboren » »
Dans le grand duché de Hesse fut arrêté le 17 février 1820 et le
18 juillet 1858 ce qui suit : Dans leurs écrits adressés aux chefs des
familles ci-devant immédiates ( princes d’Isembourg-Birstein, Leiningen,
Löwenstein-Wertheim-Freudenberg, Löwenstein-Wertheim-Rosenberg, Solms-
Braunfels, Solms-Lych et les comtes d’Erbach-Erbach, Erbach-Fürstenau,
Erbach-Schönberg, Isembourg-Büdingen, Isembourg-Meerholz, Isembourg-
Büdingen-Wächtersbach, Leiningen-Westerbourg, Schlitz dit de Görtz,
Solms-Laubach, Solms-Rödelheim, Solms-Wildenfels, Stolberg-Gedern,
Stolberg-Ortenberg ) nos magistrats se serviront des titres de
« » Durchlauchtig Hochgeborener Herr Fürst « », « » Erlauchtig Hochgeborener
Herr Graf « » et au contexte des expressions « » Euere Durchlaucht « » ,
« » Euere Erlaucht « ».
Pour la Hesse électorale, un édit du 29 mai 1833 arrêtait que les
ministères et magistrats se serviraient dans leurs écrits adressés
aux chefs des maisons ci-devant immédiates ( prince d’Isembourg-Birstein,
et les comtes d’Isembourg-Meerholz, Isembourg-Wächtersbach, Solms-
Rödelheim ) des qualifications de « » Durchlauchtig Hochgeborener
Herr Fürst « » et « » Erlauchtig Hochgeborener Herr Graff « » , et au
contexte des expressions de « » Euere Durchlaucht « » et « » Euere Erlaucht » »
Il n’est pas à la connaissance de la rédaction s’il existe des ordonnances
ou décrets analogues pour le duché de Nassau ( prince de Wied et les comtes
de Neu-Leiningen-Westerbourg, Waldbott-Bassenheim )
Ces réglements sont en vigueur en tant qu’ils n’ont pas été modifiés par
des décrets spéciaux rendus en faveur de ces familles par les souverains
ou gouvernements des Etats à qui elles ont été subordonnées ( lesquels
décrets se trouvent mentionnés dans les précis historisques qui précèdent
chaque article. Cependant il est depuis longtemps d’usage , parfois même
dans les relations officielles, de donner aux cadets des familles
princières la qualification d’Altesse Sérénissisme. «
CL
15 avril 2011 @ 10:59
Non, le château de Stolberg n’appartient plus à la famille de Stolberg.
Après la destitution en 1945 des grandes propriétés privées au nom du système socialiste apporté par les Russes en Allemagne de l’est, et la réunification en 1990, le gouvernement allemand a refusé de rendre les biens (sauf aux familles ayant directement participé aux complots contre Hitler).
Les biens immobiliers furent divisés et vendus par l’état. Les anciens grands propriétaires eurent alors le droit de racheter une partie des terres à un prix intéressant (Par rapport au marché).
Concernant les biens mobiliers, ce qui n’a pas été brulé, volé, revendu et qui se trouvait à l’ouverture entre les mains de l’état, pouvait être récupéré, si les familles pouvaient prouver que c’était bien leur biens avant la période communiste. Bien souvent, les familles ont alors dû en revendre une partie pour restaurer le reste récupéré en mauvais état.
Concernant le château, la chance est qu’il fût utilisé comme centre de vacance pour des familles ouvrières sous le communisme, et donc chauffé. Après l’ouverture, il fût vendu par l’état à un investisseur qui en acheta quatre avec l’idée d’en faire des hotels. Après s’être royalement planté, sans avoir réparé les toits, l’avoir chauffé ni entretenu, le bâtiment menaçait de devenir une ruine. Le miracle eu lieu il y a 7 ans, lorsque la fondation Deutsche Stifftung Denkmalschutz (Plus grande fondation spécialisée dans la restauration des demeures historiques en Allemagne) le racheta (Rare!) pour le restaurer et le sauver. Ce bâtiment, d’importance capitale pour les environs qui vivent principalement du tourisme, à été restauré pour plus de €15 millions. Les travaux ne sont pas terminés.
Les armoiries présentées ci-dessus sont les armoiries de la ville de Stolberg. Beaucoup plus récentes, elles sont inspirée de celles de la famille + 3 tours avec une muraille. La famille à un cerf noir tourné vers la gauche sur fond or. L’on voit aussi souvent les armoiries complètes, qui reprennent tous les héritages de la famille à travers son histoire et les trois lignes Stolberg-Stolberg, Stolberg-Wernigerode et Stolberg-Roßla (Eteinte auj.).