Un portrait ovale de Marie-Antoinette, alors Dauphine, a été vendu 175.000 € frais de vente compris chez Maître Aguttes, commissaire-priseur à Neuilly, le 25 novembre dernier.
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framboiz07
29 novembre 2021 @ 04:34
Quel chemin a -t-il fait depuis Paris ? Est-il allé à Vienne ? Sait-on si l’ancienne propriétaire vivait en France ?
Beau portrait , le fond du tableau me plait moins .C’est la mode du XVIIIème, en fait !
Frederic
29 novembre 2021 @ 06:21
Bravo aux conservateurs du château de Versailles qui se découvrent afin de maintenir ce beau patrimoine et l enrichir
Erato deux
29 novembre 2021 @ 07:46
Elle devait être très jeune. Un portrait d’une grande qualité artistique et finesse.
Heureuse que le Château ai pu en faire l’acquisition car ce eut été dommage de le voir partir ailleurs.
Robespierre
29 novembre 2021 @ 09:20
Intéressant. Oui, ce tableau devait aller au Château de Versailles. En 1771, Marie Antoinette était mariée depuis un an et était encore très jeune. Seize ans. On n’a pas tellement de portraits d’elle à cet âge.
Pastelin
29 novembre 2021 @ 09:47
La jeune Dauphine est alors âgée de 16 ans . Très beau portrait.
Agnese
29 novembre 2021 @ 10:50
Que de trésors cachés dans certaines de nos maisons avec de belles surprises. Le propriétaire de ce magnifique tableau va passer un très bon Noël mais si j’avais possédé ce beau portrait, je l’aurais gardé.
Trianon
30 novembre 2021 @ 00:16
Je ne sais pas ce que j’aurais fait s’il avait été ma propriété ,peut être aurais je préféré qu’il profite à tous ,que tous puissent le voir et l’admirer.Et pour cela rien de mieux qu’un musée .
Menthe
29 novembre 2021 @ 11:00
Quand même un drôle de phénomène que la mode ! A l’époque de Marie-Antoinette – et même avant- il était de coutume d’arborer perruques grises ou blanches, alors que nous, maintenant, -pour la plupart- tentons de retarder ces teintes le plus possible.
Pourquoi ? Pas les mêmes soins pour les cheveux à l’époque, donc les cacher ? Sous des perruques blanches, car pas de possibilité d’autres couleurs ? Je vais me pencher sur l’histoire des cheveux.
Menthe
29 novembre 2021 @ 11:01
Ceci dit, j’oubliais, ce portrait est très beau.
Piapias
29 novembre 2021 @ 16:11
Bonjour charmenthe Madame Menthe, connaissez-vous le livre « La poudre et le fard » écrit par Catherine Lanoë ?
C’est un ouvrage fort documenté qui pourrait satisfaire votre curiosité – si ce n’est déjà fait – sur « l’histoire des cosmétiques de la Renaissance aux Lumières ».
Bien à vous,
Piapias
Menthe
30 novembre 2021 @ 15:01
Merci beaucoup Piapias pour cette référence. Je vais de ce pas combler mon ignorance.
Et permettez-moi de vous dire que vous êtes bien trop rare dans les fils de commentaires. ☺️
Jackie
30 novembre 2021 @ 20:18
Telle la Belle au bois dormant, Piapias a dû rencontrer le prince, la voilà revenue. Il y a si longtemps qu’elle nous a rendu visite. Très heureuse de vous relire. Venez donc piapiater avec nous.
Piapias
1 décembre 2021 @ 17:36
Merci Jackie et charmenthe Menthe, telle la pivoine, je rosis sous vos amabilités …
JAusten
29 novembre 2021 @ 12:21
oui je trouve aussi ce portrait très beau : il n’y a pas de fioriture, Marie-Antoinette y est peinte avec les atouts d’une jeune femme de son rang mais avec humilité.
Gatienne
29 novembre 2021 @ 13:59
Votre interrogation a rejoint la mienne et curieuse de nature, j’ai trouvé cet article que je vous fais partager:
https://www.regard-sur-les-cosmetiques.fr/nos-regards/la-poudre-pour-perruque-une-histoire-tiree-par-les-cheveux-866/
Auberi (e)
30 novembre 2021 @ 13:49
merci Gatienne ! Un régal cette lecture, j’ai bien aimé ‘arriver la goule enfarinée’ 😉
Chevalière
30 novembre 2021 @ 11:24
Oh oui Menthe, je suis curieuse de lire vos découvertes sur la question, effectivement curieuse mode…
Kalistéa
30 novembre 2021 @ 11:40
chère Menthe nous, nous n’avons pas de lentes à cacher!Dans des cheveux blancs on ne les voyait et sous des perruques on ne voyait pas les poux non plus.
Menthe
30 novembre 2021 @ 15:02
Un grand merci à vous toutes, qui m’ont amené des éléments de réponse.
septentrion
29 novembre 2021 @ 11:05
Un portrait magnifique, l’ancien propriétaire ne s’est pas posé beaucoup de questions. La forme de ses yeux m’aurait fait m’interroger.
Voir Marie-Antoinette représentée sans ses énormes perruques est rafraîchissant.
Le portrait réalisé par Joseph Ducreux en 1769, https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Antoinette_d%27Autriche#/media/Fichier:Marie_Antoinette_Young3.jpg , révèle une bonne ressemblance. Marie-Antoinette s’est embellie en 2 ans.
Kalistéa
30 novembre 2021 @ 11:45
Septentrion , Marie Antoinette n’y pouvait rien si la forme de ses yeux était etrange et ses admirateurs n’ont pas besoin , à chaque fois qu’on voit son portrait , d’entendre dire que ses yeux sont curieux … et bla , bla , bla et bla, bla , bla… (voir une réponse idiote me concernant dans un article sur Béatrice d’Yok)
Gérard
29 novembre 2021 @ 11:51
Cet artiste comtadin était surtout connu pour le portrait de Benjamin Franklin qui orne les billets de 100 $ américains.
Il était membre de l’Académie royale de peinture et de sculpture et il a peint nombre de princes français.
Les derniers propriétaires le qualifiaient de portrait d’une marquise mais l’un des responsables de la maison de ventes a reconnu Marie-Antoinette et la manière de peindre de Duplessis. C’est une esquisse d’un tableau commandé par l’impératrice Marie-Thérèse en 1771.
Duplessis devait peindre en principe l’archiduchesse à cheval mais il n’y eut pas suffisamment de séances de pose bien qu’une esquisse de la commande originale soit aujourd’hui conservée au musée de Versailles et que la version achevée du portrait commandé par l’impératrice ait été répertoriée en 1913 mais son emplacement s’est perdu depuis semble-t-il. Néanmoins Marie-Antoinette ne s’est jamais si bien vendue.
Pastelin
29 novembre 2021 @ 13:03
Merci pour ces précisions Gérard
Gérard
30 novembre 2021 @ 16:23
Merci à vous Pastelin.
Ciboulette
29 novembre 2021 @ 18:10
J’aurais reconnu Marie-Antoinette malgré sa jeunesse !
Robespierre
29 novembre 2021 @ 19:11
La commande de ce portrait a quelque chose de touchant. Marie-Thérèse ne devait plus revoir sa fille après son mariage, et ce portrait c’est comme si elle demandait à l’époque une photo de Marie Antoinette.
Aldona
29 novembre 2021 @ 13:25
Un très beau portrait, elle était très jeune, encore un peu une enfant.
Mayg
29 novembre 2021 @ 13:29
C’est un beau portrait.
Alice
29 novembre 2021 @ 13:59
Très beau portrait de la gracieuse Marie-Antoinette, la toute jeune Dauphine. Bravo au Château de Versailles pour l’avoir acquis!
Danielle
29 novembre 2021 @ 15:47
Un beau et fin portrait.