Le 7 avril prochain, Sotheby’s Hong Kong mettra en vente ce collier en jade dont les pierres proviennent de la dynastie chinoise des Qing. Il fut créé avec ce fermoir Art Deco par Cartier en 1933. La riche héritière Barbara Hutton le reçut en cadeau de son père lors de son mariage avec le prince géorgien Alexis Mdivani (1905-1935). Après son divorce, le prince garda le collier qui fut mis aux enchères une première fois par sa soeur en 1988.(Copyright photo : Sotheby’s – Article dédié à Karina B.)
Severina
10 mars 2014 @ 10:22
Un prince très gentleman, qui garde le collier (magnifique!) de sa femme après le divorce.
visder
10 mars 2014 @ 10:30
il faut bien sur préciser que le titre de prince des « princes » Mdivani , puisque les frères chassant l’héritière en bande, avaient jugé utile de se proclamer princes en arrivant à Paris n’ était qu’un pur accessoire de comédie sans aucun fondement , et ce faux titre ne leur porta pas bonheur puisqu ils sont morts jeunes et violement
Gustave de Montréal
10 mars 2014 @ 16:49
Le père des gigolos Mdivani, Zharias, plaisantait qu’il était le seul noble à avoir hérité du titre de prince par ses fils !
Gérard
16 mars 2014 @ 22:59
C’est une famille d’anoblis par les rois de Géorgie, des aznaours. Non princes mais connus pour les mariages des 5 frères et sœurs dont la dernière Nina épousa Denis Conan Doyle, fils de sir Arthur.
Zeugma
10 mars 2014 @ 10:35
Le titre princier du premier mari de Barbara Hutton était faux. Ce gigolo flamboyant a un tout petit peu écorné l’immense fortune de sa femme.
Caroline
10 mars 2014 @ 12:14
Lol,je crois avoir compris que Mdivani signifie ‘secrétaire’ en géorgien!Est-ce un prince récemment annobli?
Vu la lourdeur des pierres de jade,ce collier n’est pas très agréable à porter!
Barbara Hutton avait un fils unique,y-a-t-il une descendance de nos jours chez lui?
silvia.2
10 mars 2014 @ 16:32
Caroline
Sur la photo qui est présentée de Barbara Hutton , elle ne semble pas souffrir de la lourdeur de son collier… Alors tous ces princes, du début du siècle dernier faux riches, qui ont épousé des femmes riches, seuls leur restent leurs titres et les bijoux hérités qu’ils revendent. Alors bien venue aux suivants. L »on dit qu’un bijou acheté suit la ligne de celui a qui l’a acheté..chance… pas chance…
Gustave de Montréal
10 mars 2014 @ 17:08
de son 2è mari un fils, Lance Reventlow, tué en 1972, 36 ans, dans un accident d’avion à Aspen Colorado. Il était coureur automobile.
Vassili
10 mars 2014 @ 19:21
Non, Caroline, Lance Reventlaw, le fils de Barbara Hutton, n’a pas eu d’enfants.
Je pense que Mdivani a achete le collier avec l’argent de sa femme.
La soeur du prince etait mariee avec le peintre Jose Maria Sert. Il y avait une expo tres interessante au Petit Palais il y a deux ans.
V
flabemont8
10 mars 2014 @ 12:19
J’aime beaucoup le jade …
Huguette
10 mars 2014 @ 12:52
Le prince Mdivani et la princesse Mdvani née Barbara Hutton portant le collier…
http://1.bp.blogspot.com/-zNE9nZyLbys/UwzZbQgyQXI/AAAAAAAC6vM/GJselDmurts/s1600/Barbara+Hutton+&+Alexis+Mdivani+at+The+Metropolitan+Opera,+New+York,+1933.jpg
JAusten
10 mars 2014 @ 19:00
très joli collier et les boucles d’oreille sont elles aussi superbes
Maguelone
10 mars 2014 @ 22:57
Merci Huguette pour le lien. Le collier paraît plus fin sur la photo de Régine, moins imposant.
Pas un gentleman l’ex-mari en tout cas !
Nicole C 34
10 mars 2014 @ 16:19
C’était un gougeât ,voir un voleur,puisque le collier était un bien propre à sa femme.
A la place de cette dernière je lui aurai fait un procès.
C’est un jade magnifique,avons nous une estimation du prix d’un tel joyaux.
Corsica
10 mars 2014 @ 19:04
Adorant le jade, j’aime beaucoup ce collier dont le fermoir en rubis et diamants est très raffiné . Par contre, je reste dubitative sur le pourquoi et le comment ce bijou est devenu propriété de ce pseudo prince …
Jayo
10 mars 2014 @ 19:32
Il faut bien avouer que ce prince était très bel homme !
Marcel
10 mars 2014 @ 19:35
Barbara Woolworth Hutton (14 novembre 1912 – 11 mai 1979) est une personnalité de la jet set américaine, surnommée « la pauvre petite fille riche » ((en)« Poor Little Rich Girl ») en raison de sa vie mouvementée. Elle fit don de la Winfield House au gouvernement des États-Unis, pour servir de résidence à l’ambassadeur des États-Unis au Royaume-Uni, lors d’une transaction pour un dollar symbolique, après la Seconde Guerre mondiale1.
Sommaire
1 Biographie
2 Vie personnelle
2.1 Mdivani et Reventlow
2.2 Cary Grant
2.3 Igor Troubetzkoy
2.4 Porfirio Rubirosa « La crema y nata ».
2.5 Gottfried von Cramm
2.6 Raymond Doan Vinh na Champassak
3 Arts et joaillerie
4 Dernières années
5 Information biographique
6 Notes
7 Liens externes
Biographie
Née à New York, Barbara Hutton était la fille unique de Edna Woolworth (1883–1918), elle-même une fille de Frank W. Woolworth, fondateur des populaires magasins « five and dime » Woolworth. « Five and dime » est un magasin où l’on vend tout à cinq ou dix cents (soit environ 0,0790€ ou 0,0395€)2.
Le père de Barbara Hutton était Franklyn Laws Hutton (1877–1940), un homme aisé, cofondateur de E. F. Hutton & Company, une firme new-yorkaise d’investissement et de courtage en bourse, propriété du frère de Franklyn, Edward Francis. Elle était la nièce par alliance de Marjorie Merriweather Post, héritière d’un empire céréalier, et qui fut, de 1920 à 1935, l’épouse de E.F. Hutton ; leur fille, l’actrice Dina Merrill (née Nedenia Hutton), était cousine germaine de Barbara Hutton.
Edna Hutton se suicida alors que Barbara avait six ans. C’est l’enfant qui découvrit le corps de sa mère. Après une enquête bâclée à la demande de Frank Woolworth qui voulait éviter un scandale à la famille, on conclut à une mort accidentelle3. Barbara vécut chez différents membres de sa famille, et elle fut élevée par une gouvernante. Sa cousine Dina Merrill, raconta dans la « Biographie des Woolworth » diffusée sur A&E, que Barbara vécut avec eux, après la mort de sa mère, son père l’ayant abandonnée4. Son grand-père Frank Woolworth prit grand soin de l’enfant jusqu’à sa mort le 19 avril 19185. Et après la mort de sa femme Jennie woolworth, (une malade mentale), Barbara hérita de 26 millions de dollars auxquels s’ajoutait le legs de sa mère Edna : 2,1 millions de dollars6.
Elle devint une enfant introvertie, qui ne communique pas avec les enfants de son âge. Son plus proche ami et seul confident était son cousin Jimmy Donahue, le fils de la sœur de sa mère.
Selon les traditions de la haute société new-yorkaise, Barbara Hutton eut un bal de débutante fastueux lors de son 18e anniversaire, où furent invités les familles Astor et Rockefeller, entre autres élites. Des vedettes comme Rudy Vallee, Meyer Davis et son orchestre animèrent la soirée, tandis que Maurice Chevalier accueillait les invités7. Trois ans plus tard, en 1933, pour son 21e anniversaire son héritage, qui était évalué à plus d’un milliard de dollars actuels, fit d’elle l’une des femmes les plus riches du monde7. Sa réception d’anniversaire coûta 50000 à 60000 dollars 7, alors que le pays sortait à peine de la Grande Dépression. La critique publique fut très intense. Mais surtout, Barbara n’avait pas trouvé le beau parti qu’elle espérait rencontrer, et elle s’enticha d’un play-boy du nom de Phil Plant. C’est la raison pour laquelle son père l’embarqua pour l’Europe, vers la Grande-Bretagne et ses aristocrates8
Vie personnelle
Bien que Barbara Hutton fut dépeinte dans la presse comme une jeune femme « chanceuse » qui avait tout, le public n’avait aucune idée des problèmes psychologiques qu’elle connaissait, et qui la menèrent à une vie de victimisation et d’abus. Elle se maria sept fois :
1933 – Alexis Mdivani, soi-disant prince géorgien, dont elle divorça en 1935 ;
1935 – le comte Curt Heinrich Eberhard Erdmann Georg von Haugwitz-Hardenberg-Reventlow, dont elle divorça en 1938 ;
1942 – Cary Grant, dont elle divorça en 1945 ;
1947 – le prince Igor Troubetzkoy, dont elle divorça en 1951 ;
1953 – Porfirio Rubirosa, dont elle divorça en 1954 ;
1955 – le baron Gottfried Alexander Maximilian Walter Kurt von Cramm, dont elle divorça en 1959 ;
1964 – le prince laotien Pierre Raymond Doan Vinh na Champassak, dont elle divorça en 1966.
Mdivani et Reventlow
Ses deux premiers maris puisèrent largement dans sa grande fortune, en particulier le très autoritaire Curt Haugwitz-Reventlow, dont elle eut son seul enfant, un fils appelé Lance Reventlow9 (1936-1972).
Reventlow lui faisait subir des violences verbales et physiques, ce qui obligea Barbara à aller à l’hôpital et Reventlow fut envoyé en prison. Il la persuada d’abandonner sa citoyenneté américaine pour adopter la nationalité danoise (qu’il détenait lui-même de naissance), pour des raisons fiscales. Elle y consentit en décembre 1937 devant une cour fédérale à New-York. Dès lors, elle sombra dans l’abus de médicaments, puis devint anorexique pour le reste de sa vie.
Lorsqu’elle divorça de Reventlow, elle obtint la garde de leur fils, et, comme son père l’avait fait avec elle, elle laissa l’éducation de Lance à une gouvernante et à des écoles privées.
Le poète populaire Ogden Nash composa un poème sur la vie privée dévoilée en public de Hutton en composant les vers suivants :
« Said Aimee Semple McPherson »
— Aimee McPherson to Barbara Hutton,
How do you get a marriage to button?
You’ll have to ask some other person.
Said Barbara Hutton to Aimee McPherson
« Aimee McPherson demandait un jour à Barbara Hutton,
Comment faites-vous pour qu’un mariage éclose ?
Vous allez devoir le demander à quelqu’un d’autre,
Répondit Barbara Hutton à Aimee McPherson. »
Cary Grant
Devant la menace de la Deuxième Guerre mondiale en 1939, Hutton déménagea en Californie. Pendant la guerre, elle donna de l’argent aux Forces Françaises libres et fit don de son yacht à la Royal Navy. Se servant de son image de femme du monde pour vendre des Obligation de guerre, elle redora son image publique, après avoir été tournée en dérision par la presse suite à ses scandales conjugaux. À Hollywood, elle rencontra Cary Grant, l’une des plus grandes stars du cinéma de l’époque, et l’épousa. D’elle, l’acteur ne semble n’avoir eu besoin ni de son argent, ni de son nom ; sinon en avoir été sincèrement amoureux. Néanmoins, ce mariage échoua également sans que le jugement de divorce10 n’ait effectivement fait état de demande ou d’indemnités quelconques.
Igor Troubetzkoy
Hutton quitta la Californie et déménagea à Paris avant de faire l’acquisition d’un palais à Tanger. Elle commença alors à fréquenter Igor Troubetzkoy, un autre prince russe expatrié, de maigre fortune mais de renom mondial. Au printemps de 1948, elle l’épousa à Zurich. Cette même année, il fut le pilote de la première Ferrari engagée dans un grand prix automobile. Il prit part au Grand Prix de Monaco, puis remporta le Targa Florio. Il demanda finalement le divorce. La tentative de suicide de Hutton occupa les grands titres de la presse mondiale. Étiquetée par la presse comme la « pauvre petite fille riche », sa vie était un sujet de prédilection des journaux, qui l’exploitaient pour l’offrir à un public fasciné11.
Porfirio Rubirosa « La crema y nata ».
Son mariage suivant ne dura que 53 jours, du 30 décembre 1953 au 20 février 1954, avec le dominicain Porfirio Rubirosa. Ce dernier, l’un des plus illustres playboys internationaux, épousa la vulnérable Barbara tout en continuant sa relation avec l’actrice Zsa Zsa Gabor12,13.
Hutton passa alors du temps avec les américains James Douglas et Philip Van Rensselaer. Cependant, son train de vie dépensier continua, et bien que déjà propriétaire de nombreux domaines autour du monde, elle fit bâtir en 1959 un luxueux palais de style japonais sur un terrain de 120 000 m2 à Cuernavaca au Mexique14.
Gottfried von Cramm
Son mari suivant était un ami de longue date, le baron Gottfried von Cramm, vedette du tennis allemand. Ce mariage se termina encore une fois par un divorce. Il se tua dans un accident d’automobile près du Caire en 197615.
Raymond Doan Vinh na Champassak
C’est à Tangers qu’elle rencontra son septième et dernier mari, le prince Pierre Raymond Doan Vinh na Champassak. Ce dernier mariage fut également éphémère16.
Hutton apparut fréquemment prise de boisson en public et ses dépenses se poursuivirent sans relâche17. Elle se mit à passer du temps avec des hommes plus jeunes qu’elle, et il lui arrivait de faire des cadeaux à de parfaits inconnus18,19.
Arts et joaillerie
Au fil des ans, et outre un héritage important qui comprenait des toiles de maîtres et d’importantes sculptures20, elle se constitua elle-même une magnifique collection regroupant le spectre des arts, de la porcelaine20, des bijoux de valeur, y compris des pièces historiques sophistiquées ayant appartenu à Marie Antoinette et à l’impératrice Eugénie et d’importantes pièces de Fabergé et Cartier21,22,23. Parmi ses pièces de joaillerie, on trouvait le Pasha Diamond de 40 carats, qu’elle acheta dans une taille brillant octogonale inhabituelle mais fit retailler en brillant rond, ce qui le fit descendre à 36 carats24.
Dernières années
Mausolée de la famille Woolworth
La mort de son fils en 1972 dans un accident d’avion plongea Hutton dans un profond désespoir. Sa fortune s’était érodée, en raison de son extrême générosité et de transactions douteuses effectuées par son avocat de longue date, Graham Mattison. Elle avait dû vendre une partie de ses biens pour vivre. Néanmoins, lorsqu’elle mourut au Regent Beverly Wilshire Hotel de Beverly Hills, d’un infarctus du myocarde en mai 1979, sa fortune était loin d’être épuisée. On prétendait qu’il ne restait que 3 500 dollars, parce que lorsque les agents du trésor se présentèrent au Wilshire hotel, les appartements étaient vides. Mais Mattisson avait déjà fait transférer ses bijoux, fourrures et son mobilier chez Gropiron à Paris25. Par ailleurs le même avocat avait fait homologuer le testament de Barbara Hutton aux Bermudes, où il avait obtenu qu’elle fut déclarée résidente légale26. Bien que les comptes bancaires de l’ex-milliardaire fussent peu approvisionné, Mattison réussit à réunir d’importantes sommes dans les ventes aux enchères de ses objets précieux que les héritiers dont le bénéfice profitant essentiellement aux Hennessy et à l’avocat27
Elle fut inhumée dans le mausolée de la famille Woolworth érigé dans le Woodlawn Cemetery dans le Bronx.
Marcel
10 mars 2014 @ 19:39
Lance Reventlow, né Lawrence Graf von Haugwitz-Hardenberg-Reventlow, [1] (Février 24, 1936 – Juillet 24, 1972) a été un riche playboy, entrepreneur et pilote de course .
Reventlow était le seul enfant de Woolworth héritière Barbara Hutton et son second mari le comte Cour Haugwitz-Hardenberg-Reventlow et aussi le beau-fils de l’acteur Cary Grant et le prince Igor Troubetzkoy .
Contenu
1 Biographie
2 Carrière de course
2.1 Commencement
2.2 Parcours professionnel
3 La vie personnelle
4 Décès
Résultats 5 Formule complète Championnat du Monde
6 Références
Biographie
Lance Haugwitz-Hardenberg-Reventlow était le seul enfant de danois noble comte Cour Haugwitz-Hardenberg-Reventlow et américain mondaine Barbara Hutton , qui a failli mourir en lui donnant naissance. Il est né à Winfield Maison à Londres , restaurée par sa mère et son grand-père du nom de Frank Winfield Woolworth . Le mariage de ses parents a été tumultueuse, rempli de violence psychologique et physique de son père de lui et de sa mère et de l’alcool de plus en plus de sa mère et de la toxicomanie. [ citation nécessaire ] Elle avait hérité de la Woolworth fortune de grands magasins et était alors l’un des plus riches les femmes dans le monde. Le mariage, la deuxième de Barbara Hutton de sept ans, n’a pas duré et l’enfant fait l’objet d’une bataille pour la garde amère.
De gauche à être soulevé par des nourrices et des pensionnats, Reventlow avait six ans quand sa mère a épousé l’acteur Cary Grant , qui a pris le garçon déjà troublé sous son aile. La mère et Grant de Reventlow divorcé le 11 Juillet 1945, et deux jours plus tard, alors-neuf ans a été enlevé par son père biologique et prises pour le Canada , mais plus tard retournés. Grant est resté proche de Reventlow, qui a passé beaucoup de temps dans le Los Angeles zone.
carrière de course
Débuts
En 1948, à 12 ans, Reventlow a été introduit dans le monde des courses de Grand Prix à moteur lorsque sa mère a épousé le prince Igor Troubetzkoy qui a remporté la Targa Florio cette année. Comme un adolescent, l’argent de Reventlow lui offrait la dernière dans les voitures exotiques qui ont conduit à son implication dans le sport automobile.
Dans Hollywood , Reventlow est devenu des amis proches avec des passionnés de voitures compatriote James Dean et a participé à des événements de club autour de la Californie. Le 30 Septembre 1955, Lance Reventlow était l’une des dernières personnes à parler à Dean quand ils ont rencontré sur leur chemin à une course automobile à Salinas, en Californie . Dean a été tué quelques heures plus tard dans sa Porsche 550 Spyder .
Carrière professionnelle
Reventlow a finalement décidé d’aller en Europe de voitures de course et a passé une saison de conduite Cooper Formule 2 voitures. Il est ensuite retourné aux États-Unis et a créé sa propre entreprise dans Venice, en Californie , pour construire Chevrolet voitures de course à propulsion qu’il nomme Scarab avec Phil Remington comme ingénieur en chef. Avec chauffeur embauché Chuck Daigh , les deux étaient initialement succès dans la course. Ils ont remporté la majorité des grandes manifestations de voitures de sport, ils sont entrés, souvent en concurrence avec l’équipe Cunningham de Lister Jaguar. Daigh conduit un scarabée à la victoire dans le Grand Prix de Riverside International en Californie 1958 en battant un champ d’équipes internationales de voiture de course, y compris le célèbre pilote de voiture de course Phil Hill et l’équipe Ferrari. Carroll Shelby a conduit un scarabée à la première place à Continental Divide Raceways dans Castle Rock dans le comté de Douglas , Colorado , où il a battu un record du parcours.
Vie personnelle
En 1959, Lance Reventlow a visité la mère qu’il connaissait à peine à sa nouvelle demeure située dans Cuernavaca , Mexique . Elle avait juste divorcé de son mari sixième. Reventlow a confrontée sur son éducation, et après une violente dispute, les deux se séparèrent. Déjà contrecœur sous les projecteurs des médias en raison de sa mère et de la richesse de la famille, peu de temps après la confrontation avec sa mère, Reventlow a épousé l’actrice Jill St. John . Le couple glamour a fait l’objet de beaucoup d’attention des médias. Son équipe de course a été beaucoup parlé pour avoir construit la première Formule Un voiture de course en Amérique. Opérations déplaçant à l’étranger pour la Grande-Bretagne , l’équipe de Reventlow a couru les voitures de Scarab en Formule Un avec peu de succès contre les nouvelles voitures de course arrière du moteur. Lance est retourné à la planche à dessin et construit une voiture à moteur arrière prototype Scarab concurrentiel, mais était devenu moins intéressé par la course avant son test était complet. En 1962, il a fermé l’opération, a loué les installations de la Californie à Carroll Shelby , et quitter la course automobile tout à fait.
L’organisation de Reventlow construit un total de huit scarabées au cours de son existence. Dans une interview 1971, Reventlow a confirmé que trois voitures à moteur avant Chevy alimentés sport, trois voitures à moteur avant formule, une voiture de formule moteur arrière et une voiture de sport à moteur arrière ont été construits. Deux des voitures à moteur avant formule ont été alimentés par les moteurs Reventlow-officiers établis par le concepteur américain de moteur de course Leo Goossen aux spécifications de Reventlow, tandis que la troisième voiture a été alimenté par une Goossen conçu et fabriqué Offenhauser moteur. La formule à moteur arrière a été alimenté par une modification de Buick motrice; ce moteur et l’ensemble suspension / freins ont été prises de cette voiture et utilisés sur la voiture de sport à moteur arrière, la dernière Scarab construit.
Le mariage de Reventlow à Jill St. John a pris fin par un divorce en 1963. En 1964, il a épousé l’ex- Mouseketeer Cheryl Holdridge , présenté à lui par un ami proche, le chanteur Jimmy Boyd . Le couple est resté la plupart du temps hors de l’éclat de la publicité pendant plusieurs années. Un passionné skieur alpin , randonneur, marin et pilote, Reventlow maintenu une maison à Aspen , Colorado.
Décès
En 1972 Reventlow était à la recherche en partenariat avec les promoteurs immobiliers à construire une station de ski à Aspen. Bien Reventlow était un pilote expérimenté, avec des milliers d’heures, classé pleinement IFR sur des avions multimoteurs, quand repérages pour l’immobilier il était seulement un passager. Le 24 Juillet 1972, le Cessna 206 Reventlow était barré par une expérience de 27 ans élève-pilote, a volé dans un canyon aveugle et le pilote a décroché l’avion tout en essayant de tourner autour. [2] Le petit avion a plongé à le sol, tuant tous à bord, y compris les 36 ans Lance Reventlow.
Le beau-père de Reventlow, l’acteur Cary Grant , prit des amis les plus proches de Lance avec lui dans son avion à Aspen pour le service commémoratif de Reventlow, donné par sa veuve Cheryl. Elle a plus tard épousé J. Manning Poster , une figure importante dans le Parti démocrate en Californie.
JAusten
11 mars 2014 @ 19:04
Triste triste vie que celle de cette femme qui littéralement baignait dans l’argent. Comment peut-on se remettre de découvrir le corps inanimé d’un de ses parents et être laissé ensuite à l’abandon par la famille, trimbalé de maison en maison … finalement devoir s’élever (dans le sens éduquer) tout seul.
J’avais lu que Cary Grant était très bon père, il a été visiblement un très bon beau-père aussi.
aggie
11 mars 2014 @ 05:54
encore un bijou que je trouve laid, décidement