Le comte Arrivabene Valenti Gonzaga, natif de Venise et créateur d’objets en verre sous la marque Giberto Venezia, vient d’ouvrir une boutique à Venise.
MoreLe comte Arrivabene Valenti Gonzaga, natif de Venise et créateur d’objets en verre sous la marque Giberto Venezia, vient d’ouvrir une boutique à Venise.
More
brigitte lavaud
22 avril 2024 @ 08:19
je n’ose imaginer les prix !!
Gab-Pnth
23 avril 2024 @ 12:53
Le prix de la création dans une époque où les matières premières coûtent cher.
Claude patricia
22 avril 2024 @ 08:35
J adorerai voir cela.
Marie-Caroline de Bretagne
22 avril 2024 @ 08:41
J’ai eu le plaisir de rencontrer Giberto Arrivabene en septembre dernier : très bel homme, toujours très élégant, vrai aristocrate et parfait gentleman. Et talentueux !
https://www.giberto.it/giberto-arrivabene/
milou
23 avril 2024 @ 05:36
Merci Marie-Caroline pour le lien et je ne doute pas de la sympathie de cet homme!
Le charme 🇮🇹!
Agnese
22 avril 2024 @ 08:42
Merci Charles.
Quel privilège et quelle chance d’avoir pu ouvrir une boutique sur le pont du Rialto car les places sont rarissimes et sûrement onéreuses.
Toutefois la famille est bien connue et bien implantée dans Venise.
particule
22 avril 2024 @ 09:03
Une famille de commerçants !
Passiflore
22 avril 2024 @ 19:03
Giberto Arrivabene est le cousin issu de germains de Diane, duchesse de Cadaval, sa grand’mère, Maria José Álvares Pereira de Mello, étant la soeur du grand’père (Nuno) de Diane.
Perlaine
22 avril 2024 @ 09:32
La tentation de VENISE , ah là là ; je n’ai pas résisté à chaque séjour !
Teddy
22 avril 2024 @ 20:24
Casanova
Bambou
22 avril 2024 @ 09:32
Le pas de porte doit être très onéreux…
Lili3
22 avril 2024 @ 09:33
Bel homme, distingué
Leonor
22 avril 2024 @ 09:48
Il » produit ».
Il ne crée pas, il » produit ». Càd qu’il fait travailler des artistes – des vrais – et qu’il revend. Avec profit on suppose, évidemment.
Sauf que les vrais artistes ne l’ont pas attendu.
Mais bon, faut bien faire bouillir la marmite et entretenir le palais. Il y aura toujours assez de snobs pour acheter un nom, même et surtout, un nom trafiqué ( desfois qu’on aurait oublié le » Venezia »).
Oui, ça m’énerve, ce genre de trucs. Comme les pantoufles de ses gamines.
Gatienne
22 avril 2024 @ 13:18
Il appose son nom sur des réalisations qui ne sont pas de lui: le tout à des prix stratosphériques (vus dans son catalogue.)
On salue au passage les vrais artisans-souffleurs de Murano.
Effectivement, pour ceux que le snobisme n’étouffe pas ! 😉
Pierre-Yves
22 avril 2024 @ 13:20
Moi ça ne m’énerve pas.
Il propose des choses qu’on peut choisir de prendre ou de laisser. Chacun est libre.
Philippe H.
22 avril 2024 @ 20:14
Merci, Pierre Yves, pour votre commentaire pertinent !!! Oui, chacun est libre d’apprécier ou de passer son chemin…
milou
23 avril 2024 @ 05:39
Exactement Pierre-Yves!
Par contre l’endroit est très fréquenté par les touristes et peu seront intéressés vraiment… vu la difficulté parfois à traverser ce pont!
STIERNON
23 avril 2024 @ 01:40
Il crée mais ne fabrique pas.
En général, on commence par un dessin, ce qu’il fait, et on fait fabriquer
Glumuke
23 avril 2024 @ 02:59
Quel fiel incroyable !
On peut aimer ou pas les créations de Giberto Arrivabene mais votre commentaire n’y va pas avec le dos de la cuillère…
Cet homme crée ces objets mais ne les fabrique pas, certes. Comme la majorité des artistes, ou créateurs, dans le domaine du verre de Murano avant lui, de Carlos Scarpa à Marie Brandolini.
À Murano, les maîtres verriers préfèrent infiniment travailler avec des créateurs italiens que débiter des cheveux cabrés pour touristes désargentés. Et au moins, les objets « Giberto Venezia » sont-ils réalisés sur place et font-ils travailler des fours qui, le plus souvent, frôlent la faillite, submergés par les babioles bas de gamme importées de Chine…
Je ne suis pas cliente, les tarifs étant bien trop élevés pour mes moyens, mais je ne vois pas en quoi proposer de beaux objets serait à blâmer.
Gab-Pnth
23 avril 2024 @ 12:57
Il valide tout de même les croquis préalables à la réalisation. Certes, ce n’est pas lui qui crée mais il participe, et pour cela il faut un minimum de fibre artistique. D’ailleurs, il ne se dit pas créateur ; il est marchand et ne fait aucun mystère de la provenance des œuvres vendues, pour peu toutefois qu’on lui pose poliment la question au lieu de rager. 😉
PATRICIA
22 avril 2024 @ 09:54
Ah oui, en effet, c’est une bonne idée pour cette personne passionnée de si longue date.
GIHA
22 avril 2024 @ 10:13
je ne le connaissais pas, quel bel homme !!!!!!! les italiens sont vraiment séduisants…..
berton
22 avril 2024 @ 10:28
Bel homme et beaucoup de classe !
Vero
22 avril 2024 @ 18:40
Tout à fait d’accord avec vous.
milou
22 avril 2024 @ 10:31
Interessant… à découvrir!
Cosmo
22 avril 2024 @ 10:42
La père dans les bibelots, les filles dans la chaussure, ils ne dévient pas de la grande tradition marchande de Venise, à laquelle une partie de son aristocratie doit sa fortune.
JO Saint vic
22 avril 2024 @ 16:11
Oui Cosmo mais pourquoi pas …..il n’est peut être pas si fortuné que cela
..
Robespierre
22 avril 2024 @ 11:19
Bonne chance dans son entreprise. Le produit est intéressant et très vénitien. Ce comte est un bel homme qui s’enlaidit avec une barbe blanche. On peut avoir l’air jeune avec des cheveux blancs, mais une barbe blanche c’est une autre paire de manches. Oui, ça rime aussi.
Lunaforever
22 avril 2024 @ 11:23
Ça va changer des boutiques tenues par les chinois …
Gab-Pnth
23 avril 2024 @ 13:00
C’est aussi la réflexion que je me suis fait en voyant l’article. Venise, l’Italie dans sa globalité, opère un revirement dans sa souveraineté économique et le commerce des arts cher aux Vénitiens, n’y échappe pas. C’est très bien et je connais d’autres pays qui devraient s’inspirer.
Augustine
22 avril 2024 @ 12:02
Un aristocrate qui a du chien
Jean Pierre
22 avril 2024 @ 15:27
Combien pour ce chien dans la vitrine ?
lila🌷la vraie
23 avril 2024 @ 18:54
Ohhh ! Jean Pierre .
Caroline
22 avril 2024 @ 12:15
Enfin, une boutique typiquement vénitienne !
Lors de mon récent séjour à Venise en Septembre dernier, j’étais surprise par le grand nombre de mini- supermarchés partout à Venise 😒. Par exemple, Minelli et Prénatal ont disparu… !
Pastelin
22 avril 2024 @ 13:24
Deux marques qui vont mal
Gab-Pnth
23 avril 2024 @ 13:01
Très mal.
Stéphane G.
22 avril 2024 @ 12:17
ça va durer 6 mois, le « high end » avec des prix costauds il faut les reins solides pour durer, surtout entourer comme sur le Rialto par tout le bas de gamme
Baboula
22 avril 2024 @ 14:37
Il ne se hasarde pas sur le marché du Murano ancien .
Charles
25 avril 2024 @ 13:21
Le comte Arrivabene gère son entreprise depuis 20 ans avec le succès que l’on connait.
Robespierre
25 avril 2024 @ 09:46
En fait, c’est intéressant de voir si cela durera plus de 6 mois. Il connait Venise, et a dû faire une étude de marché. Et vu son nom il ne serait pas crédible avec des objets à bas coût. J’espère que dans un an on pourra savoir comment cela marche. Il n’est pas riche, a dû louer son palais de famille et loge sous les combles au dernier étage. Donc je ne peux que lui souhaiter de réussir son pari.
Danielle
22 avril 2024 @ 13:07
Une boutique de luxe chez un bel homme, bonne chance à lui.
Martine R
22 avril 2024 @ 13:21
Les vrais artisans de Venise ne sont pas au Rialto qui est un lieu de passage à touristes
Avel
22 avril 2024 @ 18:30
Oui pour acheter du Murano il vaut mieux aller à Murano.
milou
23 avril 2024 @ 05:41
C’est exactement ce que j’ai pensé, Martine R et je viens d’écrire plus haut…l’endroit n’est pas très propice aux amateurs d’art ou si peu!!!
Esquiline
23 avril 2024 @ 13:44
Les amateurs d’art doivent aussi traverser le grand canal et il n’y a que quatre ponts.
Si le Rialto leur est insupportable il peuvent toujours prendre les « gondole traghetti » comme les Vénitiens. C’est ce que je fais quand de Cannaregio je dois me rendre sur l’autre rive.
Gab-Pnth
23 avril 2024 @ 13:04
Il ne titille pas le Murano ancien. Aller dans le berceau de l’art verrier italien n’est aujourd’hui intéressant, que pour les œuvres anciennes. C’est le même topo avec les violons de Mirecourt en France, ou d’autres traditions ailleurs dans le monde. Si l’on ne court pas après l’ancien, on peut aller un peu n’importe où, sans pour autant être perdant sur la qualité.
Kardaillac
22 avril 2024 @ 14:14
Dans les trois premiers mois viendront tous les amis de la famille qui auront reçu le carton, puis commencera la période du test de chalandise ; et là je suis moins confiant : Giberto (Arrivabene) est inconnu en Asie.
Pour les prix, les réseaux sociaux donneront le la.
Gab-Pnth
23 avril 2024 @ 13:05
Je ne suis pas certaine qu’il brigue le marché asiatique.
Baboula.
26 avril 2024 @ 14:44
S’il ne brigue pas la clientèle asiatique c’est une erreur de s’installer au Rialto . La concurrence du bas de gamme pourrait lui être fatale .
Gab-Pnth
27 avril 2024 @ 10:46
C’est juste.
Campagne
22 avril 2024 @ 17:42
Ressemblance frappante avec George Clooney.
Vicomtesse
22 avril 2024 @ 19:38
Bianca a un mari très séduisant ; ah le charme et le chic de certains italiens ….. !
Baia
23 avril 2024 @ 06:11
La censure en pleine forme aujourd’hui : mes deux précédents commentaires n’ont pas été validés …
Arielle
23 avril 2024 @ 08:42
Des objets plus esthétiques que les horribles pantoufles vendues par ses filles.
Esquiline
23 avril 2024 @ 13:54
Tout comme les espadrilles les furlanes peuvent se porter à l’extérieur et même pour des événements élégants.
Je ne les qualifierais pas de charentaises accessoires pour robe de chambre, bigoudis, canapé, TV.
Brigitte Anne
23 avril 2024 @ 12:26
Wouah, quel homme, quel charme 😍
Esquiline
23 avril 2024 @ 13:55
😍
Vasco2
24 avril 2024 @ 11:45
La mairie de Venise devrait accorder, uniquement, l’ouverture de boutiques très haut de gamme, cela sélectionnerait et diminuerait le flot de touristes. Venise le mérite grandement.
Gab-Pnth
27 avril 2024 @ 10:47
C’est un projet de la municipalité de Venise et plus au-delà, de la région de Vénétie.
Hervé J. VOLTO
9 mai 2024 @ 22:25
Il est devenu tout blanc mais il a encore de l’allure.