Une rencontre plus informelle avec les étudiants et les sportifs qui s’y entraînent, a ensuite eu lieu après la partie protocolaire.
Le comte de Wessex occupe le poste honorifique de chancellor de l’Université de Bath. (Merci à Petit Belge – Copyright photos : compte Twitter de la monarchie britannique)
🇨🇦 Mer Limpide 🌊
23 décembre 2021 @ 03:34
Nickel, comte de Wessex, vous honorez parfaitement vos nouvelles fonctions royales.
Sa gracieuse Majesté, doit en être fière et rassurée .👍👩🎓👨🎓😉
Bambou
23 décembre 2021 @ 07:17
En pleine pandémie de Micron qui semble très virulent, on continue ce genre de manifestation sans aucune précautions…. masques, distanciation…..
Et après on va festoyer pour Noël…..
Quel mauvais exemple, un de plus !!!
Charlotte (de Brie)
23 décembre 2021 @ 07:25
Ces cérémonies prêtent toujours un peu à sourire !
Bath est une très jolie ville, station thermale réputée et ce déjà à l’époque romaine. Mais avant cela la principale source était considérée par les Celtes comme un lieu saint dédié à la déesse Sulis. Les Romains « adoptèrent » cette divinité l’identifiant à Minerve et la ville s’appela « Aquae Sulis » les Eaux de Sulis.
Ils y édifièrent un temple puis des thermes sous l’empereur Claude.
Actuellement la ville toujours connue pour le thermalisme est aussi une vitrine de l’art de l’époque géorgienne, les bâtiments sont en pierre du pays, blanche mais prenant avec le coucher du soleil une nuance dorée. Il faut visiter la cathédrale qui est la dernière cathédrale gothique construite en Angleterre, sa voûte est impressionnante de même que les innombrables « mémoriaux » muraux et les stèles sur le sol en mémoire principalement de combattants.
Le « Royal Crescent » est un ensemble de maisons de style géorgien en forme de croissant d’où son nom.
Cosmo
23 décembre 2021 @ 22:54
J’ai passé une nuit au Royal Crescent hotel. Il est superbe mais j’y ai été arnaqué comme jamais. Payer 100 livres, il y a quarante ans, pour dormir dans un fonds de couloir et ne pas avoir d’eau chaude, ce fut un comble. J’étais jeune et je n’ai rien dit. Aujourd’hui, je refuserais de payer.
Mais Bath, et ses différents crescents, est superbe…et il y flotte partout un peu d’air de Jane Austen.
HRC
24 décembre 2021 @ 13:30
Claude a beaucoup construit dans les provinces occidentales de l’empire. Lyon lui doit beaucoup.
Beque
23 décembre 2021 @ 08:26
Quelle belle ville que Bath ! Dès le 12e siècle, les pauvres pouvaient se baigner gratuitement en « prenant les eaux ». Les maux du corps résultaient souvent d’un empoisonnement au plomb. L’alcool était frelaté et on y ajoutait du plomb pour en adoucir le goût et empêcher le moisissures. La paralysie d’origine syphillique était traitée à l’aresenic et au plomb. Lady Coventry, célèbre beauté irlandaise de la « Society » britannique (1733-1760) mourut empoisonnée à 28 ans, les fards dont elle se couvrait contenant du blanc de céruse.
La réputation thermale de Bath est dûe à Richard « Beau » Nash, (1674-1762), dandy ordonnateur de plaisirs mondains. Les journées et les soirées qu’il organisait pour la bonne société débutaient toujours par un bain thermal. Ralph Allen (1693-1764), enrichi par la création d’un système postal, demanda à l’architecte George Wood de réaliser son rêve dans un élégant style georgien. Il fit construire à Bath un square, un circle et un crescent (un carré, un cercle et un croissant). Sur une des maisons du « crescent », une plaque : « Thomas Linley vécut ici et de cette maison sa fille Elisabeth s’enfuit avec Richard Brinsley Sheridan le soir du 18 mars 1772. » Sheridan était un jeune politicien qui devint un célèbre homme de théâtre et écrivain.
Les touristes s’agglutinent-ils toujours devant « Sally Lunn’s », la plus vieille maison de Bath (1480) et ses célèbres buns et dans la romantique « Pump room », salon de thé ouvert en 1795 ?
Caroline
23 décembre 2021 @ 17:22
Sans masques ???
Ellen
24 décembre 2021 @ 16:30
Il a du regretter de ne pas avoir été une lumière pendant ses propres études