Nous l’évoquions il y a peu dans un article. Voici à présent une biographie sur un personnage peu commun: Charles Léon (1806 – 1881), le premier fils naturel de Napoléon, qui vient de paraître aux éditions du Moment. L’empereur Napoléon crut qu’il était stérile jusqu’au jour où une suivante de Caroline Murat, Catherine Eléonore Denuelle de la Plagne, lui donna un fils: Charles Léon. L’empereur lui choisit ce nom et il fut bientôt appelé le « comte Léon« . L’auteur nous raconte sa vie mouvementée (il se maria et eut six enfants) dans l’ombre de Napoléon.
« Le Comte Léon, bâtard infernal de Napoléon », Joseph Vebret, Editions du Moment, 2012, 231 p.
27 mai 2012 @ 08:18
Est-ce de ce Léon que provient cette chanson populaire:
Napoléon et mort à Saint Héllène
Son fils Léon lui a crevé le bidon…
Oui, je sais bien que ce n’est pas une question qui vole haut, et je prendrai plaisir à lire toute autre information concernant cet auguste personnage…
27 mai 2012 @ 11:49
A défaut de voler haut elle reste « au dessus de la ceinture »ce qui est fort agréable dans ce monde de « vulgarité », de « bêtise », « d’atteinte à l’intégrité des gens » etc. Toutefois, dans le version de que je connaissais, il s’agissait plutôt du « bedon ».
9 août 2012 @ 00:22
délire la question ! mais moi aussi je serais curieuse de savoir la réponse… a +
27 mai 2012 @ 14:31
Curieuse idée que cette biographie d’un personnage sans intérêt autre que l’identité de son père. Jouisseur, malhonnnête, véritable épine au pied de Napoléon III son cousin bien malgré lui et dont la fin misérable était écrite dans la conduite de sa pitoyable existence. Au moins ce livre révélera au plus grand nombre ou le confirmera que les grands hommes, s’ils n’ont pas d’ancêtres, n’ont pas davantage de descendants!!!
9 août 2012 @ 00:19
non non non ce n est pas sans intérets cette bio. La preuve je ne savais pas que Napoléon avait eu un « batard »…et puis ce ne doit pas etre facile a assumer ce sobriquet ou cette position pour un enfant…Ceci expliquerait t il sa vie faites de déboires comme un appel a étre « reconnu » familialement ?….
27 mai 2012 @ 14:49
Le comte Léon,dépensier et frivole eut tôt fait de dilapider le capital que l’empereur avait laissé à son intention et qui avait été bien géré par son homme de confiance et ancien secrétaire particulier: le baron de Mèneval.
Au contraire de son demi-frère Alexandre Walewski,il ne fit pas honneur à son père,qui naturellement l’a à peine connu et ne l’a pas élevé…Il mourut dans la misère et laissa 6 enfants dans la détresse.
Je lirai cependant avec plaisir cette biographie dans l’espoir d’y trouver quelque chose de positif.
27 mai 2012 @ 15:22
Voilà un livre qui me parait intéressant à lire.
27 mai 2012 @ 16:56
En quoi « il se maria et eut six enfants » consiste à avoir une « vie mouvementée »?
27 mai 2012 @ 21:52
Je vais acheter ce livre, d’autant plus que je vous avais fait parvenir de la part d’une amie, un article sur le lieux de sépulture du Comte Léon, que Régine a eu la gentillesse de publier.
9 août 2012 @ 00:36
MOI, LÉON, FILS DE L EMPEREUR ( livre )
d Isabelle BRICARD , nous apprend que le comte Léon fini dans une fausse commune de Pontoise !
et a mon avis ils ne se sont pas amuser a tout « déterrer » pour analyser l ADN de chaque squelette pour refaire une sépulture a ce brave Léon !…..