Un comité de pilotage a été mis en place pour avoir une réflexion sur le devenir du Palais des ducs d’Aquitaine à Poitiers. Une cité judiciaire est en construction et libèrera à terme la fonction actuelle du palais. La ville de Poitiers entend valoriser au maximum ce joyau de son patrimpine et symbole du pouvoir seigneurial des comtes du Poitou et ducs d’Aquitaine. (Merci à Bertrand Meyer)
Annmaule
21 janvier 2019 @ 10:44
Esprit d Alienor…inspires les!!
Muscate-Valeska de Lisabé
21 janvier 2019 @ 10:59
Je le connais, c’est un superbe endroit qui mérite sa mise en valeur.
val
21 janvier 2019 @ 11:36
Oui et la Mairie un endoit extraordinaire avec les vitraux de la belle Aliénor !!!
Philippe Gain d'Enquin
21 janvier 2019 @ 12:26
Il n’y a pas à dire, N/R est une mine de connaissance et une voire royale d’apprentissage ! Ainsi, ayant vécu à Poitiers, j’ignorai qu’elle recélait un « patrimpine », et Dieu sait si je fus souventes fois dans les lieux mentionnés ! Merci « Tante Régine », merci. Votre affectionné, Pge
Karabakh
21 janvier 2019 @ 12:32
C’est un très bel endroit, même si les services judiciaires se sont quelques peu approprié l’endroit, n’aidant pas à sa valorisation. Je pense qu’il faut en faire un pôle culturel régional, une sorte de bain bouillonnant des arts, de l’histoire, des traditions…
Danielle
21 janvier 2019 @ 17:28
Je propose de convertir ce palais en musée.
framboiz 07
22 janvier 2019 @ 09:40
Franck Ferrand est de la région et pourrait les conseiller !
Philippe Gain d'Enquin
22 janvier 2019 @ 12:44
Et la tragédienne Sarah Jévo aussi ???
Philippe Gain d'Enquin
23 janvier 2019 @ 14:42
J’avais lu Franz-Ferdinand, ce qui fait que mon « post » tombe à l’eau, las!
Leonor
22 janvier 2019 @ 12:25
Ah, on déménage la Justice, à Poitiers. Ville qui m’est chère par alliance.
C’était quand même assez époustouflant, quand on avait à y faire, de faire les cent pas dans la Salle des Pas-Perdus, qui n’est autre que la Grande Salle Ducale aux immenses cheminées. Ce en sachant qu’ étaient passées là entre autres Aliénor d’Aquitaine, Jeanne d’Arc …
Une espèce de collision chrono-historique … Une curieuse sensation.
Leonor
22 janvier 2019 @ 12:28
Un musée, ça coûte des sous, Danielle, beaucoup de sous.
Et encore faut-il avoir quelque chose à y mettre. Remarquez bien, dans le coin, ça doit se trouver.
Mais c’est une décision qu’une municipalité ne peut pas prendre à la légère, » juste » pour trouver quelque chose à faire d’un bâtiment, serait-il historique , vu les frais de fonctionnement ultérieurs ad vitam aeternam .