Comme expliqué hier dans un précédent article, le diadème de rubis que porte ponctuellement la reine Silvia de Suède, a appartenu au prince Sigvard, duc d’Uppland. Le voici en compagnie de son épouse qui porte le diadème avant que le duc d’Uppland n’ait dû le vendre pour des raisons financières. (merci à Patricio)
domi992
15 décembre 2009 @ 07:04
De quelle épouse s’agit-il car il en a eu 3 ?
pierre-jean
15 décembre 2009 @ 07:19
Je trouve ce diadème tout à fait beau, et j’aime bien voir la façon dont un diadème était porté par ses différents propriétaires, merci Patricio.
DANIELLE
15 décembre 2009 @ 09:10
Le diadème porté un peu en arrière est pour moi plus élégant.
Caroline
15 décembre 2009 @ 09:46
Cette femme est surement vetue d’une robe rouge pour l’assortir au diademe de rubis!Ce prince Sivgard,duc d’Uppland vit-il encore?
Laurent F
15 décembre 2009 @ 11:28
Sigvard est ici en compagnie de sa seconde épouse Sonja Ellen Robbert
Actarus
15 décembre 2009 @ 12:08
Quelle tragédie ! Devoir se séparer de son épouse pour raisons financières… Comme quoi, la crise économique ne date pas d’hier ! ;-)
yatilunfauvedanslarene
15 décembre 2009 @ 12:36
Encore un grand merci à Patricio : notre spécialiste des joyaux !
patricio
15 décembre 2009 @ 13:04
Domi992
il s’ agit de sa seconde epouse Sonja Robbert (1909), la troisieme, la duchesse Marianne ( 1924) a aussi portée le diademe.
odette baisemoulin
15 décembre 2009 @ 13:16
Au moins, il faut se souvenir que si Uplala comme il était surnommé à Cannes quand il y descendait ( chaque année), a du se séparer de trois épouses consécutivement, et ce pour des raisons financières en effet ( il était toujours a court d’ argent), il n’ a cédé sur le patrimoine qu’ à toute extrémité, ce diadème a du être parmi les derniers a lui être arraché…..
voila qui ne manquera pas d’ émouvoir le club des « garçons- sensibles -qui -pensent- qu’une- princesse- n’ est- jamais -vraiment- elle même -qu’ avec un diadème »
certains ayant été exclus du club, par suite de propos contestés , le club s’ est scindé en deux branches:
branche des » garçons-sensibles -qui-pensent-qu’une-princesse-n’est -jamais-vraiment-elle même-qu’avec-un-diadème-dès^-le petit déjeuner »
et la branche des « garçons-sensibles-qui-pensent-qu’une -princesse-devrait-ressembler-à-maman-avec-ou sans -diadème »
La diversité est à la mode et tant qu’on n’interdit ni les jeunes femmes ni les vieilles dames, surtout si elles ne donnent pas leur avis, tout ira bien à peu près bien……
voila!
Laurent F
15 décembre 2009 @ 15:48
Actarus, je ne crois pas que Sigvard se soit séparé se sa seconde épouse pour des raisons financières !! Si Sigavard, prince de Suède était duc d’Uppland, il a dû renoncer à tous ses titres lors de son 1er mariage et devint dès lors M. Bernadotte. En 1951, il fut crée comte Bernadotte de Wisborg par la grande-duchesse de Luxembourg ainsi que son frère Carl-Johan et son cousin Lennart. C’est là le seul titre que peut porter sa 3e épouse Marianne Lindberg.
Sigvard est décédé en 2002 à l’âge vénérable de 95 ans. On vit très vieux chez les Bernadotte qui ont compté et comptent plusieurs nonagénaires (Gustave V †92 ans – ses frères Oscar †93 et Carl †90 – Lennart †95 – Sigvard †95 – Carl-Johan 92 tjs en vie – Ingrid †90 – Carl †92 ans (frères d’Astrid et Märtha)- Cts Elsa fille d’Oscar †103 ans, sa soeur la Cts Dagmar, âgée de 97 ans tjs en vie, leur frère le Cte Oscar Carl a 88 ans !
Jocelyne
15 décembre 2009 @ 15:55
A Actarus (mess 6)… trop bon le commentaire…
Alix
15 décembre 2009 @ 16:06
Vous m’étonnez que ce prince ait eu des difficultés finacières! Trois divorces! Il a dû en payer des pensions alimentaires!
Charlanges
15 décembre 2009 @ 19:11
Caroline, le prince Sigvard de Suède, duc d’Uppland, devenu en 1934 simplement Monsieur Bernadotte puis en 1951 comte Bernadotte af Wisborg par création de la Grande-Duchesse de Luxembourg est décédé à Stockholm le 4 février 2002, dans sa 95ème année.Il était divorcé en premières noces d’Erika Patzek, en secondes noces de Sonja Robbert et époux en troisièmes noces de Marianne Lindberg. Il laisse par son second mariage un fils et une petite-fille. Après les mariages bourgeois de son neveu le roi et de son frère le prince Bertil, il avait réclamé véhémentement mais vainement la restitution de son titre princier.
Colette C.
15 décembre 2009 @ 19:46
Merci, Patricio!
dimitri
15 décembre 2009 @ 20:37
ACTARUS
Vous êtes en très grande forme. Continuez ainsi, c’est à mourir de rire.
Actarus
15 décembre 2009 @ 23:39
Laurent F, la légende de la photo parle d’elle-même : »Le voici en compagnie de son épouse avant qu’il ne doive s’en séparer pour des raisons financières. »
LOL
Caroline
15 décembre 2009 @ 23:44
A Charlanges,bien merci pour votre commentaire interessant pour tout le monde!
Caroline
15 décembre 2009 @ 23:53
A Laurent F et a Actarus,bfffff,je reste sceptique sur ce drole de divorce du a des raisons financieres,je prefere croire qu’il y avait anguille sous roche!Si on aime sa femme,on ne la repudie pas pour des raisons financieres et puis,il s’etait deja remarie pour la troisieme fois,bffff!
corentine
16 décembre 2009 @ 00:02
Sigvar, Oscar, Frederik Bernadotte, né le 7/6/1907 et dcd le 5/2/2002 est le 2nd fils du roi Gustav VI Adolf de Suède et de la princesse Margaret de Grande Bretagne
il a épousé :
1-Erika, Maria, Regina, Rosalie Patzek le 8/3/1934 à Londres, divorcé en 1943.
2-Sonia, Helene Robbert le 26/10/1943 à Copenhague, divorcé en 1961. De cette union est né un fils :
-Michael, Alexandre Sigvar Bernadotte, né à Copenhague le 21/8/1944, marié le 6/2/1976 à Stuttgart avec Christine, Diotima, Elisabeth Wellhofer d’où une fille : Kajsa, Michaela, Sofia Bernadotte, née à Stuttgart le 12/10/1980.
3-Marianne, Gullan Lindberg le 30/7/1961 à Stockholm
Pétronille
16 décembre 2009 @ 08:24
Je suis désolée, Actarus, mais n’importe quel grammairien un peu vétilleux vous dirait ceci : le pronom « en » ne renvoie jamais à une personne, la phrase que vous citez signifie bien » se séparer du diadème ».Forcément.Pour » se séparer de sa femme »,il fallait écrire « se séparer d’elle ». C’est dommage, car on pouvait en sourire…avec une toute petite dose de mauvaise foi…
Actarus
16 décembre 2009 @ 12:21
Ouh les rabats-joie ! Puisque c’est comme ça je me casse.
Laurent F
16 décembre 2009 @ 12:27
Caroline relisez le commentaire d’origine il peut s’interpréter de deux façons et on peut se demander si c’est du diadème ou de sa femme dont Sigvard a du se séparer pour des raisons financières !!
Régine
16 décembre 2009 @ 12:30
En effet Laurent F.
J’ai modifié !
Etonnant qu’Actarus ne l’ait pas remarqué avant ;-)
Caroline
16 décembre 2009 @ 12:41
A Laurent F[mess21],vous avez bien raison,c’est evident que le duc d’Uppland s’est separe de ce fameux diademe pour des raisons financieres!En effet,notre Regine a finalement modifie son commentaire!
Agnès
16 décembre 2009 @ 14:00
tant mieux, on a bien rigolé !
Laurent F
16 décembre 2009 @ 14:02
Pour être tout à fait correct, Sigvard n’était plus duc d’Uppland lorsqu’il a vendu la parure de rubis, il n’était plus que M. Bernadotte, il fallait bien vivre !
Audouin
16 décembre 2009 @ 14:53
Pétronille (19)
Vous écrivez dans votre message de ce matin:
« Le pronom « en » ne renvoie JAMAIS à une personne.
Jamais? Alors que pensez-vous de ces deux citations empruntées à deux auteurs dont j’ai la faiblesse de penser qu’ils savaient écrire en français.
« Heureux le roi qui aime son peuple et EN est aimé »(Fénelon, Le Télémaque, tome 2, page 49).
[Louis XIV]l’aima assez [Marie Mancini]pour être tenté de l’épouser et fut assez maître de lui même pour s’EN séparer (Voltaire,Le Siècle de Louis XIV).
Audouin.
Pétronille
16 décembre 2009 @ 17:43
Audouin, c’est à dessein que j’ai employé l’adjectif « vétilleux »…
On peut relever des « incorrections » de ce type chez de grands écrivains.
Le peuple saint en foule inondait les portiques,
De LEURS champs dans LEURS mains portant les nouveaux fruits ( Racine, Athalie)
ou encore :Et pleuréS du vieillard, IL grava sur leur marbre…(La Fontaine,Le Vieillard et les trois jeunes gens)
Cela dit, rassurez-vous, je préfère me plonger dans ces « erreurs »-là ou dans celles que vous citez que dans Wagner & Pinchon!
Je parlais de la norme, pas de l’usage, bien entendu.
dimitri
16 décembre 2009 @ 20:23
ACTARUS 20
Ah non! Vous devez rester , c’est tellement drôle.
J’adore.
Actarus
17 décembre 2009 @ 13:07
Merci Dimitri ^^