C’est un diadème qui à la mort de l’impératrice Amelia du Brésil en 1873, a été hérité par sa sœur la reine Joséphine de Suède, née princesse de Leuchtenberg. Initialement, le bijou fut porté par l’impératrice Maria Leopoldine du Brésil, première épouse de l’empereur Pedro. A la mort de celle-ci, le bijou fut hérité par ses enfants. Son veuf le leur racheta pour l’offrir à sa seconde épouse après avoir été transformé. L’impératrice Amélia n’ayant pas eu d’enfants, elle favorisa sa famille Leuchtenberg dont sa sœur devenue reine de Suède.
Juliette d
4 mai 2017 @ 03:29
Un diadème très imposant; il doit en exister très peu d’aussi impressionnant.
Laurent F
4 mai 2017 @ 12:52
Maria-Teresa de Luxembourg en porte un tout aussi imposant qui vient des Romanov. Les diadèmes de saphirs Wurtemberg et Tour et Taxis sont aussi du même acabit
framboiz07
4 mai 2017 @ 13:44
Farah d’Iran ? Je me demande le poids en gramme et en carats …Lourd à supporter ?
framboiz07
5 mai 2017 @ 00:37
Caroline avec un diadème Hanovre , aussi …
Muscate-Valeska de Lisabé
4 mai 2017 @ 20:01
Oui,too much.
Leonor
5 mai 2017 @ 08:35
J’en vois un au Luxembourg, un aux Pays-Bas, et un chez les Thurn und Taxis. Ce ne dont sans doute pas les seuls, mais en effet, ils sont rares. Et pour cause !
marie francois
5 mai 2017 @ 10:42
Il y a ausi le grand diademe luxembourgeois.
adriana
4 mai 2017 @ 06:55
superbe diadème
Baboula
4 mai 2017 @ 07:18
J’aurais peur de ne pas passer sous les portes .
Laurent F
4 mai 2017 @ 12:47
les portes des palais royaux sont adaptées, ça n’a rien à voir avec celles de nos appartements ou maisons !!
chicarde
4 mai 2017 @ 09:37
Très imposant, ce diadème, beau collier et belles b.o. !
Laurent F
4 mai 2017 @ 09:56
Imposant mais magnifique
Cosmo
4 mai 2017 @ 10:19
La princesse Joséphine de Leuchtenberg, reine de Suède, était la fille du prince Eugène de Beauharnais, lui-même fils adoptif de Napoléon 1er, avec prédicat d’Altesse impériale, vice-roi d’Italie, prince de Venise, grand-duc de Francfort, duc de Leuchtenberg et prince d’Eichstätt, et de la princesse Auguste-Amélie de Bavière, fille du premier roi de Bavière, Maximilien-Joseph, duc des Deux-Ponts, et de la princesse Wilhelmine de Hesse-Darmstadt.
Sa soeur Amélie Auguste Eugénie Napoléone de Leuchtenberg, princesse de Leuchtenberg puis, par son mariage, impératrice du Brésil et duchesse de Bragance, était la deuxième épouse de l’empereur Pierre Ier du Brésil.
Son frère Auguste Charles Eugène Napoléon de Beauharnais fut brièvement prince consort du Portugal par son mariage avec la reine Marie II en 1834.
Quant à son frère Maximilien Joseph Eugène Auguste Napoléon de Beauharnais duc de Leuchtenberg et, par son mariage, prince Romanovsk, il avait épousé la grande-duchesse Maria Nikolaëvna, fille du tsar Nicolas Ier et de la princesse Charlotte de Prusse.
Comme quoi les Napoléonides avaient parfaitement été intégrés dans le monde des royaux de l’époque. Et une alliance Bonaparte, fut-ce par filiation adoptive, ne faisait peur à personne, même quand l’empereur n’était plus là pour l’imposer.
Laurent F
4 mai 2017 @ 12:45
La descendance d’Eugène a fait les alliances les plus brillantes en effet. Il y avait encore dans la fratrie Eugénie Hortense qui épousa le prince de Hohenzollern-Hechingen dont elle n’eu pas d’enfants et Théodelinde Napoleone qui épousa le duc d’Urach. Veuf en 1857, le duc d’Urach épousera en seconde noces la princesse Florestine de Monaco.
LPJ
4 mai 2017 @ 19:50
Les Beauharnais ont été agrégés au gotha européen très rapidement. L’alliance Bavière y a été pour beaucoup. Les « petits enfants adoptifs » de Napoléon ont ainsi pu faire des alliances de premier rang.
Une autre fille adoptive de Napoléon 1er, cousine d’Eugène de Beauharnais, fut mariée à l’héritier du Grand-Duché de Bade. Une nombreuse descendance existe dont l’actuel Prince de Monaco.
Les Bonaparte de sang furent moins chanceux même si la branche de Jérôme (dont descend l’actuel Prince Napoléon) s’est successivement alliée avec des Princesses de Wutremberg, d’Italie, de Belgique et de Bourbon-Siciles, toutes filles de roi et pour la dernière chef de famille.
Cosmo
6 mai 2017 @ 06:15
LPJ,
Par la descendance de Caroline Murat, le sang des Bonaparte se retrouve aujourd’hui dans les maisons de Habsbourg-Lorraine, Ligne, Noailles etc…et bien entendu les Murat.
Bon weekend
Cosmo
LPJ
6 mai 2017 @ 10:43
Absolument Cosmo.
Et on peut ajouter Brésil puisque le mariage d’une Ligne avec un Orléans-Bragance fait que le futur chef de la famille impériale du Brésil (le jeune Prince Rafael) en descend également.
Caroline
4 mai 2017 @ 11:16
On a pu admirer Silvia de Suède dans toute sa splendeur avec ce magnifique diadème lors du mariage de sa fille Victoria !
Gérard St-Louis
4 mai 2017 @ 11:24
La reine Sylvia le porte toujours magnifiquement.
Pierre-Yves
4 mai 2017 @ 12:46
A éviter de porter au cinéma ou au spectacle, sous peine de boucher la vue de ceux qui sont derrière.
beji
4 mai 2017 @ 12:52
La plupart des diadèmes de Suède sont trop imposants,trop massifs à mon goût.
Michèle Lobre
4 mai 2017 @ 13:47
Une splendeur mais je le trouve un peu trop imposant je préfère le diadème aux camees portée par la princesse Victoria pour son mariage. Ce diadème ci ressemble à un des diadèmes de la reine Letizia.
Alinéas
4 mai 2017 @ 15:47
Superbe ensemble même si le diadème est assez imposant.!
Valerie
4 mai 2017 @ 17:31
Un diadème exceptionnnel pour une reine qui l est tout autant
Lusitano
4 mai 2017 @ 17:43
Petite rectification: l’Impératrice Amélia a bien eu une fille nommée Maria Amélia née en 1831 à Paris (son père s’y était établi après avoir abdiqué du trône brésilien pour reconquérir celui de sa fille aînée Maria II, Reine de Portugal) et décédée en 1853 de la tuberculose à Madère. Elle a été fiancée au futur Empereur Maximilien I du Mexique.
June
4 mai 2017 @ 18:29
De mère brésilienne, la reine Silvia a une petite légitimité de plus pour le porter ! ;)
Kalistéa
4 mai 2017 @ 18:59
Merci cher Cosmo pour ces détails.J’ai appris des choses sur ces napoléonides (…moi ! )Napoléon n’était certes pas quelqu’un avec qui on avait peur de s’allier ! D’autre part Beauharnais était un beau nom de noblesse d’extraction Française.(ce que n’était pas Tacher de la Pagerie)
Antoine
5 mai 2017 @ 18:47
Désolé, Kalistéa, mais les Tascher de La Pagerie sont de noblesse d’ancienne extraction (Orléanais, 1466) ce que n’étaient pas les Beauharnais…
Martine
4 mai 2017 @ 20:36
Magnifique et si bien porté. Quel sourire spontané
Hadrien-Marie
4 mai 2017 @ 23:09
Somptueux.
Un rêve éveillé pour joailler qui se respecte…
Mister M
5 mai 2017 @ 17:35
Très beau bijou mais plutôt un chapeau en diamants qu’un diadème !