La Duchesse de Vendôme possède un diadème en saphirs et diamants créé par le joaillier Mellerio en 1957 à l’attention de la Duchesse Marie-Thérèse de Wurtemberg à l’occasion de son mariage avec le Comte de Clermont, actuel Comte de Paris. Ce joyau, cadeau des royalistes français de la Restauration Nationale à la mère du Duc de Vendôme, peut également se porter sous forme de collier.
La Duchesse de Montpensier a offert ce diadème, surmonté d’un important saphir de Ceylan d’une dizaine de carats inséré dans un feuillage de diamants, en 2009 à sa belle-fille Philomena, Duchesse de Vendôme. Huit fleurs de lys en saphirs et brillants sont également disposées au centre de lignes de saphirs et de diamants.
Sur ce cliché, la princesse Philomena porte également des boucles d’oreilles historiques serties d’imposants saphirs qui proviendraient de l‘impératrice Marie-Louise. Après la chute de Napoléon, le joaillier Bapst a monté ces pierres pour créer une parure à la Duchesse d’Angoulême, fille de Louis XVI. (Photo DR – Merci à Charles)
Milena K
22 juin 2015 @ 06:10
Belle pièce.
Philippe gain d'enquin
22 juin 2015 @ 06:46
Agréable sourire d’une princesse épanouie ! PGE
Stéphane
22 juin 2015 @ 12:38
très épanouie en effet…
Naucratis
22 juin 2015 @ 20:53
Il est vrai qu’elle a beaucoup forci.
Elle garde toutefois un joli visage.
Louise-Marie
23 juin 2015 @ 08:20
La princesse Philomena a un joli visage, son sourire fait plaisir a voir
Hélène
23 juin 2015 @ 11:28
Oui la princesse Philomena est aussi jolie qu’épanouie
Aude
23 juin 2015 @ 17:04
J’aime le sourire de cette princesse si sympathique.
jo de st vic
22 juin 2015 @ 06:57
Je pense qu il s’agit des boucles d oreilles offertes par Siméon de Bulgarie a Marie Therése de Wurtemberg pour son mariage avec Henri d Orléans ?
Charles
22 juin 2015 @ 11:17
Oui
Hélène
22 juin 2015 @ 07:03
Beau diadème et joli sourire pour la duchesse de Vendôme
laure2
22 juin 2015 @ 08:13
Les boucles d’oreilles sont impressionnantes et fort belles .
Le « diadème » quand à lui au dela de la charge sentimentale qu’il peut représenter pour la famille vu les conditions de son arrivée dans l’écrin de la duchesse n’a pas grand interet en comparaison des pièces que ce grand joailler a pu produire . Je pense qu’il gagnerait à être porté en collier plutot qu’en diadème .
ladot Fabian
22 juin 2015 @ 16:06
Je suis de votre avis, un peu léger comme diadème, l’effet est beaucoup plus beau porté en collier…
Antoine
23 juin 2015 @ 10:04
Ce qui est clinquant et ostentatoire n’est pas forcément plus beau. C’est une pièce discrète mais de bon goût, qui s’accorde bien à la personnalité de celle qui le porte.
Lisabé
22 juin 2015 @ 08:15
Je ne la connais pas personnellement,mais je ne savoure pas ce que je vois d’elle.
mary 71
22 juin 2015 @ 09:05
à quelle occasion l’a-t-elle porté, tout au moins pour cette photo ?
Charles
22 juin 2015 @ 11:51
Ce portrait a été posé en 2012 au Domaine Royal de Dreux.
La princesse a porté le joyau Mellerio sous forme de diadème lors du bal offert par le Grand-Duc de Luxembourg la veille du mariage de son fils ainé, et à d’autres occasions sous forme de collier.
Il est possible que les princes posent pour un nouveau portrait officiel à l’occasion du cinquantième anniversaire du Duc de Vendôme.
Mayg
23 juin 2015 @ 13:20
Portrait « officiel » ?
Laurent F
22 juin 2015 @ 13:35
Le mariage de Guillaume et Stéphanie à Luxembourg il y a 3 ans et ils n’ont toujours pas d’enfant !!
Actarus
22 juin 2015 @ 19:23
Patience… Louis XIII et Anne d’Autriche ont bien attendu 24 ans ! LOL
Trianon
22 juin 2015 @ 19:58
Et alors???
Matthias
22 juin 2015 @ 13:55
Lors de la remise de l’Ordre de Sainte-Isabel par la Duchesse de Bragance en 2012 en compagnie de la Grande-Duchesse de Luxembourg, de la Princesse-héritière de Liechtenstein… entre autres…
Laurent F
23 juin 2015 @ 09:30
Je ne pense pas qu’elle ait porté un diadème pour cette occasion !
Charles
23 juin 2015 @ 11:35
Vous faites erreur, la Duchesse de Vendôme était absente à cette cérémonie et c’est son époux le prince Jean qui l’a représenté.
Fleur
22 juin 2015 @ 17:17
Cette photo est-elle un montage ?
Charles
22 juin 2015 @ 19:26
Non
Baia
22 juin 2015 @ 09:06
Historique peut-être mais pas à mon goût !
Hugo
22 juin 2015 @ 12:27
Je trouve ces joyaux très beaux et l’émeraude du diadème semble très importante.
Baia
22 juin 2015 @ 23:01
Ce n’est pas une émeraude mais un saphir !
Hélène
23 juin 2015 @ 11:30
Ce diadème Mellerio est très bien porté par la jolie princesse Philomena.
Aude
23 juin 2015 @ 17:05
Joli diadème qui est tout à fait à mon gout
Jean Pierre
22 juin 2015 @ 09:31
Beau cadeau de la part de la belle-mère.
Roch
22 juin 2015 @ 09:44
C’est toujours un plaisir de voir la ravissante duchesse de Vendôme
Naucratis
22 juin 2015 @ 20:54
Mais que ce diadème est laid !
Louise-Marie
23 juin 2015 @ 08:22
Je trouve le diadème élégant avec sa forme courbe et son saphir central
Hélène
23 juin 2015 @ 11:26
Ce diadème assez fin est élégant sur la tête de la jolie princesse Philomena
Robespierre
23 juin 2015 @ 07:25
Cette dame est certainement sympathique et attachante, mais de là à la trouver « ravissante » on franchit le pas de la flagornerie.
Charles
22 juin 2015 @ 09:56
Joli portrait d’une princesse dynamique, humaine et infiniment attachante.
Gérard St-Louis
22 juin 2015 @ 10:27
L’arrondi du diadème sied bien à son bas de visage également très arrondi.
Naucratis
22 juin 2015 @ 20:55
C’est vrai mais elle a eu trois enfants, ceci explique sans doute cela.
Baia
23 juin 2015 @ 12:59
Charles nous dit, et nous le croyons bien évidemment, que cette photo date de 2012 ! Donc BB n°3 n’était pas encore là !
millerose
22 juin 2015 @ 10:37
Espérons que nous aurons bientôt l’occasion de revoir la Duchesse de Vendôme parée de ces beaux bijoux chargés d’histoire.
Claude-Patricia
22 juin 2015 @ 10:42
Bonjour à tous,
1918-1939
Le roi et les royalistes
Le nouveau chef de la maison de France se trouva être alors le duc de Guise, qu’une ribambelle de morts inattendues plaçait dans une position à laquelle il n’avait pas été préparé. Son nouveau statut de Prétendant le condamna brusquement à l’exil. La République, reconnaissante de son rôle pendant la Grande Guerre, lui fit savoir qu’il pourrait continuer à séjourner en France pourvu qu’il demeurât en dehors de la politique mais il avait trop le sens du devoir pour se laisser fléchir. Il fit par de sa décision à son unique fils, l’actuel comte de Paris, lui aussi par la loi obligé de s’expatrier : « nous partirons en exil ». Puis il remplit une fiole de sa terre bien-aimée sur laquelle il inscrivit « Paname » et les lèvres serrées mais le coeur brisé, il alla s’installer le plus près possible de la France, en Belgique.
Le duc de Guise, en accédant à la tête de la Maison de france, trouva en face de lui l’Action française. Le vieux parti royaliste avait plutôt sommeillé pendant des décennies. En 1910, Charles Maurras en avait pris la tête. Ce patriote intransigeant, ce théoricien infiniment intelligent, cet écrivain au vaste talent, aidé du polémiste Léon Daudet et de l’historien Bainville, transforma un outil vétuste en une machine puissante et ultra-moderne.
Se modelant sur le dernier cri de la mode politique, le parti monarchiste se dota de structures admirablement rodées et dans le vide grandissant creusé par les erreurs et les faiblesses de la République, attirait de plus en plus d’adhérents. Bien sûr, l’Action française soutenait le Prétendant, mais, désormais, sa force, son importance lui permettaient de se passer des avis de ce dernier. Au début, cependant, une crise les rapprocha. En 1928, le Pape prononça l’interdiction de l’Action Française en excommuniant ses adhérents. Cette décision à l’encontre d’un parti qui se voulait ouvertement catholique paraissait inexplicable, elle répondait cependant au désir velléitaire de l’Eglise de se gagner une gauche qui la récusait en sacrifiant une droite qui la soutenait. Il fallut laisser passer des années, il fallut aussi les efforts conjugués d’une des filles du duc de Guise, la princesse Françoise, installée à Rome, et du cardinal secrétaire d’Etat Eugène Pacelli, futur Pie XII, pour venir à bout du différent qui opposait désormais la Maison de France et le Saint-Siège. Cette injuste mesure n’avait fait qu’encourager la duchesse de Guise à soutenir l’Action française, dont certains idéaux correspondaient aux siens mieux qu’à ceux de son mari.
La Maison de France avait élu domicile au Manoir d’Anjou, hérité du duc d’Orléans et situé à la porte de Bruxelles. Un parc un peu triste entourait une vaste villa qui contenait les trésors réchappés des guerres et des révolutions, les portraits de famille par Champaigne, Rigaud, Largillière, Ingres, Reynolds, Gros, Pourbus, Vigée-Lebrun, l’argenterie du Régent ciselée par Thomas Germain, d’innombrables et fascinants souvenirs historiques comme la table de Marie-Antoinette ou un morceau du manteau de Saint-Louis.
Albane
22 juin 2015 @ 18:04
Claude-Patricia, tout ceci est fort intéressant. Merci.
Rien d’étonnant que la maison de France ait retrouvé un peu de vigueur au moment où la république française descendait bien bas.
Naucratis
22 juin 2015 @ 21:00
Claude-Patricia décrit Maurras comme étant « patriote », « intelligent » et ayant du « talent ».
On attendait sans doute d’autres adjectifs comme antisémite, xénophobe et haineux.
Le texte de Claude-Patricia est une pure honte !
Antoine
23 juin 2015 @ 09:55
Vous avez raison tous les deux. Tous vos adjectifs sont pertinents. Mais Maurras « Haineux », je ne pense pas. Vindicatif oui, mais haineux non. Talentueux, incontestablement. Patriote, il l’a prouvé en accomplissant son devoir militaire malgré sa surdité qui aurait pu le faire réformer. Antisémite, c’est hélas évident. En tous cas, la papauté n’est pas sortie grandie de cette affaire qui a semé le trouble dans les consciences catholiques pour des décennies. Le duc de Guise non plus d’ailleurs, qui a lâchement abandonné l’Action française après s’en être servi durant des décennies, lorsque la condamnation papale est tombée.
Gérard
23 juin 2015 @ 15:50
Le duc de Guise n’avait pas d’autre choix. Il était chrétien et la plupart de ses partisans étaient chrétiens. Après la maison de France aida au rapprochement avec Rome qui aboutit sous Pie XII. Néanmoins le chef de la maison de France et son fils surtout ne furent peut-être pas trop mécontents de s’affranchir de la tutelle pesante de Maurras et d’un certain conservatisme de droite, même s’ils ne se concertèrent pas avec le cardinal Andrieu qui hâta cette condamnation.
Sur l’antisémitisme de Maurras (rappelons que l’antisémitisme était alors répandu dans tous les milieux politiques français) il est certes tout à fait réel, mais citons toutefois ce qu’il écrit à Drumont : « Je me demande seulement, et surtout, mon cher Maître, je vous demande si notre offensive antijuive, si la cause de l’indépendance française, si enfin l’heureuse révolution à laquelle nous travaillons ne serait pas singulièrement hâtée et mûrie, le jour où vous compléteriez votre programme critique par un programme affirmatif ; vos doctrines de juste haine, par une doctrine de désir et d’amour. »
Si l’antisémitisme de Maurras est indubitable et parfois dans certains textes épouvantable, s’il est sans doute porteur de toutes sortes de noirceurs inconsidérées, il se veut une sorte d’antisémitisme d’État, l’État pour lui devant se garder de tous les contre-pouvoirs et de ce qu’il appelle les États confédérés que seraient alors en France les Juifs, les Protestants, les francs-maçons, et ceux qu’il appelle les métèques c’est-à-dire les étrangers au sens grec du terme, même s’il n’est pas l’auteur de ces théories ni de ces expressions. Il considère que ces quatre groupes existants alors ont pour principal objectif leur survie ou leur influence alors que le principal objectif de l’État doit être la France. Je schématise naturellement. On sait, et malheureusement l’expérience l’a montré, que le souci du bien public doit être précisément aussi le souci des minorités faute de quoi il n’existe plus de civilisation digne de ce nom.
Officiellement la Papauté s’insurgeait contre une instrumentalisation de la Religion au profit de la politique que l’on trouvait chez Maurras (comme on pouvait peut-être dire qu’il instrumentalisait la Maison de France d’ailleurs), sachant que Maurras était agnostique et qu’il respectait la Religion parce qu’elle était un facteur d’ordre. Beaucoup pensèrent néanmoins que Rome était influencée par des motifs politiques.
D’autre part ces attaques contre Claude-Patricia me paraissent tout à fait injustifiées d’autant plus que sauf erreur de ma part et dont elle voudra bien excuser il me semble qu’elle citait dans ses divers textes passionnants « Mon album de Famille », de feu Monseigneur le comte de Paris, textes du prince Michel de Grèce. Je lui fais une confiance absolue naturellement et je n’ai pas vérifié dans mon exemplaire ce qu’il en est.
Sur Maurras on pourra lire Maurras, cahier dirigé par Stéphane Giocanti et Axel Tisserand (L’Herne, 392 p.) et plus simplement l’excellente chronique de Jean-Paul Enthoven à l’occasion de la sortie de ce Cqu’elles étalèrent en éà&& dans le;http://www.lepoint.fr/livres/faut-il-relire-maurras-25-11-2011-1400509_37.phpTout en se souvenant du mot du général De GaulleMaurras avait tellement raison qu’il en est devenu fou. »
Antoine
24 juin 2015 @ 12:33
Merci, Gérard, pour votre longue réponse. Vous défendez bien vos idées, mais acceptez qu’elles ne soient pas forcément partagées. Ou du moins que l’on puisse avoir une vision différente des faits. Je suis monarchiste, mais pas orléaniste. Je suis catholique, mais critique sur le rôle de la papauté dans cette affaire. On pourrait parler aussi du rôle pitoyable de l’archevêque de Paris lors des funérailles de Bainville, mais c’est une autre histoire…
Gérard
23 juin 2015 @ 15:58
Le duc de Guise n’avait pas d’autre choix. Il était chrétien et la plupart de ses partisans étaient chrétiens. Après, la Maison de France aida au rapprochement avec Rome qui aboutit sous Pie XII. Néanmoins le chef de la Maison de France et son fils surtout ne furent peut-être pas trop mécontents de s’affranchir de la tutelle pesante de Maurras et d’un certain conservatisme de droite, même s’ils ne se concertèrent pas avec le cardinal Andrieu qui hâta cette condamnation.
Sur l’antisémitisme de Maurras (rappelons que l’antisémitisme était alors répandu dans tous les milieux politiques français) il est certes tout à fait réel, mais citons toutefois ce qu’il écrit à Drumont : « Je me demande seulement, et surtout, mon cher Maître, je vous demande si notre offensive antijuive, si la cause de l’indépendance française, si enfin l’heureuse révolution à laquelle nous travaillons ne serait pas singulièrement hâtée et mûrie, le jour où vous compléteriez votre programme critique par un programme affirmatif ; vos doctrines de juste haine, par une doctrine de désir et d’amour. »
Si l’antisémitisme de Maurras est indubitable et parfois dans certains textes épouvantable, s’il est sans doute porteur de toutes sortes de noirceurs inconsidérées et irrationnelles, il se veut une sorte d’antisémitisme d’État, l’État pour lui devant se garder de tous les contre-pouvoirs et de ce qu’il appelle les États confédérés que seraient alors en France les Juifs, les Protestants, les francs-maçons, et ceux qu’il nomme les métèques c’est-à-dire les étrangers au sens grec du terme, même s’il n’est pas l’auteur de ces théories ni de ces expressions. Il considère que ces quatre groupes existants alors ont pour principal objectif leur survie ou leur influence alors que le principal objectif de l’État doit être la France. Je schématise naturellement. On sait, et malheureusement l’expérience l’a montré, que le souci du bien public doit être précisément aussi le souci des minorités faute de quoi il n’existe plus de civilisation digne de ce nom.
Officiellement la Papauté s’insurgeait contre une instrumentalisation de la Religion au profit de la politique que l’on trouvait chez Maurras (comme on pouvait peut-être dire qu’il instrumentalisait la Maison de France d’ailleurs), sachant que Maurras était agnostique et qu’il respectait la Religion parce qu’elle était un facteur d’ordre. Beaucoup pensèrent néanmoins que Rome était influencée par des motifs politiques.
D’autre part ces attaques contre Claude-Patricia me paraissent tout à fait injustifiées d’autant plus que sauf erreur de ma part, et dont elle voudra bien m’excuser, il me semble qu’elle citait dans ses divers textes passionnants Mon album de Famille, de feu Monseigneur le comte de Paris, textes du prince Michel de Grèce. Je lui fais une confiance absolue naturellement et je n’ai pas vérifié dans mon exemplaire ce qu’il en est.
Sur Maurras on pourra lire Maurras, cahier dirigé par Stéphane Giocanti et Axel Tisserand (L’Herne, 392 p.) et plus simplement l’excellente chronique de Jean-Paul Enthoven à l’occasion de la sortie de ce Cahier de l’Herne en 2011 dans Le Point : Faut-il relire Maurras ? http://www.lepoint.fr/livres/faut-il-relire-maurras-25-11-2011-1400509_37.php, tout en se souvenant du mot du général de Gaulle
« Maurras avait tellement raison qu’il en est devenu fou.»
Claude-Patricia
24 juin 2015 @ 09:01
Bonjour Gérard,
Effectivement, je ne faisais que recopier les textes de ce livre, et n’en suis point l’auteur.
Je me demande si cela vaudra la peine d’entamer le livre de Madame.
Merci d’être venu à mon secours, je vous remercie beaucoup.
Très amicalement.
Claude-Patricia
Gérard
24 juin 2015 @ 12:41
C’est un plaisir. Ce texte d’ailleurs est très intéressant et je crois qu’il est très objectif et très juste.
Claude-Patricia
23 juin 2015 @ 10:37
Bonjour Naucratis,
Si vous le dites, moi je n’étais pas née à cette époque, et ne le connais pas plus que cela.
Cosmo
23 juin 2015 @ 10:45
C’est votre réflexion qui est une pure honte.
Claude-Patricia ne fait que relater des faits. Maurras était bien un patriote, dans le contexte de l’époque, il était intelligent et avait du talent. Tout le monde le reconnait sans pour autant approuver les débordements de sa pensée.
Mais il est vrai que dès que l’on parle des Orléans, vous voyez rouge.
Claude-Patricia
24 juin 2015 @ 09:10
Merci à vous, Cosmo.
Sébastien
22 juin 2015 @ 11:03
Les boucles d’oreilles proviennent bien de la parure de saphirs et diamants de la Couronne de France, vendue avec le reste des joyaux en 1887. Elles étaient alors serties d’un saphir intermédiaire disparu aujourd’hui. C’est le roi Siméon de Bulgarie qui les offrit à la duchesse de Montpensier le jour de son mariage avec l’actuel comte de Paris.
Anne-Cécile
22 juin 2015 @ 11:03
Même si la charmante Philoména de Vendôme était une tête à diadèmes ou chapeau, ce joyau est très vilain, même s’il est léger.
Je préfère les boucles d’oreille.
Trianon
22 juin 2015 @ 11:07
princesse extrêmement sympathique, bleu de saphir splendide, mais bof pour la forme du diadème….
Claude-Patricia
22 juin 2015 @ 11:08
Les Orléans avaient toujours accumulés les livres. Le seul château d’Arc-en-Barrois en Champagne contenait trente mille éditions rares appartenant au duc de Chartres. La bibliothèque du manoir d’Anjou, constituée en grande partie par le duc de Guise, représentait des années de recherche et d’achats judicieux. Dans un cadre digne d’eux, lui et sa femme reçurent nombre de personnalités politiques ou non, des délégations de royalistes, des Français de toutes origines, de toutes classes, de tous âges, auxquels ils ne fermaient jamais leur porte, tant le contact avec leurs compatriotes leur faisait du bien. C’était l’époque où Charles de Gaulle appartenait à l’Action française et où François Mitterrand fit le voyage au Manoir d’Anjou. Les soirs de galas, le Prétendant revêtait l’habit et la duchesse de Guise arborait la resplendissante parure de saphirs et de diamants qui avait appartenu à Marie-Antoinette, à Joséphine, à Hortense. Lui impressionnait les visiteurs par sa sagesse, elle les ensorcelaient tous, même lorsqu’elle donnait libre cours à un franc-parler parfois fracassant.
N’étant pas frappée par la loi d’exil qui chassait son mari et son fils de France, elle organisa avec enthousiasme des tournées de propagande dans la capitale et dans les provinces. Elle y mêla la séduction de la femme, l’impressionnante dignité de la reine et l’intrépidité d’une combattante. Bref, elle souleva les foules. Chaque année aussi, elle plantait là ses partisans enfiévrés pour aller faire de longs séjours dans son Maroc bien-aimé qui jamais ne quittait tout à fait son coeur.
Cependant, son mari prenait ses distances vis-à vis de l’Action française, dont les grandissants relents fascistes l’inquiétaient et le révulsaient. « La monarchie n’est pas un parti » répétait-il. Sa rigueur morale, l’intransigeance de ses principes le faisait respecter et écouter. Il sut conserver intacts le prestige de la Maison de France, la fortune des Orléans et une famille unie.Cependant il ne se sentait pas fait pour la politique car il souffrait d’une profonde timidité qui d’ailleurs cachait un grand coeur.
Actarus
22 juin 2015 @ 16:08
Encore un copié-collé de « Mon album de famille »…
Claude-Patricia
22 juin 2015 @ 20:27
oui très cher, comment avez-vous deviné?
Actarus
23 juin 2015 @ 12:28
Je l’ai dans ma bibliothèque. ^^
Naucratis
22 juin 2015 @ 21:02
vite du Maalox !
DEB
22 juin 2015 @ 17:17
Claude-patricia,
Qu’est-ce-qui vous fait dire que Charles de Gaulle était membre de l’action francaise?
Claude-Patricia
22 juin 2015 @ 20:29
Ce n’est pas moi qui le dit…mais bien l’auteur de ces phrases le prince Michel de Grèce. Qui j’espère ne me fera pas de procès.
DEB
23 juin 2015 @ 05:58
Merci pour votre réponse Claude-Patricia .
Bonne journée.
Gérard
23 juin 2015 @ 21:08
On a dit que de Gaulle était d’Action française et même qu’il avait collaboré au journal. C’est sans doute faux mais l’AF fut l’un de ses rares soutiens vers l’armée de métier. Son père fut abonné jusqu’à la condamnation romaine et il se définissait comme monarchiste de regret mais il était surtout un patriote et un catholique social pouvant avoir des idées de gauche et dreyfusard. C’était un esprit libre. Il aurait pu apprécier le duc de Guise et son fils qui étaient aussi des esprits libres.
Charles était sans doute dans l’ardeur de sa jeunesse plus fonceur et encore moins républicain mais s’il admirait Maurras il semble après la condamnation s’être plus rapproché des Croix de Feu. On sait combien il admirait l’œuvre capétienne et pour lui sans doute la France idéale était royale.
Par la suite le général de Gaulle et le comte de Paris devaient se rejoindre sur la mission de la France et sur la nécessaire indépendance de l’État face aux idées partisanes et naturellement sur ce que l’un et l’autre représentaient.
aubert
22 juin 2015 @ 11:27
Plus important qu’un bijou assez tocard, bien représentatif des royalistes français d’ici, d’ailleurs et d’aujourd’hui, le Figaro de ce jour rappelle que l’inutile et injuste loi d’exil des familles ayant régné sur la France fut votée le 22 Juin 1886.
Zeugma
22 juin 2015 @ 18:24
Je suis allé voir sur « wikipédia » une définition de « tocard » :
« Démodé, sans valeur, laid, de mauvais goût ».
« Ses chaussures tocardes avaient quelque chose de touchant. »
Vous évoquez « un bijou assez tocard », mais pas « très tocard » : tout est dans la nuance ….
Stella
22 juin 2015 @ 21:26
Avez-vous; par la même occasion, trouvé la définition de: »verlan »?…
Zeugma
23 juin 2015 @ 08:45
Grâce à vous, j’ai trouvé ce que vous vouliez dire par « verlan ».
En « verlan », votre pseudo est « lastel », le nom d’un excellent peintre dont on peut acquérir les oeuvres sur « internet » pour moins de cent cinquante euros (cent mille francs.)
Anne-Cécile
23 juin 2015 @ 04:24
Aubert hélas comme vous avez raison….ce bijou de mauvais goût est vraiment symbolique des personnes qui l’ont offert.
ML
23 juin 2015 @ 14:57
Je ne vois pas en quoi il est de mauvais goût !
Gérard
24 juin 2015 @ 12:46
Ce bijou n’est pas du tout mauvais goût mais il a bientôt une soixantaine d’années il reflète un peu le style de son temps. N’évoque-t-il pas une fleur de lys ? Et le saphir principal est une merveille.
Après il me paraît tout à fait déplacé de s’en prendre à ses commanditaires qui avaient le goût d’être royalistes.
Francine du Canada
26 juin 2015 @ 01:50
Soyez sans soucis Gérard: je ne confirmerai jamais qu’il s’agit de « mauvais goût » puisque c’est inexact! FdC
Louise-Marie
23 juin 2015 @ 08:24
Aubert
Un tel joyau est loin d’être tocard. Le saphir central est une très belle pièce et les motifs à fleurs de lys adaptés à un membre de la famille de France.
Louise-Marie
22 juin 2015 @ 11:32
La princesse Philomena est très souriante et ses bijoux sont beaux.
Charles
22 juin 2015 @ 11:53
Le magazine Royals a fait un sympathique compte rendu de l’anniversaire du Duc de Vendôme célébré au Domaine Royal de Dreux le 24 mai dernier.
Claude-Patricia
22 juin 2015 @ 12:03
Aussi commença-t-il à laisser les rênes sur le cou de son fils unique, le très jeune comte de Paris. Beau et brillant, il séduisait tout le monde. Travailleur acharné, sa connaissance des dossiers le différenciait de la plupart des princes qui tendaient plutôt vers l’amateurisme. ses idées « avancées », ses initiatives audacieuses inquiétèrent ses pairs. Il déconcertait, car il échappait à toute classification. Cependant sa personnalité flamboyante qui ignorait la timidité devait attirer vers lui et multiplier ses partisans. Ceux-ci se comptèrent chez les royalistes bien sûr, mais aussi de plus en plus nombreux chez les républicains. Il commença par avoir de nombreuses entrevues avec Maurras qui tâcha de le ranger à ses vues : « A vrai dire, devait-il raconter, j’écoutais, je comprenais, mais je n’appréciais guère. Quelque chose en moi se bloquait… » Ce quelque chose, c’était le libéralisme traditionnel des Orléans dont le comte de paris était imprégné et qui se heurtait presque viscéralement aux thèses musclées du vieux théoricien.
Un heureux événement vint replâtrer temporairement la brouille. Le duc et la duchesse de Guise, avaient déjà marié leur trois filles, l’aînée, la princesse Isabelle, au comte Bruno d’harcourt, issu de la famille la plus ancienne et la plus illustre de l’aristocratie française, la seconde, Françoise, au prince Christophe de Grèce, quant à Anne la troisième…la duchesse de Guise était restée étroitement liée à sa soeur Hélène, duchesse d’Aoste. Celle-ci, depuis que le mariage l’avait conduite en Italie, s’y était taillée une place de choix par sa personnalité détonnante, on caractère indomptable, son originalité, son allure. Son amitié pour d’Annunzio, pour Puccini, ses audacieuses prises de position politique, son insolence, l’ambition plus ou moins secrète qu’elle couvait pour ses deux fils l’avaient fait si bien remarquer qu’on avait préféré la reléguer à Naples dans le splendide palais de Capodimonte. En un rien de temps, elle devint la reine de la ville. Dure avec elle-même, dure avec les autres, la duchesse d’Aoste avait élevé ses deux fils à la dure. Le cadet, Aymone, duc de Spolète, le plus intelligent, mais aussi le plus retors, devait, en 1941 se voir offrir la chimérique couronne de Croatie, avant de finir tristement dans un isolement total à Buenos Aire.
Naucratis
22 juin 2015 @ 21:03
À quand le dernier chapitres ?
Baia
23 juin 2015 @ 06:55
Ca n’en finit pas effectivement Naucratis !
N’abusez pas pour autant du Maalox …
Bonne journée à vous.
Claude-Patricia
23 juin 2015 @ 10:40
Personne ne vous oblige à lire ces textes non plus, je ne suis pas une tortionnaire!!
Francine du Canada
23 juin 2015 @ 13:57
Tout à fait Claude-Patricia; moi je les lis toujours car, en parallèle du reportage, c’est léger et c’est de l’information additionnelle et à force de lire, on croise des personnages connus et on fait des recoupements… on se souviens de ce qui a été dit ailleurs et on apprend des choses quelquefois surprenantes. C’est pour moi une autre façon d’apprivoiser l’histoire. Merci de votre apport à N&R; j’apprécie beaucoup! FdC
Claude-Patricia
24 juin 2015 @ 09:14
Merci, Francine,
J’essaye d’apporter ce que je peux, en effet, en essayant de respecter chaque rubrique pour ne pas tout mélanger…
On apprécie ou non mes textes, cela est aussi naturel. Enfin ce ne sont pas MES textes, mais des copies, effectivement des livres que j’ai pu trouvé dans quelque vide-grenier, et dont j’ai plaisir à faire partager le contenu.
Mayg
23 juin 2015 @ 14:51
Patience Naucratis, patience. Tous ces copié-collés auront bien une fin un jour…
Milena K
24 juin 2015 @ 02:58
Faites comme moi:zappez!Personne ne vous oblige à lire ces copiés-collés de textes qu’on peut facilement retrouver soi-meme grace à Tonton Google.
Mais ils plaisent à d’autres et c’est bien ainsi.
Mayg
22 juin 2015 @ 12:06
Bof, rien d’exceptionnel. Mais il est quand même déjà mieux que l’horrible diadème qu’elle portait le jour de son mariage.
Naucratis
22 juin 2015 @ 21:05
Pire que celui-ci ?
Parfois de beaux cheveux, et les siens sont fort jolis, suffisent et ne nécessitent pas ces artifices pompeux.
Aramis
23 juin 2015 @ 07:14
Attention Mayg vous êtes sur la mauvaise voie. : en disant que ce diadème est moins pire vous faites un début de compliment à la duchesse de Vendome , et ceci ne vous ressemble pas.
Et évidemment il n’y a rien d’exceptionnel à posséder porter des pendants d’oreille ayant appartenu à la fille de Louis XVI épouse du second fils de Charles X. C’est d’un commun, voire d’un vulgaire n’est ce pas ? Chacune de nos mère ou de nos épouses en a autant dans son coffre à bijoux, c’est bien connu.
Mayg
23 juin 2015 @ 15:09
Libre à vous de voir un début de compliment dans mon commentaire.
Toujours est t-il que quand je dis « rien d’exceptionnel », je fais la comparaison entre ce diadème et ceux appartenant aux autres membres du gotha. A aucun moment je n’ai prétendu que toutes les mères et les épouses en possèdent autant !
Désolée de vous décevoir, mais il y a des diadèmes beaucoup plus beaux que celui là.
Aramis
23 juin 2015 @ 19:26
Ok ce n’est qu’au diadème que vous déniez un caractère exceptionnel. Vous ne niez pas que les pendants d’oreille revêtent un tel caractère, ce qui serait difficile d’ailleurs.
Les bijoux de la fille de Louis XVI sur la charmante mère du futur chef de l’auguste maison d’Orleans !
Danielle
22 juin 2015 @ 12:14
Je n’aime pas la forme du diadème, même si les saphirs sont très beaux, en revanche j’adore les BO.
Charles
22 juin 2015 @ 19:29
Le saphir central de Ceylan, choisi avec soin par le joaillier Mellerio, est de très belle qualité.
Baia
23 juin 2015 @ 06:57
Le saphir central est effectivement très beau. Mais Mellerio n’a pas réalisé là son plus beau diadème … loin sans faut !
Francine du Canada
24 juin 2015 @ 16:29
Je crois qu’il faut écrire « loin s’en faut » Baia. FdC
patricio
22 juin 2015 @ 12:23
Jolie diadème pour une jolie princesse.
Même si je préfère la version collier.
Merci Charles
Amitiés
Patricio
Hugo
22 juin 2015 @ 12:25
Merci pour cette belle photo de la charmante princesse Philomena.
marielouise
22 juin 2015 @ 12:29
Trop vieille France….
Charles
22 juin 2015 @ 19:40
Mais tellement chic…
Mayg
23 juin 2015 @ 15:28
Ah bon ? On n’a vraiment pas la même conception du chic.
Baia
24 juin 2015 @ 07:49
Elle pourrait être habillée avec des haillons, Charles dira toujours que sa princesse chérie est « tellement chic » …
Mayg
24 juin 2015 @ 20:37
Vous pouvez le dire Baia.
Actarus
22 juin 2015 @ 21:47
Marielouise… regardez donc comment ils habillent leurs enfants. La pauvre princesse Antoinette d’Orléans est vêtue comme une grand-mère !
Sébastien alias Capitaine Flam écrivaient qu’elles sont belles en Afibel, mais j’ignorais que la gamme avait un rayon enfant. ;-)
http://www.la-couronne.org/blog/actualite-royale/nouvelles-photos-de-s-a-r-la-princesse-philomena-de-france-et-de-ses-enfants.html
laure2
23 juin 2015 @ 06:34
Je vous trouve vraiment sévère mais il est vrai que lorsque j’ai vu les photos je me suis demandé comment on pouvait affubler ses enfants ainsi.
JAusten
23 juin 2015 @ 18:51
c’est une actaruse Laure2 :)
Louise-Marie
23 juin 2015 @ 08:26
Merci Actarus
Les petits princes sont très mignons
Hélène
23 juin 2015 @ 11:25
Les enfants de France sont très beaux.
Francine du Canada
23 juin 2015 @ 14:21
Merci Actarus; je les trouve très correctement vêtus ces enfants et je ne comprendrai jamais ces critiques. Ils sont propres et à l’aise. Le petit Gaston porte un tricot sur un chemisier et un jeans et Joséphine une jolie robe et un collant blanc; où est le problème? Bon d’accord les manches de son gilet sont trop longues et maman ne les a pas repliées… soit; est-ce une raison de lui faire un procès? Tout les enfants portent, à un moment donné, un vêtement un peu trop grand et croyez-moi c’est bien préférable à un vêtement étriqué et inconfortable. FdC
Actarus
23 juin 2015 @ 16:04
Je n’ai pas évoqué Gaston qui s’en sort plutôt bien, mais de sa petite soeur : sur la première photo, elle fait vraiment petite mémère. Et je précise que ce n’est absolument pas de sa faute : à cet âge-là, les enfants ne choisissent pas eux-mêmes leurs vêtements.
J’en parle en connaissance de cause : il m’est arrivé à moi aussi que ma mère m’habille d’une façon « vieillote », je ne vous montrerai pas les photos tellement j’ai honte. ;-)
Lisabé
24 juin 2015 @ 12:55
Actarus…siouplise…..Je veux voir!Promis je ne me moquerai pas!Croix de bois……… ;-))
bianca
23 juin 2015 @ 19:26
Une fois de plus Francine je partage votre avis. Sur une autre photo pour peindre des objets ces enfants n’ont pas à étrenner de plus jolis vêtements…Leur Maman a sans doute un grand sens pratique et adapte leur mise à leur jeux ! Je ne vois pas ce qui est critiquable !
Bonne continuation à vous ! bianca
Francine du Canada
26 juin 2015 @ 01:59
Mais oui, bien sûr Bianca, seule la raison doit motiver nos actions! Bon w-e Bianca, FdC
Hortense
22 juin 2015 @ 12:29
J’apprécie beaucoup la princesse Philoména, duchesse de Vendôme.
Son sourire me plait
Aramis
22 juin 2015 @ 12:39
Jolie princesse que ces bijoux relient à l’histoire de France comme la famille à laquelle elle appartient et à qui elle a donné de beaux héritiers.
ANNA
22 juin 2015 @ 13:37
La princesse Philomena est royale avec ses joyaux en saphirs et diamants.
Naucratis
22 juin 2015 @ 21:05
Mais que ce diadème est laid !
Pierre-Yves
22 juin 2015 @ 13:37
Ce qui, sur cette photo, gâche un peu le port de ces joyaux, c’est la chaîne que la duchesse de Vendôme a gardée à son cou. Il aurait mieux valu qu’elle la retirât.
lila
22 juin 2015 @ 21:57
Pierre-Yves ,
C’est un chapelet que Philomena porte autour du cou et cela bien avant son mariage .
Aramis
23 juin 2015 @ 06:07
Non? Elle porte un chapelet tout le temps sur elle ?
Antoine
23 juin 2015 @ 13:09
Mes grands-mères aussi avaient un chapelet sur elles en permanence. Dans les familles catholiques, on lui attachait plus de prix qu’à un diadème. L’époque actuelle manque cruellement de spiritualité.
Gérard
23 juin 2015 @ 18:51
Oui mais le chapelet autour du cou est très tendance chez les plus jeunes.
Pierre-Yves
24 juin 2015 @ 13:38
C’est bien possible, Gérard.
Mais il reste qu’esthétiquement, les chapelets autour du cou ne cohabitent pas très bien avec des diamants et des saphirs sur la tête et aux oreilles. C’est pour moi une dissonance esthétique.
Baia
23 juin 2015 @ 07:00
Chapelet ou pas, d’avant son mariage ou pas, Pierre-Yves a entièrement raison.
lila
23 juin 2015 @ 11:39
Ne vous fachez pas Baia ,il a raison et moi également.
Pierre -Yves parlait d’une chaîne ,je lui réponds :c’est un chapelet.
Qu’est dit de mal dites moi?
lila
23 juin 2015 @ 11:41
Qu’ai je dit de mal en parlant d’un chapelet chère Baia?
Baia
23 juin 2015 @ 20:53
Rien de mal Lila, je vous rassure. Je trouve que Pierre-Yves a raison en écrivant que cette chaîne, que vous nous dites être un chapelet, est de trop. Je suis entièrement d’accord avec vous deux. D’où ma phrase : chapelet ou pas …
Shandila
22 juin 2015 @ 13:53
Les BO sont superbes, et le saphir du diadème tout aussi beau, mais cet ornement gagnerait à être porté en collier.
Louise
22 juin 2015 @ 14:04
Le diadème n’est pas très beau et il n’est pas mis en valeur sur la photo!
Francine du Canada
22 juin 2015 @ 15:12
Merci Régine et Charles; je trouve que la duchesse de Vendôme a un très beau teint naturel sur cette photo. Le diadème est délicat et le saphir est très beau ainsi que les boucles d’oreilles. Ses bijoux ne sont pas mis en valeur, ici, par la coiffure et les vêtements qu’elle porte mais je suis certaine qu’elle saura les mettre en valeur le moment venu. Bonne journée à tous, FdC
flabemont8
22 juin 2015 @ 20:35
Ton optimisme me remplit d’admiration, Francine !
Actarus
23 juin 2015 @ 16:56
Il est vrai, Franny dearest, que la coiffure de Madame la Duchesse de Vendôme se prête mal à la mise en valeur de ce joli bijou qui, effectivement, ressortirait davantage s’il était porté en collier.
Je le trouve néanmoins très discret et petit, ou n’est-ce qu’une impression donnée par le rendu photographique ?
Vite, organisons une levée de fonds pour offrir à la Princesse un nouveau diadème plus grand et plus baroque ! ;-)
Mary
22 juin 2015 @ 15:35
Le diadème rappelle un peu en plus petit ces coiffures du temps de Catherine de Médicis.Il est joli,mais trop modeste pour être associé aux BO qui sont vraiment royales,elles. Le diadème paraît un peu « cheap » à côté .
Ah Grand-Papa ! Si seulement tu avais su gérer ta barque…
bianca
22 juin 2015 @ 19:28
Je trouve que les boucles d’oreilles sont magnifiques mais le visage de cette jeune femme manque un peu de finesse pour porter de telles parures.
Vous avez raison Mary, mis à l’envers, la pointe du diadème sur le front aurait une allure « très Médicis » ! Je trouve qu’elle a un visage trop important pour porter un petit diadème ! De toute manière la coiffure, la couleur des vêtements, doivent être en harmonie.
Lisabé
23 juin 2015 @ 08:41
Bonjour Bianca,oui,je trouve aussi que les traits de Philoména sont un peu lourds,voire un peu empâtés,mais pas grossiers.C’est une physionomie très banale,ordinaire,et si on ne peut pas dire qu’elle est belle,on ne peut point avancer non plus qu’elle est laide.
Certains ici prétendent que sa beauté intérieure »éclairée par sa foi profonde »,coucou,Gustave!;-)) prévaut avant tout,je ne demande qu’à les croire,même si le cadeau du fusil à son époux pour ses 50 ans,offert sous le nez de ses tous petits enfants,bloque l’estime distante et indifférente que je pourrais lui porter…Et dont elle se fiche autant que moi,ce qui est bien comme ça! ;-))
Mais enfin,Philoména,hypothétiquement »Reine de France » tout de même…Une première Dame me manque,mais celle-ci ne me plairait pas.Sans acrimonie,cela n’a pas d’importance mais c’est comme ça.Je ne lui trouve pas de charisme dans l’expression,aucune expressivité dans les traits.
Quant à notre République,en ce domaine…Il a bon goût…François!…Il aime les parts de choix et..de Roi ;-))
Bonne journée,Bianca!
bianca
23 juin 2015 @ 19:47
Merci de votre réponse Lisabé, Philoména a peut-être pris quelques kilos durant ses attentes successives de maternité, elle s’affinera peut-être avec le temps. Il y a plus laides que cette jeune femme et ce qui me choque c’est son manque d’élégance, toujours mal coiffée, pas à son avantage lors de certains mariages, bref elle mériterait un époux plus attentif à sa mise. Lorsque j’ai lu le livre écrit par la Comtesse de Paris « Tout m’est bonheur » j’avais retenu que son époux veillait à ce qu’elle porte de très belles toilettes lors de réceptions ou de mariages et j’avais évidemment apprécié cette exigence de la part d’un époux. Son petit-fils ne semble pas se soucier de cela, il craint sans doute qu’elle capte l’attention à son détriment (mais ce n’est que mon avis).
Pour ce qui concerne votre dernier paragraphe, je ne trouve pas que
« François » ait fait preuve du meilleur goût avec les deux précédentes, la troisième « peut-être » mais je me pose la question inverse, « Que peut-elle lui trouver de bien ? ») L’avenir le dira !!!
Bonne soirée Lisabé !
Lisabé
24 juin 2015 @ 09:28
Coucou Bianca…Sincèrement,je trouve que »François » a officiellement fréquenté de très belles femmes dans sa vie(question de goût,là aussi,bien sûr),mais ses charmes à lui,demeurent,pour moi comme pour vous,une énigme. ;-)… »Le coeur a ses raisons que la raison ne voit pas toujours ».Raisons d’Etat?
Bonne et heureuse journée,chère Bianca!
bianca
24 juin 2015 @ 20:00
Merci Lisabé, bonne fin de semaine à vous !
Francine du Canada
26 juin 2015 @ 02:12
Lisabé, s.v.p., auriez-vous l’amabilité d’expliquer à certaines, ici, qui croient (bien à tort) que Pierre-Yves renforce leurs positions… alors que ce n’est pas du tout le cas! FdC
Lisabé
26 juin 2015 @ 09:30
Pourquoi moi,ma Mie Francine?Parce que je suis fine comme du gros sel? ;-))
Pierre-Yves est un grand garçon,je le laisse en toute confiance gérer lui-même sa communication et les conclusions que les autres en font !
Sincèrement,Franny,ma Mie…je n’ai pas tout lu et je suis un peu perdue! ;-))
Bon et beau week-end à vous!
beji
22 juin 2015 @ 16:28
je ne trouve pas ce diadème extraordinaire,celui qu’avait reçu la comtesse de Paris
me plaît davantage;Charles savez-vous qui en a hérité?merci pour la réponse.
les pendants d’oreilles sont magnifiques,il faudrait que lorsqu’elle porte de tels
bijoux Philomena enlève sa chaîne qu’elle portait aussi le jour de son mariage.Il y a des façons plus discrètes de porter une médaille si elletient absolument à la garder, en breloque à un bracelet par exemple.
bianca
22 juin 2015 @ 19:30
…ou cousue sur l’envers d’un vêtement provisoirement, béji !
Charles
22 juin 2015 @ 19:38
beji
Le diadème offert par les royalistes à la défunte Comtesse de Paris appartient aujourd’hui à la princesse Isabelle, fille aînée de la princesse.
La baronne Bernadette von und zu Mentzingen a porté ce léger diadème fleurdelisé en saphirs et diamants l’an passé lors de son mariage avec le comte Melchior von Schönborn-Buchheim, fils cadet de la princesse Isabelle de France.
Quant aux pendants d’oreilles de la Duchesse de Vendôme, ils sont extraordinaires tant par leur qualité que par leur histoire.
MIKA
22 juin 2015 @ 18:50
C’est certain que ces bijoux de grande valeur sont magnifiques mais, dans ce style, ils vieillissent beaucoup la personne qui les porte. (Boucles d’oreilles)
Je préfère des bijoux plus discrets, plus fins sur ces jeunes femmes…
Gilles
22 juin 2015 @ 19:36
Beau portrait de la Princesse.
Les bijoux plaisent ou pas…c’est une affaire de goût. Mais c’est déjà bien qu’il en reste chez le futur chef de la maison de France. Je crains que ce soit tout ce qu’il reste.
Les parures de saphirs sont l’une au Louvre, l’autre vendue. Le diadème dit de l’action francaise est sorti de la maison de France, Isabelle je crois en ayant hérité. Le diadème bandeau que Madame portait pour son mariage à Palerme, se voit séparé, la partie bracelet pour Michel et les broches pour Diane. Le diadème émeraude offert par le parfumeur Cotty…vendu.
Ne reste que le peigne en diamants que portait la princesse Anne pour son mariage qui soit encore en possession du Comte de Paris. Et quand on voit ce qu’il est devenu….
COLETTE C.
22 juin 2015 @ 20:02
Ce diadème me plait, il est léger et convient bien au visage de la duchesse de Vendôme. Ce que j’aimerais savoir, c’est comment les saphirs de Marie-Louise seraient arrivés chez le joaillier Bapst, et vendus par qui ?
Charles
23 juin 2015 @ 09:01
Les saphirs achetés par Napoléon pour créer une parure à l’impératrice Marie-Louise sont restés propriété de l’état après la chute de l’empereur. Sous Louis XVIII, le joaillier Bapst a remonté les pierres afin de créer une nouvelle parure en saphirs et diamants pour la Duchesse d’Angoulême. Quelques décennies plus tard, Dona Eugénie de Montijo a porté le diadème lors de son mariage avec Napoléon III. Il est donc probable qu’elle portait aussi ces pendants d’oreilles mais nous n’avons pas encore de preuve à ce jour. Après la vente des joyaux de la couronne, ces pendants d’oreilles ont été acheté par le tsar Ferdinand des Bulgares. Ces joyaux furent portés par plusieurs reines des Bulgares avant que le roi Siméon et la reine Jeanne décident d’offrir ces joyaux à la Duchesse de Montpensier afin qu’ils reviennent propriété de la Maison de France en raison de leur histoire. Ces boucles d’oreilles ont été porté non seulement par la Duchesse de Montpensier et sa belle-fille Philiomena, Duchesse de Vendôme mais aussi par la défunte Comtesse de Paris lors de rares occasions.
Aude
23 juin 2015 @ 17:02
Ce diadème est très beau et la princesse Philomena a un bien joli sourire
Laurence
22 juin 2015 @ 22:36
Sur cette photo, je la trouve d’une banalité…
C’est sûr, elle est loin d’avoir la prestance de Mary de Danemark.
Aramis
23 juin 2015 @ 07:26
Tous les royaux sont assez banals dépouilles de leurs joyaux ou uniformes rutilants. Sur qui se retournerait on vraiment dans la rue s’ils passaient en jeans /baskets : Felipe, pierre Casiraghi sans doute, Mary de Danemark peut être en effet ? La nouvelle Charlene ? A part cela …
Aude
23 juin 2015 @ 17:03
Je trouve au contraire la princesse très jolie sur ce portrait
jo de st vic
23 juin 2015 @ 06:57
De toutes façons comme l explique trés bien Gilles….il ne reste vraiment pas grand chose des bijoux Orléans…quand on voit les parures des maisons allemandes …
Louise-Marie
23 juin 2015 @ 08:28
J’aime beaucoup cette photo car la princesse est à la fois naturelle et royale avec ses bijoux en saphirs et diamants.
Hélène
23 juin 2015 @ 11:23
La duchesse de Vendôme est vraiment jolie coiffée du diadème Mellerio.
Claude-Patricia
23 juin 2015 @ 11:30
Bonjour à tous,
…L’aîné, Amedée, s’était à dix-sept ans engagé volontaire pendant la Première Guerre mondiale. Il s’était battu avec les italiens contre les Autrichiens si bravement que son père avait pu épingler fièrement la croix de guerre sur la poitrine de cet adolescent. Depuis ce géant moderne, sportif et sympathique, était devenu de loin le membre le plus populaire de la famille royale italienne. Il ne tarda pas à demander la main de sa cousine germaine, Anne de France. Rien ne pouvait plus combler les deux soeurs, la duchesse d’Aoste et la duchesse de Guise de voir le fils d’une épouser la fille de l’autre. La cour d’Italie déploya une pompe grandiose à l’occasion des noces qui eurent lieu à Naples. L’ancienne capitale des rois Bourbons n’avait plus vu un spectacle aussi magnifique depuis l’éviction de ceux-ci.
Bientôt, ce fut au tour du comte de paris de se fiancer avec sa lointaine cousine, la princesse isabelle d’Orléans-Bragance, issue de cette branche des Orléans devenue brésilienne. « La plus belle fille d’Europe » jugeait le vieux Ferdinand de Bulgarie. Le marié et son père exilés de France, la noce se déroula à Palerme. Des milliers de monarchistes menés par Maurras firent le voyage pour lever leur verre à la santé des nouveaux mariés. Après une somptueuse cérémonie dans la cathédrale de Palerme,à laquelle assistèrent de nombreuses têtes couronnées, une réception mamouth se déroula dans les jardins du palais Orléans au cour de laquelle les « vive le roi, vive la reine! retentirent en force. L’Action française semblait inébranlablement soudée à la famille royale.
Hélas, les événements prenant une tournure de plus en plus grave réduisirent les occasions de se réjouir. La monarchie espagnole à laquelle la Maison de France était liée par tant de mariages, durant tant de générations avait été renversée, et le roi Alphonse XIII, si populaire parmi ses cousins et neveux français, avait dû s’exiler. Il eût la satisfaction de marier son fils et héritier Don Juan à la princesse Maria, fille de cette Louise de France qu’adolescent il avait songé à épouser. De cette union devait naître l’actuel roi d’Espagne. Entre-temps, la République espagnole vacillait sur ses bases. Pendant ses séjours à Larache, la duchesse de Guise entendait les mécontentements de l’armée espagnole s’exprimer par la voix des officiers de garnison. Elle les recevait fréquemment, en particulier un capitaine petit et rondouillard nommé Francisco Franco. Du Maroc espagnol partit le pronunciamiento qui déclencha la plus terrible guerre civile. Deux princes, dans les veines desquels coulait le sang d’Orléans devaient y laisser la vie : Carlos, le fils de cette même Louise de France et Alphonse d’Orléans, de la branche devenue espagnole depuis Antoine, duc de Montpensier et l’infante Marie-Louise Fernande. Depuis leur mariage, le comte et la comtesse de Paris voyait chaque année leur foyer s’agrandir d’un enfant. Ils s’étaient installés en Ardennes, au château d’Agimont, des terrasses duquel le comte de Paris pouvait apercevoir la France qui lui était interdite. Cette famille idéale, dont les photographies étaient distribuées à des milliers d’exemplaires, réchauffait les coeurs royalistes. Couple jeune et séduisant, les parents se voyaient partout invités et fêtés. Le comte de paris emmenait sa femme, dans son monoplan, qu’il pilotait lui-même, et tous deux participaient à des rallyes aériens au cours desquels festins et bals marquaient chaque étape. Cependant le comte de paris ne perdait pas une miette de ce qui se passait en politique, prenant de plus en plus ses distances vis-à-vis de Maurras et de son mouvement. En 1938, bravant l’interdit, il entra clandestinement en France et donna devant les journalistes médusés une conférence de presse retentissante, avant de repartir aussi aventureusement en brouillant les pistes. Le duc de Guise soutint inconditionnellement son fils, et ce fut, entre la Maison de France et l’Action française la rupture.
De plus en plus inquiet devant les nuages qui s’épaississaient dans le ciel de l’Europe, le comte de paris multiplia les missions d’information, pour son compte personnel comme pour le compte du gouvernement français, dans les Balkans, en Italie, en Europe centrale. Hypnotisé par la tempête approchante, il en reniflait l’imminence, alors qu’il parcourait un continent en ébullition. Se sentant poursuivi par un vent déjà furieux, il tenta un dernier rapprochement avec Maurras, sans succès, car ce dernier refusa de le voir et lui fit répondre : « Dites au prince que j’ai à défendre l’héritage contre l’héritier. »
Claude-Patricia
23 juin 2015 @ 12:00
1939-1950
Le comte de Paris, aventures et retour au pays.
La Seconde Guerre mondiale ne prit pas le comte de paris par surprise, il la prédisait depuis des années. Pour une fois, la République ne refusa pas aux Orléans de servir. Le président du Conseil Paul Reynaud autorisa le fils du Prétendant à s’engager mais uniquement dans la Légion Etrangère et à la condition expresse de ne pas révêler sa véritable identité. Il n’eut qu’à ressortir du tiroir le pseudonyme déjà utilisé par son père lors de la Première Guerre mondiale. Le légionnaire Henri Orliac vécu comme tant de simples soldats cette période, tragique dans sa signification, pathétique dans son quotidien, mais non dénuée d’incidents grotesques-reconnu ici dans les circonstances les plus inattendues, manquant là d’être rattrapé par les avant-gardes allemandes. L’armistice le mit au chômage. Fin août 1940, il venait d’être démobilisé à Marseille lorsqu’il apprit qu’à Larache son père, le duc de Guise, venait de mourir. Il put arriver à temps au Maroc pour mener le deuil en tant que nouveau chef de la Maison de France.
La guerre avait forcé le duc et la duchesse de Guise à se réfugier dans cette maison de leur jeunesse où la duchesse continuait à séjourner chaque année. Un anthrax au cou avait rapidement mis les jours du duc en danger. En fait, savoir son pays vaincu, envahi et occupé l’avait tué. La mort l’avait pris le jour anniversaire de celle de Saint-Louis, son ancêtre. Le comte de Paris fit revenir du Brésil son épouse et ses enfants dont le nombre s’élevait déjà à six. Ses deux soeurs aînées, les princesse Isabelle et Françoise, elles aussi chassées par la guerre, n’eurent d’autre solution que de se réfugier à Larache avec leurs enfants, et la maison devint une véritable arche de Noé, où il n’y avait plus un reoin de libre. L’on s’organisa comme on pouvait. Les adultes suivant anxieusement la situation tâchaient de capter la BBC. Ils s’étaient partagé les cours à donner aux enfants, et la duchesse de Guise présidait une commission d’examen de ses petits-enfants. La salle à manger, malgré son ampleur, ne pouvait contenir tout le monde, aussi fallut-il organiser plusieurs services. A celui des adultes se joignait presque quotidiennement un vieillard choyé autant que taquiné…De l’expédition du Mexique, le maréchal Bazaine avait ramené un fils qu’il avait eu de son épouse mexicaine.
Nelly
23 juin 2015 @ 12:06
les boucles d’oreilles sont trop importantes par rapport au diadème, le mélange n’est pas heureux
val
23 juin 2015 @ 14:12
Je trouve certains commentaires très bêtes voir crétins :)
Aude
23 juin 2015 @ 17:01
Absolument les commentaires sont crétins d’autant que la princesse Philomena est ravissante avec ce diadéme Mellerio.
Pierre-Yves
24 juin 2015 @ 13:40
Est crétin ce qui ne correspond pas à votre avis ?
Antoine
23 juin 2015 @ 17:51
Ce n’est pas grave, Val, cela permet de rire devant son écran à peu de frais.
Zeugma
23 juin 2015 @ 18:21
Nous attendons avec impatience vos propres commentaires qui seront certainement de haut niveau. Nous verrons.
Aude
23 juin 2015 @ 17:06
J’apprécie de plus en plus la famille du prince Jean.
Merci de nous faire découvrir ce joyau Mellerio
Claude-Patricia
23 juin 2015 @ 18:13
…Déchu de sa nationalité lors de la condamnation de son père, ce fils s’engagea dans l’armée espagnole. Les hasards de l’existence le firent aboutir à Larache. Il y retrouva le duc et la duchesse de Guise, neveux du duc d’Aumale qui avait condamné son père. La plus étroite amitié lia ces expatriés. Le fils de Bazaine, surnommé Babaze par la duchesse de Guise, combinait originalité et désinvolture. N’ayant pas de chauffage central, il allumait son poêle avec les lettres de Napoléon III, de Maximilien, de Charlotte, d’Isabelle II. Il faisait toujours une entrée remarquée dans la salle à manger de la duchesse de Guise, suivi de ses sept crapauds apprivoisés qui sautillaient derrière lui. Bien sûr on ne manquait de rien, mais le luxe était totalement absent et souvent le confort aussi. Les menus à base de pois chiches et de merlan frit quotidiennement servis n’avaient rien de gastronomique. Et il y avait l’incertitude de l’avenir, l’angoisse pour la patrie occupée, pour les parents dont on n’avait aucune nouvelle.
Parme
24 juin 2015 @ 08:55
En France , cher pays de mon enfance et de la suite de ma vie , il n’y a plus de royauté depuis longtemps donc il n’y a plus de diadème pour aucune femme.
jo de st vic
24 juin 2015 @ 12:39
Acturius, j ai donc regardé la photo…je ne trouve pas du tout la petite Antoinette « memére » peut être auriez vous preferer un « jean » troué de preference et un pull hello kity…pas moi j aime les jolies petites robes..avez vous des petites filles ?
Actarus
24 juin 2015 @ 16:40
Jo le taxi, entre les tenues mémérisantes et les tenues négligées, il y a un juste milieu.
La marque Petit Bateau, par exemple. ;-)
http://www.petit-bateau.fr/e-shop/sale-4/1/soldes-fille.html
Charles
26 juin 2015 @ 12:12
Actarus
Et que pensez-vous des tenues d’avant guerre que portaient les enfants de Don Luis Alfonso et de Dona Maria Margarita de Borbon lors de la soirée des 10 ans de mariage de leurs parents?
Lisabé
27 juin 2015 @ 09:09
Bonjour Charles,je ne sais pas ce qu’en pense Actarus,mais moi,j’en dit la même chose que pour les Orléans…Style démodé et has been,chez les Bourbon aussi.Même pour les enfants,on trouve partout des confections modernes très jolies sans aller jusqu’au jean(si vraiment cette »aventure vestimentaire » paraît insurmontable à certains milieux),qu’il soit à trous-que je déteste- ou pas.
Après,chacun s’habille comme il veut et comme il peut,du moment que c’est décent…on n’a pas toujours dans son viseur le concept-très subjectif-de ce qui est élégant.
Bonne fin de semaine à vous,Charles.
Actarus
27 juin 2015 @ 12:38
D’avant quelle guerre, Charles ? ;-) Celle du golf ou du polo ? ^^
Lisabé
27 juin 2015 @ 15:24
Actarus,je vous attendais là…’Suis point déçue!
Bon Dimanche à vous….Vous le passerez à cheval ou à fouiller des lacs? ;-)) ^^
Claude-Patricia
24 juin 2015 @ 13:48
…Et pourtant,pas un instant ces Orléans, tout au long de ces années terribles, ne perdirent leur bonne humeur. Génération après génération, ils avaient été élevés spartiatement, aussi gardaient-ils cette faculté prodigieuse de s’adapter à n’importe quelles circonstances. Mangeant n’importe quoi, dormant n’importe où, ils se contentaient de peu. Simples, sans façons, en rien gâtés, ils contredisaient l’idée que les naifs se font des princes et ne s’ennuyaient jamais.
A la fin de cette année 1942, le comte de Paris se trouvait au Maroc lorsqu’un groupe de personnalités l’invita à venir à Alger où régnait la plus grande confusion. L’amiral Darlan représentant le gouvernement de Vichy gouvernait cette partie intégrante de la France, mais les Alliés débarqués en Afrique du Nord y faisaient sentir tout leur poids. S’y dépensaient aussi les partisans du général de Gaulle dont la voix se faisaient entendre de plus en plus fort. Personne ne savait à quel saint se vouer. Le comte de paris accepta de venir à Alger non pour rétablir la monarchie, mais dans l’idée de rassembler les Français dispersés, avant de les laisser décider du régime qu’ils se donneraient.
A son arrivée, il fut mis au courant du plan prévu: les notables se présenteraient à l’amiral Darlan et exigeraient son départ volontaire. Le comte de Paris serait alors porté à la tête d’un gouvernement provisoire. Premier ennuis: l’amiral Darlan ne manifestait pas la moindre envie de quitter son poste. Il faudrait agir par la force. le comte de Paris y répugnait par nature comme par tradition et, de toute façon, il fallait l’accord préalable des Américains, tous-puissants en Algérie. Leur commandant en chef, le général Eisenhower, totalement ignorant des réalités française et représenté par le trouble Murphy, fit répondre qu’il n’était pas question de tenter quoi que ce soit contre Darlan.
Arrive de Londres un émissaire du général de Gaulle, le général d’Astier de la Vigerie. Il tâche de convaincre Darlan de se retirer et trouve un roc décidé à ne pas bouger. Impasse totale. Le 24 décembre 1942, un jeune homme se présente au palais d’Eté, et demande à être reçu par l’amiral. Alors qu’on le fait attendre dans un salon, l’amiral traverse la pièce. Le jeune homme se lève et l’abat d’un coup de revolver. L’assassin se nomme Bonnier de la Chapelle, il est royaliste. D’avance il a été absous de son crime par son confesseur l’abbé Cordier, ancien curé du Nouvion-en-Thiérache-propriété des Orléans-et membre fort actif du groupe qui appela le comte de Paris à Alger et qui l’entoure. De là à soupçonner le comte de Paris d’avoir fait assassiner l’amiral Darlan, il n’y a qu’un pas. Entre-temps, puisqu’il y avait vacance du pouvoir, le nom du Prétendant revient sur le tapis. Les Américains, de nouveau consultés en la personne de Murphy, leur bien intriguant consul, une fois de plus refusent, car ils ont dans leur manche leur propre carte, le général Giraud. Restés jusqu’au dernier moment partisans du régime de Vichy, les Américains choisissent, pour assumer le pouvoir, ce vichyste bon teint qui, de plus peut barrer la route au général de Gaulle, leur bête noire. Effectivement, le général Giraud surgit à Alger comme le diable de sa boîte. Son premier soin est de faire juger et condamner hâtivement Bonnier de la Chapelle, assassin de Darlan. Le comte de Paris intercède en faveur du jeune homme. Peine perdue, celui-ci sera exécuté avant de pouvoir parler. Le comte de paris tâche alors de faire comprendre à Giraud qu’en assumant le pouvoir il ne fera qu’accentuer la division des Français. En vain: « Sachez, jeune homme que votre place n’est pas ici », lui dit Giraud d’entrée en matière. « Quel c…! commenta le comte de Paris à la sortie de l’entrevue.
Il resta encore quelque temps à Alger, menacé d’expulsion ou mieux, d’empisonnement. Le grand moment était cependant passé. Bientôt de Gaulle en personne paraîtra en Afrique du Nord pour se jouer des intrigues américaines et éliminer Giraud. Au début de janvier 1943, le comte de Paris, épuisé et fiévreux, retrouva l’asile de Larache. Le paludisme le mit à deux doigts de la mort. Il resta longtemps si gravement malade, que son épouse se demanda s’il n’avait été victime d’un empoisonnement.
La guerre mettait sens dessus dessous les Orléans comme les familles de tous les pays, de tous les rangs. La troisième soeur du comte de paris, la princesse Anne devenue italienne par son mariage avec le duc d’Aoste, s’était retrouvée dans le camps adverse. Mussolini, inquiet de la popularité de ce cousin du roi d’Italie, l’avait nommé vice-roi d’une Abyssinie brutalisée par le colonialisme fasciste, escomptant qu’il se briserait dans cette mission impossible. Secondé par sa femme, le duc d’Aoste se dépensa infatigablement pour se pays endolori. En 1943, l’Ethiopie se trouva attaquée par les Anglais à partir du Kenya et le duc d’Aoste se défendit en héros. Fait prisonnier, il mourut en camps d’internement, universellement respecté et admiré par ses compatriotes autant que par les ennemis de l’Italie. Bien plus tard, le Négus, qui avait pourtant été chassé par les Italiens, ayant récupéré son trône, devait lui rendre, ainsi qu’à la duchesse Anne, un solennel hommage. Cette dernière était rentrée en Italie pour se voir arrêter par les nazis lors de la rupture avec l’Allemagne. Ses deux filles encore enfant et elles furent internées dans une forteresse d’où elles ne s’échappèrent que par miracle à l’ordre d’exécution envoyé de Berlin.
Exilés depuis la chute de l’empereur Pedro II, au siècle précédent, les Orléans du Brésil avaient été autorisés à revenir dans leur patrie en 1922. Le comte d’Eu était mort sur le navire même qui le ramenait au Brésil, quelques jours avant de revoir ses rivages. Ses descendants qui s’y fixèrent échappèrent ainsi aux horreurs de la guerre.
Ce fut tout le contraire pour leurs cousins polonais. Ils descendaient de la fille du duc de Nemours, la princesse marguerite d’Orléans, qui avait épousé le chef de la première maison de pologne, le prince Czartoryski. Les Orléans des autres branches qui n’avaient que vaguement cousiné avec ces nombreux princes et comte slaves, les virent dans les années 40 déferler à l’Ouest, ayant pratiquement tout perdu. Ceux qui demeurèrent coincée entre les nazis et les communistes furent de surcroît privés de leur liberté. Leur situation ne devait se renverser qu’à la chute de l’empire soviétique. Récemment, l’actuel prince Czartoryski, Adam, descendant de Marguerite d’Orléans et petit-fils de louise de France, a obtenu des autorités polonaises la restitution du palais de ses ancêtres à Cracovie, ainsi que les fabuleuses collections qu’il contient.
Les Orléans espagnols, eux, pensaient leurs blessures dans leur pays où la victoire du franquisme avait ramené la paix et que la ruse du Caudillo protégeait de la guerre.
En France même, Maurras prisonnier de son entêtement aberrant, avait, malgré son indéniable patriotisme, accueilli à bras ouvert les Allemands, ce qui lui vaudra après la guerre d’être condamné à la réclusion.
Claude-Patricia
24 juin 2015 @ 14:31
…De l’autre côté, la parenté Orléans payait le prix fort du sang, Amélie de Mac-Mahon, fille de Marguerite d’Orléans et du duc de Magenta, avait épousé le comte de Rambuteau. Tous deux, aidés de leurs enfants encore adolescents participèrent activement à la résistance. Ils furent arrêtés par la gestapo et envoyés en camps de concentration. le comte de Rambuteau y mourrut de sévices. Ses fils parvirent à s’échapper et la comtesse de Rambuteau survécu à plusieurs hivers à Ravensbruck.
La guerre approchait de sa fin lorsqu’une mauvaise nouvelle tomba sur les Orléans réfugiés au Maroc. La duchesse de Guise annonça à sa descendance qu’elle n’avait plus un sou pour les nourrir. Une fois de plus, cette dynastie errante dut se disperser. Le comte et la comtesse de Paris se rendirent à Pampelune, à la recherche d’un nouvel asile. Ils s’apprêtaient à y recueillir leurs enfants laissés au maroc lorsque les Alliés, probablement agacés de l’attitude du comte à Alger, refusèrent de laisser les petits princes et princesses franchir le détroit de Gibraltar. La princesse Françoise, soeur du comte de paris, courut chez les consuls anglais et américains de Tanger : « si vous voulez vraiment embêter le comte de paris envoyez-lui donc ses enfants » leur déclara-t-elle. Ce que les diplomates hilares s’empressèrent de faire. La dessus, certaines autorités franquistes voulurent empêcher le comte de Paris de s’installer i près de la France, et il fallu faire intervenir des amis fidèles et hauts placés. Enfin, la Maison de France pu se retrouver au complet en Navarre, dont tous devaient garder le meilleur souvenir.
Il ne resta plus à Larache que la duchesse de Guise. Cette fée ne devait pratiquement plus quitter sa lointaine retraite, ces lieux chéris où elle attirait comme un phare ses enfants et petits-enfants. Malgré le souvenir des rudes années de la guerre, tous retrouvaient avec bonheur la grande maison blanche aux murs couverts de bougainvilliers pourpres et le vaste jardin plein de mystère, de désordre et de charme. A la mort de la duchesse de Guise survenue en 1961, Larache et le Maroc perdirent toute signification pour les Orléans.
L’après-guerre vit le Portugal devenir le rendez-vous des royautés exilées ou dêtrônées. Le roi d’Italie Humbert II, la famille royale espagnole, Carol Ier de Roumanie, plusieurs archidus d’Autriche avaient trouvé, grâce à la bienveillance du dictateur Salazar un accueil et cette protection dont ils avaient été sevrés.
Claude-Patricia
24 juin 2015 @ 15:12
… »Les Portugais aiment tous les rois, sauf les leurs » se plaignait la reine Amélie toujours en exil. Bientôt son neveu, le comte de paris se joignit au lot fortuné. Il vint s’installer avec les siens à la Quinta d’Anjinho située non loin de Sintra. Entre-temps, chaque étape de leur périple forcé avait vu unou plusieurs enfants étoffer la famille, jusqu’au dernier, Thibault, né au Portugal. Lorsque son fils aîné, Henri atteignit l’adolescence, le Prétendant obtint de la république qu’elle dérogeât à la loi d’exil et autorisât le garçon à poursuivre ses études dans un lycée en France. On en resta là. Si le comte de paris continuait à multiplier les contacts et les publications, se tenant au courant du moindre événement français, il n’en demeurait pas moins écarté de son pays.
Pourtant, un jour de 1950 un député breton, Huttin Degrès, indigné de cette situation qu’il jugeait injuste et rétrograde, proposa à l’Assemblée Nationale d’abolir la loi d’exil. Echaudé par tant d’épreuves et de mauvaises surprises, le comte de Paris restait sceptique. Il avait tort, car l’Assemblée vota sans difficulté l’abrogation. » Comment dire l’émotion que j’ai éprouvée en cet instant? racontat-il. Ainsi qu’en 1926, au moment de l’annonce de l’exil, j’étais frappé de stuppeur et d’angoisse. Je n’y croyais pas. la joie me venait par bouffées. Soudain la France m’allait être rendue, révélée, mais quelle France? …Je ne connaissais mon pays que par oui-dire, jamais hors du temps de mon enfance je n’avais eu l’occasion, sauf en de courts moments pour la plupart clandestins, de m’entretenir sur place avec des Français et d’observer leurs réactions. Les miens étaient aussi impatients que moi. Si nous l’avions pu, nous serions partis le soir-même. L’exil prenait fin! »
Le comte de Paris attendit pourtant quelques mois avant de mettre le pied sur le sol de sa patrie. En signe de gratitude, son premier déplacement consista à aller saluer le député Huttin Degrès en son fief breton. Une visite du célèbre site de Carnac fut organisée. Une vieille paysanne bretonne regardait, sans bouger, sans rien manifester, le cortège évoluer entre les menhirs. Devant son indifférence, le député ne put s’empêcher de lui dire : « Mais savez-vous donc, madame, qui vous avez devant vous? Le roi de France, -Ben dites-lui qu’ici il n’est pas chez lui, qu’il est en Bretagne. »
A Paris, le Prétendant, après s’être empressé d’aller remercier le président de la République Vincent Auriol qui le reçut le plus aimablement du monde, retrouva sa parenté. Ses soeurs l’attendaient impatiemment. Sa préférée, la princesse Françoise, bien que dressée comme tous les siens à ne jamais extérioriser ses émotions, éclatat en sanglots, submergée par la joie, en le serrant dans ses bras. C’était ma mère. Je ne l’avais vue pleurer. J’étais enfant, alors, et en écrivant ces lignes presqu’un demi-siècle plus tard, je me sens encore bouleversé.
Avec le retour en France de l’héritier des rois, la boucle était bouclée, qui avait été ouverte par le départ en exil de louis-Philippe cent ans plus tôt. Le comte de Paris voyait s’ouvrir devant lui la possibilité de remplir un vaste rôle politique et d’entretenir sur le terrain la trdition des rois, ses ancêtres, qui avaient régné pendant mille ans. Ainsi tiendrait-il le flambeau avant de le passer à ses successeurs.
FIN
Lisabé
25 juin 2015 @ 09:06
J’ai retenu de tout cela que « les Orléans n’avaient pas perdu leur bonne humeur »…OUF!
Non,Claude-Patricia,je plaisante,merci de vous être donné de la peine pour nous livrer votre intéressant résumé,c’est gentil à vous.
Bonne journée…sans rien perdre de notre bonne humeur! ;-)))
Claude-Patricia
25 juin 2015 @ 11:15
Bonjour à tous,
Coucou Lisabé,
Vous savez, j’ai compris, peut-être un peu tard, que l’on ne pouvait pas satisfaire tout le monde. Mais je me suis exercée sur mon clavier, je n’ai pas fait de copié-collé automatique. Pour ne pas complètement oublier mon métier de secrétaire. (Oui, j’ai appris trois métiers différents en 20 ans)
Et si ces textes plaisent à certains, cela me réjouit, c’est pour eux que je le fais.
Comme on le sait, à l’heure de cette guerre sans nom, il faut réunir les meilleures volontés. C’est mon souhait pour mon pays.
Charles
25 juin 2015 @ 11:20
Pour ma part je vous remercie et vous félicite de nous faire partager ces textes.
Bien à vous,
Charles
Francine du Canada
26 juin 2015 @ 02:21
Claude-Patricia; merci beaucoup pour chaque instant que vous avez consacré à recopier ces textes. FdC.
Lisabé
26 juin 2015 @ 09:23
Coucou Claude-Patricia,et encore merci à vous! ;-)
COLETTE C.
26 juin 2015 @ 11:23
Merci, Charles pour ces intéressantes précisions, curieux de voir que ces bijoux sont passés des Bonaparte aux Bourbon, et ainsi de suite/
COLETTE C.
26 juin 2015 @ 11:24
FRANCINE DU CANADA, pas très élégant de faire remarquer à quelqu’un ses fautes d’orthographe …
jo de st vic
27 juin 2015 @ 11:27
Actarus…je viens juste de voir votre com….pas la peine de me communiquer le site petit bateau…je suis cliente depuis des decennies ainsi que « chez » armor lux…etc…hilarant Jo le taxi, de l humour je suppose ?bien a vous Goldorak et bonne journée