Le duc de Kent a assisté aux côtés du président allemand aux commémorations des 70 ans du bombardement de la ville de Dresde. Le cousin de la reine Elizabeth a également reçu le Prix Dresde de la paix. (Copyright photos : getty images)
Des centaines de milliers de morts civils brulés vifs et ensevelis, bien évidement qu’il faut s’en souvenir, si le mot commémoration vous indispose changez le. La guerre est ENCORE aujourd’hui à notre porte…
Le duc était accompagné par le Président allemand, Joachim Gauck que l’on voit sur la première photo avec sa compagne.
Le bombardement – ou plutôt les bombardements – ont eu lieu tout à fait à la fin de la guerre et étaient « inutiles » car la ville n’était pas un endroit stratégique. De plus, à ce moment-là, de très nombreuses personnes fuyant l’avancée soviétique s’y étaient réfugiées d’où le nombre très élevé de morts.
La reconstruction à l’dentique de la Frauenkirche après la chute du mur est considérée comme un acte de pardon et de réconciliation (en allemand « Versöhnung »). C’est un artisan anglais dont le père avait bombardé la ville qui a fabriqué la croix qui la surmonte.
je suis allée à Dresde vers 1999, et les pierres de cette église détruite pendant la guerre étaient sur des rangées, emballées par un treillis de fer. Jamais je n’aurais cru qu’on la construirait. Ces débris étaient là depuis plus de 50 ans…
En effet, le bombardement de Dresde était d’autant plus inutile qu’il avait pour but de détruire la voie ferrée…. qui est demeurée intacte. Le général, je crois, était le général Harris.
Le bombardement de Dresde fut un acte meurtrier et dévastateur dont l’utilité stratégique pose problème. Que de vies perdues et de chef d’oeuvre détruits !
Comme à Verdun ou plus récemment à Oradour – sur – Glane , les morts injustes suite à des bombardements ou des représailles exercées en ces lieux permettent aux ennemis d’hier de se retrouver et, au nom de toutes ces victimes , d’honorer et de s’engager à sauvegarder la paix .
On ne commémore pas tant un bombardement que des milliers de morts (25 000 ?), souvent dont les corps ne furent pas retrouvés ou non identifiés du fait du feu et des explosions dans cette ville qui reçut plusieurs tapis de bombes incendiaires ou à fragmentation, et tant de blessés, de souffrances et de destructions dans la superbe capitale de la Saxe, et fallait-il poursuivre les civils essayant de fuir la ville ? Fallait-il cela pour hâter la fin de la guerre, favoriser l’avancée de l’Armée rouge voire venger la destruction de Coventry ?
Le duc est patron depuis 1994 du British Dresden Trust et depuis toujours et comme président de la British-German Association, il sert la cause de la réconciliation entre ces deux peuples qui ont tant souffert des bombardements et il reçoit ce prix aussi, a-t-il dit, au nom de tous ceux qui des deux côtés ont œuvré à la réconciliation et à la reconstruction comme en témoigne la croix offerte par le Royaume-Uni à la cathédrale où était célébré le service.
Le Dresden Trust a donné plus d’un million de livres pour la Frauenkirche, l’église de Notre-Dame.
Parmi les précédents récipiendaires Mikhail Gorbachev et Daniel Barenboim. En 2013 fut honoré le lieutenant-colonel russe Stanislav Petrov qui en 1983 dans un contexte international tendu prit sur lui alors qu’il était en charge de la surveillance aérienne, de négliger ce qui pouvait passer pour un signe d’attaque nucléaire américaine et dont il considéra avec raison que c’était une mauvaise interprétation des capteurs due aux effets du soleil. De même James Nachtwey pour ses photos de guerre et de réfugiés, le rappeur soudanais Emmanuel Jal pour son aide aux enfants que l’ont veut mêler aux guerres.
Merci Gérard et aussi Michèle (ci-dessous) pour les explications additionnelles qui nous éclairent sur les actions positives prises dans ce domaine de la réconciliation et autour de ce prix de la paix décerné au duc de Kent et bien mérité à mon avis. Bon dimanche, FdC
Son Altesse Royale le prince Edward, duc de Kent est honoré aujourd’hui 14 Février 2015 au Semperoper de Dresde avec le « Prix Dresde » prix international de la paix pour sa contribution à la réconciliation entre la Grande-Bretagne et l’Allemagne.
Pour justifier le prix au duc de Kent dit le prix Nobel Günter Blobel, président des «Amis de Dresde », New York, et vice-président des « Amis de Dresde en Allemagne »:
Le « Prix Dresde » pour le prix international de la paix est attribué pour conflits et la prévention de la violence. La réconciliation d’anciens adversaires en temps de guerre peut être un moyen puissant et efficace pour prévenir les conflits futurs ou contribuer au début à la désescalade.
Le duc de Kent a travaillé pendant des décennies pour la réconciliation germano-britannique. Depuis 1994, il est le patron de la Britisch-deutsche-Trust. La présentation de la croix de la tour de l’église Notre Dame, comme un cadeau des Britanniques à Dresde était un symbole impressionnant du changement de la relation entre les anciens ennemis. A cet effet, le duc de Kent a contribué de manière significative. Pour qui n’a pas été touché par la violence, il est facile de tendre la main à la réconciliation. Mais avant que Dresde soit bombardé, les Britanniques ont souffert pendant des années des bombardements de la Luftwaffe allemande. Rien qu’à Londres, beaucoup de personnes sont mortes pendant les bombardements comme dans les raids sur Dresde : environ 25 000 bombes allemandes ont frappé Buckingham palace.
D’autant plus les gestes de réconciliation du duc de Kent sont à estimer justement à Dresde. Au lieu de reproche découlant de la cession de culpabilité, il choisit d’entrer dans l’avenir. Son engagement à Dresde en tant que représentant de la famille royale britannique est un signe de générosité, d’humanité, et sensibilité politique. Son travail devrait être un exemple pour les protagoniste même des conflits d’aujourd’hui dans le monde entier.
Dans sa réponse à l’invitation de recevoir le Prix de Dresde, le duc de Kent a écrit: « Ce prix est un véritable hommage à tous ceux qui sont liés avec les Amis de Dresden Trust. j’ai eu l’honneur d’en être le parrain dans les vingt dernières années. Le prix reconnaît les réalisations de toutes les personnes de bonne volonté dans le Royaume-Uni et l’Allemagne, qui ont travaillé au cours des 60 dernières années pour apporter la réconciliation entre nos deux pays. Leur succès est un exemple pour le reste du monde de ce qui peut être atteint grâce à la confiance et l’amitié
Le prix de la paix est décerné chaque année au Semperoper. Le premier gagnant du prix Nobel de la Paix a été Mikhaïl Gorbatchev, le prix pour son engagement au désarmement nucléaire a été attribué le 14 février 2010
2010: Michail Gorbatschow, Friedensnobelpreisträger
2011: Daniel Barenboim, Pianist und Dirigent
2012: James Nachtwey, Kriegsfotograf
2013: Stanislaw Petrow, ehemaliger Sowjetoffizier
2014: Emmanuel Jal, Ex-Kindersoldat
source : Friends of Dresden Deutschland
La reine Elizabeth II avait envoyé en 2004 un message écrit au président Köhler, en évoquant le « symbole fort de la réconciliation » entre l’Allemagne et la Grande-Bretagne qu’incarnait la reconstruction de l’église.
Le duc de Kent est le « patron » (en anglais) du Dresden Trust …. merci de jeter un coup d’œil cela pourrait aider à la compréhension de cet évènement http://dresdentrust.org/
Ce que je retiens également c’est que la parentèle de la famille Winddor est utile. Le prince Charles a tord de vouloir réduire la famille royale. Elle sera moins représentée et bcp d événements perdront de leur sens et prestige.
Bravo au duc de Kent pour sa persistance, ses principes moraux, et sa foi en l’avenir. A l’occasion de cette commémoration, je voudrais mentionner le livre de Kurt Vonnegut, Slaughterhouse-Five. Soldat américain prisonnier à Dresde lors des bombardements, il fut marqué par cette expérience à vie. Son chez-d’oeuvre est un roman de fiction/science fiction, philosophique/ absurde, aussi original que l’auteur. Vonnegut force une réévaluation de ces conflits toujours à l’ordre du jour. Direct, libre-penseur jusqu’à sa mort en 2007, qu’aurait-il écrit aujourd’hui?
Heureusement que depuis 1945, des hommes et femmes de bonne volonté se battent pour que la paix perdure dans notre occident, qu’ils en soient tous remerciés.
Moi non plus je ne savais pas que le duc avait ce rôle si important, ne le voyant qu’à la télé au moment de Windbledon ! Mais comme ses actions n’étaient pas médiatisées en dehors de son pays, impossible de savoir quoique ce soit. En tout cas en France la famille royale est plus abonnée à la rubrique people qu’autre chose.
J’espère que l’un de ses fils reprendra le flambeau, à moins que le prince Harry ne s’en occupe.
jocelynede
14 février 2015 @ 09:51
Honnetement, faut-il commémorer un bombardement, ST Nazaire qui a été détruit dans une grande partie n’arrêterait pas de commémorer, c’est rédicule
DEB
14 février 2015 @ 10:48
Je suis d’accord avec vous.
On commémore une victoire, pas un bombardement.
Quentin
14 février 2015 @ 11:21
Vous ne savez pas de quoi vous parlez.
Babette de Chambrun
14 février 2015 @ 22:35
Des centaines de milliers de morts civils brulés vifs et ensevelis, bien évidement qu’il faut s’en souvenir, si le mot commémoration vous indispose changez le. La guerre est ENCORE aujourd’hui à notre porte…
Dame Tartine
14 février 2015 @ 11:34
qu’a-t-il fait de special pour mériter un prix ?
Anastasie
14 février 2015 @ 11:36
Le duc était accompagné par le Président allemand, Joachim Gauck que l’on voit sur la première photo avec sa compagne.
Le bombardement – ou plutôt les bombardements – ont eu lieu tout à fait à la fin de la guerre et étaient « inutiles » car la ville n’était pas un endroit stratégique. De plus, à ce moment-là, de très nombreuses personnes fuyant l’avancée soviétique s’y étaient réfugiées d’où le nombre très élevé de morts.
La reconstruction à l’dentique de la Frauenkirche après la chute du mur est considérée comme un acte de pardon et de réconciliation (en allemand « Versöhnung »). C’est un artisan anglais dont le père avait bombardé la ville qui a fabriqué la croix qui la surmonte.
Francine du Canada
15 février 2015 @ 01:16
Merci Anastasie; votre commentaire est instructif et très intéressant. Bon dimanche, FdC
Palatine
15 février 2015 @ 10:30
je suis allée à Dresde vers 1999, et les pierres de cette église détruite pendant la guerre étaient sur des rangées, emballées par un treillis de fer. Jamais je n’aurais cru qu’on la construirait. Ces débris étaient là depuis plus de 50 ans…
lorraine 1
14 février 2015 @ 12:22
En effet, le bombardement de Dresde était d’autant plus inutile qu’il avait pour but de détruire la voie ferrée…. qui est demeurée intacte. Le général, je crois, était le général Harris.
Cosmo
14 février 2015 @ 12:45
Le bombardement de Dresde fut un acte meurtrier et dévastateur dont l’utilité stratégique pose problème. Que de vies perdues et de chef d’oeuvre détruits !
flabemont8
14 février 2015 @ 14:39
Comme à Verdun ou plus récemment à Oradour – sur – Glane , les morts injustes suite à des bombardements ou des représailles exercées en ces lieux permettent aux ennemis d’hier de se retrouver et, au nom de toutes ces victimes , d’honorer et de s’engager à sauvegarder la paix .
Gérard
14 février 2015 @ 17:49
On ne commémore pas tant un bombardement que des milliers de morts (25 000 ?), souvent dont les corps ne furent pas retrouvés ou non identifiés du fait du feu et des explosions dans cette ville qui reçut plusieurs tapis de bombes incendiaires ou à fragmentation, et tant de blessés, de souffrances et de destructions dans la superbe capitale de la Saxe, et fallait-il poursuivre les civils essayant de fuir la ville ? Fallait-il cela pour hâter la fin de la guerre, favoriser l’avancée de l’Armée rouge voire venger la destruction de Coventry ?
Le duc est patron depuis 1994 du British Dresden Trust et depuis toujours et comme président de la British-German Association, il sert la cause de la réconciliation entre ces deux peuples qui ont tant souffert des bombardements et il reçoit ce prix aussi, a-t-il dit, au nom de tous ceux qui des deux côtés ont œuvré à la réconciliation et à la reconstruction comme en témoigne la croix offerte par le Royaume-Uni à la cathédrale où était célébré le service.
Le Dresden Trust a donné plus d’un million de livres pour la Frauenkirche, l’église de Notre-Dame.
Parmi les précédents récipiendaires Mikhail Gorbachev et Daniel Barenboim. En 2013 fut honoré le lieutenant-colonel russe Stanislav Petrov qui en 1983 dans un contexte international tendu prit sur lui alors qu’il était en charge de la surveillance aérienne, de négliger ce qui pouvait passer pour un signe d’attaque nucléaire américaine et dont il considéra avec raison que c’était une mauvaise interprétation des capteurs due aux effets du soleil. De même James Nachtwey pour ses photos de guerre et de réfugiés, le rappeur soudanais Emmanuel Jal pour son aide aux enfants que l’ont veut mêler aux guerres.
Francine du Canada
15 février 2015 @ 13:00
Merci Gérard et aussi Michèle (ci-dessous) pour les explications additionnelles qui nous éclairent sur les actions positives prises dans ce domaine de la réconciliation et autour de ce prix de la paix décerné au duc de Kent et bien mérité à mon avis. Bon dimanche, FdC
Michèle
14 février 2015 @ 18:15
Son Altesse Royale le prince Edward, duc de Kent est honoré aujourd’hui 14 Février 2015 au Semperoper de Dresde avec le « Prix Dresde » prix international de la paix pour sa contribution à la réconciliation entre la Grande-Bretagne et l’Allemagne.
Pour justifier le prix au duc de Kent dit le prix Nobel Günter Blobel, président des «Amis de Dresde », New York, et vice-président des « Amis de Dresde en Allemagne »:
Le « Prix Dresde » pour le prix international de la paix est attribué pour conflits et la prévention de la violence. La réconciliation d’anciens adversaires en temps de guerre peut être un moyen puissant et efficace pour prévenir les conflits futurs ou contribuer au début à la désescalade.
Le duc de Kent a travaillé pendant des décennies pour la réconciliation germano-britannique. Depuis 1994, il est le patron de la Britisch-deutsche-Trust. La présentation de la croix de la tour de l’église Notre Dame, comme un cadeau des Britanniques à Dresde était un symbole impressionnant du changement de la relation entre les anciens ennemis. A cet effet, le duc de Kent a contribué de manière significative. Pour qui n’a pas été touché par la violence, il est facile de tendre la main à la réconciliation. Mais avant que Dresde soit bombardé, les Britanniques ont souffert pendant des années des bombardements de la Luftwaffe allemande. Rien qu’à Londres, beaucoup de personnes sont mortes pendant les bombardements comme dans les raids sur Dresde : environ 25 000 bombes allemandes ont frappé Buckingham palace.
D’autant plus les gestes de réconciliation du duc de Kent sont à estimer justement à Dresde. Au lieu de reproche découlant de la cession de culpabilité, il choisit d’entrer dans l’avenir. Son engagement à Dresde en tant que représentant de la famille royale britannique est un signe de générosité, d’humanité, et sensibilité politique. Son travail devrait être un exemple pour les protagoniste même des conflits d’aujourd’hui dans le monde entier.
Dans sa réponse à l’invitation de recevoir le Prix de Dresde, le duc de Kent a écrit: « Ce prix est un véritable hommage à tous ceux qui sont liés avec les Amis de Dresden Trust. j’ai eu l’honneur d’en être le parrain dans les vingt dernières années. Le prix reconnaît les réalisations de toutes les personnes de bonne volonté dans le Royaume-Uni et l’Allemagne, qui ont travaillé au cours des 60 dernières années pour apporter la réconciliation entre nos deux pays. Leur succès est un exemple pour le reste du monde de ce qui peut être atteint grâce à la confiance et l’amitié
Le prix de la paix est décerné chaque année au Semperoper. Le premier gagnant du prix Nobel de la Paix a été Mikhaïl Gorbatchev, le prix pour son engagement au désarmement nucléaire a été attribué le 14 février 2010
2010: Michail Gorbatschow, Friedensnobelpreisträger
2011: Daniel Barenboim, Pianist und Dirigent
2012: James Nachtwey, Kriegsfotograf
2013: Stanislaw Petrow, ehemaliger Sowjetoffizier
2014: Emmanuel Jal, Ex-Kindersoldat
source : Friends of Dresden Deutschland
La reine Elizabeth II avait envoyé en 2004 un message écrit au président Köhler, en évoquant le « symbole fort de la réconciliation » entre l’Allemagne et la Grande-Bretagne qu’incarnait la reconstruction de l’église.
Michèle
JAusten
14 février 2015 @ 21:09
Le duc de Kent est le « patron » (en anglais) du Dresden Trust …. merci de jeter un coup d’œil cela pourrait aider à la compréhension de cet évènement http://dresdentrust.org/
Anastasie
15 février 2015 @ 09:28
Merci pour ce lien très utile et intéressant.
Dame Tartine
15 février 2015 @ 10:32
Maintenant j’ai compris le rôle du duc de Kent.
Gérard
15 février 2015 @ 11:58
Notons que le 3ème raid fut américain sur une ville déjà largement détruite par les attaques de la RAF.
JAY
15 février 2015 @ 23:18
Ce que je retiens également c’est que la parentèle de la famille Winddor est utile. Le prince Charles a tord de vouloir réduire la famille royale. Elle sera moins représentée et bcp d événements perdront de leur sens et prestige.
Camille Gilbert
16 février 2015 @ 15:42
Bravo au duc de Kent pour sa persistance, ses principes moraux, et sa foi en l’avenir. A l’occasion de cette commémoration, je voudrais mentionner le livre de Kurt Vonnegut, Slaughterhouse-Five. Soldat américain prisonnier à Dresde lors des bombardements, il fut marqué par cette expérience à vie. Son chez-d’oeuvre est un roman de fiction/science fiction, philosophique/ absurde, aussi original que l’auteur. Vonnegut force une réévaluation de ces conflits toujours à l’ordre du jour. Direct, libre-penseur jusqu’à sa mort en 2007, qu’aurait-il écrit aujourd’hui?
Claude-Patricia
17 février 2015 @ 19:21
Plus jamais la guerre, et vivement que l’on trouve un terrain d’entente à l’Est, parce que sinon ça ne finira jamais, un peu comme au Proche-Orient.
Claude-Patricia
19 février 2015 @ 16:25
Heureusement que depuis 1945, des hommes et femmes de bonne volonté se battent pour que la paix perdure dans notre occident, qu’ils en soient tous remerciés.
Moi non plus je ne savais pas que le duc avait ce rôle si important, ne le voyant qu’à la télé au moment de Windbledon ! Mais comme ses actions n’étaient pas médiatisées en dehors de son pays, impossible de savoir quoique ce soit. En tout cas en France la famille royale est plus abonnée à la rubrique people qu’autre chose.
J’espère que l’un de ses fils reprendra le flambeau, à moins que le prince Harry ne s’en occupe.