Le prince Jean et la princesse Philomène, duc et duchesse de Vendôme seront à Pau le 29 mars prochain. Comme l’indique le journal « La République des Pyrénées », le duc de Vendôme aura à coeur de faire visiter à son épouse la ville berceau de sa famille. Pour la duchesse, ce sera ausis un retour aux sources puisque son grand-père fut consul d’Espagne à Pau avant la guerre civile espagnole. Le prince présidera une conférence « Management des entreprises et vision capétienne » à 18h30 à l’Ecole supérieure de commerce de Pau. (Merci à Marie du Béarn – Copyright photo d’archives : site Gens de France- Source : journal République des Pyrénées)
jul
24 mars 2011 @ 06:45
Eh bien, je leur souhaite un beau séjour à Pau. J’espère que le Prince d’Orléans aura du succès lors de sa conférence.
Management des entreprises et vision capétienne hmmm orléaniste, ça doit être du genre « comment bien gérer les entreprises dans un esprit Chrétien et NATIONAL » lol
J’aimerai bien lire le texte de la conférence pour dépasser mon préjugé. Charles pouvez-vous nous indiquer un lien? Peut-être aurons-nous un compte rendu :)
Charles
24 mars 2011 @ 08:52
La duchesse de Vendome doit être ravie de découvrir la ville de Pau, patrie d’Henri IV, fondateur de la dynastie des Bourbons.
Le Dauphin aime se rendre en terre capétienne. Il aura cette fois la joie et l’honneur de jouer le guide pour celle qui a choisi de l’accompagner tout au long de sa vie.
Le prince Gaston accompagnera-t-il ses parents? La question est sur toute les levres des royalistes.
Nous aurons bientot la reponse grace a la gentillesse de nos « reporters envoyes speciaux Noblesse et Royautes ».
Marie louise
24 mars 2011 @ 09:05
J ai les même préjugés que vous,jul!
Caroline
24 mars 2011 @ 09:36
Chere Marie du Bearn,avant de commencer a lire cet article,j’ai deja su que c’est vous-meme qui avez propose cette info sur la venue du couple ducal de Vendome dans votre ville bien-aimee!Peut-etre,a bientot avec les photos de cette prochaine visite!
Louise-Marie
24 mars 2011 @ 09:39
J’apprécie le duc et la duchesse de Vendôme. Ils semblent sympathiques et remplissent leur rôle avec sérieux et noblesse.
Le prince Gaston est aussi très mignon.
Etienne
24 mars 2011 @ 11:18
Merci de nous tenir informé de l’actualité de la famille royale de France et plus particuliérement encore celle du prince Jean et de la princesse Philoména.
Le duc de Vendôme est un prince qui avance à petit pas, il a raison de parcourir la France à la rencontre de ses habitants. J’espére que l’on aura ici un compte-rendu de cette visite royale.
francesca
24 mars 2011 @ 11:35
Allons,Jul,allez-y sans préjugé.Soyez solidaires des chargés de cours et du BDE de Sup de Co Pau qui ferons acte de présence..
Charles
24 mars 2011 @ 12:21
Jul,
Je n’ai pas le texte de la conférence du duc de Vendôme. Je peux simplement vous dire que le sujet était passionnant et traité d’une manière neuve.
Le prince Jean pourrait encore vous surptendre dans les mois à venir.
Il occupe la place qui est la sienne et je suis très heureux de constater que ses projets sont ceux d’un Capétien.
Bien à vous,
Charles
Actarus
24 mars 2011 @ 12:48
Comme c’est sympa à son mari de faire découvrir le sud de la France à cette princesse Espagnole. ;-)
Esperanza ! ^^
jul
24 mars 2011 @ 12:48
Ah ah Marie Louise et Francesca ;D on se comprend.
Je vous remercie d’avance Charles, tenez moi au courant. Je serai heureux d’en juger par même mais je ne vous garantie pas mon admiration par la suite.
Je me doutais bien des adjectifs laudatifs que vous alliez employer lol
Votre message 2 est très … »charlesque » ou « charlien » mdr :D Bienvenue dans le monde merveilleux des gentils Princes d’Orléans !
pierre-yves
24 mars 2011 @ 14:00
Charles, 2,
C’est merveilleux ! Cette visite nous transporte.
Oui, nous voudrions que Gaston y soit, car il n’est pas trop tôt pour que ce délicieux bambin si prometteur, si porteur d’espérance, connaisse le berceau du bon roi Henri, son glorieux ancêtre.
Jeannot, Phiphi et Gastounet dans leur ville, que les Palois sont donc chanceux !
je vais immédiatement prévenir mon neveu, qui y vit, afin qu’il se poste sur le passage de notre vénéré trio et qu’il m’envoie une jolie photo.
neoclassique
24 mars 2011 @ 14:09
jul 9
j’ai beaucoup ri en lisant vos messages.
Naturellement le chambellan de la maison cadette nous décrit tjrs son poulain comme vivant dans le pays des Bisounours.
mais que voulez-vous? il ne peut pas refaire son moule de fabrique…
Mais le jeune Vendôme aura fort à faire devant des étudiants d’écoles de commerce car il se s’agira pas là d’un public de « béni-oui-oui » tout acquis à sa cause.
Ancien élève moi-même d’une école de commerce, je sais ce que peut être l’exigeance des étudiants face à leurs intervenants.
Et le « savoir-faire » de communiquant du jeune Vendôme me laisse plus que sceptique.
IL parait qu’il est question de le rémunérer entre 3000 et 5000€ pour cette intervention. Je suis ahuri, pour ne pas dire scandalisé.
Qu’en dites-vous Jul?
Myriam
24 mars 2011 @ 15:46
Il y a une chose qui me surprend toujours chez ce couple: On ne voit jamais Philomena porter son fils. Il est toujours dans les bras de son père!
Charles
24 mars 2011 @ 17:00
Marie-Louise,
N’oubliez-pas que « les préjugés sont des ligatures ».
Arielle
24 mars 2011 @ 17:10
Le bambin est à croquer. Les parents me plaisent aussi.
Tonton Soupic
24 mars 2011 @ 17:40
Charles (14)
Vous avez tout à fait raison. Mais je dirais même plus : les ligatures se trompent !
Tonton Soupic
24 mars 2011 @ 17:58
pierre-yves (11)
C’est vrai, les Putois ont bien de la chance de pouvoir approcher nos deux princes père et fils, ainsi que la princesse Philoména.
Tonton Soupic
24 mars 2011 @ 17:59
Je voulais dire les Pautois, désolé pour la faute de frappe.
Marie du Béarn
24 mars 2011 @ 18:50
Néoclassique,
D’après la République des Pyrénées du 21 mars:
« Les conférenciers invités par Fernando Cuevas touchent de 3 000 à 5 000 euros la journée et sont défrayés. Mais certaines personnalités, trop gourmandes, ne sont finalement pas retenues par l’École supérieure de commerce. Jacques Attali aurait, par exemple, demandé 10 000 euros pour venir à Pau et Daniel Herrero souhaitait recevoir 6 000 €.
Ce sont les entreprises, la Chambre de commerce et d’industrie ou les associations professionnelles qui financent ces rendez-vous culturels. Selon le « sponsor » de la conférence, l’invité doit suivre tout un programme concocté par Fernando Cuevas. Dès son arrivée à Pau, le conférencier est convié à une première conférence au sein de l’entreprise, avant une série de dédicaces et un déjeuner avec des dirigeants. Et après le point presse, suivi de la conférence du soir, le conférencier doit se rendre à un dîner « VIP ». »
Charles,
D’après cet article, le duc de Vendôme ne sera « libre » qu’après le diner « VIP ».
Savez-vous s’il compte rester quelques jours à Pau avec sa petite famille ?
Colette C.
24 mars 2011 @ 19:07
Merci, Marie du Béarn, nous comptons sur vous pour jouer au reporter photo!
jul
24 mars 2011 @ 19:43
Comment Actarus? autant d’argent pour une journée de conférence? ce serait vraiment déraissonnable. Il faut trois mois de travail aux Français pour gagner cela et souvent plus ! Je suis d’accord qu’il faille payer à leur juste valeur les intellectuels pour les conserver chez nous. Mais ce chiffre serait trop déraisonnable. D’autant plus qu’il ne risque pas de s’expatrier.
Si cette somme est avérée, on peut compter sur le bon coeur du Prince d’Orléans pour en reverser une partie à une oeuvre de charité.
Ce n’est pas lui qu’il faut incriminer, mais les organisateurs qui versent des rémunérations aussi extravagantes.
Charles nous éclairera sûrement.
Harald
24 mars 2011 @ 21:49
Juste pour information et pour celles et ceux que ça intéresse le Prince Jean a déjà donné des conférences et fait salle comble à Pau:
-en 2006 notamment.
-2009 à L’ESC de Pau et son auditoire a du être conquis puis qu’aujourd hui lui est demandé de s’exprimer devant un auditoire pour le moins averti .
Aramis
24 mars 2011 @ 22:38
Tout prince qu’il soit et tout dynaste qu’il soit aussi, selon une position certes variable suivant les chapelles, c’est sur ses qualités propres qu’il sera jugé et un public d’étudiants peu rompus aux charmes de la monarchie, et probablement ignorants jusqu’à il y a peu de ce qu’il existait encore des descendants des rois de France, sera sans doute fort exigeant, tout comme devrait l’être l’école qui prend en charge les frais, de quelque montant qu’ils soient.
Je souhaite de tout coeur que le prince Jean soit à la hauteur… ce qui signifie que j’ai quelque inquiétude sur ce point, mais je ne le connais pas.
Quant à Gaston, je ne pense pas que les royalistes français soient suspendus à la grande question de savoir s’il sera présent ou non lors de cette journée à Pau. J’espère en tout cas que telle n’est pas leur préoccupation du moment, sauf à considérer qu’ils auraient perdu toute mesure de l’importance des choses dans les temps, fort troublés à des titres divers, où nous sommes…
Marie du Béarn
25 mars 2011 @ 08:36
Tonton Soupic,
Désolée, les habitants de Pau sont appelés les palois et non les pautois! :)
neoclassique
25 mars 2011 @ 09:01
Aramis 23
vous avez parfaitement résumé la fond de ma pensée.
il ne suffit pas d’être né Orléans pour avoir reçu la grâce de savoir dispenser la parole divine.
Et le moins que l’on puisse dire c’est que Vendôme est un piètre communicant. Tout le monde se souvient de sa prestation il y a 2 mois dans l’émission de Madame ScHonberg… point n’est besoin d’en rajouter.
De toute évidence, il est invité parce qu’il apparaît comme une curiosité de l’histoire et que le thème qu’il aborde est pour le moins audacieux, voire même provocateur.
Maintenant c’est à charge pour lui de faire ses preuves et c’est là que tout commence.
Michael
25 mars 2011 @ 10:47
je fais suivre un article très intéressant sur le crâne d’Henri IV: http://www.monarquiaconfidencial.com/pg_Articulo.aspx?IdObjeto=2758
Les Bourbons-Parme refuseraient l’inhumation car ils sont en froid avec l’espagnol don Luis-Alfonso de Borbon et détiennent les « clés » de Saint-Denis. Et surtout c’est pas du tout sure que ce soit la tête d’Henri IV.
Vivement que la basilique des Rois de France soit rendue à la famille de France. Cela éviterait ce genre de guéguerre de familles royales étrangères à la dynastie française.
neoclassique
25 mars 2011 @ 11:25
Marie du Béarn 19
Il sera intéressant d’avoir le compte-rendu que fera de cette conférence le journal la Rpublique des Pyrénées sur cette conférence.
Ce sera le juge de paix effectif de la qualité de l’intervention de Vendôme beaucoup plus que la récurrente et exaspérante dithyrambe carliste.
Charles
25 mars 2011 @ 11:38
Myriam,
Si vous vous promeniez dans les rues du VIIe arrondissement de Paris, vous verriez très souvent le Petit Dauphin dans les bras de sa maman.
Charles
25 mars 2011 @ 11:42
Harald,
Je ne peux que confirmer vos dires. C’est d’ailleurs la chambre de commerce qui a demandé au prince Jean de donner à nouveau une conférence compte-tenu du succès de la précédente.
Le public était enthousiasme et nombreux.
Guyard
25 mars 2011 @ 12:16
à Michael, la basilique des Rois de France appartient aux Français et aucunement à des familles privées. Le ministère de la Culture doit se saisir de la tête, l’identifier et décider de son sort.
jul
25 mars 2011 @ 12:40
Michael et sa phobie des Maisons royales « étrangères » lol :D
Comment être étrangers quand on descend par les mâles des Rois de France et de Navarre?
Actarus
25 mars 2011 @ 12:45
My dear Charlie,
c’est évident qu’il est à la portée de toutes les bourses d’habiter un appartement à Paris VII qui, comme chacun le sait, est l’arrondissement le plus touristique de Paris. ;-)
Mais voyons donc ! :)
Actarus
25 mars 2011 @ 13:10
Tonton Soupic et Marie du Béarn,
mois je croyais qu’on les appelait « les Paumés ». ;-)
Bonne journée. ^^
Michael
25 mars 2011 @ 15:57
Guyard, je voulais dire que le mémorial de Saint-Denis devrait être par un Prince de la maison de France et non pas par un Prince italien.
Jul, je dois vous rappeler que Don Luis-Alfonso de Borbon, avant de descendre des rois de France, descend de 7 rois d’Espagne.
Actarus
25 mars 2011 @ 18:02
Michael,
beaucoup de Bourbon-Parme possèdent la nationalité française mais selon vous seuls les Orléans devraient la posséder, n’est-ce pas ? Bientôt vous nous direz aussi que le duc de Parme n’est qu’un aristocrate hollandais.
Je vous rappelle aussi qu’avant de descendre de 7 rois d’Espagne, le Duc d’Anjou descend de 3 rois de France Bourbons et de Saint Louis et de ses prédécesseurs. Vous êtes fatigant tant vous êtes infatigable dans vos attaques. ;-)
Marie du Béarn
25 mars 2011 @ 19:03
Mon cher cousin Actarus de France,
:) Je suis paloise, non « paumée » et j’aime bien le jeu de paume, ancêtre de la pelote basque, du tennis etc…
Bon week-end à vous!
Aramis
25 mars 2011 @ 19:22
32 on ne va qd meme pas commencer a reprochet au duc de vendome d’habiter dans un quartier chic de Paris !!
jul
25 mars 2011 @ 19:31
Michael, pour moi Hugues Capet, Louis IX, Henri IV, Louis XIV sont plus importants que certains rois d’Espagne. Désolé d’aimer les Rois de France ;) !
Aramis
25 mars 2011 @ 19:34
Neoclassique 25 : je lui souhaite cependant de reussir le mieux du monde. a force de faire des conferences pt etre lui viendra t il
une eloquence d’experience qui peut compenser l ‘absence d’eloquence naturelle … comme peut le faire aussi son caractere visiblement consciencieux, applique et reflechi. il se met en tout cas dans des situations ou le devoir de reussir s’impose ! en tout cas, s’il
n’a pas la verve d’un jean d’ormesson ou d’ un edgard Faure , je n’ai pas souffert a l’entendre comme j’ai pu le faire en entendant son pere lors de directs televises. (excusez accents et raccoucis pour cause d’iphone)
Michael
25 mars 2011 @ 19:37
Les princes de Bourbons-Parme sont des Princes italiens, comme en témoigne leur nom « Parme ». leur chef de Maison étant le Duc de Parme.
neoclassique
25 mars 2011 @ 20:14
Je voudrais dire aux mauvais coucheurs orléanistes que les Bourbon-Parme ne s’opposent aucunement au dépôt de la tête d’Henri IV à St Denis. Seul le prince Sixte regrette seulement qu’un test ADN n’ait pas pu être effectué.
Le Mémorial de France à St Denys a été fondé par le prince Xavier de Bourbon Parme qui était français et doublement Bourbon, par son père et par sa mère.
Il est aujourd’hui dirigé par le duc de Bauffremont qui a beaucoup oeuvré pour faire en sorte qu’en cette nécropole des rois de France, se perpétue l’ordonnance royale voulue par Louis XVIII en 1815.
Les Orléans n’ont rien à voir avec ce lieu, leur nécropole à eux est à Dreux où sont tous les Orléans depuis la fin du XVIIIe et où, de manière très immodeste , Louis-Philippe est le seul a être représenté debout, là même où tous sont allongés ou agenouillés.Quel preuve d’un suprême orgueil!
neoclassique
25 mars 2011 @ 20:28
Guyard 30
contrairment aux informations , comme à l’habitude, erronnées véhiculées par certains orléanistes, comme à l’habitude, mal intentionnés, la basilique de St Denis est bel et bien à la France.
Seule la crypte royale des Bourbons est confiée au Mémorial de France à St Denys créé par le prince Xavier de Bourbon-Parme, à la fois français et doublement Bourbon, par son père et par sa mère.
C’est le mémorial et non la république qui fait vivre l’ordonnance royale édictée par Louis XVIII en 1815 et qui vise à commémorer les anniversaires royaux des 21 janvier et 16 octobre.
Nemausus
25 mars 2011 @ 22:54
Comment être étonné que les légitimistes interviennent quand on lit constamment les mêmes désinformations du sieur Michael (26) dans la volonté de tromper les lecteurs et de toujours dénigrer tout ce qui n’est pas Orléans…
C’est ce même Michael et ses amis qui ont le culot de dire que les légitimistes attaquent toujours les orléans alors que nos attaques sont surtout dirigées contre leurs partisans henrikistes qui nous ressortent constamment les mêmes mensonges…
Le duc d’Anjou descend en effet de rois d’Espagne et en ligne directe et ainée par les mâles de Louis XIV et de ses prédécesseurs, ce que ne peuvent invoquer les Orléans.
Merci à néoclassique de rectifier une fois de plus les mensonges de cet henrikiste forcené.
Et Michael dans sa volonté de nuisance aussi contre les Bourbon-Parme oublie toujours une information primordiale… c’est que la plupart de ces princes sont aussi français que le duc d’Anjou ou ses Orléans !
jul
26 mars 2011 @ 06:33
Michael , les princes de Bourbon-Parme sont Français et Italiens comme en témoignent les noms « Bourbon » et « Parme » ah ah :D
Moi, je vois la France en priorité et vous l' »étranger », étrange non?
Michael
26 mars 2011 @ 11:00
Je voulais suggérer seulement que les d’Orléans devraient être associés logiquement au mémorial de Saint-Denis en tant que membres de l’association, voire présider à tour de rôle avec les Bourbons-Parme. Nombre de Princes ont la double nationalité du fait des mariages dynastiques internationaux, en revanche chacun appartient à une famille royale d’un pays défini. Les Bourbons ne font pas partie de la famille royale de France, mais de la famille ducale de Parme, de même Don Luis-Alfonso de Bourbon, appartient à une branche non dynaste de la famille royale espagnole, le duc de Catro est le chef de la Maison royale des Deux-Siciles, le prince Rafael d’Orléans-Bragance appartient à la famille impérial du brésil, Don Alvaro d’Orléans, à une branche non-dynaste de la famille royale espagnole, le Prince Sébastien de Luxembourg, à la famille Grand-Ducale…etc
Quand on est Prince d’un pays, on en prend le nom avec l’autorisation de son chef, c’est le cas de Radu Duda en Roumanie, du Prince Daniel en Suède.
Le prince légitime d’un pays est avant tout celui qui s’engage qui y prends corps, qui s’associe totalement au destin du pays dont il est le Prince.
Tonton Soupic
26 mars 2011 @ 12:53
Michael (45)
Vous avez tout à fait raison et je vous approuve totalement. Nos princes d’Orléans se sont d’ailleurs, et c’est tout à leur honneur, associés au destin de la France dès la Révolution en faisant tomber le régime archaïque qui avait cours depuis trop longtemps, n’hésitant pas à employer les moyens appropriés pour écarter les Bourbons, qui comme étrangers n’avaient pas à régner en France, et mettre à la place un vrai gouvernement de Français, à savoir la République et sa démocratie populaire.
Jul (44)
Arrêtez de faire tout un fromage chaque fois que l’on dit que les Bourbon-Parme sont étrangers. D’ailleurs, ces gens sont manifestement de fins gastronomes puisqu’ils ont quitté le pays du grana padano pour celui du gouda.
jul
26 mars 2011 @ 13:49
Tonton Soupic, j’ai bien aimé votre dernière remarque :D
Avant d’être des Gran Padano ou du Gouda les princes de Bourbon-Parme sont des Princes du Pays des Fromages :) !!! la France !
Il serait un comble que les Bourbons ne soient pas Français !
Ils le mérite plus que nous tous.
jul
26 mars 2011 @ 13:50
pardon méritent :)
Michael
26 mars 2011 @ 14:10
Tonton Soupic, c’est vrai que le comte de Chambord et Charles X ont tout fait pour qu’il n’y ait pas de République…..
Nemausus
26 mars 2011 @ 15:20
les henrikistes ne supportent vraiment pas qu’un prince capétien puisse être autant français que leurs orléans au point d’en arriver à fustiger systématiquement tout ce qui a une connotation étrangère à leurs yeux… toujours cette même rengaine …
pour couper définitivement l’espérance des orléans dans le traité d’utrecht, il suffit pour cela de se référer au droit international : une convention signée sous la contrainte est nulle de plein droit pour l’état victime.
Par ailleurs un traité international instaurant la paix devient caduque dès lors que les parties signataires reprennent la guerre. Or la France et l’Angleterre ainsi que les autres parties au traité ont été à nouveau en guerre après 1713.
Un traité international doit aussi respecté le principe d’application réciproque par les parties contractantes : or tel ne fut pas le cas car le traité prévoyait le maintient du Québec sous l’autorité française et l’Angleterre s’empara néanmoins de ces possessions.
l’art 9 du traité prévoyait que les fortifications de Dunkerque devaient être détruites : la France n’a pas appliqué cet art. Dès lors les parties signataires ont toutes violées les clauses de ce traité. Il en ressort qu’il est devenu caduque par cet effet !
Dès lors le traité d’Utrecht est bien nul de plein droit, nonobstant la nullité des renonciations obtenues sous la contrainte avec la menace de la poursuite de la guerre et de la non transcription des renonciations dans le droit français positif.
Ainsi les renonciations illégales de Philippe V pour lui même et sa descendance sont considérées comme n’ayant jamais existé.
Mémoire sur les droits de la maison d’Anjou à la couronne de France par Th DERISSEYL, avocat, ancien bâtonnier 1885.
commentaires à la convention de Vienne sur le droit des traités, 1969, confirmant l’interprétation de la nullité des traités signés sous la contrainte, de la violation du traité par l’une des parties ou de .
Traité international n°182 Dalloz.
Michael
26 mars 2011 @ 15:43
interview du Prince Jean de France, duc de Vendôme, pour la République des Pyrénées: http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2011/03/26/jean-de-france-de-retour-sur-les-terres-de-son-ancetre,186816.php
Il annonce que le Prince Gaston sera présent….
cosmo
26 mars 2011 @ 16:42
Charles (2),
Depuis quand le Béarn est-il terre capétienne? Il ne fut même pas terre bourbonnienne car c’est de sa mère, Jeanne d’Albret, Reine de Navarre, à la foi protestante notoire, que Henri IV le tenait.
En tout état de cause le duc de Vendôme qui n’est pas Dauphin de France le serait encore moins en Béarn.
Vous semblez oublier que pour être roi de France, il ne faut pas seulement être dynaste, il faut aussi avoir été sacré, et il faut enfin exercer la souveraineté. Ces trois conditions minimum s’imposent( Henri IV a eu à en connaître). L’impossibilité juridique de la vacance du trône, concept tardif, n’étant possible que tout autant qu’il y a un trône. Or je me permets de vous rappeller que la France est actuellement une république sans trône.
Un roi sans couronne n’est pas roi et son fils encore moins Dauphin. Quant au fils du prétendant, seule qualité royale du comte de Paris qui d’ailleurs n’en revendique pas d’autres….il est duc de Vendôme, par courtoisie.
Cessez, de grâce, de donner des titres fantaisistes aux princes, cela les décrédibilise.
Aramis
26 mars 2011 @ 22:27
jul (47) plus que nous tous je ne sais pas… pour avoir ete anonymes, nos ancetres ont aussi contribue a la grandeur du pays et … aux ressources des rois et des princes jusqu’a ce jour s’ ils ont encore un heritage.
Aramis
26 mars 2011 @ 22:30
heureux que gaston soit du voyage meme si ce n’etait pas mon souci premier !
jul
27 mars 2011 @ 09:11
Vous avez raison Aramis, mais la France se serait pas ce qu’elle est aujourd’hui sans ses les Capétiens, qui ont construit son territoire, choisi le Français pour langue nationale etc…
jul
27 mars 2011 @ 09:17
pardon Régine trop de fautes
La France ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui sans les Capétiens, qui ont construit son territoire, choisi le Français pour langue nationale, imposé leur centralisation etc…
Voilà pourquoi je pense que tous les Capétiens d’aujourd’hui sont Français, en reconnaissance du magnifique héritage que leurs ancêtres nous ont laissé.
Ils peuvent également se sentir chez eux dans d’autres pays mais leur refuser la qualité de Français me semble un artifice absurde.
Et cela n’ôte rien aux qualités des Français qui ont travaillé dur au cours des siècles pour aménager les paysages que nous pouvons contempler.
Brigitte et Christian
28 mars 2011 @ 10:11
bonjour à tous
le Traité d’Utrecht est valide car non dénoncé par les partie signataires. Cela est un fait incontestable. Que le traité ait subi des accros dans son application ne le rend pas invalide tant que l’un des signataires ne le dénonce. Ce qui n’a pas été fait. Donc le traité reste valide.
Cela va déplaire, mais c’est ainsi.C’est aussi pourquoi nous ne participons plus aux discutions sur ce sujet, car il n’y a pas de discution.
Pour en revenir au sujet qui est je le rappelle la conférence du prince Jean à ESC de Pau, nous n’avons aucun doute sur le succès car, nous avons vu le prince Jean devant un public d’anciens de HEC et de Sciences Po lors de la présentation du livre « Un prince français » à Toulouse et cela avait été une vraie réussite.
Qui du site sera présent à Pau pour nous faire vivre cet événement ? Marie du Béarn peut-être qui semble Paloise ?
amitiés du sud ouest sous le soleil renaissant
Brigitte et Christian
28 mars 2011 @ 10:45
parties avec un s cela ira mieux !!!
avec nos excuses
amitiés du sud ouest
Audouin
28 mars 2011 @ 12:35
Brigitte et Christian (57)
…discussions avec deux S..SVP! Cela ira encre mieux, M’sieur’dame.
Vous n’avez toujours pas saisi que ce qui rend ce Traité invalide, c’est la nullité absolue des RENONCIATIONS du duc d’Anjou dont l’écrasante majorité des juristes de Louis XIV à nos jours ont démontré qu’elles avaient été arrachées à la France par la force en violation de son droit interne. Si on appliquait l’une des clauses de ce traité, rendu caduc par des Traités ultérieurs, il faudrait combler le port de Dunkerque! Ce n’est pas dans le Sud-ouest mais quand même! Et le Traité de Troyes, vous demandez aussi son application?
Mais, c’est vrai que pour vous, il n’y a pas de « discutions » (sic).
:-)))
Audouin
Nemausus
28 mars 2011 @ 16:33
Brigitte et Christian vous faites entièrement erreur en ce qui concerne la validité du traite d’utrecht. Le droit international confirme par la convention de vienne considère comme annule de fait un traite lorsque les parties contractantes sont a nouveaux en guerre.
Cf mon message précédent avec les sources. Quelles sont les vôtres ? Ou alors faites vous comme Charles et Michael « tout ce que je dis est vrai parce que je le dis »… Cela me semblerait extrêmement léger comme argumentation !
Aramis
28 mars 2011 @ 22:53
Nemausus parle-t-il de la convention de Vienne de 1969 ? non ratifiée par la France à ma connaissance…
Article 4
NON-RÉTROACTIVITÉ DE LA PRÉSENTE CONVENTION
Sans préjudice de l’application de toutes règles énoncées dans la
présente Convention auxquelles les traités seraient soumis en vertu du droit international indépendamment de ladite Convention, celle-ci s’applique uniquement aux traités conclus par des Etats après son entrée en vigueur à l’égard de ces Etats.
Il est vrai que la Convention rassemble un certain nombre de principes antérieurs, mais alors il faut se fonder sur ces principes, non sur la Convention, sauf erreur de ma part.
Autres dispositions dont chacun fera son miel
Article 26
PACTA SUNT SERVANDA
Tout traité en vigueur lie les parties et doit être exécuté par elles de
bonne foi.
Article 52
CONTRAINTE EXERCÉE SUR UN ETAT PAR LA MENACE OU L’EMPLOI DE LA FORCE
Est nul tout traité dont la conclusion a été obtenue par la menace
ou l’emploi de la force en violation des principes incorporés dans la Charte des Nations Unies.
Article 73 (c’est peut être à cela que faisait allusion Nemausus ? mais ça ne dit pas ce qu’il nous indique. Donc il faut que ce soit dans d’autres sources du droit international)
CAS DE SUCCESSION D’ETATS, DE RESPONSABILITÉ D’UN ETAT
OU D’OUVERTURE D’HOSTILITÉS
Les dispositions de la présente Convention ne préjugent aucune
question qui pourrait se poser à propos d’un traité du fait d’une succession d’Etats ou en raison de la responsabilité internationale d’un Etat ou de l’ouverture d’hostilités entre Etats.
Alexis R
29 mars 2011 @ 15:47
Audouin (59),
Et je suppose, mon bon Monsieur, que parce qu’un traité comme le traité d’Utrecht est contesté par quelques juristes (n’oubliez pas de nous dire dans quel but cette contestation a eu lieu…), il en devient automatiquement caduc?
Quelle curieuse application du droit faites-vous là! De la fantaisie en toutes choses….
Alexis R
Alexis R
29 mars 2011 @ 15:50
Aramis (61),
Vos citations de la convention de Vienne sont sans appel. Nemausus et sa culture juridique des plus étendues ont sans doute accès à d’autres sources juridiques auxquelles le commun des mortels (salement orléaniste de sucroît) n’a pas accès… :-)
Bien à vous,
Alexis R
Audouin
30 mars 2011 @ 10:01
Aramis (61)
Votre persiflage miteux cache mal, soit l’épaisseur
de votre ignorance, soit l’étendue de votre mauvaise foi. Je vous conseille vivement de consulter au plus vite le Dalloz (Traité international, n°182).
Vous apprendrez que partout et toujours, l’état de guerre abrogeait sans retour les traités proprement dits dans leurs effets politiques. La guerre terminée, les relations des belligérants étaient pour l’avenir réglées par un nouveau traité. Et ainsi de suite…
L’article II du Traité de Francfort du 10 mai 1871 exprime formellement ce principe.
Faut-il vous rappeler que depuis 1713 des guerres ont ensanglanté l’Europe et l’Amérique du Nord. La France a été successivement ou simultanément, à diverses reprises, en conflit avec l’Angleterre, le Portugal, l’Espagne, la Hollande, la Prusse, l’Autriche? De nouveaux traités ont chaque fois mis fin aux hostilités. Aucun n’a jamais reproduit les stipulations du traité d’Utrecht.
Si le Traité d’Utrecht était resté en vigueur, jamais la Savoie, restituée à la Maison de Savoie en 1713 par ce Traité, ne serait devenue française en 1860. Je ne sache pas que l’Angleterre ait jamais protesté contre le rattachement de cette province à la France!
Si le Traité d’Utrecht n’avait pas été abrogé, jamais l’Angleterre n’aurait pu s’emparer du Canada alors que ledit traité fixait les frontières entre les parties restituées à l’Angleterre et les possessions de la Compagnie du Québec.
Et comme je le notais plus haut (msg n°59), le port de Dunkerque aurait du être comblé en application du Traité d’Utrecht…
Quant à la clause des renonciations, elle était nulle d’une nullité absolue car elle violait le Droit interne. Il est malhonnête et ridicule de prétendre que seulement quelques juristes ont soutenu cette thèse alors qu’ils l’ont TOUS défendue à l’exception d’un seul, l’inénarrable Père Poisson…Mais AlexisR n’écoute que lui-même. Il continue à nier ce qu’il ne comprend pas comme hier, il s’est obstiné puérilement à nier l’existence d’une forte consanguinité chez les d’Orléans…
Il est risible de se référer à un Traité devenu un simple sujet d’étude pour étudiants en histoire du Droit, et d’ en demander l’ application alors que ce document est abrogé depuis longtemps.
Mais pour AlexisR qui n’y connaît rien, les arguments de ses contradicteurs relèvent de la haute fantaisie…Faut-il lui rappeler qu’il n’y a plus que quelques orléanistes forcenés pour invoquer ce Traité afin de justifier les droits inexistants de la Maison d’Orléans au Trône de France?
Audouin
Nemausus
30 mars 2011 @ 10:27
Les commentaires sur la convention de vienne confirment le droit international applique jusqu’à nos jours a savoir la caducité d’un traite des lors qu’il est viole par les parties contractantes ou lorsque la guerre entraine la caducité du traite de paix précédent… La convention de vienne ne fait que confirmer pour l’avenir ce qui existait déjà … J’ai cite mes sources, Alexis R n’a fait que dire des imprécations dénuées de toutes argumentations…
Michael
30 mars 2011 @ 12:31
c’est juste une question. ces renonciations de Philippe V au trône de France ont été enregistrées au Parlement de Paris et devant les Cortes espagnol. Elles ont donc eu valeur de loi?
Alexis R
30 mars 2011 @ 15:54
Audouin (64),
Vous omettez sciemment, mon bon Monsieur, de mentionner le but recherché par quelques juristes (je maintiens le quelques, appellez cela de la puérilité, j’appelle cela la vérité…) pour contester le traité d’Utrecht. Je me permets de trouver cela fort curieux pour un prosateur au verbiage si pénétrant. Mais je n’en attendais pas moins de votre part….
Nemausus (65),
Ouvrez votre Larousse ou votre Robert, et relisez le sens du mot imprécation. Cela vous évitera de l’employer à bon escient, car je cherche vainement la moindre imprécation dans mes commentaires. Quant à vos sources, justement vous ne les citez pas: « Le droit international confirme par la convention de vienne » Votre culture juridique des plus étendues devrait pourtant savoir que citer l’article du traité nous permettrait peut-être de vous comprendre…
Alexis R
cosmo
30 mars 2011 @ 17:48
Audoin (64),
Je ne vois pas pourquoi vous faites référence au Traité de Turin(1860) pour justifier la caducité du Traité d’Utrecht(1713). Comme les lois, le droit international évolue et il est possible d’amender une clause d’un traité sans pour autant rendre l’essentiel caduc.
En outre, la révolution française et l’avènement du principe des nationalités ont changé la donne en Europe. Nul aujourd’hui accepterait une modification de frontière sans consultation des peuples concernés. Ce fut la précaution du plebiscite prise lors de la signature du Traité de Turin, même si le plebiscite fut une mascarade.
La restitution de la Savoie en 1713 ne fut qu’un retour au statu quo ante, situation à laquelle pouvaient remédier et le souverain et le peuple de Savoie en 1860, sans remettre en cause le Traité d’Utrecht dont l’essentiel était le règlement de la succession espagnole.
Nul ne songea à remettre en cause le Traité d’Utrecht lorsque en 1730 et 1738 les Habsbourg restituèrent Naples et Sicile aux Bourbons.
Lors de l’avènement d’Isabelle II en Espagne, évènement accepté par les chancelleries européennes, nul ne songea à don Carlos comme successeur au trône de France dont il était le plus proche en l’absence éventuelle d’héritier mâle français. Il préféra s’engager dans les guerres carlistes pour défendre ses prétentions au trône espagnol. Le comte de Montizon, son fils, ne revendiqua ses droits à la couronne de France que lorsque les Carlistes lui eurent préféré son fils, don Carlos, duc de Madrid, sautant allègrement par dessus la succession dynastique.
Comment justifier à l’époque en application du Traité d’Utrecht que le père ait pu prétendre à la couronne de France et le fils à la couronne d’Espagne? Ils le considéraient peut-être comme nul de manière unilatérale, donc invalide.
Il faudrait aujourd’hui pour rendre nul le Traité d’Utrecht et des renonciations qu’elles contiennent de manière incontestable un nouveau traité qui engagerait les successeurs des souverains de l’époque, en l’occurence en France, le peuple français, qui est en droit international le successeur des rois de France, la République Française ayant été reconnue depuis fort longtemps par toutes les parties à l’origine au Traité, y compris d’ailleurs par le comte de Chambord qui par son refus du drapeau tricolore la légitima malgré lui .
Prétendre au trône de France, que seule une éventuelle révolution populaire(un comble) pourrait restaurer, est aujourd’hui un absurdité. Je pense que ni le prince Louis-Alphonse de Bourbon, ni le comte de Paris y songent sérieusement. Qu’ils se disputent titres de courtoisie et grandes armes de France, pourquoi pas? Cela paraît enfantin bien qu’encombrant pour les tribunaux.
Cela dit les décisions des tribunaux français ont été interprêtés par les légitimistes comme des décisions en leur faveur. Cela n’est pas juste car si les tribunaux républicains se sont déclarés incompétents, avec justesse, sur le problème du port des grandes armes de France, renvoyant les parties dos à dos, ils n’ont fait qu’appliquer le droit commun en ce qui concerne la demande de changement de nom.
Le nom patronymique d’Orléans est suffisemment convenable pour ne pas lui voir substituer celui de Bourbon, car même si la revendication était historiquement et généalogiquement fondée, elle ne l’était pas sur le plan du droit civil.
Les ancêtres du comte de Paris ayant choisi un jour, ou accepté, ce patronyme, il ne lui reste plus qu’à le porter. Le jugement aurait été le même pour chacun d’entre nous. Seul un intérêt légitime, un risque de disparition du patronyme ou une consonnaissance malencontreuse auraient pu justifier le changement de nom. Orléans ils sont Orléans ils restent. La cause était jugée d’avance, jurisprudence et code civil confondus. Mais ce jugement n’a pas été rendu en faveur de la prétention légitimiste au trône de France.
Il serait surréaliste de voir la République Française s’engager dans une telle voie.
Nemausus
30 mars 2011 @ 18:12
Peut être qu’Alexis R devrait apprendre a utiliser la souris pour remonter dans les messages et voir mes sources … Les siennes ou sont-elles sauf s’il considere que toutes les affirmations péremptoires de ses amis sont des sources incontestables… A moins que lui même soit un Larousse ambulant ;)
Nemausus
30 mars 2011 @ 18:18
Pour que les renonciations illégales de Philippe V deviennent légales il aurait fallu que le roi de France réunisse les états généraux pour les valider… Le parlement de Paris n’avait pas cette compétence… C’est bien pour ça que les constituants n’en ont pas tenu compte en 1791 sinon elles auraient été entérinées par la constitution et la elles auraient eu valeur légale… Ce que voulait justement les partisans de Philippe égalité … Mais voilà ils ont échoue!
Et ils s’en mordent encore les lèvres !
Tonton Soupic
30 mars 2011 @ 20:08
Audouin (59)
Je vous en prie : arrêtez avec le traité de Troie ! La belle Hélène n’a jamais renoncé au trône de France… puisqu’elle était grecque !
Qu’est-ce que vous n’allez pas chercher pour contester la légitimité de la Maison de France au trône d’Orléans ! M’enfin !…
Brigitte et Christian
31 mars 2011 @ 10:51
bonjour à tous
notre texte en 57 et 58 a reçu des réponses et nous en retiendrons deux en particulier :
celle de Audouin en 59, sa façon de relevée une faute d’orthographe et d’appuyer dessus n’est pas très élégant et cela et si petit, petit, petit petit que ca ne grandit pas son auteur.
Et puis son entame avec M’sieur’dame est si ironique et même impoli que nous ne lirons plus ses commentaires. cela est notre droit de réponse.
Et puis il y a la réponse de Némausus en 60 et bien que nous ayons des visions différentes reste poli et posé. Nous lui répondrons dans un futur message
amitiés du sud ouest sous la grisaille
cosmo
31 mars 2011 @ 19:16
Brigitte et Christian,
Votre irritation est parfaitement compréhensible et le manque de courtoisie inadmissible.
Cette histoire du Traité d’Utrecht finit par être incroyable. Bien que n’étant pas spécialement Orléaniste, ni légitimiste d’ailleurs, je trouvre incroyable que l’on ait considéré un Traité valable tant que cela arrangeait et qu’ensuite on le déclare nul par ce que les intérêts sont autres.
Les renonciations du duc d’Anjou « arrachées par violence » à Louis XIV convenaient toutefois à tout le monde à l’époque. Le roi était ravi de voir son petit-fils monter sur le trône d’Espagne et eut probablement était surpris de toutes les querelles ultérieures relatives à la validité de la renonciation.
Et le comte de Chambord ne fit pas tant la fine bouche avec ses cousins Orléans en son temps. Il a bien considéré le comte de Paris comme son héritier au trône de France à l’époque, la branche éventuellement successible des Bourbons étant alors prise dans les querelles espagnoles.
Amicalement
Aramis
31 mars 2011 @ 21:41
Je laisse chacun juge de la manière dont une certaine personne dénommée Audouin (61) a répondu au message que j’avais adressé non à lui mais à tout lecteur du site(61). Ce monsieur ou cette dame, je ne sais, a fait preuve d’un mépris inouï… chacun pourra constater pourtant que j’ai voulu aller aux sources citées par un autre contributeur, parce que j’aime bien les documents bruts, qui permettent d’apprécier la validité des interprétations qui en sont faites par les uns ou les autres, dans un sens ou un autre…
j’allais même jusqu’à citer un article de la convention rappelant que tout traité conclu sous la menace ou la contrainte est nul, argument souvent invoqué par les légitimistes pour contester la validité des renonciations d’Utrecht !
Mais foin de tout cela, me voici voué à l’universel mépris qu’il ou elle professe à l’égard de tout ce qui n’est pas lui ou elle, et dont Néoclassique a lui même du récemment lui signifier le caractère peu courtois…
Le légitimisme passionné de M ou Mme Audouin devrait lui inspirer des sentiments plus propres à rallier à cette cause les personnes de bonne foi dont la brutalité et le caractère hautain de certaines de ses interventions ne peuvent que les détourner… Orgueil des partisans, perdition des princes des fleurs de lis !
Au demeurant, Audouin pourra se reporter au jurisclasseur droit international, infiniment plus détaillé (11 ou 13 volumes) que le traité Dalloz (Validité temporelle des traités, extinction et suspension, fasc. 12-7, p.29 à 31) cité dans son message et d’où il résulte que tout est un peu plus compliqué et évolutif qu’Audouin ne le dit.
Audouin
1 avril 2011 @ 09:29
Chère Madame Brigitte, Cher monsieur Christian, je suis profondément navré de ce que mon message n°61 vous ait à ce point mortifiés. Moi qui pensais vous rendre service en vous signalant une faute que vous aviez oublié de pointer dans votre propre correctif. Et si j’ai appuyé dessus, c’est que vous l’avez commise deux fois. Vous auriez du me remercier, mais vous faites exactement l’inverse. « Petit, petit, petit petit.. », répété quatre fois, on croirait vous entendre appeler vos poussins pour leur picotin quotidien!C’est d’un drôle!
Une drôlerie certes involontaire, mais qui est, ma foi, fort plaisante.
Recevez mes salutations. Surtout pas « salutassions » :-))
Audouin
Audouin
1 avril 2011 @ 13:15
Monsieur, Madame ou Mademoiselle Aramis, j’ai la plaisir, pour répondre à votre légitime curiosité, de vous informer que j’appartiens bien au sexe mâle comme, d’ailleurs, le laisse à penser le prénom que je porte. Désirez-vous de plus intimes précisions? Et vous? Mâle ou femelle? Dites-moi tout…
Pour en revenir aux traités internationaux, ce n’est pas aussi compliqué que vous le dites. Avant 1815, on considérait que la guerre mettait fin à tout lien juridique entre belligérants. Les traités devenaient caducs. Après 1815, c’est vrai, les choses se sont compliquées. De toute façon, le Traité d’Utrecht contenait une clause nulle de nullité absolue, celle des renonciations, prise en violation de Droit interne français.
Audouin
Alexis R
1 avril 2011 @ 14:17
Cosmo (73),
Votre commentaire sur la perception du traité d’Utrecht rejoint mon opinion, après quelques jours passés à me documenter sur la question.
Aramis (74),
Je crains que justement ce ne soit le côté évolutif du droit, que vous soulignez avec une grande justesse, qui ne dérange certains.
Bien à vous deux,
Alexis R
Nemausus
1 avril 2011 @ 14:35
Cette pseudo validité du traite d’utrecht n’est défendue que par les partisans des Orléans alors que les constituants dont l’autorité est incontestablement plus fondée que celles des henrikistes ont considere que ce traite n’avait aucune valeur en reconnaissant les droits de la branche d’anjou et cela est aussi incontestable (cf constitution royale de 1791).
Donc dire qu’il n’y a que les légitimistes pour prétendre que ce traite est nul est faux car les partisans de la branche ainée ne s’appuient que sur le droit public interne (notamment une constitution royale) et international.
De fait et de droit les traites deviennent caduques entre les parties contractantes des lors qu’elles entrent a nouveau en guerre.
Mes sources citées ds un message antérieur ne sont pas un point de vue personnel mais un rappel de règles juridiques… Mais il est vrai que les henrikistes sont fâches avec le droit comme l’a souligne une fois Charles …
jean-marie
5 avril 2011 @ 11:39
Némausus.78
Nous attendons toujours vos excuses concernant la condamnation du duc d’Anjou Charles-Philippe d’Orléans,en effet ce Prince a été blanchi par la justice concernant cette affaire.
Nemausus
5 avril 2011 @ 21:03
Je crains que Jean Marie mange les pissenlits par les racines avant de lire des excuses que je ne me sens aucune obligation de donner …
padraig
7 avril 2011 @ 12:29
jean-marie 79
Vous avez raison, n’oubliez pas qu’ils se vantent, eux, de respecter le Droit… ;-), contrairement à nous, d’après eux !
Alexis R
7 avril 2011 @ 23:00
Padraig et Jean-Marie,
Le Droit divin, seulement le Droit divin! Le reste est entaché d’orléanisme, ne le saviez-vous pas? Et n’a donc aucune existence à leurs yeux… :-)
Bien à vous,
Alexis R
padraig
8 avril 2011 @ 12:24
Alexis R 82
C’est vrai, j’oubliais, mon « royalisme orléaniste » doit sans doute baigner dans un milieu politique trop « mécréant » pour comprendre leurs théories fumeuses et répétitives qui mélangent tout allègrement ;-D
Cordialement à vous (et à Jean-Marie)
Padraig