C’est depuis la chapelle royale du Palais de Hampton Court que la reine Elizabeth a prononcé son traditionnel message télévisé à l’occasion de Noël. (Copyright photo : Reuters)
C’est depuis la chapelle royale du Palais de Hampton Court que la reine Elizabeth a prononcé son traditionnel message télévisé à l’occasion de Noël. (Copyright photo : Reuters)
Adriana
25 décembre 2010 @ 14:07
beaucoup d’élégance pour sa majesté Elisabeth II Le temps ne semble pas avoir de prise sur cette personne ! joyeux Noël à tous !!!
Arielle
25 décembre 2010 @ 14:22
Elle est simplement exemplaire.
Actarus
25 décembre 2010 @ 15:22
La grande classe. :)
j21
25 décembre 2010 @ 19:05
Impressionnante la Reine comme toujours!
Colette C.
25 décembre 2010 @ 19:11
Je trouve la Reine vraiment extraordinaire!
Marie-Claire
25 décembre 2010 @ 21:06
je suis d’accord avec tous les commentaires élogieux sur le Reine Elisabeth. Une Reine exemplaire pour les jeunes générations
Sylvie-Laure
25 décembre 2010 @ 21:24
La reine a 84ans, elle est belle, elle a de la chance, d’avoir de si beaux cheveux. Elle a une allure vraiment royale. On ne lui donne pas sur cette photo, son age.
Continuer à remplir, son calendrier « professionnel » avec voyages lointains, en compagnie de son époux, est à mettre au crédit de cette femme exceptionnelle, qui a subi beaucoup de « tempêtes familiales, chocs en tous genre, » et qui continue sa fonction en dépit des aléas, qui l’ont un peu malmené en 1997… Elle résiste de bonne grâce.
L’année prochaine sera une année de bonheurs, pour elle, car ses petits enfants se marient selon leurs coeurs.
Caroline
25 décembre 2010 @ 21:54
Aaahh! pas encore entendu que notre ‘formidable’ Lilibeth est devenue arriere-grand-mere chez son petit-fils Peter Phillips!Un peu de patience,peut-etre cette nuit ou demain!
Thierry
26 décembre 2010 @ 05:40
Vous oubliez un point capital, chers ami(e)s forumistes de N&R:
Elle a exceptionnellement bien réussi une chose: à brimer son fils aîné, en le cantonnant à un rôle subalterne, toute sa vie (pour ne pas heurter les sensibilités délicates des admiratrices et admirateurs de « Lilibeth », je n’ose écrire le mot usuel, quand on mène chez le vétérinaire, son petit chat, aux fins de lui épargner une descendance trop prolifique)!
chaton
26 décembre 2010 @ 09:46
elle a un charismatique hors du commun venant d’une femme ha oui j’oubliais qu’il y avait aussi la » dame de fer » parfois quand on a une responsabilité comme telle il faut faire preuve de froideur pour mettre les personnes en place mais au fond de son coeur elle est certainement comme tout le monde : regret , nostalgique…………..comme tout le monde c’est ce que je pense
palatine
26 décembre 2010 @ 11:16
Cher Thierry, vous évoquez en 9 un problème récurrent : celui des princes héritiers nés d’une très jeune femme et qui doivent ronger leur frein quand leur mère ne leur donne pas assez de prérogatives. Edouard VII et Victoria sont d’autres exemples. Edouard VII a dû attendre longtemps avant de régner, et son règne ne dura que 9 ans.
J’ai vu l’autre jour sur Arte un film anglais « La folie du roi Georges « , et l’on voit le prince de Galles de la fin du 18e siècle ronger son frein parce que son père ne lui donne pas de… boulot. Je pense que Georges III se maria très jeune . En fait, peu de souverains délèguent une partie de leur travail à leur héritier . OU alors comme en Hollande, ils abdiquent comme on prend sa retraite. Moi, j’ai toujours pensé qu’Elizabeth n’abdiquerait jamais, car je vois mal le duc d’Edimbourg s’effacer devant son fils. Maintenant vous parlez d’un autre problème : l’impopularité du prince de Galles actuel, qui empêcherait la reine de passer les rênes à son fils. C’est bien possible. Et ce problème à mon avis se poserait vraiment si le duc d’Edimbourg venait à disparaitre.
J’ai lu cette semaine qu’une majorité de Suédois penche pour une abdication du roi Carl Gustaf en faveur de sa fille. Et j’avoue que je suis très curieuse de voir ce qui va se passer.
palatine
26 décembre 2010 @ 11:35
Encore à Thierry,
vous soulevez un fameux lièvre : les princes héritiers qui attendent leur tour et essaient de trouver une occupation. Edouard VII choisit une vie de plaisir, de confort mais aussi de rencontres avec des gens venus d’horizons très divers, mais comme par hasard souvent très riches. Sa mère lui laissa faire un mariage d’inclination avec une princesse danoise mais cela ne l’empêcha pas de la tromper.
Moi ce qui m’interesse le plus dans la vie de ce roi, c est son enfance et son éducation ultra sévère. Le livre de Christopher Hibbert montre la vie de chien qu’il a eue avec son précepteur allemand, ses nombreux professeurs et son horaire de fou. Il n’avait jamais de loisirs et ne pouvait avoir des amis de son âge.
C’est sans doute cette education qui lui donna pour toute la vie un accent allemand. Mais elle fit de lui aussi un polyglotte et quand il allait à Paris s’amuser, cela lui fut utile…
Juliette
26 décembre 2010 @ 12:49
Malgré toute l’affection que j’ai pour “Lilibeth”, je suis entièrement d’accord avec Thierry 9. Pauvre Charles…
Thierry
26 décembre 2010 @ 18:31
Cher Chaton, il n’était bien sûr pas question de vous (ce qui eût été de fort mauvais goût) dans mon post 9…lol
Elizabeth et le prince Philip (enfin!) à Balmoral, Charles à Buckingham, avec Camilla, William et Cate sur le devant de la scène, pour nous enchanter de leur charme…voilà mon programme (espéré!) et je m’y tiens…lol
Thierry
27 décembre 2010 @ 02:47
Merci Juliette de votre post (en 13), vous avez parfaîtement compris que je respecte la reine, pour toutes ses éminentes qualités qu’il serait bien hasardeux (et particulièrement impudent de ma part) de ne pas lui reconnaître.
Merci Palatine de vos fort enrichissants commentaires, votre style est on-ne-peut-plus agréable à lire et vous êtes drôlement calée et nous en apprenez beaucoup.
Mon modeste point de départ était une mini-info, péchée par hasard, lorsqu’il y a eu ce déballage monstre, planétaire, au moment de la mort de Diana. J’avais entendu que le prince Philip avait plus ou moins considéré la jeune, timide et hélas pour elle, romantique Diana Spencer comme « bonne pour le service ».
Je n’oserais pas attribuer au prince Philip les propos d’homme de cheval (rapportés par des journalistes malintentionnés, je n’en doute pas…lol) dans cette famille où l’équitation est une quasi-religion mais on a dit qu’il avait pu en parler comme d’une jûment tout à fait convenable, pour la tâche de reproduction à laquelle l’avait désormais assignée tout le Royaume….
Je me rappelle avoir immédiatement songé que toute la suite était donc évidemment programmée, de la mésentente du jeune couple, qui avait pourtant fasciné la terre entière. Diana n’était pas un tocard, si j’ose dire et allait leur en faire baver. J’ai pris, depuis, le prince Charles en sympathie (malgré ses défauts visiblement assez désagréables) car j’ai trouvé qu’il avait lui-même été une victime de tout cet état d’esprît totalement anachronique.
A l’époque où les mariages royaux revêtaient de réels et considérables enjeux stratégiques, les mariages « de raison » avaient toute leur légitimité, peu importe « le bonheur » des époux. De nos jours, ça ne tient plus, ce qui explique vraisemblablement la prolifération des mariages inégaux: ils peuvent nous sembler un peu bizarres, baroques (footballeur, speakerines, hôtesses de l’air, trader…) mais ce serait bien trop décalé de le reprocher aux personnes concernées, ce qui ne présage en rien que ça va marcher entre eux d’ailleurs, soit-dit en passant: là, ils retombent dans la loterie commune…lol
En un mot, je soupçonne que la reine, dans son conformisme paraît-il abyssal, n’avait rien eu à redire, à des considérations plus que sommaires, touchant à l’avenir sentimental et à l’épanouissement de son fils, un sujet pourtant sur lequel il n’était pas question de faire l’impasse, que ce soit en tant que mère mais aussi de fine politique, qui anticipe les obstacles. Elle n’a pas eu la capacité d’embrasser tous les paramètres de la situation. Aucun signal d’alarme, pour épargner à ces gamins d’aller dans le mur et de déclencher un scandale mondial sur lequel la presse s’est jetée, avec délectation.
Une fois la cata. arrivée, on a envoyé Charles au coin et il s’est récupéré, comme il a pu, avec sa Camilla. Je trouve que c’est un garçon intéressant, a qui on a gaché la vie. C’est bien beau les privilèges, ils sont souvent payés fort cher par les intéressés. Sans les plaindre, je serai le dernier à les accabler.
Marie17
27 décembre 2010 @ 09:04
Thierry (9-14-15) vous dites mieux que moi ce que je pense de l’éducation qu’à reçue Charles
Aucun amour des ses parents, élevé « à la dure », marié plus ou moins de force, et on s’étonne de voir Charles désemparé, coupant des rubans etc ….
La seule chose qu’il a imposé c’est la « partie non négociable de sa vie » et je l’en félicite
J’aime ce Prince et j’aime la Duchesse de Cornouailles, que tout le monde rejette
Juliette
27 décembre 2010 @ 12:38
Une fois de plus Thierry (15), j’approuve totalement votre analyse.
Luc
28 décembre 2010 @ 09:17
JE crois que Charles fera un bon Roi evec Camilla à ses côtés comme princesse consort.
lUC
palatine
28 décembre 2010 @ 13:35
Marie17,
j’ai vu il y a longtemps à la tv, de vieilles images d’actualités du début des années 50, quand la roi Georges VI vivait encore. On voyait la princesse Elizabeth revenant d’un long voyage qui avait duré plusieurs mois dans les colonies anglaises. Le petit prince Charles et sa nurse l’attendaient sur le quai d’une gare. Quand elle a vu son petit garçon qui devait avoir environ 3 ou 4 ans, elle lui a caressé la joue… et c’était tout. Pas de baisers, pas d’étreinte fougueuse (comme certaines photos prises sur un yacht quand Diana revoit ses fils).
J’avoue que j’ai été très étonnée.