Voici le nécessaire de campagne de l’empereur Napoléon I. Lorsqu’il partait à la guerre, il prenait avec lui son service de table et ses objets de toilette.
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Philibert
14 janvier 2024 @ 04:44
Très pratique : tout tient dans une valise !
Marie Christine
14 janvier 2024 @ 06:15
Nous l’avons vu lors de notre visite à Carnavalet en juillet dernier. Ce nécessaire est très beau, bien entretenu et vraiment bien conçu.
Philibert
22 janvier 2024 @ 08:40
Un industriel aurait intérêt à s’en inspirer pour créer un panier à pique-nique élaboré. Cela aurait du succès !
Pascal Hervé
14 janvier 2024 @ 07:31
L’occasion de se demander si un objet comme celui-ci ne devrait pas être réuni avec tous ses semblables dans un ”musée Napoléon ” ou s’il vaut mieux qu’ils restent éparpillés au gré de leurs histoires personnelles ?
Philippe
15 janvier 2024 @ 14:21
Vous avez raison.
En fait, nous devrions même refourguer tout ce bazar aux Anglais, qui pourraient organiser un musée Bonaparte .. je ne sais pas … à Longwood House ? … et satisfaire ainsi, dans un lieu unique et bien situé, plutôt central dans l’Atlantique, le public des idolâtres …
Cosmo
15 janvier 2024 @ 17:58
Ce bazar, comme vous dites, est un chef-d’œuvre de l’orfèvrerie française, représentée ici par Biennais. Votre mépris à l’égard de ces artisans n’égale que la monomanie de vos commentaires.
Thormeyer
15 janvier 2024 @ 19:59
Longwood est territoire français depuis 1858. Dommage…
Auberi
14 janvier 2024 @ 13:43
La grande classe, j’aime beaucoup 😊
Danielle
14 janvier 2024 @ 17:28
Très beau.
Lobre
14 janvier 2024 @ 23:50
Très beau mais à notre époque un canif dans une poche, une brosse à dent dans l’autre et la Mastercard dans la troisième suffisent ! Ceci dit cette mallette aurait sa place à Fontainebleau ou à la Malmaison.
hélène R
16 janvier 2024 @ 13:32
Au Singe Violet .
Avec le permission de Régine
https://www.maisoncaillebotte.fr/expositions/2021-martin-guillaume-biennais-lorfevre-de-napoleon-1er-464.html
Pascale
16 janvier 2024 @ 19:24
Napoléon avait donc besoin d’autant d’ustensiles, d’onguents etc. pour se faire beau lorsqu’il était en campagne ! Quand on voit le résultat, une brosse à dents, un peigne et un rasoir auraient largement suffi. En ce qui me concerne, lorsque j’étais plus jeune et que je nouais de nouvelles relations avec un Monsieur, le fait de voir dans sa salle de bains un nombre de produits de beauté égal ou supérieur au mien me faisait fuir en courant.