Un peu à l’instar du Parlement hongrois à Budapest, le Palais de Westminster qui abrite le parlement britannique avec la Chambre des Communes et la Chambre des Lords est un incontournable de la rive nord de la Tamise à Londres.
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Benoite
15 janvier 2023 @ 07:02
Ces belles photos du Parlement font presque penser aux palais Vénitiens, au bord de l’eau… Westminter est immense, c’est l’Histoire politique sociale et économique qui se déroule dans ses salles.. L’ouverture du Parlement, autrefois très royale, est devenue plus dépouillée. Le siècle où nous vivons demandait plus de réalités.
Après Paris, Londres est ma capitale préférée. mais je n’y vais plus aussi souvent.
JAusten
15 janvier 2023 @ 12:31
Cela a toujours été une réalité même dans les siècles précédents.
Le siècle où nous vivons demande plutôt moins d’ostentation et plus d’égalité.
Aristocrate
15 janvier 2023 @ 12:44
Le nouveau puritanisme 🥱
Leonor
15 janvier 2023 @ 19:24
Le mot « égalité » me sort par les trous de nez.
C’est une obsession française. Une obsession qui a mené à des catastrophes , et qui continue à en mijoter.
L’égalité, ça n’existe pas.
Pierre-Yves
16 janvier 2023 @ 08:49
L’égalité n’existe pas, mais dans un monde bien fait, l’équité, elle, devrait exister.
JAusten
16 janvier 2023 @ 10:15
Ahhhh équité ! c’était le mot que je voulais mais que je n’avais pas au moment où j’ai écris mon commentaire. Merci Pierre Yves.
Aristocrate
16 janvier 2023 @ 09:58
Oui, la solidarité, la compassion, le respect et la protection de chacun, notamment des plus vulnérables, c’est très bien, mais l’égalité parfaite est impossible et dangereuse car elle implique de « couper tout ce qui dépasse », l’égalité c’est la jalousie qui essaie de se faire passer pour la charité.
JAusten
16 janvier 2023 @ 10:27
« L’ égalité c’est la jalousie qui essaie de se faire passer pour la charité » je pense comme vous. La jalousie et l’envie. Je n’ai aucun souci avec ceux qui gagnent de l’argent mais je me dis que à un moment donné il y a moyens de faire quelque chose pour ceux de plus en plus nombreux qui n’en ont plus sans que ça passe par la case » aide de l’etat » ou des fondations ou une ONG… Mais ceci est un autre débat 😊
Carole 007
15 janvier 2023 @ 17:27
J’apprécie votre commentaire Benoîte, mais pas la comparaison avec les palazzi vénitiens.
Passiflore
17 janvier 2023 @ 20:07
Benoite, j’aime plus encore le Parlement de Budapest, surtout quand il est illuminé. J’ai été déçue plusieurs fois parce que je passais devant lui (sur la rive d’en face) à une heure où il faisait encore jour. Il ressemble beaucoup au Palais de Westminster.
Danielle
15 janvier 2023 @ 13:03
Un très beau palais qui m’avait impressionnée lors d’une visite à Londres.
Hervé J. VOLTO
15 janvier 2023 @ 14:28
Westminter est le siège du Parlment. Westminter, c’est l’Histoire politique sociale et économique du Royaume Uni qui se déroule dans ses salles
On y tremble au sujets du livre bombe de Harry !
Cet homme blessé est de toute évidence en pleine phase de catharsis et, loin de la devise victorienne de sa grand-mère la reine, « never complain never explain », il ressent le besoin de tout dire, jusqu’à l’overdose, jusqu’à la nausée ; car il arrive un moment où on a envie de lui dire : « Stop, ça suffit ! » Sa purge, son besoin obsessionnel de s’exprimer, de donner sa version des évènements, commence à coûter cher à la nation. Ce trop plein est atteint aujourd’hui.
Le public britannique aura subi son interview chez Oprah Winfrey (en 2021), son documentaire Netflix et maintenant une interview dans les médias britanniques qui prépare la sortie de son livre tant attendu mi-janvier. Nous savons maintenant que, en tant que soldat servant dans l’armée britannique, il a tué 25 Talibans, qu’il s’est battu dans une cuisine avec son frère et futur roi William et qu’il a perdu sa virginité dans un champ avec une femme plus âgée. Des détails qui sont souvent affligeants et indignes d’un homme de sa position et de ses origines. Cherchons d’abord à comprendre…
D’abord, il y a son passé compliqué : deuxième fils de Charles et Diana, ce fut l’enfant d’un mariage sans amour et dont les détails scandaleux se trouvaient déjà étalés dans les tabloïds. A l’âge de douze ans, et devant des millions de téléspectateurs du monde entier, il s’est vu obligé de défiler derrière le cercueil de sa propre mère, la Princesse Diana, femme traquée sans relâche par les médias durant toute son existence. Ensuite, il a souffert du rejet de deux femmes dont il était amoureux, Chelsy Davy, puis Cressida Bonas, qui ne se voyaient pas assumer le fardeau et les contraintes surhumaines d’une existence de princesse royale au sein de « La Firme », comme la Reine Elizabeth surnommait sa propre famille.
Pourtant Harry a réussi une brillante carrière à l’armée avec ses deux tours en Afghanistan, et il a fondé les « Invictus Games » pour les soldats blessés, sur le modèle des jeux paralympiques. Mais suite à des accusations de harcèlement, puis à une brouille avec sa belle-sœur Kate, Meghan voit sa popularité baisser auprès du public, malgré un accueil chaleureux de la part de la reine et un début très réussi en matière d’activités officielles.
Harry prétend y voir la répétition de ce qui était arrivé à sa mère et annonce publiquement qu’il doit maintenant protéger sa propre famille. Un paradoxe quand on pense à sa façon de courtiser ces mêmes médias… C’est à ce moment-là qu’il choisit de renoncer à son rôle de représentant de la couronne britannique et part pour les Etats-Unis. Exerce-t-elle une influence néfaste sur son mari au point que ce dernier perde sa faculté de discernement ?
Harry était autrefois si populaire… mais aujourd’hui les choses ont bien changé et l’opinion publique britannique n’est plus du tout de son côté. A Winstminster, on dit que, depuis que le Prince Harry a croisé la route de l’actrice américaine Meghan Markle, son attitude et ses déclarations choquent les Britanniques. Le frère de William fait n’importe quoi… et beaucoup d’argent. Ces jours-ci, la presse mondiale relaie avec complaisance les derniers ragots qu’il nous livre dans une autobiographie à scandale.
Ce n’est pas encore finit…
Caroline
15 janvier 2023 @ 22:57
Hervé J.Volto,
Votre analyse est malheureusement juste !
Ce n’est pas encore fini…, surtout s’ il n’ aura plus d’ argent pour mener son train de vie de luxe !
Marie DM
15 janvier 2023 @ 17:18
Je suis hors sujet mais je veux vous donner mon opinion sur le livre du prince Harry que je vous encourage d’acheter afin de pouvoir vous faire une opinion sur la famille royale anglaise. J’ai appris beaucoup de choses sur la manière dont les communicants du palais et les tabloids communiquaient pour toujours mettre le prince William et le roi Charles sur le devant de la scène aux détriments des activités d’Harry et Meghan. Le manque d’attention totale de Charles envers Harry lors de la mort de Diana, il n’a jamais pris son fils dans ses bras. Le côté colérique de Charles et William. La radinerie de Charles envers Harry pour payer pour sa sécurité, c’est le devoir du roi Charles envers un prince de Grande Bretagne à cause de sa naissance.
Harry a vraiment beaucoup souffert au détriment de son frère, en plus, il est plus fragile. Je lui souhaite tout le bonheur possible avec Meghan loin de cette famille nuisible.
JAusten
16 janvier 2023 @ 10:16
Parfait, vous êtes mûre pour le tome II.
Hervé J. VOLTO
15 janvier 2023 @ 18:30
Comme tout le monde le sait, le palais de Westminster (en anglais : Palace of Westminster), également désigné sous le nom de Chambres du Parlement (Houses of Parliament), est le lieu où siège le Parlement du Royaume-Uni : la Chambre des communes (House of Commons) et la Chambre des lords (House of Lords). Le palais borde la rive nord de la Tamise et se situe au centre de la ville, dans l’arrondissement londonien de la cité de Westminster.
Un incendie dévastateur a détruit presque entièrement le palais le 16 octobre 1834, n’épargnant que le Westminster Hall qui remonte à 1097. Le batiment actuel date du xixe siècle.
Du fait de l’incendie, la plus grande partie du bâtiment date du xixe siècle. L’architecte responsable de la reconstruction, Sir Charles Barry, inscrivit le nouveau bâtiment dans le plus pur style néogothique, en référence à l’époque des Tudor.
L’une des attractions les plus célèbres du palais de Westminster est sa tour de l’Horloge (Clock Tower), nommée officiellement « tour Élisabeth » (Elizabeth Tower) à l’occasion du jubilé de diamant d’Élisabeth II en 2012, qui abrite Big Ben.
Le palais, immense complexe de plus de mille pièces, contient en plus des salles de la Chambre des lords et de la Chambre des communes, les bureaux des commissions parlementaires, des bibliothèques, des vestibules, des salles à manger, des bars ou même des gymnases.
Les Lords et les députés y sont bien traités !
Hervé J. VOLTO
15 janvier 2023 @ 18:32
Sir Charles Barry a réalisé le nouveau palais de Westminster dans un style gothique dit « perpendiculaire ». C’est une variante de l’art gothique tardif très caractéristique de l’Angleterre, de la fin du xive au xve siècles, avec des prolongements au xvie siècle dans le style Tudor. Ce style est revenu à la mode au xixe siècle avec le néogothique, car considéré à cette époque comme l’un des styles qui marqua le plus l’histoire architecturale du pays, avec une forte valeur d’identité nationale, comme le Baroque en France.
Barry lui-même était en réalité un architecte de formation classique, mais fut aidé dans son travail par son confrère Augustus Pugin, rompu aux subtilités du gothique.
Muscate-Valeska de Lisabé
15 janvier 2023 @ 18:41
Ce grand truc m’a toujours laissée indifférente.
Benoite
15 janvier 2023 @ 21:14
Evidemment que ce n’est pas fini… j’ai presque envie de dire que Harry « vomit » sa rage.. Le prétexte du décès de sa mère, lui sert de couverture… il est en train de se perdre. totalement. excusez moi pour le « terme » que j’ai écrit ici.